Présentation donnée dans une agence de publicité en 2009 pour les introduire au Web.

1. HITCHHIKER’S GUIDE TO
THE WEB

2. CONTENU DE LA PRÉSENTATION

3. QUELQUES STATISTIQUES

4. TEMPS PASSÉ PAR MÉDIA

5. EMARKETER: SOURCE
INCONTOURNABLE DE STATS

6. POURQUOI PASSE-T-ON DU TEMPS
EN LIGNE ?

7. POURQUOI LES USAGERS SONT-ILS
EN-LIGNE ?
La majorité des usagers sont en-ligne pour de la
communication. C’est pourquoi être présent dans
les réseaux sociaux est si important; les réseaux
sont un outil de communication majeur.

8. LES MÉDIAS SOCIAUX

9. LES RÉSEAUX SOCIAUX DÉPASSENT
LE COURRIEL
 “Finally, here’s another sign of the times: Nielsen
Online’s latest research shows that
social networking is now more popular than email
. According to their study, 66.8% of Internet
users have used social networks, while only
65.1% have used email.”
 Personne ne pose plus la question de savoir si ça
vaut la peine d’être sur les médias sociaux.

10. LES ACTIVITÉS
DANS LES MÉDIAS
SOCIAUX
2009 a vu l’explosion
des médias sociaux
2010, c’est tendance

11. QUI DIT MEDIAS SOCIAUX DIT
FEMMES
2009 a été l’année des « social
media moms ». Les « mommy
bloggers » sont devenues le
point de mire des efforts en
marketing social.

12. RÉSEAUX SOCIAUX UTLISÉS PAR
LES ENTREPRISES AMÉRICAINES

13. STATISTIQUES SUR LES MÉDIAS
SOCIAUX
 300 millions:
asd asd asd
asd
 50%:
 35 ans et +:
nombre d’usagers sur Facebook
[autant d’usagers sur Facebook que de
citoyens américains]
proportion des usagers qui se
connectent tous les jours
tranche d’âge qui croît le plus
rapidement

14. STATISTIQUES SUR LES MÉDIAS
SOCIAUX
 130: asd asd
asd asd
 8 milliards:
 45 millions:
asd
 10 millions:
nombre moyen d’amis d’un usager
Facebook
nombre de minutes par jour passées sur
Facebook mondialement
nombre de statuts mis à jour
quotidiennement
nombre d’usagers qui deviennent
membres d’une page à tous les jours

15. FRÉQUENCE DES VISITES

16. RAISON DES VISITES

17. FAÇONS DONT ON TROUVE DE
NOUVELLES MARQUES

18. STATISTIQUES SUR LES BLOGS
 346 millions:
asd asd asd
 133 millions:
 900 000: asd
nombre de personnes qui lisent des
blogs (comScore March 2008)
nombre de blogs inscrits sur Technorati
depuis 2002
nombre moyen d’articles publiés à
chaque jour

19. LES BLOGS ET LES MARQUES
70 % des bloggueurs
interrogés par Technocrati
confirment qu’ils vont écrire
des articles sur des marques
qu’ils aiment.
Les blogs sont un média
important pour les marques.
Même si la tendance est plus
forte aux États-Unis qu’au
Québec pour le moment.

20. STATISTIQUES SUR TWITTER
 1,111,991,000:
 3 millions:
nombre de tweets à ce jour
nombre de nouveaux tweets par jour

21. STATISTIQUES SUR YOUTUBE
 100 millions:
 70 millions:
 13 heures: asd
asd
 2 min. 46 sec.
nombre de vidéos visionnés par jour
nombre total de vidéos (mars 2008)
quantité de temps vidéo téléchargé à
chaque minute
longueur moyenne d’un vidéo

22. STATISTIQUES SUR WIKIPEDIA
 648 millions:
 10 millions:
asd asd
 2 695 205:
 75 000:
 260:
nombre de visiteurs en 2008
nombre total d’articles, toutes langues
confondues
nombre d’articles en anglais
nombre de contributeurs actifs
nombre de langues représentées sur
Wikipedia

