Transforma tu Mentalidad Directiva by David Quesada.
El primer paso para lograr de manera permanente las metas que te propongas y convertirte en un referente dentro de tu organización.
Transforma tu Mentalidad Directiva by David Quesada.
El primer paso para lograr de manera permanente las metas que te propongas y convertirte en un referente dentro de tu organización.
Este trabajo presenta el tema: Aritmética Informal, donde explica el fundamento de contar, y explica el breve concepto, no se aplica concepto como SUMA o RESTA, sino que se le interpreta al niño con palabras como: AÑADIR o QUITAR, el niño no sabrá que operación esta realizando pero sin saber estará sumando o restando, ellos no saben nada de incógnitas, por lo tanto, para ellos la adición es unir los conjuntos.
L'administration de la preuve électronique - présnentation à CAPLedjit
Me Dominic Jaar explique la preuve électronique et comment l’administrer efficacement. Il traite aussi du rôle primordial des parajuristes dans le cadre de ce processus qui révolutionne déjà la pratique des plaideurs partout en Amérique du nord.
ESTE TRABAJO MUESTRA LA ENSEÑANZA DEL NÚMERO DE UNA MANERA MUY INTERACTIVA CON AYUDA DE LAS TIC,
MULTIMEDIA EDUCATIVO PARA LA ENSEÑANZA DE SUMA Y RESTA EN PRIMERO, SEGUNDO Y TERCER AÑO DE PREESCOLAR.
La définition proposée de l'Université-Nuage est « un campus virtuel mondial recréé en 3D, favorisant une immersion des étudiants et professeurs dans des infrastructures virtuelles hébergées sur serveur dédié ». Ce projet serait ainsi de nature à accueillir « les établissements de formation internationaux dans leurs activités de transmission de connaissances et de recherche, tout en diminuant les coûts de l’enseignement supérieur (allégement des infrastructures, mutualisation des ressources). »
L'agrégation de données géodécisionnelles : questions pour mieux la définirACSG Section Montréal
Les systèmes géodécisionnels de type SOLAP (Spatial On-Line Analytical Processing) sont dédiés à l’analyse spatio-temporelle des données ainsi qu’à leur exploration interactive selon une approche dite multidimensionnelle. Cette approche exploite le croisement d’axes d’analyse (ex. produit, région, année) organisés en hiérarchies (ex. région : pays-province-région-MRC-ville) afin d’offrir plusieurs niveaux de détails d’information. Cette information ainsi obtenue se doit d’être pertinente et significative afin de servir le processus décisionnel. Il est donc primordial de s’assurer, dès la définition de ces systèmes, de leur adéquation avec les besoins identifiés. Pour obtenir les différents niveaux d’information synthèse, il est nécessaire d’agréger les données qui proviennent des systèmes opérationnels. Les exemples d’agrégation issus du monde OLAP appartiennent généralement à un monde déterministe où tout est parfaitement défini par des règles administratives et sans ambiguité, réalité à laquelle les phénomènes géographiques ne correspondent que rarement. L’agrégation de données géospatiales ne se résume pas seulement à simplement appliquer un opérateur d’agrégation sur un jeu de données comme on le fait pour les applications en comptabilité, en gestion des ventes ou en marketing. Ce processus s’avère plus complexe puisqu’il doit typiquement prendre en considération la nature géométrique et sémantique de la donnée géospatiale, les caractéristiques spatiales et sémantiques des axes d’analyse, les propriétés des opérateurs d’agrégation, le contexte de l’application, les besoins décisionnels, etc. La clé du succès repose alors sur l’expérience du concepteur d’application SOLAP puisqu’il doit effectuer plusieurs choix ayant des impacts sur les résultats et les types d’analyses possibles. Cette présentation portera donc sur les réflexions nécessaires à la définition d’un processus d’agrégation de données géospatiales approprié lors de la définition d’une application SOLAP. Elle traitera également des impacts potentiels des choix effectués sur l’information synthèse résultante, sur sa qualité et sur le type de décision escompté. Ces notions seront principalement présentées à l’aide d’exemples concrets de plusieurs domaines d’application.
