1.
Jacques
Folon
!
Partner
Edge
Consulting
!
Maître
de
conférences
Université
de
Liège
Chargé
de
cours
ICHEC
Brussels
Management
School
Professeur
invité
Université
de
Lorraine
(Metz)
ISFSC,
HE
F.Ferrer,
HE
LdB
(Bruxelles)
Institut
Arabe
des
Chefs
d’entreprises
(Tunis)
Institut
Africain
de
Management
(Ouagadougou)
Réseaux sociaux
d’entreprises
=
Intranet 2.0
6. 6
INTRANET
INTRANET
COLLABORATIF
RESEAU
SOCIAL
D4ENTREPRISE
(RSE)
NOM
Un terme technique anglo-
saxon qui est composé de
« intra » qui vient du latin
(interne) +
« net » (réseau). C’est un
réseau informatique à
l’intérieur d’un espace.
Dans ce cas, nous ajoutons
un nom qui ajoute une
nuance. Ici le 2.0 =
collaboration/social
Pour finir, nous parlerons
directement de réseau, qui
est une structure qui relie
tous ces composants
DEFEINITION
L’intranet est un réseau
informatique privé qui utilise la
technologie internet afin de
partager dans une organisation
les systèmes d’informations et
systèmes opérationnels
C’est la même définition que
sur le point précédent, à
laquelle on ajoute de la
collaboration et du social, ce
qui signifie que son contenu et
sa structure peuvent être
enrichis de manière
collaborative par les différents
membres.
Dans ce cas nous parlerons
d’un réseau qui se structure
et existe de par les membres
de la communauté et dont le
contenu est fourni par ces
mêmes membres. Avec
l’opportunité de contribuer à
la connaissance collective,
toujours à l’intérieur de
l’entreprise.
SOURCE
AMIN
SMAOUI:
http://www.journaldunet.com/solutions/expert/56976/differences-‐intranet-‐-‐intranet-‐collaboratif-‐et-‐rse.shtml?
utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml49_nouveautesdewin
7. 7
INTRANET
INTRANET
COLLABORATIF
RESEAU
SOCIAL
D4ENTREPRISE
(RSE)
EMETTEUR L’émetteur
est
celui
qui
est
défini
comme
voix
de
la
société
:
RH,
communications
internes
et
IT.
Ce
sont
ceux
qui
décident
comment
vous
utilisez
l’intranet.
L’émetteur
est
toujours
le
même,
cependant
avec
la
permission
d’ajouter
des
commentaires,
des
opinions
ou
des
évaluations
par
les
utilisateurs
afin
d’apporter
cette
touche
de
«
collaboration
»
dans
le
système
interne
de
l’entreprise.
Tous
les
membres
sont
des
émetteurs,
des
auteurs
et
des
voix
dans
l’entreprise
:
employés,
partenaires,
clients,
supporteurs,
conseillers,
critiques,
concurrence…
Tous
apportent
des
connaissances
et
aident
l’entreprise
à
se
développer.
RECEPTEUR Structure
verticale
de
haut
en
bas
(classique).
Les
travailleurs
et
dans
certains
cas
la
direction.
En
donnant
le
droit
de
commenter
sur
ce
que
«
la
voix
de
l’entreprise
»
transmet,
cette
voix
peut
devenir
elle
même
réceptrice
et
écouter
l’apport
de
chacun.
Tout
le
monde,
puisque
l’idée
est
de
promouvoir
la
connaissance
de
bas
en
haut,
et
de
ne
pas
créer
des
silos
d’informations
et
que
les
idées
des
travailleurs
(spécialement
dans
la
production)
atteignent
les
postes
de
direction
et
vice-‐versa.
8. 8
INTRANET
INTRANET
COLLABORATIF
RESEAU
SOCIAL
D4ENTREPRISE
(RSE)
OUTIL Logiciel généralement
coûteux à mettre en place,
à la fois financièrement et
en ressources (humaines
et technologiques) et
temps. Avec une
configuration complexe,
très structurée peu
modifiable. On peut
prendre comme exemple
un Sharepoint ou un SAP.
Logiciel généralement
coûteux à mettre en place,
à la fois financièrement et
en ressources (humaines
et technologiques) et en
temps, avec une « couche
sociale » qui apporte des
fonctionnalités de
collaboration qui ne sont
pas disponibles
nativement.
Logiciel avec une ADN sociale,
couramment en SaaS, une interaction
qui peut être horizontale, plus facile
pour les nouveaux utilisateurs,
personnalisation rapide et facile, et
incorporant de nouvelles fonctionnalités
et intégrations, un accès mobile, avec de
nombreuses options de configuration
plus intuitifs que les réseaux sociaux
dits publics (facebook…).
OBJECTIF
L’intranet cherche à établir
une communication de
haut en bas qui sert de
référentiel de documents
d’entreprise et qui est la
passerelle vers les
applications d’entreprises.
Idem avec une porte
d’entrée aux contributions
des employés de la société
Dans ce cas, nous avons recours aux
SocialMethods : la co-création, la
collaboration, la résolution de conflits,
l’engagement, l’amélioration des
processus, la gestion de la connaissance,
la communication externe, la gestion de
documents, l’innovation, la formation,
la relation entre les individus, le
mentoring, la gestion du workflow, des
projets, la gestion commerciale (gestion
des opportunités et des flux de clients
interactifs), l’amélioration de la
productivité personnelle…
9. First
part
:Risks
1. Data
privacy
2. Data
security
3. Intellectual
property
4. What
about
an
internal
community
manager?
