Présentation des projets et activités de la CTB Burundi, l'Agence Belge de Développement qui exécute le programme de coopération gouvernementale pour le compte de l'Etat belge
Les + de la Télé, édition 2011-2012 (SNPTV)MarketingZ
1. La télévision, tous les jours au top
2. La publicité TV, faire équipe avec vous
3. La publicité TV, et vos envies (d’efficacité) prennent vie !
4. La TV, un média sous un nouveau jour
5. La télévision, se réinventer chaque jour
Nouvelles attentes des clients et évolutions des modes de formation : un mon...Impakteo
- Les évolutions majeures du monde de la formation : panorama et enjeux
- Les nouvelles attentes des clients et des participants
- Comment rester différenciant dans ce monde en plein changement ?
En estas diapositivas trato de demostrar como ha influenciado las redes sociales en los adolescentes haciendo una comparación desde sus inicios hasta la actualidad.
> Bruno Le Maire fait jeu égal avec Nicolas Sarkozy parmi les sympathisants de Droite, interrogés sur la personnalité qu’ils souhaitent voir à la tête de l’UMP,
> Mais deux tiers des Français prévoient la victoire de Nicolas Sarkozy, proportion encore plus importante parmi les sympathisants de l’UMP,
> La campagne de Bruno Le Maire est jugée plus positivement que celles de ses adversaires,
> Plus d’un Français sur deux jugeant mauvais le début de campagne de Nicolas Sarkozy,
> A compétence jugée de manière équivalente par les Français, « l’autorité et le dynamisme » perçus de Nicolas Sarkozy contrastent avec « l’honnêteté et la sympathie » présumée de Bruno Le Maire.
Cossi 2014 - Article sur l'Intelligence Collectivei_colab
Article paru dans les actes du COSSI 2014, il est consacré aux outils qui prétendent faire de l'intelligence collective, plus particulièrement à Quora et Jelly.
Stad Brussel subsidieert projecten in MarokkoThierry Debels
De stad Brussel trekt in 2019 een bedrag uit van 170.000 euro voor 'internationale projecten Kinshasa (DRC) en Marokko, projecten klimaatplan en projecten mondiale vorming ter attentie van jongeren en de operationele kosten'.
Les + de la Télé, édition 2011-2012 (SNPTV)MarketingZ
1. La télévision, tous les jours au top
2. La publicité TV, faire équipe avec vous
3. La publicité TV, et vos envies (d’efficacité) prennent vie !
4. La TV, un média sous un nouveau jour
5. La télévision, se réinventer chaque jour
Nouvelles attentes des clients et évolutions des modes de formation : un mon...Impakteo
- Les évolutions majeures du monde de la formation : panorama et enjeux
- Les nouvelles attentes des clients et des participants
- Comment rester différenciant dans ce monde en plein changement ?
En estas diapositivas trato de demostrar como ha influenciado las redes sociales en los adolescentes haciendo una comparación desde sus inicios hasta la actualidad.
> Bruno Le Maire fait jeu égal avec Nicolas Sarkozy parmi les sympathisants de Droite, interrogés sur la personnalité qu’ils souhaitent voir à la tête de l’UMP,
> Mais deux tiers des Français prévoient la victoire de Nicolas Sarkozy, proportion encore plus importante parmi les sympathisants de l’UMP,
> La campagne de Bruno Le Maire est jugée plus positivement que celles de ses adversaires,
> Plus d’un Français sur deux jugeant mauvais le début de campagne de Nicolas Sarkozy,
> A compétence jugée de manière équivalente par les Français, « l’autorité et le dynamisme » perçus de Nicolas Sarkozy contrastent avec « l’honnêteté et la sympathie » présumée de Bruno Le Maire.
Cossi 2014 - Article sur l'Intelligence Collectivei_colab
Article paru dans les actes du COSSI 2014, il est consacré aux outils qui prétendent faire de l'intelligence collective, plus particulièrement à Quora et Jelly.
Stad Brussel subsidieert projecten in MarokkoThierry Debels
De stad Brussel trekt in 2019 een bedrag uit van 170.000 euro voor 'internationale projecten Kinshasa (DRC) en Marokko, projecten klimaatplan en projecten mondiale vorming ter attentie van jongeren en de operationele kosten'.