23. MASHABLE: AUTRE SITE
INCONTOURNABLE

24. TENDANCES POUR 2010
 Vidéo
 Usage
 Média social
 Convergence
 Mobile

25. LES PHASES D’UN PROJET WEB

26. TYPES DE PROJETS WEB
 Bannières
 Microsite
 Jeux
 Site corporatif
 Site e-commerce
 Application Facebook
 Application iPhone/Itouch
 SMS
 Blog
 Médias sociaux
(Twitter, YouTube, Digg)
 Référencement organique
 AdWords
 Emails
 Advergaming
(toutes plateformes, de
Second Life au iPhone)

27. PROJET: DÉFINITION
 On appelle projet un ensemble finalisé d’activités et
d’actions entreprises dans le but de répondre à un besoin
défini dans des délais fixés et dans la limite de l’enveloppe
budgétaire allouée. Contrairement aux opérations, qui sont
des processus répétitifs, l'essence d'un projet est d'être
innovant et unique..
 Un projet est une action temporaire avec un début et une
fin, qui mobilise des ressources identifiées (humaines,
matérielles, informationnelles et financières) durant sa
réalisation, qui possède un coût et fait donc l’objet d’une
budgétisation de moyens et d’un bilan indépendant de celui
de l’entreprise.
 Les résultats attendus du projet sont appelés «livrables» .

28. PROJET: DÉFINITION (WIKIPÉDIA)
 La gestion de projet ou conduite de projet est une démarche
visant à structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d’un
projet suffisamment complexe pour devoir :
 être planifié dans le temps : c’est l’objet de la planification,
 être budgétisé (étude préalable des coûts et avantages ou revenus
attendus en contrepartie, des sources de financement, étude des
risques opérationnels et financiers et des impacts divers …),
 maîtriser et piloter les risques,
 atteindre le niveau de qualité souhaité,
 faire intervenir de nombreuses parties prenantes : c’est l’objet des
organisations qui identifient maîtrise d'œuvre et maîtrise d'ouvrage
(voir également fonctions de maîtrise d’ouvrage) ,
 responsabiliser le chef de projet ou le directeur de projet, mettre en
place un comité de pilotage,
 suivre des enjeux opérationnels et financiers importants,
 L’objectif doit être précisé de façon claire, chiffrée et datée. Le
résultat doit être conforme à des normes de qualité et de
performances prédéfinies, pour le moindre coût et dans le meilleur
délai possible.

29. PHASES D’UN PROJET WEB

30. PHASES D’UN PROJET WEB

31. PROJET: HISTORIQUE
 Project management has been practiced since early civilization.
 Henry Gantt (1861-1919), the father of planning and control
techniques.
 1900: Until 1900 civil engineering projects were generally
managed by creative architects and engineers themselves, among
those for example:
 Vitruvius (1st century BC),
 Christopher Wren (1632–1723)
 Thomas Telford (1757-1834) and
 Isambard Kingdom Brunel (1806–1859)
 1950s: It was in the 1950s that organizations started to
systematically apply project management tools and techniques to
complex projects.

32. PROJET: HISTORIQUE
 As a discipline, Project Management developed from several fields
of application including construction, engineering, and defense
activity.
 Two forefathers of project management are
 Henry Gantt, called the father of planning and control
techniques, who is famous for his use of the Gantt chart as a
project management tool; and
 Henri Fayol for his creation of the 5 management functions
which form the foundation of the body of knowledge
associated with project and program management.
 Both Gantt and Fayol were students of
Frederick Winslow Taylor's theories of scientific management
. His work is the forerunner to modern project management
tools including work breakdown structure (WBS) and
resource allocation.

33. PROJET: HISTORIQUE
 The 1950s marked the beginning of the modern Project
Management era.
 Project management was formally recognized as a distinct
discipline arising from the management discipline.
 In the United States, prior to the 1950s, projects were managed
on an ad hoc basis using mostly Gantt Charts, and informal
techniques and tools. At that time, two mathematical project-
scheduling models were developed:
 The "Critical Path Method" (CPM) was developed as a joint
venture between DuPont Corporation and
Remington Rand Corporation for managing plant
maintenance projects.
 And the "Program Evaluation and Review Technique" or
PERT, was developed by Booz-Allen & Hamilton as part of
the United States Navy's (in conjunction with the
Lockheed Corporation) Polaris missile submarine program.