Utilisation de panoramas urbains pour applications de réalité augmentée à hau...ACSG Section Montréal
La réalité augmentée est une technologie de plus en plus populaire qui a progressé énormément au cours des dernières années. Cependant, son développement présente des difficultés majeures. Notamment, la capacité d’estimer en temps réel la position et l’orientation de l’observateur, essentielle à une augmentation de qualité, est un problème fondamental qui n’a pas encore trouvé de solution robuste permettant le développement d’applications de réalité augmentée de haute précision sur des appareils mobiles. Les applications commerciales existantes ne fournissent qu’une augmentation approximative, ce qui est insuffisant pour des applications en ingénierie. Notre objectif est de fournir des outils de réalité augmentée à haute précision pour de telles applications. Nos travaux de recherche nous ont emmenés à développer une technologie permettant l’augmentation de panoramas urbains. Implantée sur des plateformes desktop et mobile, elle permet la superposition d’information géographique géolocalisée à des panoramas de type « streetview ». Elle peut être utilisée à distance, par exemple pour visualiser des infrastructures souterraines dans leur contexte réel, afficher l’historique de maintenance, et ainsi mieux planifier une visite sur le terrain. Elle peut aussi être utilisée directement sur le terrain à l’aide d’un pc « tablet », en permettant à un utilisateur de cliquer sur des objets du monde réel afin d’obtenir de l’information sur ces derniers, tel le nom du propriétaire (pour un édifice), l’historique de maintenance (pour une pièce d’équipement), la séquence de rinçage (pour une borne fontaine), etc. De telles applications de réalité augmentée basées sur des panoramas contraignent l’utilisateur à n’effectuer l’augmentation qu’à partir de positions fixes. Cependant, elle offre l’avantage de fournir une augmentation stable et précise, ce qui est requis dans les applications d’ingénierie. Dans cette présentation, nous décrirons notre technologie, discuterons de ses avantages et inconvénients, et montrerons des exemples réels de son utilisation en milieu urbain.
Este trabajo presenta el tema: Aritmética Informal, donde explica el fundamento de contar, y explica el breve concepto, no se aplica concepto como SUMA o RESTA, sino que se le interpreta al niño con palabras como: AÑADIR o QUITAR, el niño no sabrá que operación esta realizando pero sin saber estará sumando o restando, ellos no saben nada de incógnitas, por lo tanto, para ellos la adición es unir los conjuntos.
L'administration de la preuve électronique - présnentation à CAPLedjit
Me Dominic Jaar explique la preuve électronique et comment l’administrer efficacement. Il traite aussi du rôle primordial des parajuristes dans le cadre de ce processus qui révolutionne déjà la pratique des plaideurs partout en Amérique du nord.
ESTE TRABAJO MUESTRA LA ENSEÑANZA DEL NÚMERO DE UNA MANERA MUY INTERACTIVA CON AYUDA DE LAS TIC,
MULTIMEDIA EDUCATIVO PARA LA ENSEÑANZA DE SUMA Y RESTA EN PRIMERO, SEGUNDO Y TERCER AÑO DE PREESCOLAR.
