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Les amoureux
C'était un chaleureux matin d'été. Gabriel et Emilie avaient un rendez-vous avec ses
meilleurs amis Kevin et Laurie. Tous, sont allés à manger pour fêter les deux mois
lesquels, ils ont suivi en partageant sa vie.
Emilie était la propriétaire d’une fleuristerie où le destin faire entrer, il fait deux mois,
Gabriel avec Kevin et Laurie. Là, parmi les fleurs, un amour fou entre eux se leva.
Une fois qu’on finit le repas, pendant que les filles ont décidé aller à faire des
courses, ils regardaient le match du PSG vs OM. Ils étaient très contents parce
que dès un mois, plus ou moins, ont découvert que l’ancienne amitié à devenu,
petit à petit, en une chose différente, difficile de dire et d’assumer.
Ils se cachent pour se faire à l’idée. Mais...après de l'avoir parlé, ils ont décidé
finalement de la faire public, de sortir de l’armoire. Ils ont tout organisé pour dévoiler
son secret : un dîner tranquille et intime pour s’exprimer et pour effacer les
malentendus. Ça les motivait, les amoureux étaient heureuses de faire le dîner et
surtout, de partager son temps.
L’horloge marquait l’heure décidée et les deux couples sont arrivés au dîner. Ils ne
savaient pas, que ce serait pour eux, le dernier repas, et ont commencé tous à
manger son met préféré, les crêpes aux champignons. Tout se déroule comme était
prévu et quand est arrivé le temps des desserts, arrivait aussi la surprise. Pendant
qu’ils étaient en train de manger la mousse au chocolat du menu, les garçons
égrainent quelque chose qu'elles ne comprennent pas pleinement. Ce que leurs
partenaires les disaient, était un cauchemar. O no…?
« - Emilie, tu te souviens quand tu me disais que moi, je n'étais pas le garçon du
premier jour?- a dit-il
-Oui, mais nous avons parlé de ça l’autre jour.- a répondu- elle.
- Oui, je le sais, mais je...je n’étais pas le même…et toi, tu le savais… »
Alors, Kevin s’a jeté à parler:
« -Laurie, en ces discussions en que je veux vous dire que toi n’avais aucune
raison, si l'avais, car je n’étais pas le même. Je ne pourrai jamais être celui que tu
voudrais.
-Selon toi, qu’est-ce que je voudrais?
-Une relation stable, quelque chose que je ne pouvais pas te donner, parce que, oui
ça me coûte de reconnaître, je suis gay et le grand amour de ma vie est Gabriel. Je
te le répété, je suis gay et le grand amour de ma vie est Gabriel- il a crié
désespérément et se tournant vers Emilie qui étonnée hurlait:
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-MAIS…!!!! Vous avez entendu ce que me dit cet imbécile? Tu as tombé amoureux
de ton copain! MERDE!!!!
Gabriel regarde à tout le monde et dit:
-Oui, c’est vrai. Tous deux nous sont plongés dans l'amour. Au premier moment,
nous ne le voulions pas reconnaître, mais ce ça qui est. Je suis désolé, très
désolé. »
Elles leur regardaient avec rage, mais au même temps apaisés, parce que ça qu'ils
ne savaient pas est qu’elles restaient dans la même situation, elles étaient
lesbiennes.
Elles, les deux, étaient muettes, euphoriques, mais enragés. Ils les ont facilité les
choses mais au même temps, les suscité un sentiment de vengeance. Comme ils
avaient osé les abandonner?
Quand le temps est passé, quand les garçons ne se rappelaient d'elles déjà, les
filles les ont fait un coup de fil, pour aller à faire des potes et parler. Les gars, qui ne
pensaient rien en une vengeance, acceptaient. Ils étaient heureux, ils pourraient
encore être amis, étaient satisfaits et de ce manière allaient à le rendez-vous, son
dernier rendez-vous. Ils se sont trouvés dans un bar, et entre un silence lourd, en les
regardant aux yeux, Emilie les disait:
« -Nous sommes lesbiennes. »
La surprise se dessinait sur la face des deux copains. Ils ne l’avaient jamais
soupçonné. Le silence pourrait être coupé avec un couteau, il était épais, il était
difficile. La terreur commençait à s’entraver en ses yeux. Emilie, doucement avait
tiré d’un couteau de son sac à main, et avec un sourire terrifiant les regarda et
souriait. Sans laisser de souriait et avec l'étonnement du serveur, clouait le poignard
dans le buste de Gabriel. Ses cris de douleur se mélangeaient avec les cris
d’horreur des spectateurs.
Emilie se levait, tranquille et avec la robe ensanglanté, sans laisser de sourie et en
regardant au serveur lui demandait:
« -Une bouteille de Dom Pérignon, et une crêpe aux champignons. Aujourd’hui, je
finirai avinée. »
Écrit par : IKer Ramos et David Urbano