34. PROJET: HISTORIQUE
 The International Project Management Association (IPMA) was
founded in Europe in 1967, as a federation of several national
project management associations. IPMA maintains it federal
structure today and now includes member associations on every
continent except Antarctica. IPMA offers a Four Level
Certification program based on the IPMA Competence Baseline
(ICB)
http://www.ipma.ch/publication/Pages/ICB-IPMACompetenceBaseline.aspx
. The ICB covers technical competences, contextual competences,
and behavioral competences.
 In 1969, the Project Management Institute (PMI) was formed in
the USA. PMI publishes
A Guide to the Project Management Body of Knowledge (PMBOK
Guide), which describes project management practices that are
common to "most projects, most of the time."

35. CONCEPTION

36. CONCEPTION DU PROJET
 Collecte des données
 Stratégie
 Brief

37. ANALYSE DE LA COMPÉTITION –
COLLECTE DE DONNÉES

38. MÉCANIQUE GLOBALE

39. CONCEPTION DU PROJET
 Collecte de données – analyse des besoins
 Livrable : document d’analyse des besoins
 Signature et approbation du client
 Stratégie – mécanique
 Livrable : document de stratégie
 Signature et approbation du client
 Brief – document de brief

40. DÉFINITION

41. DÉFINITION DU PROJET
 Plan de projet – MS Project
 Pourquoi c’est important
 Pour pouvoir suivre le progrès du projet
 Pour identifier le chemin critique
 Pour identifier tôt les sources de délais
 Pour identifier les interdépendances entre les
ressources internes et externes.

42. DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DU PLAN DE PROJET
 Objections classiques
 On n’a jamais eu besoin d’un plan de projet.
 On se sert du calendrier.
 C’est dans ma tête.
 MS Project, c’est trop compliqué pour rien.

43. DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DU PLAN DE PROJET
 Problème: sans plan, il est plus difficile de
comprendre l’impact d’un retard.
 Soit on exagère la gravité d’un retard (alors qu’en
réalité la tâche n’est pas sur le chemin critique)
 Ou alors on ne se rend pas compte de sa gravité
(pas d’approbation => pas de passage en production,
pas de passage en prod => pas de site,
pas de site => … pas de site)

44. DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DU PLAN DE PROJET
 Problème: sans plan, il est plus difficile aux
différents intervenants de comprendre comment
ils dépendent les uns des autres.
 Certains clients sont rapides de nature sur les
approbations, d’autres…
 Comment ça, vous n’avez pas commencé les maquettes?

45. DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DU PLAN DE PROJET
 Solution : le plan de projet
 Faites-vous un plan de projet pour identifier le chemin
critique, identifier toutes les ressources et clarifier
comment les livrables des différents intervenants
s’affectent les uns les autres.
 Publiez un aperçu des étapes jalons, ce qui correspond
souvent aux dates de tombée des livrables de chaque
intervenant.

46. EXEMPLES DE PLANS DE PROJET

47. CONCEPTION ET DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DES SPECS
 Objections classiques
 Pas le temps pour des specs.
 Ben voyons, c’est trop simple!
 Faites juste comme la version d’avant.
 Faites pareil comme leur campagne.
 Le client n’en veut pas (et le client a toujours raison).

48. CONCEPTION ET DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DES SPECS
 Problème: sans spécifications, les fournisseurs ne
savent pas ce qu’ils doivent produire
 Quoi, la page devait « fitter » dans 1024x768 ?!
 Règles de validation? Quelles règles de validation ?!
 Problème: commencer par les maquettes
 Comment définir des demandes de changements dans
les fonctionnalités
 Problème: sans spécifications, le client ajoute
n’importe quoi dans le projet, mais ne veut pas
payer
 On n’a jamais dit que Safari n’était pas inclus!