Dossier presse Rapport d'activité Fiphfp Juillet 2014AVIE
Dix objectifs opérationnels constituent la feuille de route du FIPHFP et concrétisent
la volonté de projeter le FIPHFP au-delà de son rôle de gestionnaire pour mieux
répondre aux attentes des pouvoirs publics :
- mettre en oeuvre les orientations du CIH
- Poursuivre le développement des interventions en matière de recrutement,
de maintien dans l’emploi, de formation et d’accessibilité
- Sensibiliser les employeurs publics sur l’action et l’offre du FIPFHP
- Approfondir la connaissance des bénéficiaires finaux des financements
- Accompagner les employeurs publics dans l’exécution de leur partenariat
avec le FIPHFP
- S’assurer de la qualité et de l’efficience des interventions du FIPHFP
- Se doter d’un SI rénové
- Fiabiliser et harmoniser les modalités d’application de l’obligation d’emploi
- Refondre l’offre des financements pour tenir compte des innovations
technologiques et des progrès dans la connaissance des handicaps
- Devenir une référence en matière d’innovation, de conseil et de contributions
aux politiques publiques du handicap.
Fiphfp Dossier presse juillet 2014 (feuille de route 2014 2018)AVIE
Dix objectifs opérationnels constituent la feuille de route du FIPHFP et concrétisent la volonté de projeter le FIPHFP au-delà de son rôle de gestionnaire pour mieux
répondre aux attentes des pouvoirs publics :
- mettre en œuvre les orientations du CIH
- Poursuivre le développement des interventions en matière de recrutement, de maintien dans l’emploi, de formation et d’accessibilité
- Sensibiliser les employeurs publics sur l’action et l’offre du FIPFHP
- Approfondir la connaissance des bénéficiaires finaux des financements
- Accompagner les employeurs publics dans l’exécution de leur partenariat avec le FIPHFP
- S’assurer de la qualité et de l’efficience des interventions du FIPHFP
- Se doter d’un SI rénové
- Fiabiliser et harmoniser les modalités d’application de l’obligation d’emploi
- Refondre l’offre des financements pour tenir compte des innovations technologiques et des progrès dans la connaissance des handicaps
- Devenir une référence en matière d’innovation, de conseil et de contributions aux politiques publiques du handicap.
Le programme SUDOE C'est quoi ? Pourquoi le CRIJ avec d'autres partenaires européens ont pu bénéficier d'une aide afin de mener des actions en faveurs des jeunes et de leur accès aux TIC ?
Le programme européen Eurêka vise la mise au point de nouveaux produits, procédés ou services assez proches du marché, en permettant à des PME et des unités de recherche d'y collaborer. Contrairement à d'autres initiatives européennes, il est plus souple, moins contraignants avec un taux de succès relativement élevé. Le Service Public de Wallonie est le point de contact pour concrétiser l'introduction de ces projets. Et l'Interface Entreprises ULiège, via son intégration dans des réseaux tels qu'EEN, peut aider à identifier des partenaires européens. Ces services sont à la disposition des entreprises innovantes et des chercheurs wallons.
Programme de cofinancement de projet d’éducation et de partenariat pour la citoyenneté mondiale et solidaire et la promotion des valeurs universelles de Wallonie Bruxelles International (WBI)
Etat d'avancement des 46 mesures en faveur du développement rural, prises par François Hollande le 13 mars 2015. Plus d'informations dans un article complet à lire sur Explorimmo http://bit.ly/1NrIPQW
Similar to Présentation du Programme CTB Burundi - Jan 2015 (20)
J’agis pour l’hygiène, l’assainissement et la bonne gestion des déchet - CTB ...CTB Burundi
Ce livret a été développé en collaboration avec l’ONG OPDE
dans le cadre des activités de formation humaine du programme
de développement socio-économique dans les communes
Kamenge, Kinama et Cibitoke via la construction de routes
pavées en haute intensité de main d’oeuvre (HIMO).
