Présentation des résultats d'essais sur la finition des vaches en race Blonde d'Aquitaine.
Par Aurélie Blachon & Marion Kentzel, Institut de l'Elevage.
Vendredi 04 février 2022 - Visite SAS PEPIEUX
Présentation des résultats d'essais sur la finition des vaches en race Blonde d'Aquitaine.
Par Aurélie Blachon & Marion Kentzel, Institut de l'Elevage - Thierry Deltor, Chambre d'Agriculture des Pyrénées-Atlantiques.
Jeudi 10 mars 2022 - Visite GAEC Bizi Nahi
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Présentation des résultats d'essais sur la finition des vaches en race Blonde d'Aquitaine.
Par Aurélie Blachon & Marion Kentzel, Institut de l'Elevage - Thierry Deltor, Chambre d'Agriculture des Pyrénées-Atlantiques.
Jeudi 10 mars 2022 - Visite GAEC Bizi Nahi
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Etude des aptitudes à l’engraissement d’animaux précoces avec des fourrages herbagers et des concentrés issus de sous-produitsde l’industrie agroalimentaire
Ce diaporama présenté à l'édition 2021 de Tech-Ovin présente différents itinéraires de production à contre-saison dans les bassins herbagers ainsi qu'une estimation du surcoût du système d'alimentation.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
La normande, un atout pour le développement durable
Comment prendre en compte le développement durable dans les élevages et améliorer la résilience des systèmes d’élevages ? Cette webconférence reviendra sur une étude réalisée en élevages de race Normande à l’aide du logiciel « 2Mains », conçu dans le cadre du projet EuroDairy.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Etude des aptitudes à l’engraissement d’animaux précoces avec des fourrages herbagers et des concentrés issus de sous-produitsde l’industrie agroalimentaire
Ce diaporama présenté à l'édition 2021 de Tech-Ovin présente différents itinéraires de production à contre-saison dans les bassins herbagers ainsi qu'une estimation du surcoût du système d'alimentation.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
La normande, un atout pour le développement durable
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[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Après une évaluation des effets de la flambée des aliments sur le revenu des éleveurs, des leviers pour les contrer tels que l’allotement, la durée des luttes et le rationnement des agnelles sont abordés.
présentation de la méthode de calcul des coûts pour la mise en oeuvre de leviers bas carbone, individuellement ou en combinaison pour faire évoluer le système d'élevage
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Dans le cadre du projet ValCabri, 3 essais d'engraissement de chevreaux ont été réalisés à la ferme expérimentale du Pradel. Ils portaient sur l'alimentation des mères en fin de gestation, sur le choix de l'aliment d'allaitement ou sur le croisement avec une race à viande. De nombreuses mesures ont été réalisées au cours de ces essais, tant sur les chevreaux (croissance, consommation, mensurations...) que sur les carcasses (poids, conformation, état d'engraissement, couleur...) ou sur les viandes (qualités nutritionnelles et sensorielles). L'ensemble de ces résultats seront présentés au cours de cette conférence.
CASDAR RUSTIC : Poids économique de longévité et de la persistance dans une approche OSIRIS (objectif de sélection économique). Par Diane Buisson et Stéphanie Coppin (IDELE)
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Rénovation des prairies sans labour est-ce possible en bio.pdfidelewebmestre
Il est parfois nécessaire de rénover ses prairies lorsque la productivité ou la qualité n'est plus au rendez-vous, ou lorsque le couvert en place s'est dégradé. Le recours au labour est fréquent mais n'est pas toujours réalisable, voire souhaitable dans certains contextes (sol superficiel, caillouteux, ...) ; il peut favoriser l'érosion et modifie la structure du sol. Face à ces constats, plusieurs partenaires (Arvalis, Idele, la Blanche Maison et l'AFPF) se sont réunis dans le cadre du projet "Praigly" pour tenter de trouver des itinéraires techniques alternatifs à la destruction ou la rénovation de prairies.
PROVINLAIT - Bâtiment et bien-être estivalidelewebmestre
Le changement climatique s’exprime de plus en plus par la manifestation d’épisodes caniculaires et par la diminution de la ressource fourragère en été, ce qui contraint les éleveurs à rentrer leur troupeau plus fréquemment. Les animaux logés en bâtiment pendant la période estivale sont exposés à un stress thermique qui peut altérer leur bien-être et leurs performances à court et moyen terme. La conception du bâtiment ou certains équipements peuvent permettre de réduire ce stress pour assurer un meilleur confort aux animaux pendant les périodes de fortes chaleurs.