La définition proposée de l'Université-Nuage est « un campus virtuel mondial recréé en 3D, favorisant une immersion des étudiants et professeurs dans des infrastructures virtuelles hébergées sur serveur dédié ». Ce projet serait ainsi de nature à accueillir « les établissements de formation internationaux dans leurs activités de transmission de connaissances et de recherche, tout en diminuant les coûts de l’enseignement supérieur (allégement des infrastructures, mutualisation des ressources). »
L'agrégation de données géodécisionnelles : questions pour mieux la définirACSG Section Montréal
Les systèmes géodécisionnels de type SOLAP (Spatial On-Line Analytical Processing) sont dédiés à l’analyse spatio-temporelle des données ainsi qu’à leur exploration interactive selon une approche dite multidimensionnelle. Cette approche exploite le croisement d’axes d’analyse (ex. produit, région, année) organisés en hiérarchies (ex. région : pays-province-région-MRC-ville) afin d’offrir plusieurs niveaux de détails d’information. Cette information ainsi obtenue se doit d’être pertinente et significative afin de servir le processus décisionnel. Il est donc primordial de s’assurer, dès la définition de ces systèmes, de leur adéquation avec les besoins identifiés. Pour obtenir les différents niveaux d’information synthèse, il est nécessaire d’agréger les données qui proviennent des systèmes opérationnels. Les exemples d’agrégation issus du monde OLAP appartiennent généralement à un monde déterministe où tout est parfaitement défini par des règles administratives et sans ambiguité, réalité à laquelle les phénomènes géographiques ne correspondent que rarement. L’agrégation de données géospatiales ne se résume pas seulement à simplement appliquer un opérateur d’agrégation sur un jeu de données comme on le fait pour les applications en comptabilité, en gestion des ventes ou en marketing. Ce processus s’avère plus complexe puisqu’il doit typiquement prendre en considération la nature géométrique et sémantique de la donnée géospatiale, les caractéristiques spatiales et sémantiques des axes d’analyse, les propriétés des opérateurs d’agrégation, le contexte de l’application, les besoins décisionnels, etc. La clé du succès repose alors sur l’expérience du concepteur d’application SOLAP puisqu’il doit effectuer plusieurs choix ayant des impacts sur les résultats et les types d’analyses possibles. Cette présentation portera donc sur les réflexions nécessaires à la définition d’un processus d’agrégation de données géospatiales approprié lors de la définition d’une application SOLAP. Elle traitera également des impacts potentiels des choix effectués sur l’information synthèse résultante, sur sa qualité et sur le type de décision escompté. Ces notions seront principalement présentées à l’aide d’exemples concrets de plusieurs domaines d’application.
Utilisation de panoramas urbains pour applications de réalité augmentée à hau...ACSG Section Montréal
La réalité augmentée est une technologie de plus en plus populaire qui a progressé énormément au cours des dernières années. Cependant, son développement présente des difficultés majeures. Notamment, la capacité d’estimer en temps réel la position et l’orientation de l’observateur, essentielle à une augmentation de qualité, est un problème fondamental qui n’a pas encore trouvé de solution robuste permettant le développement d’applications de réalité augmentée de haute précision sur des appareils mobiles. Les applications commerciales existantes ne fournissent qu’une augmentation approximative, ce qui est insuffisant pour des applications en ingénierie. Notre objectif est de fournir des outils de réalité augmentée à haute précision pour de telles applications. Nos travaux de recherche nous ont emmenés à développer une technologie permettant l’augmentation de panoramas urbains. Implantée sur des plateformes desktop et mobile, elle permet la superposition d’information géographique géolocalisée à des panoramas de type « streetview ». Elle peut être utilisée à distance, par exemple pour visualiser des infrastructures souterraines dans leur contexte réel, afficher l’historique de maintenance, et ainsi mieux planifier une visite sur le terrain. Elle peut aussi être utilisée directement sur le terrain à l’aide d’un pc « tablet », en permettant à un utilisateur de cliquer sur des objets du monde réel afin d’obtenir de l’information sur ces derniers, tel le nom du propriétaire (pour un édifice), l’historique de maintenance (pour une pièce d’équipement), la séquence de rinçage (pour une borne fontaine), etc. De telles applications de réalité augmentée basées sur des panoramas contraignent l’utilisateur à n’effectuer l’augmentation qu’à partir de positions fixes. Cependant, elle offre l’avantage de fournir une augmentation stable et précise, ce qui est requis dans les applications d’ingénierie. Dans cette présentation, nous décrirons notre technologie, discuterons de ses avantages et inconvénients, et montrerons des exemples réels de son utilisation en milieu urbain.
Características y principio de la Ilustración, pensadores, ideas políticas y económicas. Revolución agrícola e industrial en Inglaterra, España y Galicia.