49. CONCEPTION ET DÉFINITION:
L’IMPORTANCE DES SPECS
 Solution : les spécifications
 Prenez le temps d’écrire des specs. Ce temps vous
sera rendu au centuple!
 Utilisez une liste contrôle pour les éléments qui
reviennent de projet en projet (quels browsers, quels
systèmes d’exploitation, quelles résolutions d’écran,
quelles langues, avec ou sans référencement,
messages d’erreur, environnement d’hébergement,
technologies à utiliser, etc.)

50. ARCHITECTURE DE L’INFORMATION

51. DÉFINITION DE L’ARCHITECTURE
DE L’INFORMATION
 Information architecture (IA) is the art of
expressing a model or concept of information used in
activities that require explicit details of complex
systems. Among these activities are library systems,
Content Management Systems, web development,
user interactions, database development,
programming, technical writing, enterprise
architecture, and critical system software design.
Information architecture has somewhat different
meanings in these different branches of IS or IT
architecture. Most definitions have common qualities:
a structural design of shared environments, methods
of organizing and labeling websites, intranets, and
online communities, and ways of bringing the
principles of design and architecture to the digital
landscape.

52. À QUOI SERT L’ARCHITECTURE DE
L’INFORMATION
 Pourquoi est ce que c’est nécessaire avant de
passer en maquettes
 Scénarisation
 Copydeck
 Plan de test
 Brief équipe de production
 Voir plus large que seulement l’architecture, voir
dans la réalisation de specs

53. PUCHASE FUNNEL OU
USER CENTRIC

54. EXEMPLES D’ARCHITECTURE

56. MÉTAS ET VOCABULAIRE CONTRÔLÉ

57. DÉFINITIONS
« Vocabulaire contrôlé » est un terme générique désignant une liste de termes
normalisés utilisés pour l'indexation et la recherche documentaire,
généralement dans un domaine précis. Il se caractérise par son format
homogène et sa syntaxe, et peut inclure des synonymes et des renvois. Dans un
vocabulaire contrôlé, on choisit pour représenter un concept un seul terme parmi
un ensemble de termes potentiels (terme preféré). Ainsi, toutes les ressources
d'information d'un même ensemble de ressources qui traitent d'un même concept
peuvent être indexées à l'aide du terme représentatif choisi.
Le thésaurus est un outil de contrôle de vocabulaire dont l'utilisation permet
d'améliorer les résultats de recherche. Le thésaurus représente un sous-
ensemble de la langue utilisée dans la vie quotidienne. Il renseigne sur les types
de relations entre les termes (mots ou groupes de mots) :Le thésaurus est un
outil de contrôle de vocabulaire dont l'utilisation permet d'améliorer les
résultats de recherche. Le thésaurus représente un sous-ensemble de la termes
génériques, termes spécifiques, termes préférés, termes non-préférés ou termes
associés. Un thésaurus se limite généralement à un domaine précis (santé,
éducation, documents gouvernementaux, etc.). Il permet aux utilisateurs
d'effectuer des recherches en utilisant la terminologie qui leur est familière pour
trouver l'information la plus pertinente possible.

58. INDEXATION
Différents pour chacune des pages
Rôle marketing -- affichage
Rôle repérage de l’information
 Balise Titre
 Affichage dans la barre de title
 Moteurs de recherche
 Référencement organique
 Balise description
 Affichage dans les moteurs de recherche
 Référencement organique
 Balise mots-clés
 Référencement organique

59. DÉFINITION: EN RÉSUMÉ
 Plan de projet
 Livrable: échéancier
 Identifier les ressources matérielles et humaines
 Identifier le chemin critique
 Signature et approbation du client
 Architecture
 Livrables :
 Arborescence et scénario de navigation
 Cahier des spécifications
 Vocabulaire contrôlé
 Signature et approbation du client

60. FORMATION DE L’ÉQUIPE

61. FORMATION DE L’ÉQUIPE
 Chargé de projet
 Architecte
 DA Web
 Copywriter
 Directeur de création
 Développeur back-end
 Animateur Flash
 Développeur Flash
 Infographiste Web
 Intégrateur
 Rédacteur Web
 Directeur de production

62. FORMATION DE L’ÉQUIPE:
L’IMPORTANCE DE LA COMPÉTENCE
 Objections classiques
 J’connais quelqu’un de pas cher, pas cher.
 On utilise toujours le beau-frère de la cousine du
chauffeur.
 Lui, on peut pas, y coûte trop cher.