Le programme de développement travaille dans ces communes
depuis 2010. A ce jour plus de 3100 apprenants ont suivi les
chantiers écoles de pavage, les formations professionnelles et de
développement humain ainsi qu’une formation entrepreneuriale.
Plus spécifiquement, une formation en hygiène et assainissement
a été dispensée aux apprenants et à 50 élus /délégués des
collines et quartiers de ces mêmes communes.
Bujumbura, Burundi, Aout 2015
Quand on parle d’hygiène et d’assainissement, on aborde le sujet du respect
de soi-même, de sa santé et de celle de sa famille, et du respect de son environnement.
Les bonnes pratiques d’hygiène et d’assainissement consistent en une série
d’habitudes qui améliorent nos conditions de vie à tous, en réduisant les maladies,
en préservant notre environnement et en améliorant notre cadre de vie.
L’hygiène est un moyen de préserver sa santé et celle de ses proches en veillant
à la propreté de son corps, des aliments et de l’eau que l’on consomme.
L’assainissement, c’est prendre soin de son environnement (évacuer les eaux
usées et les déchets) afin d’éviter la prolifération des maladies et de dégrader
les ressources naturelles que l’on ne pourra plus utiliser.
Ce livret va nous aider à comprendre ce que sont les maladies liées au manque
d’hygiène et d’assainissement, et quelles sont les pratiques à adopter pour éviter
ces maladies.
CONTRACTUALISATION DES ÉCOLES PARAMÉDICALES SECONDAIRES PUBLIQUES - JUIN 2015CTB Burundi
UNE INITIATIVE ORIGINALE ET PORTEUSE POUR L’AVENIR DE LA FORMATION PARAMÉDICALE AU BURUNDI
CONTEXTE
Le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le SIDA a entrepris une réforme des formations paramédicales et introduit le financement basé sur la performance (FPB). Malgré une généralisation du FBP à tous les niveaux du système de santé, il n’existe pas encore d’expérience partagée sur le FBP dans les écoles à travers la littérature.
DÉFIS
Pléthore des élèves par rapport aux capacités d’accueil des écoles
Pénurie d’enseignants permanents
Insuffisance de terrains de stage
Faible niveau des encadreurs de stage
Faibles moyens de fonctionnement des écoles
OBJECTIFS
AMÉLIORER LA QUALITÉ de la formation du personnel paramédical, infirmier A2 et partant la qualité des soins offerts à la population.
AUGMENTER LE NIVEAU DE PERFORMANCE des écoles paramédicales (EPM) contractualisées en s’appuyant sur la motivation du personnel.
DIFFICULTÉS RENCONTRÉES
1.Absence de références bibliographiques
2.Faible acceptabilité de certains indicateurs
3.Retard dans le paiement des frais d’encadrement de l’Etat
4.Acception des critères de répartition des primes par certains terrains de stage.
PERSPECTIVES
Intégrer le Financement basé sur la performance (FBP) des EPM dans le FBP du Ministère pour garantir le financement
Adapter les indicateurs au fur et à mesure
Mener une enquête d’opinions auprès des bénéficiaires
CARTOGRAPHIE DES RESSOURCES HUMAINES EN 2013 - JUIN 2015CTB Burundi
INTRODUCTION
La cartographie des ressources humaines de 2013, réalisée par le MSPLS, a permis d’obtenir des données sur la disponibilité des ressources humaines et leur profil et d’établir les besoins en personnel.
La collecte des données a concerné toutes les structures sanitaires du pays à l’exception du secteur privé.
Les résultats montrent un déficit grave de certaines catégories de personnel et un surplus pour d’autres, une répartition inégale entre les districts et les provinces sanitaires, un déséquilibre important entre les zones urbaines et rurales et des besoins très importants par rapport aux normes.
RECOMMENDATIONS
Favoriser la production de médecins spécialistes, de médecins généralistes à compétences chirurgicales et obstétricales et d’infirmiers spécialisés
Développer une stratégie pour redéployer le surplus de personnel vers les zones déficitaires et l’encourager à rester sur place
Inclure les données du secteur privé pour compléter la cartographie des ressources humaines
INTRODUCTION
Dans le cadre de la modernistation du Système d’Information Sanitaire (SIS), le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le SIDA travaille à l’élaboration d’une carte sanitaire délimitant avec précision les aires de responsabilité de chaque structure sanitaire du pays.
