L’économie de la connaissance, dont le développement s’amplifie avec l’hyperconnexion de nos sociétés, se nourrit de pratiques collaboratives qui impliquent une culture du partage, de l’ouverture, de la solidarité, c’est-à-dire d’innovations sociales.
Manager autrement / Manager en commun / Design du management (Fabrique de l'i...David VALLAT
Notre monde ne cesse de se rétrécir par l’action combinée du développement des moyens de transports des hommes, des marchandises et de l’information. Tout se passe comme si notre monde était passé d’un état solide, stable, rassurant, durable, à un état liquide mouvant, changeant, éphémère, sans y être préparé. Il existe un hiatus entre les institutions « solides » et l’environnement (liquide) en pleine mutation.
Les nouveaux espaces collaboratifs, terme regroupant des initiatives très diverses (espace de coworking, fab lab, living lab, etc.) sont particulièrement étudiés pour leur capacité à innover et à s’adapter à un contexte en pleine mutation. Ces organisations s’adaptent en apprenant. Elles apprennent en produisant des connaissances. Elles produisent des connaissances, semble-t-il, selon le modèle du commun théorisé par le prix Nobel d’économie E. Ostrom.
Comment s’organiser pour produire des connaissances et ainsi innover et s’adapter ? Plutôt que d’apporter des réponses définitives cette rencontre vise à co-construire (avec des tiers lieux et d’autres parties prenantes) une réflexion actionnable permettant aux organisations de coévoluer avec leur environnement.
Innovation sociale et commons CNAM 2015David VALLAT
L’économie de la connaissance, dont le développement s’amplifie avec l’hyperconnexion de nos sociétés, se nourrit de pratiques collaboratives qui impliquent une culture du partage, de l’ouverture, de la solidarité, c’est-à-dire d’innovations sociales. L’organisation est un bien commun dont la pérennité repose sur une production collaborative de connaissance (knowledge management), pensée elle-aussi comme un bien commun.
Les communs pour s'organiser autrementDavid VALLAT
Conférence 'Confluences des savoirs' du 16/10/2018 (http://www.confluence-des-savoirs.fr/communs) - ENS de Lyon
***
La logique du marché autorégulateur a connu, depuis 1776 et la publication de la Richesse des Nations par Adam Smith, une popularité grandissante. Le libéralisme économique est devenu pour le meilleur (création de richesses, esprit d’entreprise, innovation, etc.) et pour le pire (inégalités, destruction d’écosystèmes, etc.) le référentiel principal en matière de régulation des échanges et d’organisation de la production. Bien entendu ce libéralisme doit être régulé pour limiter ses dérives. C’est le rôle dévolu aux Etats.
Le duo « Etat-Marché » a tendance à reléguer d’autres formes de production, d’organisation ou d’échange à un rôle marginal. Ainsi l’autogestion, la production domestique, la réciprocité, la collaboration, semblent tenir de l’anecdote.
Pourtant le progrès technologique, Internet en particulier, tend à réhabiliter les vertus de la collaboration. L’encyclopédie Wikipedia, le système d’exploitation Linux, l’ordinateur Raspberry Pi sont le produit de communautés organisées selon des principes qui ne relève ni du marché, ni de l’Etat.
Comment penser ces formes de collaboration ? Peuvent-elles être étendues ou sont-elles vouées à demeurer marginales ? De nombreuses entreprises reconnaissent pourtant l’intérêt de l’innovation ouverte qui implique de collaborer parfois même entre concurrents.
Afin de dépasser le duo Etat/marché comme référentiel des échanges David Vallat propose d’explorer une autre forme d’organisation mise en lumière par le prix Nobel d’économie 2009, Elinor Ostrom, à savoir, le commun.
Qu’est ce qu’un commun ? Une ressource partagée susceptible d’être épuisée et/ou appropriée si l’exploitation de cette ressource n’est pas organisée. L’Etat peut intervenir pour cette régulation (ressource halieutique par exemple) mais ce n’est pas toujours possible, soit que cette ressource soit de taille réduire (le réfrigérateur familial) ou de dimension transnational (le climat).
David Vallat explorera l’histoire des communs et notamment le renouvèlement de l’intérêt porté à cette forme organisationnelle avec l’avènement d’Internet. Il montrera surtout en quoi ce concept permet de renouveler notre compréhension du fonctionnement des organisations, des échanges, voire de nos sociétés.
INTI2016 161124 Gouvernance démocratique et rationalisation algorithmique - l...Territorial Intelligence
Présentation de Nicolas PEIROT (Univ. Bourgogne Franche-Comté), "Gouvernance démocratique et rationalisation algorithmique : les conditions d’un empowerment 2.0 durable", dans l'Atelier 10 "Gouvernance et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Community Planning = comment faire interagir les parties prenantes d'une marq...nous sommes vivants
Le community planning = Voici l'output de courts circuits présenté lors de http://www.lesaperosdujeudi.com du mois de novembre 2008 (la soirée jesuisbeau au Mediavillage).
Voici la liste des membres de courts circuits qui ont participé à cette réflexion :
- Jérémy Dumont, directeur de pourquoitucours (l'agence des idées)
- Philippe Noël, planneur stratégique chez Altedia
- David Hanau, responsable contenus chez Isobar
- Thomas Barnard, projets spéciaux, WARNER CHAPELL Musique
- Julien Veillon, nouveaux médias, BETC Eurorscg
- Don Hogle, directeur du planning stratégique, Euro RSCG New-York
- Emmanuel Bernes, responsable études, HEAVEN
- François Gomez, bloggeur, www.marketing-evenementiel.com
Cette réflexion dresse les constats suivants :
- La marque est aujourd'hui un eco système de parties prenantes qui évoluent ensemble. Elle s'apparente à un parti politique ;
- Les parties prenantes sont des individus tour à tour employés, actionnaires, consommateurs, prospects… Pour retrouver un sens et une cohérence d’ensemble, la marque doit les synchroniser sur un même éco-système ;
- Quelles sont les implications de cette nouvelle structure de la marque dans les domaines du marketing, de la communication et des medias?
Vos remarques sur le sujet nous intéressent, alors n'hésitez pas : participez à la réflexion !
Bonne lecture !
Manager autrement / Manager en commun / Design du management (Fabrique de l'i...David VALLAT
Notre monde ne cesse de se rétrécir par l’action combinée du développement des moyens de transports des hommes, des marchandises et de l’information. Tout se passe comme si notre monde était passé d’un état solide, stable, rassurant, durable, à un état liquide mouvant, changeant, éphémère, sans y être préparé. Il existe un hiatus entre les institutions « solides » et l’environnement (liquide) en pleine mutation.