63. FORMATION DE L’ÉQUIPE:
L’IMPORTANCE DE LA COMPÉTENCE
 Problème: une ressource à bas prix a
généralement moins d’expérience et d’expertise.
 Payer 33% moins cher et prendre 100% plus de temps
n’est pas payant.
 Nous sommes une agence, pas une école.
 Nous sommes dans un domaine où les projets doivent
sortir vite, vite, plus vite.
 La qualité ne peut pas être injectée à la fin du projet,
quand on se rend compte qu’elle manque à l’appel.
 La réputation de l’agence est toujours en jeu.

64. FORMATION DE L’ÉQUIPE:
L’IMPORTANCE DE LA COMPÉTENCE
 Problème: une ressource à bas prix a
généralement moins de méthode.
 On demande à nos clients d’approuver nos specs; si une
de nos ressource ne nous en demande pas, alarme.
 On est en droit de s’attendre de toute ressource qu’elle
livre un produit dont la qualité a été contrôlée
systématiquement.
 On n’a pas de budget ni de temps à investir en
assurance-qualité sur les livrables de nos fournisseurs.
 On ne peut pas se voir forcé de cent fois sur le métier
remettre notre ouvrage.

65. FORMATION DE L’ÉQUIPE:
L’IMPORTANCE DE LA COMPÉTENCE
 Solution : payons-nous la compétence
 Le secret du succès d’un projet n’est pas ses
processus mais la compétence de ses ressources.
 Les processus sont des outils importants, mais
seulement des outils.
 Les ressources sont les maillons d’une chaîne: un seul
maillon faible suffit…
 Un projet mal structuré peut être sauvé par des
ressources compétentes. Des ressources
incompétentes ne peuvent pas être sauvées par un
projet bien structuré.

66. CRÉATION

67. CRÉATION
 Maquettes
 Textes

68. MAQUETTES WEB
 Toujours faire affaire avec un DA Web. C’est un
métier en soi.
 Ne jamais monter les maquettes dans Illustrator,
toujours dans Photoshop.
 Monter les maquettes des bannières directement
dans Flash.

69. MAQUETTES WEB
 Spécifier:
 Dimensions de la maquette.
 Couleurs.
 Fontes.
 Autres détails pouvant aider à la préparation des
feuilles de style.

70. EXEMPLES DE MAQUETTE

71. LES TEXTES
 En 1998, Jakob Nielsen et John Morkes publient une étude
intitulée "Designing Web Usability" qui nous informe des
particularités de la lecture d'une page web.
 On y apprend que :
 On lit 25 % moins vite à l'écran que sur papier (l'écran
est moins confortable que le papier).
 79 % des internautes scannent (balayent) les textes au
lieu de les lire.
 10 % seulement des internautes utilisent les barres de
défilement.
 Les deux compères proposent donc de tenir compte de ces
particularités et de :
 Faire des textes 50% plus courts que pour le papier
Faciliter le "scan" en mettant les mots importants en gras
et en multipliant les sous-titres
 Découper les articles en plusieurs pages : la première
page résume le texte et en présente les points essentiels.
Cette première page contient des liens vers des pages
développant les idées secondaires.