Xurxo. Ilustración e Industrialización.EVAVIDALFERRO
Antecedentes, orixe, ideas básicas, características da Ilustración. A Ilustración en Galicia. Industrialización. Revolución Industrial: etapas. O ferrocarril. organización social.
A prensa. Introdución para alumnado de primariaDavid Paz
Introdución ao mundo da prensa, evolución histórica, xornais do mundo, técnicas básicas, etc. Adaptado ao CEIP Sestelo-Baión (Vilanova de Arousa - Pontevedra)
20 páxinas de reflexións sobre o papel da comunicación para acadar unha sociedade xusta e solidaria analizada como unha tecnoloxía en si mesma, e como debe interactuar o proceso comunicativo coa tecnoloxía existente para acadar ese cambio social
Comunicación para o cambio social como tecnoloxía para o desenvolvemento humano
Kevin fernandez
1. As tecnoloxías de información e de comunicación
Kevin Fernández Coelho 1 Bach A
N: 14
2. Kevin Fernández Coelho
Índice
1. As tecnoloxías da información: evolución
histórica.
2. Telecomunicacións. Intelixencia artificial.
Tecnoloxía multimedia.
3. Internet: A globalización.
4. A web 2.o. Aplicacións sociais das TIC.
5. Valoración crítica das posibilidades e riscos das
tecnoloxías da información.
TICs Página 1
3. Kevin Fernández Coelho
1) Evolución Histórica.
Durante a prehistoria, a evolución da linguaxe foi
unha lenta evolución que permitiu establecer os
primeiros elementos formais de divulgación.
No Paleolítico aparecen primeiros postos
permanentes por medio de obxectos e debuxos, con
valor significativo.
Estes debuxos evolucionaron desde pictogramas en
ideogramas para representar palabras que
representan ideas abstractas. Esta técnica de
comunicación de información que implica unha
variedade de diferentes sinais que resultou nunha
gran confusión.
Os ideogramas foron evolucionando para abrir
camiño para fonogramas, é dicir, a asignación dun
valor fonético para un deseño.
A evolución nesta fase non foi rápido, pero
constante, e foi escrita cuneiforme avanzada
permitiu entrar á historia cos primeiros libros nun
medio físico: comprimidos de arxila en Exipto e na
Mesopotamia.
Xeroglífica escribir o descubrimento a partir do ano
3000 a. C. Non é ata o final do cuarto século. C.
TICs Página 2
4. Kevin Fernández Coelho
papiro situado na pintura.
O alifato, creado polos cananeus máis de tres mil
anos, con pre-alfabeto contiña só consoantes. Os
gregos adoptaron o alfabeto e creador integrar as
vogal.
O nacemento da escrita parecen responder
principalmente ás necesidades de organización e de
xestión derivados da complexidade social que se
xera con grandes grupos humanos. Cando esta forma
de información post alcanza un certo nivel de
descrición, que comeza a ser empregado para fins
relixiosos, políticos e literarios.
A primeira publicación coñecida foi o xornalístico Act
Day, unha noticia que, por orde de Xulio César, foi
enviada a diario no Foro Romano no ano 59 a. C.
O primeiro xornal impreso a partir de bloques de
madeira esculpidos apareceu en Pequín, o sétimo ou
oitavo século.
Bibliotecas están emerxendo como grandes centros
apoiados acumulación de información en libros.
Durante o século XV, o florecemento do comercio e
das cidades, levou ao desenvolvemento de redes de
informantes, como os comerciantes e banqueiros
europeos precisaban saber a situación de países cos
que mantiña relacións comerciais. En Venecia, para o
TICs Página 3
5. Kevin Fernández Coelho
prezo dun Gazzetta (moeda local de pouco valor),
veu con algunha regularidade manuscrita cueca.
A invención, o século XV, a impresión, con base en
tipos metálicos móbiles, permitiu unha distribución
de noticias máis fácil e rápida.