Les nouveaux espaces collaboratifs, terme regroupant des initiatives très diverses (espace de coworking, fab lab, living lab, etc.) sont particulièrement étudiés pour leur capacité à innover et à s’adapter à un contexte en pleine mutation. Ces organisations s’adaptent en apprenant. Elles apprennent en produisant des connaissances. Elles produisent des connaissances, semble-t-il, selon le modèle du commun théorisé par le prix Nobel d’économie E. Ostrom.
Comment s’organiser pour produire des connaissances et ainsi innover et s’adapter ? Plutôt que d’apporter des réponses définitives cette rencontre vise à co-construire (avec des tiers lieux et d’autres parties prenantes) une réflexion actionnable permettant aux organisations de coévoluer avec leur environnement.
Innovation sociale et commons CNAM 2015David VALLAT
L’économie de la connaissance, dont le développement s’amplifie avec l’hyperconnexion de nos sociétés, se nourrit de pratiques collaboratives qui impliquent une culture du partage, de l’ouverture, de la solidarité, c’est-à-dire d’innovations sociales. L’organisation est un bien commun dont la pérennité repose sur une production collaborative de connaissance (knowledge management), pensée elle-aussi comme un bien commun.
Les communs pour s'organiser autrementDavid VALLAT
Conférence 'Confluences des savoirs' du 16/10/2018 (http://www.confluence-des-savoirs.fr/communs) - ENS de Lyon
***
La logique du marché autorégulateur a connu, depuis 1776 et la publication de la Richesse des Nations par Adam Smith, une popularité grandissante. Le libéralisme économique est devenu pour le meilleur (création de richesses, esprit d’entreprise, innovation, etc.) et pour le pire (inégalités, destruction d’écosystèmes, etc.) le référentiel principal en matière de régulation des échanges et d’organisation de la production. Bien entendu ce libéralisme doit être régulé pour limiter ses dérives. C’est le rôle dévolu aux Etats.
Le duo « Etat-Marché » a tendance à reléguer d’autres formes de production, d’organisation ou d’échange à un rôle marginal. Ainsi l’autogestion, la production domestique, la réciprocité, la collaboration, semblent tenir de l’anecdote.
Pourtant le progrès technologique, Internet en particulier, tend à réhabiliter les vertus de la collaboration. L’encyclopédie Wikipedia, le système d’exploitation Linux, l’ordinateur Raspberry Pi sont le produit de communautés organisées selon des principes qui ne relève ni du marché, ni de l’Etat.
Comment penser ces formes de collaboration ? Peuvent-elles être étendues ou sont-elles vouées à demeurer marginales ? De nombreuses entreprises reconnaissent pourtant l’intérêt de l’innovation ouverte qui implique de collaborer parfois même entre concurrents.
Afin de dépasser le duo Etat/marché comme référentiel des échanges David Vallat propose d’explorer une autre forme d’organisation mise en lumière par le prix Nobel d’économie 2009, Elinor Ostrom, à savoir, le commun.
Qu’est ce qu’un commun ? Une ressource partagée susceptible d’être épuisée et/ou appropriée si l’exploitation de cette ressource n’est pas organisée. L’Etat peut intervenir pour cette régulation (ressource halieutique par exemple) mais ce n’est pas toujours possible, soit que cette ressource soit de taille réduire (le réfrigérateur familial) ou de dimension transnational (le climat).
David Vallat explorera l’histoire des communs et notamment le renouvèlement de l’intérêt porté à cette forme organisationnelle avec l’avènement d’Internet. Il montrera surtout en quoi ce concept permet de renouveler notre compréhension du fonctionnement des organisations, des échanges, voire de nos sociétés.
INTI2016 161124 Gouvernance démocratique et rationalisation algorithmique - l...Territorial Intelligence
Présentation de Nicolas PEIROT (Univ. Bourgogne Franche-Comté), "Gouvernance démocratique et rationalisation algorithmique : les conditions d’un empowerment 2.0 durable", dans l'Atelier 10 "Gouvernance et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Community Planning = comment faire interagir les parties prenantes d'une marq...nous sommes vivants
Le community planning = Voici l'output de courts circuits présenté lors de http://www.lesaperosdujeudi.com du mois de novembre 2008 (la soirée jesuisbeau au Mediavillage).
Voici la liste des membres de courts circuits qui ont participé à cette réflexion :
- Jérémy Dumont, directeur de pourquoitucours (l'agence des idées)
- Philippe Noël, planneur stratégique chez Altedia
- David Hanau, responsable contenus chez Isobar
- Thomas Barnard, projets spéciaux, WARNER CHAPELL Musique
- Julien Veillon, nouveaux médias, BETC Eurorscg
- Don Hogle, directeur du planning stratégique, Euro RSCG New-York
- Emmanuel Bernes, responsable études, HEAVEN
- François Gomez, bloggeur, www.marketing-evenementiel.com
Cette réflexion dresse les constats suivants :
- La marque est aujourd'hui un eco système de parties prenantes qui évoluent ensemble. Elle s'apparente à un parti politique ;
- Les parties prenantes sont des individus tour à tour employés, actionnaires, consommateurs, prospects… Pour retrouver un sens et une cohérence d’ensemble, la marque doit les synchroniser sur un même éco-système ;
- Quelles sont les implications de cette nouvelle structure de la marque dans les domaines du marketing, de la communication et des medias?
Vos remarques sur le sujet nous intéressent, alors n'hésitez pas : participez à la réflexion !
Bonne lecture !
