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RAPPEL
• MÉTHODE
D’ÉCHANTILLONNAGE
CIBLE INTERROGÉE • COLLECTE TRAITEMENT
STATISTIQUE
• Echantillon grand public
constitué par tirage
aléatoire dans la base des
panélistes éligibles pour
l’étude.
• 6 001 individus de 18 à 75 ans
soit 500 individus dans chacune
des 12 régions métropolitaines.
• Online sur système CAWI
• Dates de terrain :
du 21 février au 1er mars
2019
• Echantillon grand public
pondéré selon la méthode
du Rim Weighting sur les
critères de sexe, âge,
profession de l’individu,
région et catégorie
d’agglomération
Ce rapport a été élaboré dans le respect de la norme internationale ISO 20252 « Etudes de marché, études sociales et
d’opinion ». Ce rapport a été relu par Etienne Mercier, Directeur de département.
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
4. • MÉTHODE
D’ÉCHANTILLONNAGE
CIBLE INTERROGÉE • COLLECTE TRAITEMENT
STATISTIQUE
• Echantillon professionnel
de santé constitué par
tirage aléatoire dans la
base des panélistes
éligibles pour l’étude
• 437 professionnels de santé,
impliqués dans la prise en charge
du cancer du poumon et répartis
comme suit :
– 273 médecins généralistes
– 97 pneumologues
– 67 oncologues
Pour participer à l’enquête, la prise en
charge de patients souffrant d’un cancer du
poumon devait représenter à minima 25%
de l’activité des spécialistes
• Online sur système CAWI
• Terrain débuté le 28 Février
2019
• Premiers résultats présentés
sur la base d’une extraction réalisée le 22
mars 2019 comprenant 437 répondants
• Chaque échantillon de
professionnel de santé a été
redressé selon la méthode
du Rim Weighting (sur les
critères de sexe, d’âge, de
région d’exercice, de
catégorie d’agglomération
d’exercice et de type de
pratique) afin d’obtenir des
échantillons représentatif
de chaque spécialité
Ce rapport a été élaboré dans le respect de la norme internationale ISO 20252 « Etudes de marché, études sociales et
d’opinion ». Ce rapport a été relu par Etienne Mercier, Directeur de département.
Dispositif mis en place auprès des professionnels de santé
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
5. GRAND PUBLIC (N=6001)
PNEUMOLOGUES (N=97)
ONCOLOGUES (N=67)
MÉDECINS GÉNÉRALISTES (N=273)
Note de lecture PROFESSIONNELS DE SANTÉ (N=437)
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
7. En dehors du tabac, seule la moitié des Français identifie d’autres facteurs de risque
susceptibles de provoquer un cancer du poumon
Q21BIS Tabac. En dehors du tabac, connaissez-vous d’autres facteurs de risques susceptibles de provoquer un cancer du poumon ?
27
23
50
Oui, et j'en connais plusieurs
Oui, un seul
Non
OUI
50%
Base : Ensemble
En %
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
9. Crachats de sang (42%), difficultés à respirer (42%), toux (38%) et essoufflement (35%) sont
les principaux symptômes annonciateurs d’un cancer du poumon pour les Français
Q11. D’après vous quels sont les principaux symptômes qui peuvent être annonciateurs d’un cancer du poumon ?
42
42
38
35
27
27
21
19
16
15
10
7
3
16
14
16
12
9
7
6
6
4
5
3
2
Crachats de sang
Difficultés à respirer
Apparition d’une toux
Essoufflement
Bronchites à répétition
Fatigue inhabituelle et persistante
Douleurs importantes
Sifflements en respirant
Perte de poids
Pneumonies
Modifications de la voix
Manque d’appétit
Gonflement du visage et du cou
Au total
En premier
Base : Ensemble
En %
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
10. 3
28
62
77
50
39
4
43% des Français considèrent que le diagnostic du cancer du poumon est réalisé tard après le
repérage des premiers symptômes. Les médecins considèrent que pour la majorité des Français, le
diagnostic du cancer du poumon est réalisé encore plus tardivement
Très tôt après l’apparition des
premiers symptômes
Relativement tôt après repérage
des premiers symptômes
Relativement tard après le repérage des
premiers symptômes
Très tard après le repérage des
premiers symptômes
% TÔT
57
% TARD
43
% TARD
69
Q10. D’après ce que vous en savez, aujourd’hui le diagnostic du cancer du
poumon est réalisé…..