Dos xornais Gazzetta Vencía xeneralizados en toda
Europa durante o século XVII, que máis tarde deu
lugar ao xornal ou xornais o século XVIII e XIX
xurdiron.
Neste período, a escrita representaba a posibilidade
de que todas as persoas puidesen ter acceso a
evidenciado pensamento e creou un aumento
significativo na capacidade de memoria e de
comunicación entre os homes, eliminando as
barreiras de tempo e espazo, que destacou o
carácter social dos seres humanos.
Pero esta afirmación non se traduce, entón é o
momento, unha realidade que permite toda a
sociedade; e, á vez ou no mesmo nivel.
Dun lado está o lento proceso de expansión dos
medios de reprodución do coñecemento
(información). Por exemplo, a difusión de
información a grande escala mediante o papel e, a
continuación, prema ensaios dependía duran séculos
enteiros desde a invención do papel en China no
século oitavo ao uso xeneralizado da prensa no
TICs Página 4
6. Kevin Fernández Coelho
século XV.
Por outra banda, é o control e mando, tanto da
produción de información, ea capacidade de acceder
a ela. Na cultura medieval do primeiro encontro
entre a sociedade analfabeta (oral) e sociedade
letrada gravado. Mentres comunicadores desa época
eran basicamente os clérigos que espallan os
grandes valores políticos e relixiosos, os analfabetos
non tiñan pexorativo.
Máis tarde, na maioría das sociedades, o control dos
medios de comunicación (xornais) e o seu contido,
foi por moito tempo nas mans dos propios Estados.
A primeira revolución industrial, iniciada en Gran
Bretaña no último terzo do século XVIII
caracterizouse polo desenvolvemento de novas
tecnoloxías, como a máquina de vapor, a fición de
varias aplicacións e, en xeral, a substitución das
ferramentas polas máquinas.
Mentres esa revolución non foi baseada en ciencia,
contou co uso extensivo de información, aplicación e
desenvolvemento do coñecemento existente, cuxo
intelectual raíces pódense atopar en toda Europa e
mesmo décadas anteriores (Aínda este coñecemento
parece ser dispoñible cen anos antes, "mentres se
agarda a engenhosidade técnica dos inventores
TICs Página 5
7. Kevin Fernández Coelho
autodidactas como Watts, Crompton e Arkwright").
A segunda revolución industrial, a partir de 1850 e
conducida principalmente pola Alemaña e os Estados
Unidos ofreceron o desenvolvemento da
electricidade, o motor de combustión interna, con
base científica, fundición de aceiro químico eficiente
eo inicio tecnoloxías comunicación, coa difusión da
invención do telégrafo eo teléfono.
Esta revolución industrial foi caracterizada polo
papel fundamental da ciencia na promoción da
innovación.
Segundo historiadores como Ashton, Landes, e
Mokyr, laboratorios de Investigación e
Desenvolvemento apareceu por primeira vez na
industria química alemá nas últimas décadas do
século XIX
En ambas as revolucións, o mundo foi testemuña da
rápida mudanza tecnolóxica e sen precedentes, onde
un conxunto de macroinventos firme o camiño para
o florecemento de microinvenciones que crearon a
implantación de novas tecnoloxías que forman e se
transforman un sistema industrial en etapas e en
todos campos: agricultura, industria, comunicacións,
etc e, por suposto, coñecemento.
O núcleo dos cambios nesas dúas revolucións, cal foi
a principal innovación na xeración e distribución de
TICs Página 6
8. Kevin Fernández Coelho
enerxía. O motor a vapor foi a invención máis
importante da primeira revolución industrial.
Electricidade foi a enerxía central da segunda
revolución industrial. Só a súa xeración e de
distribución, outras áreas foron capaces de
desenvolver as súas aplicacións e conectarse uns aos
outros.
Estas invencións (aplicacións tecnolóxicas),
transformouse os procesos de produción e
distribución e creou unha serie de novos produtos.