INTI2016 161125 Quelle intelligence collective autour des coopérations inter...Territorial Intelligence
Présentation de Rudy CLAUDOT (CESW), Alexandre MOINE (Univ. Bourgogne Franche-Comté), "Quelle intelligence collective autour des coopérations intercommunales ? Le cas de la wallonie (Belgique)", dans l'Atelier 16 "Intelligence collective et développement des territoires" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
INTI2016 161124 La main verte de l’économie sociale peut-elle fertiliser les...Territorial Intelligence
Présentation de Dominique-Paule DECOSTER (Univ. Mons, Belgique), Wafae Roudies GUEDIRA (Ecole Nationale d’Administration, Maroc), "La main verte de l’économie sociale peut-elle fertiliser les micro-territoires à partir de la culture de l’intelligence territoriale collective endormie au creux de la jachère des talents locaux ?", dans l'Atelier 12 "Economie Sociale et Solidaire et Terroir (2)" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
INTI2106 161124 La mise en synergie des valeurs des économies sociale solid...Territorial Intelligence
Présentation de Bélaid ABRIKA, AOUDIA Fairouz (Univ. Tizi Oouzou, Algérie), "La mise en synergie des valeurs des économies sociale solidaire et circulaire leviers de la co-construction de projets porteurs d’un développement territorial local durable. Illustration par les villages de Kabylie (Algérie)", dans l'Atelier 7 "Innovation Sociale et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Présentation du réseau international d'intelligence territoriale INTI, de son histoire et de ses axes de recherche par Cyril MASSELOT, coordinateur du réseau, dans le cadre de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Les tiers-lieux, nouveaux espaces de création ?luc brou
Dans le cadre du Master 2 Pro Développement Projets Artistiques et Culturels Internationaux (Institut de la Communication - Université Lumière Lyon 2), l'Atelier de Recherche et d'Observation réunit plusieurs étudiants autour d'une question. Ici, nous présentons une version revisitée pour la lecture publique. Pour une version complète (méthodologie et annexes, contactez lucbrou@wanadoo.fr)
Intervention Tiers-lieux et communs, UTT - Université de Technologie de TroyesSylvia Fredriksson
Intervention du 14 janvier 2021 dans le cadre du Séminaire 3S organisé par l'UTT - Université de Technologie de Troyes (Tatiana Reyes, Claudine Gillot, Alexis Lalevée, Anne-Laure Capomaccio)
INTI2016 161124 Observation territoriale et gouvernance d’un territoire - nou...Territorial Intelligence
Présentation de Mohamed OUDADA, Jean-Jacques GIRARDOT, Cyril MASSELOT, "Observation territoriale et gouvernance d’un territoire - nouveaux développements de l’observatoire Drââ en lien avec l’Observatoire de la Transition Socio-Ecologique de Franche-Comté", dans l'Atelier 10 "Gouvernance et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Pour une innovation urbaine verte, ouverte et désirable : une approche alternative et concrète de la "ville intelligente".
Un programme mené par la Fing en 2012-2013.
"Panorama des tiers-lieux en France" - Manifeste des Tiers-Lieux, Openscop
Tour de France du télétravail et des tiers-lieux, étape de la Défense - 24 & 25 juin 2014
Le benevolat d entreprises sociales une nouvelle forme de benevolat condition...Dr Sebastien Poulain
Camille Morel et Sebastien Poulain, « Le bénévolat d’entreprises sociales : une nouvelle forme de bénévolat conditionnée par l’éthique » (Communication #1775), Groupes de travail émergents (GTE) 09 - Sociologie du bénévolat « Le bénévolat entre travail, éthique et engagement », 17h00-19h00, jeudi 15 juillet 2021, « La société morale », XXIème congrès de l’Association Internationale des Sociologues de Langue Française (AISLF) Tunis, 12-16 juillet 2021, https://congres2021.aislf.org/, https://congres2021.aislf.org/pages/38-prog.php?groupe=GTE09
Communiqué de Presse World Forum Lille - 8 juin 2012 : Le World Forum Lille, 1er ambassadeur français de la Global Union for Sustainability, qui sera lancée le 22 juin prochain à Rio+20
ESPACES #HYBRIDES présentation Niort Numeric mars 2016PRIMA TERRA
Présentation utilisée pendant l'atelier de Niort Numeric 2016 sur le thème de l'open innovation.
L'atelier avait pour titre "Espaces #hybrides, ces espaces propices à la créativité et aux synergies" et était animé par Mathilde Cota et Alexis Durand Jeanson, de Prima Terra.
Retrouvez le manifeste de l'Obsidienne autour des espaces hybrides et le dossier partagé de l'observatoire-réseau ici : http://innoveravecprimaterra.blogspot.fr/2017/04/obsidienne-manifeste.html
ECONOMIE COLLABORATIVE Université ouverte de lyon 2016David VALLAT
G. Camp, T. Kalanick et O. Salazar qui assistent à la conférence LeWeb en 2008, constatent qu’ils ont autant de difficulté de trouver un taxi à Paris que dans leur ville de San Francisco. Après un travail de développement de quelques mois l’application est lancée (sur iOS) en 2010 à San Francisco. Cinq ans plus tard la société est valorisée à 50 milliards de dollars et l’application Uber fonctionne dans 310 villes dans le monde.
Le verbe « ubériser » devrait rentrer dans le dictionnaire d’ici peu tant il est usité, souvent de façon péjorative. Allons-nous tous voir notre travail « ubérisé » ? Sommes-nous tous condamnés à travailler demain comme les chauffeurs de VTC (voiture de tourisme avec chauffeur) d’Uber ? L’économie numérique va-t-elle faire disparaître le salariat au profit du travail indépendant ? Dan le même temps l’économie numérique ouvre de nombreuses possibilités de partage et de collaboration. Partage du savoir (Wikipedia), financement collaboratif de projets (Ulule, KissKissBankBank, Kickstarter), partage de trajets routiers (Blablacar), partage d’objets ou de coups de main (Sharinplace, Mutum, Lebonechange), création en commun (makerspace, fablab) sont autant d’exemples du potentiel phénoménal de l’économie collaborative. Cette dernière est en plein essor : les richesses créées par ce secteur pourraient atteindre 335 milliards de dollars d’ici 2025 contre 15 milliards en 2014.
Nous explorerons la complexité du champ de l’économie collaborative au fil de plusieurs thèmes.
INTI2016 161125 Quelle intelligence collective autour des coopérations inter...Territorial Intelligence
Présentation de Rudy CLAUDOT (CESW), Alexandre MOINE (Univ. Bourgogne Franche-Comté), "Quelle intelligence collective autour des coopérations intercommunales ? Le cas de la wallonie (Belgique)", dans l'Atelier 16 "Intelligence collective et développement des territoires" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
INTI2016 161124 La main verte de l’économie sociale peut-elle fertiliser les...Territorial Intelligence
Présentation de Dominique-Paule DECOSTER (Univ. Mons, Belgique), Wafae Roudies GUEDIRA (Ecole Nationale d’Administration, Maroc), "La main verte de l’économie sociale peut-elle fertiliser les micro-territoires à partir de la culture de l’intelligence territoriale collective endormie au creux de la jachère des talents locaux ?", dans l'Atelier 12 "Economie Sociale et Solidaire et Terroir (2)" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
INTI2106 161124 La mise en synergie des valeurs des économies sociale solid...Territorial Intelligence
Présentation de Bélaid ABRIKA, AOUDIA Fairouz (Univ. Tizi Oouzou, Algérie), "La mise en synergie des valeurs des économies sociale solidaire et circulaire leviers de la co-construction de projets porteurs d’un développement territorial local durable. Illustration par les villages de Kabylie (Algérie)", dans l'Atelier 7 "Innovation Sociale et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Présentation du réseau international d'intelligence territoriale INTI, de son histoire et de ses axes de recherche par Cyril MASSELOT, coordinateur du réseau, dans le cadre de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Les tiers-lieux, nouveaux espaces de création ?luc brou
Dans le cadre du Master 2 Pro Développement Projets Artistiques et Culturels Internationaux (Institut de la Communication - Université Lumière Lyon 2), l'Atelier de Recherche et d'Observation réunit plusieurs étudiants autour d'une question. Ici, nous présentons une version revisitée pour la lecture publique. Pour une version complète (méthodologie et annexes, contactez lucbrou@wanadoo.fr)
Intervention Tiers-lieux et communs, UTT - Université de Technologie de TroyesSylvia Fredriksson
Intervention du 14 janvier 2021 dans le cadre du Séminaire 3S organisé par l'UTT - Université de Technologie de Troyes (Tatiana Reyes, Claudine Gillot, Alexis Lalevée, Anne-Laure Capomaccio)
INTI2016 161124 Observation territoriale et gouvernance d’un territoire - nou...Territorial Intelligence
Présentation de Mohamed OUDADA, Jean-Jacques GIRARDOT, Cyril MASSELOT, "Observation territoriale et gouvernance d’un territoire - nouveaux développements de l’observatoire Drââ en lien avec l’Observatoire de la Transition Socio-Ecologique de Franche-Comté", dans l'Atelier 10 "Gouvernance et Economie Sociale et Solidaire" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.