Ce projet se fait avec l’appui de la Coopération belge et en collaboration avec le Musée Royal d’Afrique Centrale (MRAC).
OBJECTIF
AMÉLIORER l’analyse spatiale des données ET la planification du secteur de la santé en fournissant au Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le SIDA un outil cartographique reprenant toutes les structures sanitaires du pays.
MÉTHODOLOGIE
Constitution et formation à la DSNIS d’une équipe de 6 personnes (logiciel QGIS, importation dans le SIG des données GESIS, relevé des données sur le terrain avec récepteurs GPS, mise en forme et analyse des cartes)
Constitution d’un fonds de cartes préliminaires à partir des cartes topographiques obtenues auprès du MRAC, de l’Université du Burundi, de l’Institut Géographique du Burundi, du Ministère de l’environnement et des ONGs
Traçage des aires de responsabilité suivant une approche participative avec les équipes cadres de district à partir :
1.Des fichiers vectoriels disponibles des collines et sous-collines empiriquement utilisés dans les districts sanitaires
2.Des données GPS recueillies sur terrain
3.Des photos aériennes de très haute résolution spatiale (0,5 m) pour les centres urbains (Bujumbura, Gitega, Ngozi et Rumonge)
RÉSULTATS
Numérisation des limites des 45 districts sanitaires et création des couches vectorielles de 647 aires de responsabilité
Relevés et positionnement de 2052 formations sanitaires, parmi lesquelles 71 hôpitaux, 943 centres de santé et 1038 autres structures (pharmacies, laboratoires, centres optiques, etc.)
Création de la première carte sanitaire du Burundi et présentation de quelques indicateurs sanitaires sous forme de cartes thématiques
Six gestionnaires des données sanitaires de la DSNIS formés à la création des cartes et à l’analyse spatiale des informations sanitaires
PERSPECTIVES
Le SIG-SAN s’est intégré efficacement au SIS et permet l’analyse spatiale des indicateurs. Il se présente comme un outil potentiellement adapté à la planification de l’extension des couvertures.
La formation en alternance pour une meilleure réinsertion socio-professionnelleCTB Burundi
Points-clés
Statut rémunéré des apprenants. Les apprenants ont un statut qui permet de bénéficier d’une rémunération tout en continuant à se former. Cette formule alliant travail et formation contre rémunération permet de toucher les couches les plus pauvres et souvent les chefs de ménages.
La prise en compte du genre. Moteur de développement, les femmes ont un rôle important à jouer mais ne sont bien souvent pas mise en avant. Une attention particulière leur est portée en proposant une identification qui respecte la parité.
Des formations pour mieux cohabiter. Les formations humaines (formations
de développement individuel et communautaire) ont pour but d’être moteur du changement de comportement des apprenants et de permettre une meilleure cohabitation sur les chantiers et en dehors.
Une Ouverture professionnelle par la formation. Les formations professionnelles sont concrètes et basées sur la pratique. Aucune connaissance en écriture et lecture n’est préconisée. En peu de temps, les apprenants peuvent apprendre les bases d’une profession et peuvent bénéficier d’une attestation reconnue par le Ministère de l’enseignement.
Des formations pour devenir acteur de changement. L’ensemble du cycle de formation permet à chaque apprenants de prendre la mesure de sa capacité à être acteur de changement tant par les formations humaines et le transfert des compétences au sein de leurs communautés que par les formations professionnelles et entrepreneuriales.
Appuyer le développement d’activités génératrices de revenus. L’insertion professionnelle est stimulée en donnant la possibilité à chaque apprenant de développer une activité génératrice de revenus s’il le désire. Dans ce but, le Projet Pavage cherche à orienter les formations profess
Professionnalisation de la filière des pavés au BurundiCTB Burundi
Points-clés
Appuyer le regroupement en association. Le Projet Pavage propose un soutien aux tailleurs de pavés pour la création et l’organisation en association. Ils ne travaillent plus de manière isolée, améliorent leur reconnaissance et leur efficacité.
