Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte la prise en charge infirmière devant quelques pathologies chirurgicales
Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
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7. - Aspects radiologiques typiques de 15
pathologies à connaitre
- Rappels de sémiologie radiologique
- Anatomie radiologique
Contenu de la conférence
8. Un patient de 63 ans se présente aux urgences pour
douleurs abdominales et vomissements depuis 3 jours. Il
rapporte également une absence de selles. Il a pour
antécédents une HTA et une appendicectomie à l’âge de
20 ans.
Vous décidez de réaliser un scanner abdomino-pelvien.
Cas clinique n° 1
9. Cas clinique n° 1
Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?
A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir la zone de transition.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
10. Cas clinique n° 1
Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?
A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir des signes de gravité.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
11. Syndrome occlusif
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
12. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
13. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
14. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
15. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
VALVULE DE BAUHIN
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
16. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
HAUTE
=
Dilatation grêlique
BASSE
=
Dilatation colique
+/- grêle
ANGLE DE TREITZ
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques
18. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
19. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
20. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
21. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
22. Syndrome occlusif
☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
28. Focus : Colon / Grêle
- Colon contient + de matières fécales et souvent + de gaz
- Pas de niveau liquidien sauf quand dilaté
- Valvules conniventes du grêle et haustruation colique du colon
A l’étage hépatique :
- Colon transverse sur tout l’axe longitudinale
- Angle colique gauche (T11) et angle colique droit plus en dessous
(L1)
Sous l’étage hépatique :
- Colon droit et colon gauche fixes sur les côtés
- Au milieu = grêle
29. Syndrome occlusif
Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques
> 80 mm
- Niveaux hydroaériques
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
30. Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur
abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.
Que demandez-vous en premier avant tout chose ?
Cas clinique n° 2
31. Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur
abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.
Que demandez-vous en premier avant tout chose ?
Cas clinique n° 2
→ BHCG
32. A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
33. A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de
l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
34. Appendicite aigüe
Clinique
- Douleur en fosse iliaque droite
- Fièvre
- SIB, hyperleucocytose
Imagerie :
- Echographie abdominale (jeune, femme en âge
de procréer)
- Scanner abdomino-pelvien injecté
Signes radiologiques :
- Diamètre > 6 mm
- Epaississement pariétal > 3 mm
- Stercolhite (50 %) : pas spécifique
- Prise de contraste en cocarde
Signes de gravité :
• Perforation appendiculaire
❑ Abcès péri-appendiculaire (collection hypodense renfermant le plus souvent des bulles d’air)
❑ Péritonite appendiculaire (épanchement liquidien +++, prise de contraste et épaississement de la graisse)
• Plastron appendiculaire (accolement des viscères adjacent : limite l’extension du foyer )
40. - Cliniquement : masse en fosse iliaque droite
- Inflammation de la graisse péri-appendiculaire
Plastron appendiculaire
41. Appendicite aigüe
Plastron appendiculaire
ATB IV
Abcès appendiculaire
Petite taille Volumineux
ATB PO
+
Drainage
Appendicectomie
à froid
Péritonite appendiculaire
Appendicectomie à
froid 2-4 mois plus
tard
Appendicectomie
à chaud
Appendicectomie en urgence
+ lavage péritonéale
42. Cas clinique n° 3
Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à
début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.
A. Épaississement pariétal en feuillet
B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
43. Cas clinique n° 3
Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à
début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.
A. Épaississement pariétal en feuillet
B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
45. = boue vésiculaire
Stagnation des sédiments de cristaux de cholestérol, de
pigments et d’autres sels de calcium.
- Post-grossesse après perte de poids rapide
- Chirurgie gastrique
- Nutrition parentérale
Peut évoluer vers la formation de calculs biliaires.
→ Si découverte fortuite : pas de prise en charge
→ Si découverte dans un contexte de colique hépatique :
cholécystectomie
Le sludge ?
47. Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale.
48. Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale.
A. Scanner injecté au temps portal
B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
49. Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale
A. Scanner injecté au temps portal
B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
50. Cas clinique n° 3
Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour
aggravation douloureuse brutale
Péritonite sur perforation vésiculaire
51. Patiente de 69 ans présentant des douleurs intenses en
hypochondre droit depuis 48 h. Le bilan biologique
retrouve : cytolyse hépatique 10N, GB 8000 et CRP à 1.
Elle rapporte des urines foncées et des selles décolorées.
L’échographie abdominale retrouve un signe de Murphy
positif et des macro calculs.
Un scanner injecté est réalisé.
A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques
B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite
Cas clinique n° 4
52.
53. A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques
B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite
→ Calcul enclavé dans VBP responsable d’une dilatation
des voies biliaires intra et extra hépatique
CPRE et sphinctérectomie
Cholécystectomie
54. Colique hépatique
= douleur brutale et intense de l’épigastre ou hypochondre droit.
Elle inhibe la respiration.