72. DOCUMENT HYPERTEXTE
 Un texte Web est avant tout un document hypertexte.
C’est-à-dire un document qui contient des liens. Le HTML
est un langage de markup pour les documents hypertextes
 Trop souvent, les textes web sont écrits comme des pages
statiques. Les liens à l’intérieur du site sont toujours
oubliés. C’est là où l’arborescence peut jouer un rôle
important.
 « Un système hypertexte est un système contenant des
nœuds liés entre eux par des hyperliens permettant de
passer automatiquement d'un nœud à un autre. Un
document hypertexte est donc un document qui contient
des hyperliens et des nœuds. Un nœud est une "unité
minimale d'information", notion assez floue qui signifie
simplement que l'information d'un noeud sera toujours
présentée entière. pages magasines » (Wikipédia)

73. CONTENU OPTIMISÉ
 Des contenus optimisés pour les visiteurs et
les moteurs de recherche.
 Un site Internet est efficace s’il propose du contenu
optimisé pour les visiteurs et pour les moteurs de
recherche. C’est-à-dire, avoir une bonne densité au
niveau des mots clés.
 Penser à la création des informations visibles par
les moteurs de recherche (métadonnées).
 Ajout de données hypertextuelles (liens)

74. CONTENU (SUITE)
 J'aime beaucoup cette citation de Edgar Allan Poe : “For my own part, I
have never had a thought which I could not set down in words, with even
more distinctness than that with which I conceived it:–as I have before
observed, the thought is logicalised by the effort at (written) expression.”
Qu'est-ce qu'un texte Web? Un texte Web est avant tout undocument
hypertexte. C’est-à-dire un document qui contient des liens. Le HTML
est un langage de markup pour les documents hypertextes. L'origine du
texte se situe dans l'architecture de l'information. L'architecture elle-
même se doit de prévoir les liens entre les concepts, entre les pages d'un
site. Que ce soit pour l'ajout de références, de définitions ou encore lier des
pages entre-elles. Un document hypertexte n'est pas linéaire ou
hierarchique. Trop souvent, les pages Web sont des reprises de pages qui
ont été écrites pour l'imprimé ou encore sont composées de manière
statique tel un article de magazine. Les liens sont importants pour les
moteurs de recherche qui les utilisent dans la pondération d'une page.
L'essence même d'une page Web, c'est d'être un document hypertexte.

75. CONTENU (SUITE)
 Qu'est ce qu'un document hypertexte ? « Un système hypertexte est un
système contenant des nœuds liés entre eux par des hyperliens permettant
de passer automatiquement d'un nœud à un autre. Un document hypertexte
est donc un document qui contient des hyperliens et des nœuds. Un nœud
est une "unité minimale d'information", notion assez floue qui signifie
simplement que l'information d'un noeud sera toujours présentée entière.
pages magasines » (Wikipédia)
 Écrire pour le Web veut dire aussi écrire des contenus optimisé pour les
visiteurs et les moteurs de recherche. Un site Internet est efficace s’il
propose du contenu optimisé pour les visiteurs et pour les moteurs de
recherche. C’est-à-dire, avoir une bonne densité au niveau des mots clés.
Il faut créer des informations visibles par les moteurs de recherche
(métadonnées) ainsi qu'ajouter des données hypertextuelles (liens). Il faut
se mettre dans la peau de l'utilisateur, et penser à comment l'usager va
chercher l'information sur laquelle on rédige.

76. CONTENU (SUITE)
 Lorsque l'on parle de métas données, on fait référence aux
balisestitle, keywords et description. Ces balises servent pour les moteurs
de recherche pour indexer les pages, mais aussi pour l'affichage dans les
moteurs de recherche. Les balises title et description sont tout
particulièrement essentielles puisque c'est en se basant sur leur lecture
qu'un usager va cliquer ou non sur notre page. Lors de la rédaction du
site, il faut se pencher sur ces balises pour composer des phrases qui
décrivent le contenu et qui seront attrayantes pour les usagers.
 Écrire pour le Web, c'est une discipline en soit qui doit se travailler en
étoite collaboration avec l'architecte de l'information. Écrire des
documents hypertextes, c'est une passion.

77. LES TEXTES
 La gestion des textes Web est beaucoup plus que
l’organisation du copydeck. C’est jouer
directement dans la syntaxe et le type de
vocabulaire qui est utilisé.
 Il faut aussi écrire pour les moteurs de recherche,
ce qui demande une certaine technique.
 Le texte doit être validé par l’architecte.
 Lorsque l’on travaille pour un Flash, il faut
travailler selon la scénarisation.