Pour une innovation urbaine verte, ouverte et désirable : une approche alternative et concrète de la "ville intelligente".
Un programme mené par la Fing en 2012-2013.
"Panorama des tiers-lieux en France" - Manifeste des Tiers-Lieux, Openscop
Tour de France du télétravail et des tiers-lieux, étape de la Défense - 24 & 25 juin 2014
Le benevolat d entreprises sociales une nouvelle forme de benevolat condition...Dr Sebastien Poulain
Camille Morel et Sebastien Poulain, « Le bénévolat d’entreprises sociales : une nouvelle forme de bénévolat conditionnée par l’éthique » (Communication #1775), Groupes de travail émergents (GTE) 09 - Sociologie du bénévolat « Le bénévolat entre travail, éthique et engagement », 17h00-19h00, jeudi 15 juillet 2021, « La société morale », XXIème congrès de l’Association Internationale des Sociologues de Langue Française (AISLF) Tunis, 12-16 juillet 2021, https://congres2021.aislf.org/, https://congres2021.aislf.org/pages/38-prog.php?groupe=GTE09
Communiqué de Presse World Forum Lille - 8 juin 2012 : Le World Forum Lille, 1er ambassadeur français de la Global Union for Sustainability, qui sera lancée le 22 juin prochain à Rio+20
ESPACES #HYBRIDES présentation Niort Numeric mars 2016PRIMA TERRA
Présentation utilisée pendant l'atelier de Niort Numeric 2016 sur le thème de l'open innovation.
L'atelier avait pour titre "Espaces #hybrides, ces espaces propices à la créativité et aux synergies" et était animé par Mathilde Cota et Alexis Durand Jeanson, de Prima Terra.
Retrouvez le manifeste de l'Obsidienne autour des espaces hybrides et le dossier partagé de l'observatoire-réseau ici : http://innoveravecprimaterra.blogspot.fr/2017/04/obsidienne-manifeste.html
ECONOMIE COLLABORATIVE Université ouverte de lyon 2016David VALLAT
G. Camp, T. Kalanick et O. Salazar qui assistent à la conférence LeWeb en 2008, constatent qu’ils ont autant de difficulté de trouver un taxi à Paris que dans leur ville de San Francisco. Après un travail de développement de quelques mois l’application est lancée (sur iOS) en 2010 à San Francisco. Cinq ans plus tard la société est valorisée à 50 milliards de dollars et l’application Uber fonctionne dans 310 villes dans le monde.
Le verbe « ubériser » devrait rentrer dans le dictionnaire d’ici peu tant il est usité, souvent de façon péjorative. Allons-nous tous voir notre travail « ubérisé » ? Sommes-nous tous condamnés à travailler demain comme les chauffeurs de VTC (voiture de tourisme avec chauffeur) d’Uber ? L’économie numérique va-t-elle faire disparaître le salariat au profit du travail indépendant ? Dan le même temps l’économie numérique ouvre de nombreuses possibilités de partage et de collaboration. Partage du savoir (Wikipedia), financement collaboratif de projets (Ulule, KissKissBankBank, Kickstarter), partage de trajets routiers (Blablacar), partage d’objets ou de coups de main (Sharinplace, Mutum, Lebonechange), création en commun (makerspace, fablab) sont autant d’exemples du potentiel phénoménal de l’économie collaborative. Cette dernière est en plein essor : les richesses créées par ce secteur pourraient atteindre 335 milliards de dollars d’ici 2025 contre 15 milliards en 2014.
Nous explorerons la complexité du champ de l’économie collaborative au fil de plusieurs thèmes.
Du nouveau pour le Miroir des classiques : les traductions médiévales françai...Equipex Biblissima
Présentation du projet Miroir des classiques dans le cadre de l'assemblée générale du Centre Jean Mabillon (ENC, Paris, 23/01/2015), par Frédéric Duval (professeur à l’École des chartes, membre du Centre Jean Mabillon).
Youfood : Site internet .NET sur PC et TabletteFlorian GRONDIN
Projet de développement réaliser à durant ma 3ème année à SUPINFO.
Celui-ci présente un site internet réaliser en C#.NET avec une API Restful qui permet un affichage sur Android
L’économie collaborative : « le retour des communs » ?David VALLAT
L’économie collaborative promeut une vision distribuée de l’économie où le consommateur devient partie prenante de la production en mettant son bien à disposition de tiers. La mutualisation des biens rendue aisée par la médiation de plates-formes numériques vise à économiser, à peser moins sur les ressources, à réduire la consommation et la pollution, à redéfinir ses besoins (pour aller vers plus de liens et moins de biens). Les échanges de pair à pair permettent de s’organiser en commun, en se départant du poids des institutions, des organisations, pour produire et échanger ce dont nous avons besoin : c’est une économie qui repose sur la demande où le consommateur agit dans le champ de la production. Cette approche, reposant sur le pair à pair, propose une autre vision de la place de l’économie dans la société, une vision envisagée au milieu du XXe siècle par le socio-économiste d’origine hongroise Karl Polanyi (1). Cette vision repose également sur la volonté de changer les rapports économiques et de les organiser sur la base d’une administration en commun (2). La volonté d’administrer l’économie en commun, sur une base réciprocitaire débouche sur de nouvelles formes organisationnelles (3) facilitant la production de la connaissance (un autre commun).