Possible signe de Murphy à l’examen
Imagerie : Echographie abdominale ++
Scanner en 2e intention
- Migration lithiasique simple : calculs dans la VBP sans angiocholite.
- Cholécystite : + défense, + fièvre, + signes radiologiques
- Angiocholite : + fièvre + ictère + cholestase + SIB
↑ ASAT/ALAT
Bilan hépatique normal
➔ Cholécystectomie à froid
- Si compliqué d’une cholécystite : en urgence
- Si compliqué d’une angiocholite : CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
- Si calcul VBP non septique : soit CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
soit en un temps cholécystectomie avec désobstruction peropératoire
55. Focus : péritonite
Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine
56. Focus : péritonite
Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine
Péritonite par perforation
Péritonite
diverticulaire
Péritonite appendiculaire
Début Brutal Progressif Progressif
Maximum des
signes péritonéaux
Epigastrique Fosse iliaque gauche Fosse iliaque droite
Fièvre /
Hyperleucocytose
Non au début Oui Oui
Pneumopéritoine Parfois, discret Présent, volumineux Non
Traitement Chirurgie en urgence
Contre-indication formelle à
l’endoscopie digestive haute
Chirurgie en urgence Chirurgie en urgence
Douleur abdominale provoquée
→ majorée lors de la décompression
brutale d’une fosse iliaque.
Contracture
59. Cas clinique n° 5
Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche
persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?
A. La radiographie est en inspiration correcte.
B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
60. Cas clinique n° 5
Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche
persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?
A. La radiographie est en inspiration correcte.
B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
61. Focus : la radiographie de thorax bien réalisée
1. Face stricte
→ Extrémités internes des clavicules symétriques
2. Debout
→ Poche d’air gastrique
3. Totalité du thorax
→ Culs de sac diaphragmatique
→ Apex pulmonaires
4. Inspiration profonde
→ 6 arcs antérieurs intercostaux
5. Omoplates dégagées
1
2
3
4
5
6
62. Cas clinique n° 5
• Adénopathies hilaires bilatérales non
compressives.
• Pas d’atteinte parenchymateuse
• Pas d’épanchement pleural.
Sarcoïdose stade I
63. Le diagnostique de sarcoïdose est posé. Au cours du
suivi, cette radiographie est réalisée.
65. Sarcoïdose : classification radiologique
Stade I Stade III Stade IV
Stade II
Polyadénopathies
☞ Médiastinales : Latéro-trachéale droite (70 %)
☞ Hilaires non compressives et symétriques
+
Micro nodulation diffuse
☞ Lobe supérieur droit
☞ Régions sous-pleurales et péribronchovasculaires
ADP seules
ADP
+ atteinte parenchymateuse
Atteinte parenchymateuse Fibrose
66. Focus : syndrome interstitiel
Syndrome interstitiel
= Atteinte d’un ou plusieurs compartiments du
tissu interstitiel.
- Espace péri bronchovasculaire et
centrolobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
67. Focus : syndrome interstitiel
Différentes formes d’atteintes
- Linéaires et réticulaires
- Micronodulaire
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel
→ Bronchectasies de traction
3 espaces interstitiels
- Espace péri broncho vasculaire et centro-
lobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
68. Focus : syndrome interstitiel
Septas interlobulaire Septas intralobulaires Réticulations sous pleurales
1. Lignes et réticulations
69. Focus : syndrome interstitiel
1. Lignes et réticulations
Septas interlobulaire
Septas intra lobulaires
Epaississement bronchovasculaire
Réticulations sous pleurales
70. Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Atteinte asymétrique des lobes
et champs pulmonaires
Souvent associés à des
épaississement global des espaces
péri-broncho- vasculaires ou lignes
septales
SARCOIDOSE
LYMPHANGITE
CARCINOMATEUSE
71. Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire
Zone avasculaire sous pleurale
BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO
72. Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire
Zone avasculaire sous pleurale
BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO
73. Focus : syndrome interstitiel
2. Micronodules
Onclepaul.net
Suit la distribution du flux
sanguin.
Aléatoire.
MILIAIRE TUBERCULEUSE
MILIAIRE MÉTASTATIQUE
76. Syndrome interstitiel
3. Verre dépoli
Augmentation de la densité du parenchyme
N’efface pas les vaisseaux et les paroi de bronches
Remplissage incomplet des alvéoles
Epaississement de l’interstitium
(dépôts de liquide, cellules, fibrose des
cloisons inter alvéolaires...)