Ademais, como expresión da identidade social,
decididamente mudou o lugar de riqueza e poder no
mundo, na segunda metade do século XVIII. Eles
determinaron o ascenso histórico do dominio
occidental (a Gran Bretaña, algúns países de Europa
Occidental e Estados Unidos).
"Nada da historia cultural, científico, político ou
militar, antes da revolución industrial mundo
occidental explicar a supremacía indiscutible (Anglo /
Alemán, con un toque francés) entre 1750 e 1950"
(): di Castells.
Por que estes avances tecnolóxicos foron feitos
neses países mellor que outros avances máis
tradicional e cultural e do coñecemento científico?
Varios historiadores estudaron as condicións que
converxer sobre eles. A principal lección desta
TICs Página 7
9. Kevin Fernández Coelho
análise é recoñecer que ..
A innovación tecnolóxica ... non é un evento illado. El
reflicte un certo estado de coñecemento, un
ambiente institucional e industrial particular, unha
certa dispoñibilidade de competencias para definir e
resolver un problema técnico, unha mentalidade
económica para facer esa aplicación rendible e unha
rede de produtores e usuarios poden comunicarse as
súas experiencias cumulativamente, aprendendo a
utilizar e crear: a creación de Elites de aprendizaxe,
que modifican a aplicación da tecnoloxía, mentres
que a maioría da xente aprende a usar, que
permanece dentro das limitacións dos formatos de
tecnoloxía. ()
As novas tecnoloxías industriais tivo efectos
positivos sobre o crecemento económico, o nivel de
vida eo aumento da esperanza de vida humana, con
todo, estes efectos foron pronto, a pesar da difusión
da máquina de vapor ea nova maquinaria. Non era
ata a segunda metade do século XIX, cando o
progreso de todas as industrias estenderse cando o
crecemento sostido foi alcanzado.
En termos directos de avances na xestión da
información e comunicación, obsérvase que:
A fotografía foi utilizada por primeira vez na prensa
diaria en 1880, no Daily Herald (en inglés), aínda que
lento moito tempo para ser incorporado de forma
TICs Página 8
10. Kevin Fernández Coelho
xeneralizada aos xornais.
A mediados do século XIX xorden a diario de alta
calidade, a realización de tempo de seguimento
noticia seria e ampla e profunda análise das súas
consecuencias, por exemplo, The Times, The Fair (en
España), La Nación (Buenos Aires ), etc
O século XX, os medios de comunicación eclipse a
importancia da prensa para proporcionar
oportunidades para o tratamento inmediato e
continuo de novas xurdiron: En primeiro lugar, a
radio na década de 20 e, máis tarde, a televisión
xorde desprazando engadir radio para o poder
sedutor da imaxe.
O rexistro histórico indica que, en xeral, a
transformación das sociedades depende da
velocidade con que o tránsito innovación na
produción e distribución de novas tecnoloxías para o
uso, e utilización dos mesmos, o feedback positivo e
condicións xeral, de xeito que non hai máis a
innovación.
2) Telecomunicacións. Intelixencia artificial.
Tecnoloxía multimedia.
A intelixencia artificial consiste basicamente de
ofrecer características da capacidade dos
ordenadores humano: simular a visión,
recoñecemento de fala e síntese, analizar datos e
TICs Página 9
11. Kevin Fernández Coelho
tomar decisións con base neles, etc O obxectivo é o
de mellorar interface homemáquina "humanizar"
ordenadores (rostros nas pantallas de novo
xestos alizan humanos e falar, etc)
Ademais, é investigado na chamada
transistores orgánicos
; se puido illar un
molécula orgánica e pasar a través del
un sinal eléctrico. Isto ía substituír
transistores electrónicas por molécula
orgánica que podería potencialmente imitar o
Operación de neuronas humanos. Algunhas persoas
pensan o contrario: xa fabricados
Ese "cerebro artificial" pode entender como
funciona o cerebro humano.