78. LES TEXTES
La hiérarchie est
importante.
Toujours savoir dans
quel menu on est.
Suivre les wireframes –
pour identifier tous les
contenus qui sont à
produire.
Se fier à l’arborescence pour le plan de contenu.

79. LES TEXTES
Les menus font aussi
partie du travail de copie.
Le travail de copie est
toujours sous-évalué.
Il y a toujours des
changements une fois les
textes intégrés.
Les textes sont toujours trop longs.

80. LE PLUS DIFFICILE
 Important de toujours avoir un copydeck à jour.
Souvent il y a des changement une fois que le site
est monté.
 Faire le tracking des changements pour faciliter
l’intégration.
 L’intégration doit toujours avoir les textes pour
faire du copier / coller.

81. INCLUSION DES MÉTAS DANS LE
COPYDECK
 Une des premières règles de l'optimisation pour les engins
de recherche, c'est l'utilisation des métas données.
Les métas-données sont des balises html qui sont inscrites
dans la balise header de la page et qui contient les
informations sur le document qui est publié.
<Title>SEO - Utiliser les métas-données </Title>
<meta keywords="web, seo, optimisation, marketing">
<meta description="Blog sur l'optimisation pour les engins
de recherche et comment utiliser les métas-données">
Pour l'optimisation, chacune des pages doit avoir ses
propres balises personnalisées. Le plus simple, est
d'inclure ces balises dans le copydeck lors de la création des
pages d'un site.

82. CRÉATION EN RÉSUMÉ
 Maquettes
 Penser Web
 Textes
 Penser en hypertexte
 Planifier les métas
 Le texte va changer; penser au « versioning »

83. PRODUCTION

84. KICK OFF MEETING
L’importance du kick-off entre les intervenants
d’un projet
 S’entendre sur qui livre quoi
 Quoi? On m’impose une architecture de page? On ne m’avait
pas dit!
 S’entendre sur le format des livrables
 Différents intervenants utilisent différents types de
diagrammes (wireframe par exemple)
 Résultat : le producteur en aval n’arrive pas à travailler (ou
travailler efficacement) avec les livrables de l’agence, donc
perte de temps ou pire, excuse pour livrer en retard

85. KICK OFF MEETING
L’importance du kick-off entre les intervenants
d’un projet
 Problème: aucun contrat, aussi blindé soit-il, n’a raison de
la mauvaise foi entre intervenants
 Solution : établir un lien avec quelques fournisseurs qui ont
prouvé leurs fiabilité. Ça prend quelques projets, mais on voit
vite qui on doit éviter.

86. PRODUCTION
 Brief de production – Kick off meeting
 Présentation de l’échéancier
 Présentation des listes des tâches
 Présentation des specs
 Schedule des meeting de prod de 15 min
par jour (stand up meetings)
 Analyse technique
 Intégration
 Programmation back-end (CMS, BD,
shopping cart, webservice)
 Animation Flash
 Programmation Flash
 Intégration vidéo
 Intégration son

87. CONTRÔLE QUALITÉ

88. CONTRÔLE QUALITÉ

89. L’IMPORTANCE DES PLANS DE TEST
 Sans plan de test, les fournisseurs n’ont pas de façon
officielle de déterminer si leur travail est complet ou
correct
 Validation des champs? Quelle validation?
 Sans plan de test, le client trouve constamment de
nouveaux « bugs » et vous le remet sur le nez.
 L’importance des statuts hebdomadaires ou bi-
hebdomadaires.
 Les projets Web sont serrés dans le temps : on ne peut pas
se permettre de dormir une semaine sur une spec ou un
livrable.