11. 1.1.Data
privacy
basics
• Basic
principles:
the
Data
controller
(i.e.
the
EU
COMMISSION)
– collect
and
process
personal
data
only
when
this
is
legally
permitted
– respect
certain
obligations
regarding
the
processing
of
personal
data
(details
on
next
slide)
;
– respond
to
complaints
regarding
breaches
of
data
protection
rules;
– collaborate
with
national
data
protection
supervisory
authorities
Source:
http://ec.europa.eu/justice/data-‐protection/index_en.htm
12. 1.2.
Data
privacy
rules
for
data
controllers
• Personal
Data
must
be
– processed
legally
and
fairly;
– collected
for
explicit
and
legitimate
purposes
and
used
accordingly;
– adequate,
relevant
and
not
excessive
in
relation
to
the
purposes
for
which
it
is
collected
and/or
further
processed;
– accurate,
and
updated
where
necessary;
– kept
any
longer
than
strictly
necessary;
– rectified,
removed
or
blocked
by
the
data
subject
if
incorrect;
– Protected
against
accidental
or
unlawful
destruction,
loss,
alteration
and
disclosure,
particularly
when
processing
involves
data
transmission
over
networks.
Source:
http://ec.europa.eu/justice/data-‐protection/index_en.htm
13. 1.3.
Data
privacy
&
internal
social
media
questions
• Which
precise
purpose
?
• What
kind
of
personal
data
will
be
stored?
• Are
data
stored
in
Europe
?
• Are
they
in
the
«
Cloud
»?
• Data
privacy
commission
advice
needed?
• What
will
be
the
security
policy?
• What
about
the
content
of
ex-‐employees?
• Is
a
code
of
conduct
enough?
!
SO
IT
’S
AN
IMPORTANT
ISSUE
!!!
14. 2.0.
Data
security
SOURCE
DE
L’IMAGE:
http://www.techzim.co.zw/2010/05/why-‐organisations-‐should-‐worry-‐about-‐security-‐2/
25. Employer’s
responsibility
!
• What
about
external
protected
works?
• What
about
creation
by
employees?
• What
about
import
of
protected
works
by
employees?
• What
about
sub-‐contractors
protected
works?
• What
about
advertising
campaign?
• What
about
press
clipping?
• What
about
external
trademarks
• What
about
employee’s
images?
• …
!
• What
do
you
think
of
a
code
of
conduct?
http://amirrezashamloo.blogspot.be/2010/10/copyright-‐symbol-‐and-‐related-‐symbols.html
26. 4.0.
INTERNAL
COMMUNITY
MANAGER
PICTURE
CREDIT:
http://fromthiscorner.blogspot.be/2012/10/the-‐community-‐manager-‐role.html
27. Who’s
in
charge
if
…?
http://www.capreseaux.fr/community-‐management/
28. Second
part:
Added
value
http://www.mckinsey.com/insights/mgi/research/technology_and_innovation/the_social_economy
29.
30. Reading
and
answering
e-‐mail.
Approximately
28%,
or
about
11.2
hours,
of
the
average
interaction
worker’s
workweek
is
spent
reading
and
answering
e-‐mails.
The
study
indicates
that
because
of
private
social
media’s
ability
to
make
searchable
content
out
of
all
posted
messages,
the
amount
of
time
spent
with
e-‐mail
can
be
reduced
by
as
much
as
35%,
or
about
4
hours.
31. Searching
and
gathering
information.
19%,
about
7.6
hours,
of
the
average
interaction
worker’s
work
hours
are
spent
searching
for
internal
information
only
certain
employees
possess.
Again,
because
of
enterprise
social
media’s
ability
to
store
all
messages
as
searchable
content,
this
figure
can
be
reduced
by
nearly
35%
to
about
4.9
hours
per
week,
which
amounts
to
a
savings
of
2.7
hours
per
week
per
interaction
worker.
32. Communicating
and
collaborating
internally.
Using
phones,
e-‐mail,
and
in-‐person
interaction
to
communicate
consumes
about
5.6
hours
of
the
average
interaction
worker’s
workweek.
Because
you
can
directly
message
anyone
in
the
organization
without
cluttering
up
an
e-‐mail
inbox
with
a
collaboration
tool,
your
organization
can
realize
up
to
a
35%
time
savings,
or
about
2.0
hours
per
interaction
worker.
33. Role-‐specific
tasks.
Tasks
specific
to
a
particular
job
consume
the
most
amount
of
time
for
any
role,
averaging
out
to
about
15.6
hours
per
week.
Internal
social
media
increases
the
productivity
of
these
tasks
by
about
15%,
or
approximately
2.3
hours
per
week.
One
way
they
enhance
job-‐
specific
productivity
lies
in
their
ability
to
centralize
all
job
functions
at
one
hub,
so
your
employees
begin
using
all
other
applications
there.
40. Reed's Law
The value of
networks scales
exponentially with
the size of the
network.
http://fr.slideshare.net/eekim/achieving-‐collective-‐intelligence
41. Brooks's Law
Adding people
to a complex
project makes it
take longer.
http://fr.slideshare.net/eekim/achieving-‐collective-‐intelligence
45. Other
added
value
• KM
• Collective
intelligence
• Co-‐working
• Network
management
!
• BUT
!
• The
vendors
already
told
you,
is
‘nt
it?
46. Conclusion
• Do
not
forget
privacy
issues
• CC/CO
81
• Control
or
not
control
• IPR
regulation
s/b
reminded
• Internal
code
of
conduct
• BUT
• There
are
some
important
added
value
47. Internal
code
of
conduct
main
rules
• Define
the
internal
and
external
social
media
• Intellectual
property
rules
• Data
privacy
explanations
• Confidential
information
• Anonimity
is
forbidden
• Penalties
• And
• Which
communication
for
the
code
of
conduct?
• How
to
have
it
approved?