S’exprimer dans une langue étrangère est toujours un peu comme une seconde naissance. C’est une manière de poser la voix, des tonalités différentes, une autre façon de percevoir et de penser le monde qui se fait jour. Cela évoque aussi des aspirations vers un ailleurs, un appel à la rencontre et à la découverte d’une autre société, d’autres cultures.
Se lancer dans l’aventure de l’étude du chinois génère souvent enthousiasme voire émerveillement chez les étudiants et perplexité mêlée d’admiration-fascination dans l’entourage de ces derniers.
« Communiquer », « comprendre », « découvrir » : telles sont les trois notions qui résument l’approche de l’enseignement et des activités développées par l’Institut Confucius de Liège. Le roman-photo réalisé avec la complicité des étudiants des cours de chinois tente, par le biais du parcours de Newton, d’illustrer une des facettes que représente l’apprentissage du chinois pour un jeune liégeois dans un monde en pleine mutation.
Eric Florence, directeur de l’Institut Confucius
S’exprimer dans une langue étrangère est toujours un peu comme une seconde naissance. C’est une manière de poser la voix, des tonalités différentes, une autre façon de percevoir et de penser le monde qui se fait jour. Cela évoque aussi des aspirations vers un ailleurs, un appel à la rencontre et à la découverte d’une autre société, d’autres cultures.
Se lancer dans l’aventure de l’étude du chinois génère souvent enthousiasme voire émerveillement chez les étudiants et perplexité mêlée d’admiration-fascination dans l’entourage de ces derniers.
« Communiquer », « comprendre », « découvrir » : telles sont les trois notions qui résument l’approche de l’enseignement et des activités développées par l’Institut Confucius de Liège. Le roman-photo réalisé avec la complicité des étudiants des cours de chinois tente, par le biais du parcours de Newton, d’illustrer une des facettes que représente l’apprentissage du chinois pour un jeune liégeois dans un monde en pleine mutation.
Eric Florence, directeur de l’Institut Confucius
Couleur flashy, vêtements moulants, provocants. Pour les ados et préados, l'heure est venue de se rhabiller. Les écoles révisent leur règlement sur les tenues vestimentaires. Au grand dam des élèves.
Passées les formalités du contrat de stage, me voici soudainement parachuté dans la vie professionnelle, au QG d’une rédac. La manœuvre n’a rien d’un entraînement. Ici, ça tire à balles réelles. Autour de moi, des hommes se battent sur le front. Leur chef d’Etat-major, c’est l’actu. Pour elle, ils sont prêts à ramper dans la boue, à traverser des champs minés. Moi, je tremble à l’idée de souiller mes chaussures cirées. J’aimerais me battre à leurs côtés mais il y a un hic. Mon fusil, j’ai appris à m’en servir en lisant des bouquins.
Ils écoutent de la J-pop, vénèrent les mangakas, tentent d’exploser leur score en dansant sur des jeux musicaux. Ils peuvent passer 400 heures à confectionner un costume de héros de manga qu’ils ne porteront qu’une journée. La plupart se disent otaku.
Détrompez-vous, ils ne sont pas japonais. Ce sont des français, férus de japanimation, capables de se rassembler par millier à la Japan Expo de Paris, le plus grand festival européen des loisirs asiatiques, pour venir y tester en freeplay les dernières nouveautés sur les bornes d’arcades.
Dans ce cas, quel rapport avec ces jeunes japonais qui eux aussi se revendiquent otaku mais vivent coupés du monde, trouvant refuge dans un monde parallèle fait de poupées, de fanzines et de mangas ? Peut-on parler d’otakisme en France au même titre qu’au Japon ?
C’est à ces questions que ce livre tente de répondre.
S’exprimer dans une langue étrangère est toujours un peu comme une seconde naissance. C’est une manière de poser la voix, des tonalités différentes, une autre façon de percevoir et de penser le monde qui se fait jour. Cela évoque aussi des aspirations vers un ailleurs, un appel à la rencontre et à la découverte d’une autre société, d’autres cultures.
Se lancer dans l’aventure de l’étude du chinois génère souvent enthousiasme voire émerveillement chez les étudiants et perplexité mêlée d’admiration-fascination dans l’entourage de ces derniers.
« Communiquer », « comprendre », « découvrir » : telles sont les trois notions qui résument l’approche de l’enseignement et des activités développées par l’Institut Confucius de Liège. Le roman-photo réalisé avec la complicité des étudiants des cours de chinois tente, par le biais du parcours de Newton, d’illustrer une des facettes que représente l’apprentissage du chinois pour un jeune liégeois dans un monde en pleine mutation.
Eric Florence, directeur de l’Institut Confucius
S’exprimer dans une langue étrangère est toujours un peu comme une seconde naissance. C’est une manière de poser la voix, des tonalités différentes, une autre façon de percevoir et de penser le monde qui se fait jour. Cela évoque aussi des aspirations vers un ailleurs, un appel à la rencontre et à la découverte d’une autre société, d’autres cultures.
Se lancer dans l’aventure de l’étude du chinois génère souvent enthousiasme voire émerveillement chez les étudiants et perplexité mêlée d’admiration-fascination dans l’entourage de ces derniers.