3) Internet. A Globalización
TICs Página 10
12. Kevin Fernández Coelho
Globalización é un proceso de escala planetaria
económico, tecnolóxico, social e cultural do aumento da
comunicación e interdependencia entre os países do
mundo, unindo os seus mercados, sociedades e culturas, a
través dunha serie de transformacións sociais, económicas
e políticas que dan global. A globalización é a miúdo
identificada como un proceso dinámico, producido
principalmente por sociedades que viven baixo o
capitalismo democrático e da democracia liberal, e abriron
as súas portas para a revolución da información, dobrando
a un nivel considerable de liberalización e
democratización da cultura política na súa lexislación
nacional xurídica e económica, e das relacións
internacionais.
Internet é un conxunto descentralizado de redes de
comunicación interconectadas que utilizan os protocolos
TCP / IP, o que garante que as redes físicas heteroxéneas
que compoñen a función como unha única rede lóxica, en
todo o mundo. As súas orixes remóntanse a 1969, cando a
primeira conexión de computadoras, coñecida como
Arpanet, tres universidades de California e unha en Utah,
Estados Unidos foi establecida.
Un dos servizos de maior éxito en Internet foi a World
Wide Web (WWW ou Web), ata o punto de que é común
a confusión entre os dous. O Sitio Web é un conxunto de
protocolos que permite, dun xeito sinxelo, o ficheiro
pedido hipertexto remoto. Este foi un desenvolvemento
posterior (1990) e utiliza Internet como medio de
transmisión.
TICs Página 11
13. Kevin Fernández Coelho
4) A web 2.o. Aplicacións sociais das TIC
Son aqueles sitios que facilitan o intercambio de
información, a interoperabilidade, user1 proxecto e
colaboración centrada na World Wide Web. Un sitio Web
2.0 permite aos usuarios interactuar e colaborar entre si
como creadores de contido xerado polo usuario nunha
comunidade virtual, a diferenza de sitios estáticos, onde
os usuarios están limitados á vista pasiva de contidos que
foron creados para eles. Exemplos de Web 2.0 inclúen
comunidades na web, servizos web, aplicacións web,
servizos de rede social, servizos de hospedaxe de vídeos,
wikis, blogs, mashups e folksonomias. A evolución é
estático para aplicacións dinámicas onde colaboración do
usuario é necesaria. O termo web 2.0 está intimamente
asociada con Tim O'Reilly debido á conferencia sobre a
O'Reilly Media web 2.0 en 2004.2 Aínda que o termo
suxire unha nova versión da World Wide Web, non se
refire a unha actualización das especificacións técnicas de
web, senón para as variacións acumuladas nos
desenvolvedores de software forma e usuarios finais
utilizan a web. O feito de que a Web 2.0 é
cualitativamente diferente de tecnoloxías web anteriores
foi impugnada polo creador da World Wide Web Tim
Berners-Lee, que chamou o termo como "só xerga" -
precisamente porque pretende que web incorporar eses
valores en primeiro lugar [carece de fontes]. En
TICs Página 12
14. Kevin Fernández Coelho
conclusión, a web 2.0 permítenos realizar o traballo
colaborativo entre varios usuarios ou colaboradores.
Ademais, as ferramentas que ofrece a web 2.0 non só
pode mellorar as cuestións na aula, pero tamén se pode
usar para traballar na empresa. Web 2.0 permite que os
alumnos e profesores para mellorar as ferramentas
empregadas na aula. O traballo colaborativo é tomando
unha morea de peso nas actividades que facemos en
Internet.
TICs Página 13
15. Kevin Fernández Coelho
5) Valoración crítica das posibilidades e riscos das
tecnoloxías da información.
Pois eu penso que as tecnoloxias de información e
de comunicación (TICs) son necesarias para a vida
cotidia xa que nos sirven para poder comunicarse,
informarse e ademais tamen nos ensina algo dos
diferentes tipos de tecnoloxías. Tamen tes os seus
TICs Página 14
16. Kevin Fernández Coelho
contras que poden ser que algunas tecnoloxía nos
enganches e nos distraigan das demais cousas.
TICs Página 15