Q10. Pour la majorité des Français, aujourd’hui le diagnostic du cancer du
poumon est réalisé…..
% TÔT
31
Base : Ensemble
En %
11. 61
51
6
4
4
36
46
60
44
39
3
3
34
52
57
Le cancérologue / l’oncologue
Le pneumologue
Le médecin généraliste
L’urgentiste
Le gériatre
Q21. D’après ce que vous en savez, quels sont tous les professionnels de santé qui peuvent diagnostiquer un cancer du poumon?
Dans les faits, le niveau de connaissance des Français concernant les médecins qui peuvent
diagnostiquer un cancer du poumon est modéré : seuls 6 sur 10 connaissent avec certitude le rôle
de l’oncologue, 5 sur 10 celui du pneumologue et moins d’1 sur 10 celui du généraliste
OUI J’EN SUIS SÛR OUI, JE PENSE NON Oui
97
97
66
48
43
Base : Ensemble
En %
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
12. Moins d’1 Français sur 5 sait avec certitude qu’il existe un centre spécialisé dans la prise en
charge du cancer du poumon dans sa région
Q32. Aujourd’hui existe-t-il au sein de votre région un centre de santé spécialisé dans la prise en charge du cancer du poumon?
18
26
3
53
Oui, et j’en suis sûr
Oui, mais je n’en suis pas sûr
Non
Je ne sais pas
% OUI
44%
Base : Ensemble
En %
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
13. 51
57
46
37
34
17
36
20
17
25
34
25
47
41
51
59
63
72
55
61
64
61
53
53
2
2
3
4
2
11
9
16
17
13
10
20
0
0
0
0
1
0
0
3
2
1
3
2
18
20
19
13
16
13
15
15
13
11
19
14
71
69
69
74
70
70
68
68
67
66
57
61
8
9
9
10
11
14
14
13
16
19
19
20
3
2
3
3
3
3
3
4
4
4
5
5
L’efficacité des nouveaux traitements disponibles
L’innovation en matière de traitements
La qualité des soins prodigués dans le cancer du poumon
L’espérance de vie des patients qui souffrent d’un cancer du poumon
Le diagnostic du cancer du poumon
Le repérage des premiers symptômes du cancer du poumon
L’accompagnement des patients qui souffrent d’un cancer du poumon pendant leur traitement
Le dépistage du cancer du poumon
La prévention du cancer du poumon en général
La coordination des soins entre la ville et l’hôpital pour les patients qui souffrent d’un cancer du poumon
Les politiques publiques visant à lutter contre le tabagisme
La prévention du cancer du poumon dans le milieu professionnel
Les Français considèrent que la prise en charge du cancer du poumon s’est seulement « un peu » améliorée
ces 10 dernières années en France alors que les médecins dressent un bilan beaucoup plus positif
Q30. Avez-vous le sentiment que ces 10 dernières années, la situation s’est améliorée ou détériorée concernant les éléments suivants dans la prise en charge du
cancer du poumon en France ?