« Communiquer », « comprendre », « découvrir » : telles sont les trois notions qui résument l’approche de l’enseignement et des activités développées par l’Institut Confucius de Liège. Le roman-photo réalisé avec la complicité des étudiants des cours de chinois tente, par le biais du parcours de Newton, d’illustrer une des facettes que représente l’apprentissage du chinois pour un jeune liégeois dans un monde en pleine mutation.
Eric Florence, directeur de l’Institut Confucius
Couleur flashy, vêtements moulants, provocants. Pour les ados et préados, l'heure est venue de se rhabiller. Les écoles révisent leur règlement sur les tenues vestimentaires. Au grand dam des élèves.
Passées les formalités du contrat de stage, me voici soudainement parachuté dans la vie professionnelle, au QG d’une rédac. La manœuvre n’a rien d’un entraînement. Ici, ça tire à balles réelles. Autour de moi, des hommes se battent sur le front. Leur chef d’Etat-major, c’est l’actu. Pour elle, ils sont prêts à ramper dans la boue, à traverser des champs minés. Moi, je tremble à l’idée de souiller mes chaussures cirées. J’aimerais me battre à leurs côtés mais il y a un hic. Mon fusil, j’ai appris à m’en servir en lisant des bouquins.
Ils écoutent de la J-pop, vénèrent les mangakas, tentent d’exploser leur score en dansant sur des jeux musicaux. Ils peuvent passer 400 heures à confectionner un costume de héros de manga qu’ils ne porteront qu’une journée. La plupart se disent otaku.
Détrompez-vous, ils ne sont pas japonais. Ce sont des français, férus de japanimation, capables de se rassembler par millier à la Japan Expo de Paris, le plus grand festival européen des loisirs asiatiques, pour venir y tester en freeplay les dernières nouveautés sur les bornes d’arcades.
Dans ce cas, quel rapport avec ces jeunes japonais qui eux aussi se revendiquent otaku mais vivent coupés du monde, trouvant refuge dans un monde parallèle fait de poupées, de fanzines et de mangas ? Peut-on parler d’otakisme en France au même titre qu’au Japon ?
C’est à ces questions que ce livre tente de répondre.
23. 列日孔子学院
Rue de Pitteurs 20
4020 Liège
电话 : 04 366 50 06
邮箱 : confucius@ulg.ac.be
网址 : www.confucius.ulg.ac.be
孔子
列日孔子学院成立于2006年,是列日大学与北京外国语大学的合作成果。它的建立旨在促进比利时法
语区的汉语教育的发展和对中国文化的推广。这是目前由中国国家汉办(http://english.hanban.org/)
认可的近500所国际孔子学院之一。
孔子学院开展语言课程和书法课程。此外,学院还举办学术讲座、研讨会,开展商业领域的特定培训项
目。
特别鸣谢
特别感谢二年级的学员参与图片拍摄:Nicolas Pétry, Rapahelle Mattart, Lara Massart, Laila Abbadi,
Kelly Gheuse, Sylvain Collard, Olivier Seronveaux, Kwan-Yu Lam.
同时感谢 Wu Yingling, Newton Pham Dang, 教师张红, 中方院长张丹以及外方院长 Eric Florence.
还要感谢 Sarah Coppola, Mirella Orellana, Azzouzi Az-Eddine, Wong Kara, Johann Detilleux,
Stéphanie Kamkui 的积极配合.
构思 : D’une Certaine Gaieté / Le Cirque Divers Asbl
电话 : 04 222 12 46
网址 : www.certaine-gaite.org
拍摄 : Sara Yans
排版 : Elodie Timmermans
调度 : Joel Napolillo
编辑 : Agnès Lejeune, 9/11 rue des Mineurs 4000 Liège
24. D/2008/10.070/8
D/2014/10.070/29
ISBN 978-2-930-759-01-2
D’une certaine gaieté asbl
9-11 Rue des Mineurs
4000 Liège
Tél : 04 222 12 46
Fax : 04 223 21 26
www.certaine-gaite.org
"LA BELGIQUE VUE PAR ELLE-MÊME"
A travers une série de romans-photos présentant chacun un milieu socio-professionnel différent
– de la bande de jeunes de banlieue à la permanence politique en passant par des cheminots - ,
la société belge passe au crible de son propre regard.
Chaque microcosme social est simultanément auteur et sujet. Les participants sont invités à
s’approprier le scénario et à le construire pas à pas, jouant leur propre rôle face à l’objectif,
et traduisant au mieux leurs préocupations quotidiennes, leurs frustrations et leurs joies, les
conflits qui les opposent, les passions qui les animent.
L’ensemble des romans-photos vise à constituer une vaste fresque kaléidoscopique de la
Belgique vue par elle-même, sur un support à la fois populaire et ludique. Une juxtaposition
de milieux d’ordinaire imperméables les uns aux autres qui, à terme, mettrait en perspective la
notion même d’altérité. Mr et Mme tout le monde sont capables de poser sur leur milieu d’origine
un regard aussi riche et acéré que les sociologues.
LA COLLECTION « LA BELGIQUE VUE PAR ELLE-MÊME » :