77. Syndrome interstitiel
4. Fibrose
2 signes élémentaires :
- Rayons de miel = destruction parenchymateuse responsable d’espaces
aériens dilatés à parois fibreuse définis
Sous pleurales +++
- Bronchectasies par traction
81. Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
82. Syndrome interstitiel à la radio
Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules
83. Syndrome interstitiel à la radio
Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Micronodules Opacités diffuses :
Macro nodules
Verres dépoli
Fibrose : rayon de miel
A retenir :
Opacités non systématisés
Contours net
Non confluent
95. Focus : PID
Syndrome interstitiel
- Linéaires et réticulaires
- Micronodulaire
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel
→ Bronchectasies de traction
Aigue
Chronique
Verre dépoli bilatéral
ID Pneumocystose
CMV
OAP
Rayons de miel
Bronchectasies par traction
Idiopathique = FIP
Evolution fibrosante de PID chronique
Verre dépoli bilatéral
Idiopathique = PINS
ADP médiastinale
+ Micronodules péri lymphatiques
Sarcoïdose
Micronodules de distribution
aléatoire
Tuberculose
PR, PHS …
IC Covid-19
96. Cas clinique n° 6
Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour
fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.
A. Il existe un
épanchement pleural
B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1
E. Le ventricule droit
est représenté en 2
1
2
97. Cas clinique n° 6
Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour
fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.
A. Il existe un
épanchement pleural
B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1
E. Le ventricule droit
est représenté en 2
1
2
107. Signe de la silhouette
Si efface le bord
gauche du cœur
= Lingula
Si efface le bord droit
du cœur
= lobe moyen
Si efface le bord de
la coupole
diaphragmatique
= lobe inférieur
116. Cas clinique n° 6
A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte
3
2
1
Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,
présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
de 9 kg en 1 mois
117. 3
2
1
Pneumocystose
Cas clinique n° 6
A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte
Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,
présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
de 9 kg en 1 mois
118. Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en
réanimation. Contrôle à J21.
Quelle signe vous oriente vers de la fibrose ?
120. Cas clinique n° 7
Patient de 45 ans consulte aux urgences pour
une douleur thoracique brutale.
1
2
121. De quoi s’agit-il ?
A. Embolie pulmonaire bilatérale
B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
Cas clinique n° 7
122. Cas clinique n° 7
De quoi s’agit-il ?
A. Embolie pulmonaire bilatérale
B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
123. Focus : embolie pulmonaire
- Proximal et bilatéral : PAS DES SIGNES
DE GRAVITE
Infarctus pulmonaire
- Condensation souvent triangulaire à base sous pleural
- Centre clair = parenchyme aéré
- Entouré de verre dépoli = hémorragie intra-alvéolaire
129. Cas clinique n° 8
Patient de 65 amené par le SAMU après avoir été retrouvé au sol par sa
fille. L’examen retrouve déficit de l’hémicorps droit avec paralysie faciale,
aphasie et héminégligence
1 2 3
4
130. A. La séquence en injection retrouve une occlusion de
l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Cas clinique n° 8
131. A. La séquence en injection retrouve une occlusion de
l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Cas clinique n° 8
138. Focus : séquences IRM cérébrales
T1
En P1 je bosse l’anatomie
→ Séquence anatomique
Je bois du café
→ LCR noir
T2
En P2 je bosse pas l’anatomie
Je bois du pastis
→ LCR blanc
J’injecte du PDC
T1 GADO
FLAIR
Je supprime le signal du LCR
T2*
Inhomogénéité du champs magnétique
Hémosidérine + calcification
DIFFUSION
Séquence basé sur la restriction du
mouvement des molécules d’eau
139. IRM AVC
Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate
- Zone périphérique de « pénombre »
Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎
EO2
↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
140. IRM AVC
Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate
- Zone périphérique de « pénombre »
Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎
EO2
↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
141. IRM AVC
Dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K
Na+ reste en intracellulaire
ŒDÈME CYTOTOXIQUE
Onclepaul.fr
142. IRM AVC
→ Rupture de la BHE
H0
ŒDÈME CYTOTOXIQUE
H3-6
ŒDÈME VASOGENIQUE
143. DIFFUSION
Zone de nécrose
Dès les 1er minutes
FLAIR
Se positive dans
les 3-6h
- Transformation
hémorragique
- Caillot Polygone de Willis
T2*
TOF
144. Cas clinique n° 9
Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,
hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.
A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
145. Cas clinique n° 9
Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,
hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.
A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
146. Cas clinique n° 10
Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour
une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral
A. Le scanner est injecté
B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
147. Cas clinique n° 10
Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour
une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral
A. Le scanner est injecté
B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
148. Cas clinique n° 11
Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
149. Cas clinique n° 11
Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
150. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
151. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
152. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
153. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
154. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
50 % des TC
50-80 % de décès
155. Focus : hématomes intra crâniens
Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien
1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire
→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente.
→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
20 % des TC
50-80 % de décès
→ Lacération des veines
corticales traversant les
espaces méningés
→ Rarement de
fractures associés
- Décollement de
l’arachnoide
- Forme en croissant
50 % des TC
40 % de décès
→ Citerne de la base,
vallées sylviennes, sillons
corticaux, scissure inter-
hémisphérique
→ TC, Rupture
d’anévrisme ou sans
cause
156. Hématome sous dural chronique
Aspect non homogène
Cloisonné par membranes sous durales
fibreuses