L'économie sociale et solidaire et l'économie collaborative partagent des valeurs, des pratiques. Elles visent l'une et l'autre à expérimenter des utopies.
Notre planète subit des changements majeurs de son environnement et de son climat, directement induits par notre développement et nos comportements. Pour inverser la tendance, nous savons aussi qu'informer et sensibiliser ne suffit pas: il faut aller beaucoup plus loin et comprendre tous les facteurs de changements et de non changements des comportements!
A l’instar du GIEC ou de l’OMS, le GIECO IPBC propose de constituer un état de l’art exhaustif de la connaissance scientifique transdisciplinaire sur le cerveau et les comportements, seul à même de nous permettre de faire durablement face aux besoins exponentiellement croissants de notre société vis-à-vis du Facteur Humain.
Son objectif est de faire coopérer et intégrer toutes les sciences du comportement (biologie du comportement, neurosciences, éthologie, anthropologie, psychologie, sociologie, pédagogie, management, économie comportementale…).
Afin d'optimiser la pertinence scientifique et sociétale des productions du GIECO-IPBC, nous avons lancé 3 groupes de travail (GT) : scientifiques (GT1), acteurs économiques (GT2), autres acteurs et institutions publiques (GT3).
Nous vous invitions à participer à la grande réunion du GT2 "acteurs de l'économie" du GIECO IPBC. Au programme :
- Actualités du GIECO IPBC par Jacques Fradin fondateur du GIECO
- Retour par Stéphane La Branche, sociologue co fondateur du GIECO IPBC, sur les réponses à un questionnaire sur les impacts du Facteur Humain dans les organisations
- Présentation de la fresque du Facteur Humain, outil favorisant la prise de conscience des impacts du Facteur Humain dans des contextes de transformation par Sandrine Belier de Humans Matter
- Atelier pour faire émerger les projets de recherche-action avec Jeremy Dumont Nous Sommes Vivants, Thomas Busuttil IMAGIN/ABLE, Anita SILLON Bingo Solutions
- Questions/réponses, synthèse, conclusion
Inscriptions https://www.linkedin.com/events/6884865248407511040
Travail et communs, travail en commun : la connaissance au cœur de l’organisa...David VALLAT
Qu’est ce que travailler en commun ? Qu’est ce que travailler les communs ? Quelles spécificités en termes de design organisationnel ? de conduite du changement ? de management des connaissances ? Qu’est ce que les communs nous apprennent sur le rapport au travail ?
Intervention lors du Transformateur numérique (ANACT - FING) n°8 - 14 juin 2018
Travail et communs, travail en commun : vers de nouvelles organisations de travail ?
Le rapport d'innovation finalisé de courts circuits sur les Communautés 2.0 : STRATEGIES 2.0, INNOVATION 2.0, MARKETING 2.0, MEDIA 2.0, WEB 2.0, COMMUNICATION 2.0, ENTREPRISE 2.0, CREATION 2.0 (réflexions, tendances, innovations, cas concrets)
Communautés 2.0
Après s’être alarmé pour la planète et avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les média et la création. Les marques commencent à étendre leur champ de responsabilité à la sphère sociale.
Ce mouvement est mû par l’apparition d’éléments nouveaux qu’il nous faut désormais prendre en compte dans l’approche stratégique de nos disciplines (voir premiere partie ci dessous).
- Après avoir redonné un sens à la consommation via l’accomplissement personnel, la nouveauté c’est de recontextualiser la consommation dans un parcours de vie, et de se mettre au service de la réalisation des projets de chacun : le développement approprié
- Les affaires humaines sont plus que jamais communautaires. On observe l’émergence de nouvelles communautés de Sens et de projet qui fonctionnent de manière ouverte, autonome et démocratique : la démocratie communautaire
- Les NTIC permettent, facilitent et accélèrent l’apparition et le développement des communautés : Le web comme toile transactionnelle inter humaine
Il se passe donc beaucoup de choses autour de nous, certaines personnes proposent des solutions concrètes pour réinventer le système… Il nous faut évoluer vers une nouvelle approche des affaires humaines.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe (partie 1
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des projets ? Pourquoi agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en place, comment ?etc.
- En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Une exigence : des exemples concrets et menés a bien par des marques (partie 2, 3, 4, 5, 6)
- Entreprise 2.0
- Marketing 2.0
- Création 2.0
- Média 2.0
- Communication 2.0
La présentation a été effectuée par Benoit Lévesque et Luc Dancause dans le cadre du Rendez-vous des entrepreneurs sociaux à Montréal le 1er juin 2010. Découvrez tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'innovation sociale: qu'est-ce que c'est, comment elle se diffuse, comment les entrepreneurs sociaux y contribuent
Collaborative spaces, open communities, and smart cities, share one similar objective: designing the commons as a third way between the State and the Market. #RGCS2020 will be focused on building commons (digital, community-based, in organization) to explore new ways of collaborating, innovating, and creating knowledge.
Decider dans un environnement complexe 2018David VALLAT
La complexité de l'environnement induit de repenser les organisations et donc de passer d'une préoccupation d'optimisation des ressources vers une préoccupation d'optimisation de la prise de décision.
Learning expedition (à Lyon) avec les étudiants du master 2 Management de l’innovation et de la propriété intellectuelle (https://eco.univ-lyon2.fr/parcours-management-de-l-innovation-et-de-la-propriete-intellectuelle-mipi--670702.kjsp?RH=1458288241922) et ceux du master Management et carrières d'artiste (https://eco.univ-lyon2.fr/parcours-management-et-carrieres-d-artistes-mca--670691.kjsp) de l’Université Lyon 2. Je travaille avec eux sur la créativité, l’innovation, l’apprentissage organisationnel et le management des connaissances. Notre problématique : qu’est ce que peut apporter un tiers lieu pour entreprendre, apprendre et innover ? On peut suivre les visites sur le hashtag #crea2018
La Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE - http://auvergne-rhone-alpes.direccte.gouv.fr) de la Région Auvergne Rhône-Alpes a organisé pour la première fois un living lab pour comprendre l'économie collaborative. Cette présentation en est une introduction. Plus d'infos : http://auvergne-rhone-alpes.direccte.gouv.fr/Fabrique-d-idees-le-28-juin-2017-a-Lyon-L-economie-collaborative
Organisation apprenante: adaptation et innovation par et pour les personnes q...David VALLAT
L’organisation apprenante, en mettant le personnel au cœur de la stratégie, contribue à favoriser la mise en œuvre d’un environnement professionnel porteur de sens, basé sur la confiance et l’autonomie. Cela a pour effet d’accroître la satisfaction au travail donc la productivité, la créativité du personnel et la profitabilité des organisations.