Renforcer les capacités en gestion administrative et financière. Un renforcement de capacité en gestion administrative et financière est proposé aux tailleurs de pavés pour permettre une professionnalisation de la filière. La régularité des paiements et des livraisons permet aux associations de tailleurs de pavés de développer de nouveaux partenariats.
Vers la taille de pavés de qualité. Les tailleurs de pavés sont encouragés à fournir un produit de qualité. Une compensation financière est attribuée selon la qualité des pavés fournis. Ces mesures de « contrôle qualité » ont amené les associations à fournir des produits de meilleur qualité améliorant du même coup les routes construites.
Améliorer la gestion environnementale des sites. Les tailleurs de pavés exploitent les carrières tout en améliorant les conditions d’hygiène, de sécurité et de travail en général. L’aménagement des carrières permet de limiter les risques d’accident et favorise une gestion durable des sites. Il a aussi permis de développer l’activité de valorisation des déchets de taille pour en extraire du gravier concassé.
La reconnaissance légale des associations. Les associations doivent avoir préalablement des autorisations du Ministère de l’Energie et des Mines et du Ministère de l’Environnement avant l’exploitation en fonction des considérations légales sur les mines, les carrières et l’environnement. Reconnues par les communes, les associations payent des taxes locales et sont mieux acceptées par les riverains.
La réconciliation par le travail : le cas du Projet Pavage au BurundiCTB Burundi
Points-clés
Faciliter le changement de comportement par les formations humaines. Chaque apprenant démarre son apprentissage par une série de formations humaines. La première formation concerne la résolution pacifique des conflits, basée sur la communication non-violente. Cette formation permet aux candidats recrutés de dépasser les clivages ethniques, politiques, religieuses et favorise l’harmonie sociale au travail.
Un règlement de travail pour tous. L’ensemble des apprenants doit s’y conformer sans distinction. Ainsi, les différentes catégories d’apprenants partagent les mêmes valeurs professionnelles.
Niveler les différences par le travail. Tout le monde démarre au même niveau et peut évoluer selon son mérite et ses compétences. Chacun bénéficie de la même chance.
Solidarité communautaire et appropriation des infrastructures. La participation aux travaux d’infrastructures permet de développer l’appartenance à une identité commune. Les apprenants sont fiers d’avoir contribués au bien-être de leur commune en rendant les quartiers plus propres et mieux entretenus.
Encourager au maximum le dialogue. La communication claire et transparente est facilitée par des organisations indépendantes qui travaillent pour le Projet Pavage, ce qui permet de désamorcer les conflits et d’encourager le dialogue.
Le 28 novembre s’est tenu dans les enceintes de l’Agence belge pour le Développement le séminaire annuel Be-cause Heath. Organisé par la plateforme belge pour la santé internationale, 200 intervenants ont été rassemblés afin de réfléchir autour de l’intégration effective de la santé et des droits sexuels reproductifs au sein de la coopération (belge) au développement. Parmi les interlocuteurs clés, Prof. Dr. Gita Sen, Prof. Dr. Marleen Temmerman ou encore le Ministre belge à la coopération, Alexander de Croo, tous ont insisté sur l’importance de cette question en perspective de l’ICPD +20 et de l’agenda post-2015 des OMD.
Marine Jacob, assistante junior au projet Police de la CTB, a eu l’occasion de présenter les activités relatives à la lutte contre le VIH/Sida au sein de la Police Nationale du Burundi.
1. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
La Belgique est le 1er partenaire de
coopération gouvernementale du
Burundi, en termes de volume, parmi les
8 partenaires. (2013)
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Dépenses CTB 2013
34,3 millions €
Dépenses CTB 2014 (estimation)
46,5 millions €
La Belgique, un partenaire essentiel pour le
Burundi
La Belgique se positionne comme 3ème
bailleur du pays, après la Banque
mondiale et l’Union européenne.
La part de la Belgique dans l’aide
publique au développement au Burundi
(496 millions US$ en 2013) est de
l’ordre de 13%.
2. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Population : 10 millions
Superficie : 26.338 km²
(0,86 fois la Belgique)
Développement humain :
180ème sur un total de 187 pays
Zones d’intervention et données-clés
3. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
Une tendance croissante du
volume des PIC
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Une continuité dans les secteurs appuyés
0
20
40
60
80
100
120
140
160
180
200
PIC 2007-2009 PIC 2010-2013
60
150
9
50
Budgetenmillionseuros
Complément
Budget base
80% mis en œuvre par la CTB
20% avec une mise en œuvre
déléguée
Chiffres-clés
25
(36%)
11,9
(17%)
10,8
(16%)
16,3
(24%)
5
(7%)
Répartition sectorielle PIC 2007-2009
(en millions Euros)
AGRICULTURE & DEV ECO
SANTE
EDUCATION
GOUVERNANCE
MULTI-SECTORIEL
5. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
Agriculture et développement
économique
Le développement économique et la
création d’emploi constituent des priorités
du Cadre stratégique de croissance et de
lutte contre la pauvreté (CSLP II).
La Belgique appuie cet objectif au travers
d’un appui conséquent et
multidimensionnel au développement du
secteur agricole (aménagement hydro-
agricole, appui aux organisations de
producteurs, aux filières semencières, à la
recherche agricole…) ainsi que via le
développement socio-économique par le
pavage sous une modalité Haute Intensité
de main d’oeuvre (HIMO) et travail décent.
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Santé
L’appui au secteur Santé se décline sous
plusieurs volets : appui à l’offre de soins, au
développement des ressources humaines, au
système de statistiques sanitaires, au
développement institutionnel et
organisationnel, sous la forme d’une
approche Programme.
Trois secteurs prioritaires : l’agriculture et le
développement économique, la santé, l’éducation
Education
L’intervention de la Belgique dans le
secteur Education se structure autour
d’une contribution au Fonds Commun
de l’Education (la Belgique assurant
également le rôle d’entité de
supervision pour le Fonds Commun
Education) ainsi que de 2 projets
ciblant, d’une part, l’appui à la formation
initiale des enseignants et, d’autre part,
la formation technique et
professionnelle (orientée sur le marché
du travail).
6. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Gouvernance
En application des principes d’intervention
dans les Etats Fragiles et tenant compte du
nexus Sécurité et Développement, la
Belgique œuvre au renforcement de l’Etat
(State Building), notamment dans les
domaines de la Justice et de la Police afin de
permettre aux justiciables et citoyens
burundais d’accéder à des services plus
professionnels, de faire valoir leurs droits, et
de construire progressivement
l’indépendance et les mécanismes adéquats
de redevabilité et de transparence de ces
systèmes.
Un thème prioritaire: la gouvernance
7. BELGISCH ONTWIKKELINGSAGENTSCHAP
Des collaborateurs compétents
Les compétences nationales sont
valorisées par le recrutement d’Assistants
techniques nationaux et par l’implication
des collaborateurs nationaux des
institutions partenaires burundaises.
Les Assistants techniques internationaux
présentent des profils d’expertise variés,
tant sur le plan technique que managérial,
dans une logique de transfert de
compétences.
Des Assistants Juniors allient
développement de leur expérience
professionnelle avec des apports clés pour
les partenaires.
COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Des partenariats avec les
institutions publiques belges
• le SPF Justice pour la formation des
magistrats et l’appui à la Cour suprême
• la Police fédérale belge pour la mise en
œuvre des concepts de police de
proximité et des réformes, dans une
approche d’accompagnement par les
pairs.
Des collaborations avec les
universités et les instituts de
recherche belges
• le Musée Royal d’Afrique centrale pour
la réalisation des cartes des sols et
cartes géologiques
• l’université de Gand pour la réalisation
de la carte des sols et l’interprétation
des données des enquêtes nationales
agricoles
Une expertise nationale et internationale
8. COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Complémentarité et collaboration avec les autres
acteurs belges
Les ONG belges
• Avocats sans frontières et RCN Justice et
Démocratie dans le secteur Justice, avec
l’objectif de déployer une approche
holistique et en stimulant le dialogue entre
les différents acteurs institutionnels
(exemple : le Ministère et les institutions
judiciaires avec la société civile).