BEAUCOUP AMÉLIORÉE UN PEU AMÉLIORÉE UN PEU DÉTÉRIORÉE BEAUCOUP DÉTÉRIORÉE
Amélioré
98 89
98 89
97 88
96 87
97 86
89 83
91 83
81 83
81 80
86 77
87 76
78 75
Base : Ensemble
En %
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
14. Cancer du poumon
79
40
28
25
21
19
15
15
8
7
7
7
6
6
5
4
4
3
2
Cancer du sein
Cancer de la prostate
Cancer du col de l’utérus
Cancer du côlon ou du rectum (intestin)
Mélanome (de la peau)
Cancer de la thyroïde
Cancer du sang
Cancer du rein
Cancer des ovaires
Cancer du foie
Cancer du cerveau/ tumeur cérébrale
Cancer de l’estomac
Cancer des testicules
Cancer de la gorge ou de la bouche
Cancer de la vessie
Cancer du pancréas
Cancer de l’endomètre
Cancer de l’œsophage
Seulement 1 Français sur 5 estime que c’est dans le cancer du poumon que l’on a fait le plus de
progrès médicaux, très loin derrière le cancer du sein
Q6. Et quels sont les trois cancers dans lesquels on a fait le plus de progrès médicaux :
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
15. Cancer du poumon
65
46
40
32
32
29
16
11
6
6
3
2
2
2
2
2
2
1
Cancer du sein
Cancer du sang
Cancer du côlon ou du rectum
Mélanome (de la peau)
Cancer de la prostate
Cancer du col de l’utérus
Cancer du rein
Cancer de la thyroïde
Cancer des testicules
Cancer de la gorge ou de la bouche
Cancer de l’estomac
Cancer des ovaires
Cancer de la vessie
Cancer du foie
Cancer du pancréas
Cancer du cerveau/ tumeur cérébrale
Cancer de l’endomètre
Cancer de l’œsophage
Les médecins dressent un constat très différent : le cancer du poumon fait partie de ceux pour
lesquels il y a eu le plus de progrès médicaux.
Q6. Et quels sont les trois cancers dans lesquels on a fait le plus de progrès médicaux:
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
16. 31
58
44
41
15
68
25
2
11
2
4
9
22
10
12
3
31
8
2
2
0
1
52
46
38
37
33
25
19
18
17
10
5
20
16
11
11
15
7
5
5
5
3
2
Des chimiothérapies
Des thérapies ciblées
De la personnalisation des traitements
Des médicaments biologiques
Des programmes de médecine préventive
Des médicaments d’immunothérapie
Des médicaments de thérapie génique
De la régénération des cellules
De la chirurgie assistée par des robots
Des organes artificiels
De l’intelligence artificielle
Au total
En premier
Pour les Français, l’innovation thérapeutique concerne avant tout les chimiothérapies et les thérapies ciblées.
Les médecins estiment quant à eux qu’elle provient avant tout de l’immunothérapie et des thérapies ciblées
Base : Ensemble
En %
Q14. D’après ce que vous savez, les trois principales innovations en matière de
traitements concernant le cancer du poumon proviennent…:
Q14. Selon vous, les trois principales innovations en matière de traitements
concernant le cancer du poumon proviennent…:
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
17. 17
③ Entre peur et culpabilisation,
le cancer du poumon est un cancer à part
19. Cancer du poumon
46
33
29
26
24
22
22
18
14
13
11
9
7
6
5
5
4
3
1
Cancer du cerveau/ tumeur cérébrale
Cancer du pancréas
Cancer du sang (lymphome, myélome, leucémie)
Cancer du sein
Cancer de la gorge ou de la bouche
Cancer du côlon ou du rectum (intestin)
Cancer du foie
Cancer de la prostate
Cancer de l’estomac
Mélanome (de la peau)
Cancer du col de l’utérus
Cancer de l’œsophage
Cancer des testicules
Cancer des ovaires
Cancer du rein
Cancer de la thyroïde
Cancer de la vessie
Cancer de l’endomètre
Le cancer du poumon est le 2e cancer dont les Français ont le plus peur derrière le cancer
du cerveau mais devant le cancer du pancréas.