Economic intelligence and knowledge managementDavid VALLAT
Competitiveness is based on knowledge.
The way companies acquire knowledge from their environment and apply it, will determine their ability to survive into the 21st century volatile, complexe and uncertain world.
Hirschman et l'apprentissage organisationnel 2015 Vallat BertezeneDavid VALLAT
Ce travail propose d’utiliser le modèle Exit, Voice, Loyalty comme grille de lecture de la lutte contre le déclin de l’organisation à travers la question suivante : comment le modèle d’Hirschman, Exit, Voice, Loyalty, peut-il être mobilisé dans le cadre d’une réflexion stratégique autour de l’apprentissage organisationnel au sein d’une entreprise ou d’une organisation ?
Knowledge Management for SME in the Network Society: Comparison Japan - FranceDavid VALLAT
Knowledge feeds innovation and labour productivity, hence the interest of firms and organizations to invest massively in knowledge.
This is all the more true today as we witness the development of an Internet Society.
We want to discuss best practices about KM.
We focus our project on three questions:
• How to implement a Knowledge Management philosophy in SMEs (in particular healthcare organizations)?
• Can japanese KM practices can be transposed to French SME ?
• How to develop KM thinking in service industries (welfare industries again) and in universities (to train knowledge workers).
Quel cadre épistémologique pour l'économie sociale et solidaire (colloque RIU...David VALLAT
L’ESS contribue à faire converger les disciplines autour de la résolution de problèmes concrets, ce qui implique un positionnement épistémologique (et méthodologique) spécifique loin de la tradition épistémologique positiviste de l’économie orthodoxe.
Les cadres épistémologique et méthodologique de l’ESS méritent ainsi d’être précisés. Il s’agit, de montrer d’abord (partie 1) dans quelle mesure le champ de l’économie sociale et solidaire s’inscrit dans le cadre de l’épistémologie constructiviste.
Nous montrerons, par la suite (partie 2), que la pensée complexe (développé par Edgar Morin) à travers sa dimension systémique, est un cadre conceptuel qui permet de rassembler chercheurs, praticiens et citoyens autour de la résolution de problèmes.
Une double question demeure que nous envisageons pour finir (partie 3) : comment évaluer la validité de la recherche ? Cette question induit de préciser, dans le cadre conceptuel envisagé, quel est le positionnement éthique du chercheur.
Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
Besoin des conseils pour les Jeunes ? Le document suivant est plein des conseils de la Vie ! C’est vraiment un document conseil de la jeunesse que tout jeune devrait consulter.
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Aimeriez-vous donc…
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Ce document est une ressource qui met en évidence deux obstacles qui empêchent les jeunes de mener une vie épanouie : l'inaction et le pessimisme.
1) Découvrez comment l'inaction, c'est-à-dire le fait de ne pas agir ou d'agir alors qu'on le devrait ou qu'on est censé le faire, est un obstacle à une vie épanouie ;
> Comment l'inaction affecte-t-elle l'avenir du jeune ? Que devraient plutôt faire les jeunes pour se racheter et récupérer ce qui leur appartient ? A découvrir dans le document ;
2) Le pessimisme, c'est douter de tout ! Les jeunes doutent que la génération plus âgée ne soit jamais orientée vers la bonne volonté. Les jeunes se sentent toujours mal à l'aise face à la ruse et la volonté politique de la génération plus âgée ! Cet état de doute extrême empêche les jeunes de découvrir les opportunités offertes par les politiques et les dispositifs en faveur de la jeunesse. Voulez-vous en savoir plus sur ces opportunités que la plupart des jeunes ne découvrent pas à cause de leur pessimisme ? Consultez cette ressource gratuite et profitez-en !
En rapport avec les " conseils pour les jeunes, " cette ressource peut aussi aider les internautes cherchant :
➡les conseils pratiques pour les jeunes
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M2i Webinar - « Participation Financière Obligatoire » et CPF : une opportuni...M2i Formation
Suite à l'entrée en vigueur de la « Participation Financière Obligatoire » le 2 mai dernier, les règles du jeu ont changé !
Pour les entreprises, cette révolution du dispositif est l'occasion de revoir sa stratégie de formation pour co-construire avec ses salariés un plan de formation alliant performance de l'organisation et engagement des équipes.
Au cours de ce webinar de 20 minutes, co-animé avec la Caisse des Dépôts et Consignations, découvrez tous les détails actualisés sur les dotations et les exonérations, les meilleures pratiques, et comment maximiser les avantages pour les entreprises et leurs salariés.
Au programme :
- Principe et détails de la « Participation Financière Obligatoire » entrée en vigueur
- La dotation : une opportunité à saisir pour co-construire sa stratégie de formation
- Mise en pratique : comment doter ?
- Quelles incidences pour les titulaires ?
Webinar exclusif animé à distance en coanimation avec la CDC
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
#Agriculture #Wallonie #Newsletter #Recherche #Développement #Vulgarisation #Evènement #Information #Formation #Innovation #Législation #PAC #SPW #ServicepublicdeWallonie
Innovation sociale, management des connaissances et commons
1. COMMONS
ET
INNOVATION SOCIALE
David VALLAT
(Université Lyon 1 – TRIANGLE UMR CNRS 5206)
@DavidVALLAT
david.vallat@univ-lyon1.fr
XVe Rencontres du RIUESS
Reims - 27 au 29 mai 2015
La créativité de l’Économie sociale et solidaire est-elle soluble dans l’entrepreneuriat ?
2. QUESTION
Faut-il penser l’organisation comme un commons
pour produire de l’innovation sociale ?
En quoi s’adapter à un monde volatile, incertain, complexe et ambigüe passe
nécessairement par du management des connaissances, lequel repose sur des pratiques
de gestion en commun, sources d’innovations sociales ?
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 2
3. david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 3
Volatilité, incertitude,
complexité, ambiguïté
APPRENDRE
pour s’adapter
(pérenniser)
MANAGER
LES
CONNAISSANCES
CONNAISSANCE
comme BIEN
COMMUN
ORGANISATION
comme BIEN
COMMUN
Amélioration
conditions de
vie au travail
INNOVATION,
CRÉATIVITÉ,
MOTIVATION
SOCIÉTÉ
NUMÉRIQUE
4. PLAN DE LA PRÉSENTATION
1) Les défis d’un monde VUCA
2) Une innovation sociale nécessaire
3) Manager les connaissances pour s’adapter
3) La connaissance un commons ?
5) Gérer l’organisation comme un commons
6) L’innovation sociale dans processus et finalité
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 4
5. 1. Les défis d’un
monde V.U.C.A.