90. TESTER SUR TOUTES LES PLATE-
FORMES
 Ever wanted to test your website in various
versions of Internet Explorer?
 http://tredosoft.com/Multiple_IE

91. LA SOURCES POUR LES
STATISTIQUES SUR LES FURTEURS

92. IMPLÉMENTATION

93. IMPLÉMENTATION
 Nom de domaine
 Transfert de DNS
 Hébergement
 Tests sur serveur de
production
 Going live
 Analytics
 Metas

94. COMMENT MAINTENIR UN SITE EN
VIE ET LE FAIRE GRANDIR

95. COMMENT MAINTENIR UN SITE EN
VIE
Plusieurs activités peuvent être réalisées
conjointement pour maintenir un site live.
 Calendrier éditorial
 Analytics
 Concours et promotions
 Relationship
 Bannières et mots-clés
 Référencement organique
 Marketing social
 Communiquer le nom de domaine off line

96. TOUS LES MÉDIAS PEUVENT ÊTRE
UTILISÉS

97. CALENDRIER ÉDITORIAL

98. CALENDRIER ÉDITORIAL
 Planifier le contenu
 Brand
 Tactique
 Mise à jour de site
 Blog
 Utiliser calendrier pour tâches
 Newsletter

99. EXEMPLE

100. ANALYTICS

101. ANALYTICS
 Améliorer le site
 Fall-out report (basé sur purchase funnel par
exemple)
 Click path
 Nombre de visites
 Temps passé sur le site
 Pages les plus fréquentées
 Identifier les KPI
 Efficacité des campagnes
 Bounce rate
 Click through
 Traffic Source

102. OMNITURE

103. GOOGLE ANALYTICS

104. ANALYTICS

105. CONCOURS ET PROMOTIONS
 L’objectif premier des concours est d’augmenter
la base de données pour par la suite avoir des
opt-ins.
 Les concours et promotions augmentent les
visites sur un site

106. ANALYTICS

107. RELATIONSHIP
 Développer une relation entre le client et la
marque
 Favoriser le dialogue et le feed-back
 Aller plus loin que les push emails
 Offrir du contenu personnalisé selon les
préférences

108. ANALYTICS

109. BANNIÈRES ET MOTS-CLÉS
 Campagnes brand
 Campagnes tactiques
 Achat de mots-clés

110. ANALYTICS

111. RÉFÉRENCEMENT ORGANIQUE
L’optimisation pour les engins de recherche est un travail de
longue haleine. Il n’y a pas de trucs infaillibles, ni de
recette instantatée. Il faut simplement travailler sont
contenu, ses mots-clés, ses liens et ses métas. Mais le plus
important reste quand même écrire pour ses usagers.
Voici quelques liens qui sont intéressants pour en apprendre
d’avantage
 Cet outil permet de voir comment les engins de recherche
voient un site. Les résultats sont parfois surprenants.
 http://www.webconfs.com/search-engine-spider-
simulator.php
 Est-ce que vous vous êtes déjà demandé comment Google
faisait pour donner un rang à votre site, voici un lien qui
vous donne une checklist
 http://www.vaughns-1-pagers.com/internet/google-
ranking-factors.htm

112. RÉFÉRENCEMENT ORGANIQUE
 Si vous êtes accrochés à quelques mythes de SEO, voici un
article intéressant
 http://www.seo-theory.com/2009/03/19/seo-myths-and-
the-power-of-repetition/
 Et oui, les métas sont importants, j’ai souvent entendu des
gens me dire que non.
 Il est aussi important de mettre son site à jour
régulièrement et toujours ajouter du contenu qui est
pertinent pour ses usagers.

113. LIENS
 http://reineduweb.blogspot.com/2009/01/il-y-des-bugs-qui-pullulent-
dans-mon_30.html
 http://tredosoft.com/Multiple_IE
 http://www.w3schools.com/
 http://www.w3schools.com/browsers/browsers_stats.asp
 http://searchenginewatch.com/
 http://reineduweb.blogspot.com/2009/03/le-cycle-de-vie-dun-
projet.html
 http://reineduweb.blogspot.com/2009/09/phase-dimplementation-des-
taches.html
 http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion_de_projet
 http://www.pmi.org/Pages/default.aspx
 http://delicious.com/reineduweb/SEO

114. MERCI !