Q5. Quels sont les trois cancers dont vous avez le plus peur :
43% chez les femmes
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
20. 61
35
4
Extrêmement grave
Très grave
Assez grave
Peu grave
Pas grave du tout
Le cancer du poumon est un cancer extrêmement grave pour 2 Français sur 3
Q8. Pour vous, le cancer du poumon, c’est une maladie …?
% GRAVE
96
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
21. 56
38
37
26
22
21
14
13
12
11
10
10
10
10
Inquiet / angoissé
Effondré
Combatif
En colère
Condamné
Déterminé
Mobilisé
Résigné
Incurable
Incrédule
Coupable
Seul
Confiant
Optimiste
Q17. Parmi les suivants, quels adjectifs représenteraient le mieux votre état d’esprit si vous appreniez un jour que vous souffrez d’un cancer du poumon
L’inquiétude, l’angoisse (56%) serait le principal sentiment associé par les Français à un
diagnostic de cancer du poumon devant l’effondrement (38%) et la volonté de se battre (37%).
Sentiment positif
Sentiment négatif
51%
87%
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
22. 22
La perception des malades du cancer du poumon
par les Français : entre empathie et stigmatisation
23. 8
7
15
8
27
27
37
5
2
7
47
41
54
30
52
61
51
27
10
40
39
44
25
50
16
11
11
51
44
34
6
8
6
12
5
1
1
17
44
19
28
30
9
10
5
4
6
2
2
2
57
54
51
50
37
34
30
27
11
7
12
14
30
32
40
48
39
51
51
26
3
2
10
8
18
14
25
20
36
65
Ce sont des personnes comme les autres personnes atteintes d’un cancer
Ce n’est pas totalement de leur faute, ce cancer peut frapper n’importe qui
Elles sont souvent culpabilisées par la société
C’est un cancer comme un autre
Elles ont toutes dans leur entourage quelqu’un qui fume beaucoup
Elles sont « condamnées »
Elles ont toutes fumé à un moment donné dans leur vie
Elles sont socialement exclues
C’est une maladie héréditaire
Elles n’ont que ce qu’elles méritent
Q18. Êtes-vous d’accord ou pas avec chacune des affirmations suivantes concernant les personnes qui souffrent d’un cancer du poumon ?
Q18. D’après ce que vous constatez, la majorité des Français est d’accord ou pas avec chacune des affirmations suivantes concernant les personnes qui
souffrent d’un cancer du poumon ?
La grande majorité des Français considère que les personnes qui ont un cancer du poumon sont des personnes comme les autres et que
ce n’est pas totalement de leur faute car ce cancer peut frapper n’importe qui. Les médecins ont une perception beaucoup plus pessimiste
du niveau de stigmatisation des malades souffrant d’un cancer du poumon au sein de la société française.
TOUT À FAIT D’ACCORD PLUTÔT D’ACCORD PLUTÔT PAS D’ACCORD PAS DU TOUT D’ACCORD
D’accord
85 55
84 48
60 69
60 38
42 79
38 88
36 88
29 32
13 12
9 47
Base : Ensemble
En%
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
24. Une proportion importante de Français considère toutefois que les personnes atteintes d’un cancer du
poumon sont en partie responsables de leur maladie. Pour la quasi-totalité des médecins, cette
stigmatisation est très ancrée chez les Français.
Q19. Diriez-vous que les personnes qui souffrent d’un cancer du poumon
sont tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout responsables de
l’apparition de leur cancer :
2
39
44
15
Tout à fait responsables
Plutôt responsables
Plutôt pas responsables
Pas du tout responsables
% RESPONSABLES
41%
12
79
8 1
% RESPONSABLES
91%
Q19. Pour la majorité des français, les personnes qui souffrent d’un
cancer du poumon sont-elles responsables ou non de l’apparition de leur
cancer:
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
Base : Ensemble
En %
26. Q20. Diriez-vous que vous êtes bien informé ou pas concernant chacun des aspects suivants à propos du cancer du poumon :
En dehors des facteurs de risque (56%), moins d’1 Français sur 3 s’estime a priori bien
informé sur la prise en charge du cancer du poumon.