5david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT
6. Un monde « hyperconnecté »…
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 6
9. … et sensible aux TURBULENCES.
9
https://www.bcgperspectives.com/content/articles/corporate_strategy_portfolio_management_future_of_strategy_most_adaptive_co
mpanies_2012/
14. La technologie n’est pas tout
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 14
« Une innovation est la mise en œuvre d’un produit (bien ou service)
ou d’un procédé nouveau ou sensiblement amélioré, d’une nouvelle
méthode de commercialisation ou d’une nouvelle méthode
organisationnelle dans les pratiques de l’entreprise, l’organisation du
lieu de travail ou les relations extérieures. Cette définition générale
englobe une large palette d’innovations possibles » (OCDE, 2005, p.
54).
15. L’urgence de l’innovation sociale
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 15
« Social innovation is not a panacea but if encouraged and valued it
can bring immediate solutions to the pressing social issues with which
citizens are confronted. In the long term, I see social innovation as part
of the new culture of empowerment that we are trying to promote with
a number of our initiatives, starting with the Renewed Social Agenda.
[...] » (J.M. Baroso - Commission européenne, 2011, p. 14).
Trois priorités majeures sont fixées dans le programme cadre de
l’UE « Horizon 2020 » (Journal officiel de l’UE, 2013) pour renforcer
l'économie européenne :
- développer une économie basée sur la connaissance et
l'innovation (croissance intelligente) ;
- promouvoir une économie renouvelable et compétitive
(croissance durable) ;
- soutenir une économie créatrice d'emplois, de cohésion sociale et
territoriale (croissance inclusive).
16. Contours de l’innovation sociale (1)
• Un concept flou…
• « Social innovations are innovations that are social in both their
ends and their means. It is complemented by the following:
Specifically, we define social innovations as new ideas (products,
services and models) that simultaneously meet social needs (more
effectively than alternatives) and create new social relationships or
collaborations. In other words they are innovations that are not only
good for society but also enhance society’s capacity to act»
(Commission européenne, 2010b, p. 33).
• « Social innovation implies conceptual, process or product change,
organisational change and changes in financing, and can deal with new
relationships with stakeholders and territories. It seeks new answers to
social problems by identifying and delivering new services that
improve the quality of life of individuals and communities and identifying
and implementing new labour market integration processes, new
competencies, new jobs, and new forms of participation, as diverse
elements that each contribute to improving the position of
individuals in the workforce » (OCDE, 2010b, p. 19).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 16
17. Contours de l’innovation sociale (2)
• …mais un objectif clair :
« It is aimed at improving human well-
being »
(Commission européenne, 2010b, p. 33).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 17
19. Apprendre pour s’adapter
• Plusieurs mesures sont recommandées afin de s’adapter
à un monde VUCA, et ce, quelle que soit la forme de
l’organisation ou son secteur d’activité : former et se
former à l’agilité, s’ouvrir à la créativité, à l’innovation,
développer l’apprentissage organisationnel, créer des
environnements collaboratifs, etc.
• Un point commun à ces mesures est de s’appuyer sur les
outils et pratiques du management des connaissances.
• Un deuxième point saillant est de modifier les rapports
entre les parties prenantes (dans et hors de
l’organisation) sur la base de valeurs partagées (éthique).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 19
20. Manager les
connaissances 2.0
• L’économie de la connaissance / le management de la
connaissance, ont été profondément transformés par la nature
de plus en plus distributive et accessible de la connaissance
grâce à Internet (Benkler, 2006 ; Serres, 2012).
• Wikipedia, les licences Creative Commons (Lessig, 2004), la
culture de l’Open Access (Suber, 2012) illustrent le potentiel
créatif et transformatif de la culture participative associée à
Internet (Benkler, 2002, 2011).
• L’accès libre à la connaissance favorise le développement de
collaborations, de partages, d’échanges, développe la créativité
et démocratise l’innovation (Von Hippel, 2005).
• De ce fait l’innovation est sociale dans le processus
collaboratif qui préside à son élaboration et dans ses
objectifs : remettre la personne au centre de l’organisation
(sous peine de voir l’organisation disparaître).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 20
22. La connaissance, un bien commun (1)
• La connaissance croît en étant partagée. Plus cette
ressource est sollicitée plus elle se développe. Cela est
rendu d’autant plus facile que les technologies de
l’information et de la communication rendent le coût de ce
partage quasi nul (Rifkin, 2014).
• Internet rend accessible toute production (de
connaissance en particulier) et ainsi démocratise la
créativité (Anderson, 2011, 2012) et l’innovation (Von
Hippel, 2005).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 22
23. La connaissance, un bien commun (2)
• « Commons is a general term that refers to a ressource shared by
a group of people. In a commons, the ressource can be small and
serve a tiny group (the family refrigerator), it can be a community-
level (sidewalks, playgrounds, libraries, and so on), or it can extend
to international and global levels (deep seas, the atmosphere, the
internet, and scientific knowledge). The commons can be well
bounded (a community park or library); transboundary (the Danube
River, migrating wildlife, the Internet); or without clear boundaries
(knowledge, the ozone layer). » (Hess, Ostrom, 2011, pp. 4-5).
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 23
25. Commons et coopératives : des règles
à rapprocher (1)
• L’alliance internationale des coopératives (International Co-
operative Alliance) établit les valeurs du mouvement ainsi : « A co-
operative is an autonomous association of persons united
voluntarily to meet their common economic, social, and cultural
needs and aspirations through a jointly-owned and democratically-
controlled enterprise. » .
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 25
26. Commons et coopératives : des règles
à rapprocher (2)
• Des recherches empiriques sur la gouvernance de ressources communes ont
permis d’établir des principes de fonctionnement facilitant la pérennisation de
cette gouvernance commune (et donc permettant la protection de la ressource
commune).
• Ces principes ne signifient pas automatiquement le succès de la gouvernance en
commun mais ils ont été repérés dans toutes les situations de succès. Ces
principes sont (Ostrom, 1990, pp. 90-102) :
• 1) les limites du bien commun sont nettement définies (y compris les limites des utilisateurs) ;
• 2) les règles d’utilisation du bien commun sont adaptées aux besoins et conditions locales (par
exemple en fonction de la disponibilité du bien) ;
• 3) un système permettant aux individus de participer régulièrement à la définition et à la
modification de ces règles ;
• 4) un système d’auto-contrôle du comportement des membres de la communauté a été mis en
place ;
• 5) un système gradué de sanctions pour ceux violent les règles de la communauté est prévu ;
• 6) un système peu coûteux de résolution des conflits est accessible aux membres de la
communauté ;
• 7) le droit pour les membres de la communauté de définir ses propres règles de
fonctionnement est reconnu par les autorités extérieures à la communauté ;
• 8) s'il y a lieu (un bien commun entre plusieurs frontières ou un bien commun décliné à plusieurs
échelles territoriales), une organisation de la prise de décision peut se faire à plusieurs niveaux
en respectant les règles ci-dessus.