• Caritas (FBSA) dans le secteur agricole, pour
pouvoir développer une approche intégrée
d’aménagement des marais et bassins
versants, s’appuyant sur les domaines
d’expertise respectifs de chacun.
L’APEFE dans le secteur
Education
pour une approche
multidimensionnelle de renforcement
des capacités des filières de la
formation technique et professionnelle.
FINEXPO
dans le cadre des analyses de faisabilité
pour l’octroi d’un financement au
Burundi pour améliorer la disponibilité
énergétique.
9. COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Mobilisation de financements complémentaires d’autres
bailleurs
Du Global Partnership Education (52,9
millions USD) dans le cadre du Fonds
Commun Education : pour lequel la Belgique
assume le rôle d’entité de supervision.
Du PNUD qui apporte un
financement complémentaire au
projet Pavage, étant donné
l’expertise développée et reconnue
de la CTB dans ce domaine et
l’intérêt spécifique de l’approche
HIMO (Haute intensité de main
d’œuvre) – travail décent en matière
de développement.
De la Suisse qui apporte un
co-financement au projet Santé, en
réciprocité du financement en
coopération déléguée passive accordé
par la Belgique.
De l’UE – perspective d’opportunité
d’un financement complémentaire
aux programmes Agriculture et
Justice.
Des Pays-Bas qui accordent un
co-financement au projet Police,
pour une mise en œuvre plus
efficace et efficiente.
10. COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Encouragement du secteur privé
Facilitation de l’investissement en
matière d’intensification agricole sur les
différents maillons des chaînes de valeur
(production mais aussi transformation,
commercialisation,…) à destination des
entrepreneurs paysans, coopératives
agricoles.
Incitation à la mise en place de
partenariats publics-privés dans
le cadre de la formation technique et
professionnelle, et d’une approche
de formation répondant aux besoins
du marché du travail et de
l’économie burundaise.
Appui à l’entreprenariat
développé dans le cadre du Projet
d’appui à la formation technique et
professionnelle ainsi que du Projet
d’appui au développement socio-
économique par le pavage.
Stimulation de l’économie
burundaise au travers des
nombreuses commandes publiques
découlant de la mise en œuvre du
Programme bilatéral.
11. COOPÉRATION BELGIQUE - BURUNDI
Pour un impact durable
Des investissements de long terme, se
focalisant sur la qualité (exemple : les
infrastructures, notamment l’aménagement
hydro-agricole de Nyamagana)
Appui au développement des
stratégies de maintenance pour le
programme Santé
Appui au renforcement de l’Etat
(State Building) dans une approche
liant sécurité et développement (cfr :
stratégie dans les situations de
fragilité)
Amélioration des cadres
institutionnels, appui au
développement organisationnel et
renforcement des capacités des
différents acteurs
12. PAIOSA (2009-2017)
Contribuer de manière durable à la
réduction de la pauvreté et soutenir la
croissance économique du Burundi à
travers l’augmentation de la productivité
des facteurs de production, la valorisation
maximale des productions, la
diversification des opportunités de
revenus, la préservation et le maintien des
ressources naturelles et
environnementales.
Résultats
• Construction de la prise d’eau sur la rivière Nyamagana qui permettra d’irriguer
environ 4000 ha exploitables par 4.218 cultivateurs
• Mise en place d’outils de soutien au financement de l’investissement privé (FIF) et
de la recherche agronomique (FOCRA)
• 60 projets ont été soutenus et grâce à ce partage du risque, la capacité de
négociation des conditions de crédit par les producteurs est augmentée. Il est
attendu de ces projets un revenu généré de 221.000 €/an
• La Carte des sols du Burundi a été digitalisée
• 16 Plans Provinciaux d’Investissement Agricole (PPIA) et 155 cartes thématiques
ont été produits pour l’ensemble des 16 provinces du Burundi
• Plantation d’environ 5.751.000 plants forestiers et agroforestiers protégeant
4.500 ha de terre
AGRICULTURE
13. PAISS (2011-2019)
L’intervention vise à soutenir le Ministère
de la Santé Publique et de la Lutte contre
le SIDA (MSPLS). Afin d’améliorer
l’ensemble du système de santé, le PAISS
appuie cinq aspects : la gouvernance au
niveau central, la gouvernance sanitaire
périphérique, le développement des
ressources humaines, le Système National
d’Information Sanitaire ainsi que la gestion
et la maintenance des infrastructures et
des équipements.