TRÈS BIEN INFORMÉ PLUTÔT BIEN INFORMÉ PLUTÔT MAL INFORMÉ TRÈS MAL INFORMÉ
Base : Ensemble
En %
7
3
2
3
2
2
2
2
49
29
24
22
21
18
18
13
35
50
55
50
58
58
61
53
9
18
19
25
19
22
19
32
Les facteurs de risques favorisant le cancer du poumon
Les médecins qui diagnostiquent le cancer du poumon
Les examens médicaux à réaliser pour diagnostiquer un cancer du poumon
Les différents centres de soins de votre région où se faire soigner pour un
cancer du poumon
Les principaux symptômes associés au cancer du poumon
Les traitements disponibles pour soigner le cancer du poumon
L’espérance de vie des personnes qui souffrent d’un cancer du poumon
Les différents types de cancers du poumon qui existent
Informé
56
32
26
25
23
20
20
15
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
28. 63
50
52
38
14
12
9
9
27
40
37
47
34
33
38
18
8
8
9
11
34
46
39
42
2
2
2
4
18
9
14
31
45
31
29
17
10
8
7
5
41
45
45
38
29
28
22
18
8
14
17
29
29
37
37
35
6
10
9
16
32
27
34
42
L’interdiction de l’amiante
L’interdiction de fumer dans le milieu professionnel
L’interdiction de fumer dans les lieux publics
La hausse du prix du tabac
Le maintien de la pénalisation de la consommation de cannabis
Les images de prévention sur les paquets de cigarettes
La mise en place du paquet de cigarettes neutre
L’augmentation du prix du diesel
Les Français comme les médecins considèrent très majoritairement que l’interdiction de l’amiante,
celle de fumer au travail et dans les lieux public ou encore la hausse du prix du tabac ont eu un impact
important sur le nombre de cancers du poumon en France
Q31. Selon vous, pour chacune des mesures suivantes diriez-vous qu’elles ont eu un impact important ou pas sur le nombre de cancers du poumon en France ?
Important
86 90
76 90
74 89
55 85
39 48
36 45
29 47
23 27
Base : Ensemble
En %
UN IMPACT TRÈS IMPORTANT UN IMPACT PLUTÔT IMPORTANT UN IMPACT PLUTÔT PAS IMPORTANT AUCUN IMPACT
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
29. 34
56
9 1
Un impact très
important
Un impact plutôt
important
Un impact plutôt pas
important
Aucun impact
Q31BIS. Et diriez-vous que la mise en place d’un dépistage systématique pour les personnes qui présentent des facteurs de risques aurait un impact important ou pas sur
le nombre de cancers du poumon en France?
% IMPORTANT
90 27
58
13
2
% IMPORTANT
85
29
56
15
% IMPORTANT
85
38
55
7
% IMPORTANT
93
Base : Ensemble
En %
Pour la quasi-totalité des médecins, la mise en place d’un dépistage systématique pour les personnes qui
présentent un facteur de risque aurait un impact important sur la mortalité par cancer du poumon
©Ipsos-AstraZeneca | Enquête nationale sur le cancer du poumon – Février 2019
30. LES
MESSAGES
CLÉS
Le cancer du poumon est le 2e cancer
qui fait le plus peur aux Français
En dehors des facteurs de risque, moins
d’1 Français sur 3 s’estime bien informé
sur la prise en charge du cancer du poumon
41% des Français considèrent que les personnes
qui souffrent d’un cancer du poumon sont
responsables de l’apparition de leur maladie
Les Français sont mal informés sur
l’innovation thérapeutique
5
9 médecins sur 10 estiment qu’un dépistage
sur les personnes à risque aurait un impact
important sur la mortalité par cancer du
poumon
32. Confidentiality Notice
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