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 26
27. Commons et coopératives : des règles
à rapprocher (3)
• Les valeurs coopératives sont mises en application selon
sept principes dont la plupart peuvent être rapprochés de
ceux mis en œuvre pour gérer des biens communs :
• Premier principe : Adhésion volontaire et ouverte à tous
• Deuxième principe : Pouvoir démocratique exercé par les membres
• Troisième principe : Participation économique des membres
• Quatrième principe : Autonomie et indépendance
• Cinquième principe : Éducation, formation et information
• Sixième principe : Coopération entre les coopératives
• Septième principe : Engagement envers la communauté
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 27
29. L’organisation apprenante
• Les coopératives de production construisent de l’innovation organisationnelle
qui est aussi sociale au sens où elle organise de manière démocratique un
vivre-ensemble auquel la dimension économique est subordonnée.
• Des entreprises qui ne sont pas des coopératives fonctionnent selon des
principes proches (gouverner l’organisation comme un bien commun). Ce
fonctionnement collaboratif permet à ces entreprises de fonctionner comme
des organisations apprenantes (Argyris, 2003).
• L’organisation apprenante, en mettant le personnel au cœur de la stratégie,
contribue à favoriser la mise en œuvre d’un environnement professionnel
porteur de sens, basé sur la confiance et l’autonomie. Cela a pour effet
d’accroître la satisfaction au travail donc la productivité, la créativité du
personnel et la profitabilité des organisations.
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 29
30. Pour conclure
• Dans un monde VUCA, construire la connaissance de manière
collaborative devient la norme pour peu que cette
connaissance soit pensée comme un bien commun dans un
collectif animé par un idéal de réciprocité.
• Ceci est rendu possible par une approche de l’organisation
centrée sur les individus et en particulier leur liberté, leur
responsabilité, leur bien être au travail. Ces modes spécifiques
d’organisation prennent la forme d’innovations sociales à la
fois par leur finalité (le bien être des salariés) et par les
processus de changement mis en œuvre (gestion
collaborative du bien commun « entreprise » concomitante
avec la gestion du bien commun « connaissances »).
• L’économie de la connaissance, dont le développement
s’amplifie avec l’hyperconnexion de nos sociétés, se nourrit de
pratiques collaboratives qui impliquent une culture du partage,
de l’ouverture, de la solidarité, c’est-à-dire d’innovations
sociales.
david.vallat@univ-lyon1.fr / @DavidVALLAT 30
Editor's Notes
Uber
Amazon
Le bon coin
Rbnb = capitalisation boursière supérieure à celle de la chaîne Hyatt
Vente privée
Ebay
RESEAUX SOCIAUX =>
MODELE ORIGINAUX DE COLLABORATION
Let’s begin by
Volatile = pétrole)
Incertain = difficulté à prévoir (on ne peut se baser sur le passé) => black swan (TALEB) / bourse, météo…
Complexe = interactions multiples… incontrôlables (révolution arabes)
Ambiguë = qu’est ce qu’une bonne décision ? Austérité/relance => dialogique
L’innovation au secours car moteur du capitalisme…
Innovation sociale urgente dans monde VUCA
COMMENT S’ADAPTER ?
La culture collaborative associée à Internet puise ses sources dans sa dimension universitaire initiale (Castells, 2002, pp. 18-49) et plus généralement dans la culture open source (même si ce trait culturel n’a pas été unique pour constituer la culture d’Internet il en constitue un fondement majeur selon Castells – 2002, pp. 50-82). Ainsi la production collective/collaborative de contenus (dont Wikipedia est l’emblème) pénètre dans les organisations ne serait-ce que par effet générationnel (génération Y) et contribue à la construction d’une intelligence collective (Williams Woolley et al., 2010), adaptative et créative.
Ces pratiques collaboratives (et transformatives puisque reposant sur une culture de la liberté) ne fonctionnent pas sans règles. La construction collaborative de connaissances dans l’organisation afin de faire face aux changements de l’environnement s’accompagne d’usages de travail en commun peu compatibles avec une forme organisationnelle hiérarchique.
CONNAISSANCE BIEN COMMUN (BENKLER) et plus précisément un bien public
FAB LAB
Comprendre cette notion de bien commun passe par un classement des biens économiques selon deux critères :
le critère d’exclusion (exclusion) rend compte du caractère privé ou public du bien à travers cette question : peut-on facilement ou non exclure certains individus de l’utilisation de ce bien ?
le critère de rivalité (rivalry) ou privation (subtractability) indiquent le degré de privation d’un bien en fonction de son usage selon la question : est-ce que l’utilisation personnelle d’un bien prive les autres de son usage ?
Exclusion (facile ou non)
Privation (forte ou faible)
La connaissance est un commons par extension = au début les commons n’était que là où l’exclusion était difficile et la privation forte (poissons)
CONNAISSANCE = bien public (exclusion pas facile et privation faible)
ATTENTION À LA PRIVATISATION D INTERNET (agence qui gère circulation dans tuyau et donne site)
ATTENTION À LA NSA
ATTENTION À TRANSPARENCE
« […] we will describe it as a message, usually in the form of a document or an audible or visible communication. As with any message, it has a sender and a receiver. Information is meant to change the way the receiver perceives something, to have an impact on his judgment and behavior. It must inform; it’s data that makes a difference. The word 'inform' originally meant 'to give shape to’ and information is meant to shape the person who gets it, to make some difference in his outlook or insight ». (Davenport et Prusak, 2000, p. 3).
Getz et Carney (2013) donnent plusieurs exemples d’entreprises fonctionnant selon ce principe (pour ne citer que les plus connues : Harley Davidson et Gore). En France, ce modèle de gestion (gouverner l’organisation comme un bien commun) n’est pas l’apanage des entreprises du numériques qui pratiquent le management agile (Hébert, 2009 ; Barrand, 2009). Il concerne aussi des entreprises industrielles : Favi (Zobrist, 2013), Chrono Flex, Beauvais international (Avenier, 2008), Poult. La connaissance est un bien commun, mis en partage de manière à pouvoir réagir vite, anticiper, innover, etc.
Key words
Knowledge
Knowledge management
Innovation
Social Innovation
Coopérative
Cooperative
Innovation sociale
ESS
Organisation apprenante
Learning organization
VUCA
Complexity