Résultats
• Mise en œuvre au niveau central du FinancementBasé sur la Performance (FBP)
• Élaboration d’une stratégie de financement pour une couverture universelle en
concertation avec le secteur de la Protection Sociale. La proportion de la
population couverte par une assurance maladie ou un mécanisme de solidarité
est passée de 41% en 2012 à 71% en 2013
• Réhabilitation de 3 écoles paramédicales publiques
• Réalisation de la cartographie sanitaire de l’ensemble du territoire
• Mise à l’échelle nationale de la stratégie plainte-traitement
• Système de référence/contre-référence : à Kirundo et Muramvya, le nombre de
patients transférés d’urgence vers les hôpitaux de district est passé de 1746 en
2012 à 3512 en 2013
SANTE
14. AFPT (2012-2017)
Permettre aux jeunes et aux adultes
d’acquérir des compétences techniques et
professionnelles adaptées aux besoins de
l’économie locale, nationale, régionale et
internationale.
FIE (2011-2016)
Contribuer à l’amélioration de la qualité de
l’enseignement au Burundi.
Résultats
• Réhabilitation et construction de 4 centres de formation professionnelle et
technique disposant de l’équipement nécessaire pour 7 filières
• Les effectifs des 4 centres de formation appuyés ont été multipliés par 6
• Renforcement des capacités des membres des cellules d’insertion (10 cellules)
• 87 fiches filières identifiées suite à une étude sur l’adéquation emploi-
formation
Résultats
• 120 conseillers pédagogiques renforcés
• Référentiel de métier, de compétences, de formation et d’évaluation pour la
formation initiale des enseignants du primaire
• Référentiel de compétences, de formation et d’évaluation pour les sections
de l’enseignement secondaire général
EDUCATION
15. AICPJ (2012-2016)
Renforcer l’État de droit à travers un cadre
institutionnel approprié de la justice.
L’équité, la crédibilité et l’efficacité de la
justice pénale rendue et administrée par
les institutions judiciaires et pénitentiaires
sont améliorées, notamment pour les
prévenus, les détenus et les mineurs en
conflit avec la loi et pour les victimes de
violences basées sur le genre.
Résultats
• Appui technique aux magistrats de la Cour Suprême du Burundi, notamment
via le partenariat noué avec la Cour de Cassation de Belgique et le Service
Public Fédéral Justice belge
• Prononcés sous 48h, après passage en audience, des arrêts de cassation de la
Cour Suprême par rapport à plusieurs mois auparavant
• En appui au Centre de Formation Professionnelle de la justice (CFPJ) :
organisation du premier concours de recrutement pour les magistrats
burundais. 66 magistrats suivent pour la première fois une formation initiale
d’une année
• En 4 ans, plus de 10.000 personnes ont vu leur durée de détention diminuer
• Accès en moins de 5 minutes aux dossiers judiciaires grâce à une refonte de
l’archivage
• Construction et équipement du nouveau bâtiment de la Cour Suprême à
Bujumbura (en cours, attendu pour avril-mai 2015)
JUSTICE
16. PROGRAMME PAVAGE (2009-2015)
Les chantiers à haute intensité de main
d’œuvre permettent une insertion socio-
économique des apprenants issus des
communes et réhabilitent de façon
durable le réseau routier.
Le programme pavage promeut le travail
décent et met en place un système de
collecte des déchets solides.
Résultats
• Construction de 43 km de routes pavées et 2 km de caniveaux
• Emploi de 3288 bénéficiaires directs via les chantiers-écoles de pavage
• Les formations professionnelles et les bourses d’installation ont permis à plus
de 600 apprenants de lancer leur activité professionnelle
• Avec un taux de couverture actuel de 30%, 60 000 personnes bénéficient d’un
système de collecte des déchets communal adapté au contexte des
communes périphériques et défavorisées
• Sur les communes Nord de Bujumbura, plus de 52 % de la main d’œuvre sont
des femmes sur les chantiers écoles
PAVAGE