Alternative - Complément au Tramway et 3 ème lien de la ville de Quebec (PDF)Daniel Bedard
CDPQ Infra unveils a $15 billion, 15-year mobility plan for the Quebec region. Wouldn't a more economical and faster alternative be possible?
English follow after french.
La Caisse Dépot Province de Québec CDPQ, dévoile un plan de mobilité de 15 G$ sur 15 ans pour la région de Québec. Une alternative plus économique et rapide, ne serait-elle pas posssible?
- Valoriser les infrastructures ferroviaires du CN, en créant un Réseau Express Métropolitain (REM) plutôt qu'un nouveau tramway ou une combinaison des 2.
- Optimiser l'utilisation des rails pour un transport combiné des marchandises et des personnes, en accordant une priorité aux déplacements des personnes aux heures de pointes.
- Intégrer un téléphérique transrives comme 3ème lien urbain dédiés aux piétons et cyclistes avec correspondance avec le REM.
- Le 3 ème lien routier est repensé en intégrant un tunnel routier qui se prolonge avec le nouveau pont de l'Île d'Orléans et quelques réaménagemet de ses chausées.
Cette présentation est la mem que la première à l'exception de la diopo 16 et 17 qui a été ajouté.
English:
- Leverage CN's railway infrastructure by creating a Metropolitan Express Network (REM) instead of a new tramway or a combination of both.
- Optimize the use of rails for combined freight and passenger transport, giving priority to passenger travel during peak hours.
- Integrate a cross-river cable car as a third urban link dedicated to pedestrians and cyclists, with connections to the REM.
- Rethink the third road link by integrating a road tunnel that extends with the new Île d'Orléans bridge and some reconfiguration of its lanes.
This as my prevoius presentation except for slide 16 &17 that have been added.
Note Agro-climatique et prairies n°4 - Juin 2024idelewebmestre
Ce printemps maussade n’a pas facilité la gestion de l’herbe et cette situation perdure encore aujourd’hui. Conséquence des précipitations et des températures proches de la moyenne, la pousse de l’herbe n’a pas atteint son pic habituel, entraînant pour l’instant une perte sèche de production pour les exploitations. Mais cette humidité devrait permettre de maintenir la pousse de l’herbe sur une partie de cet été. Le plus gros des fauches a eu lieu le week-end de l’Ascension et les foins ont commencé au compte-goutte début juin. Si le rendement est satisfaisant, la qualité est rarement au rendez-vous du fait d’une végétation épiée. Quelques parcelles ne sont toujours pas portantes et certains animaux sont encore affouragés en bâtiment dans la moitié Nord. Les semis de maïs ont eux aussi été retardés et ne sont pas encore terminés sur la majorité des régions.
Alternative - Complément au Tramway et 3ème lien de la ville de Québec Daniel Bedard
An update of this presentation has been done with Slide 16 that has been updated and 17 &18 has been added, only.
Cette présentation a été ajournée avec la diapo 16 qui a été modifié et la 17 & 18 qui a été ajouté.
Voir ici
https://www.slideshare.net/slideshow/alternative-au-3eme-lien-et-complement-au-tramway-de-la-ville-de-quebec-rev-1-som-pdf/269774781
CDPQ Infra dévoile un plan de mobilité de 15 G$ sur 15 ans pour la région de Québec. Une alternative plus économique et rapide, ne serait-elle pas posssible?
- Valoriser les infrastructures ferroviaires du CN, en créant un Réseau Express Métropolitain (REM) plutôt qu'un nouveau tramway ou une combinaison des 2.
- Optimiser l'utilisation des rails pour un transport combiné des marchandises et des personnes, en accordant une priorité aux déplacements des personnes aux heures de pointes.
- Intégrer un téléphérique transrives comme 3ème lien urbain dédiés aux piétons et cyclistes avec correspondance avec le REM.
- Le 3 ème lien routier est repensé en intégrant un tunnel routier qui se prolonge avec le nouveau pont de l'Île d'Orléans et quelques réaménagemet de ses chausées.
https://www.linkedin.com/in/bedarddaniel/
English:
CDPQ Infra unveils a $15 billion, 15-year mobility plan for the Quebec region. Wouldn't a more economical and faster alternative be possible?
Leverage CN's railway infrastructure by creating a Metropolitan Express Network (REM) instead of a new tramway or a combination of both.
Optimize the use of rails for combined freight and passenger transport, giving priority to passenger travel during peak hours.
Integrate a cross-river cable car as a third urban link dedicated to pedestrians and cyclists, with connections to the REM.
Rethink the third road link by integrating a road tunnel that extends with the new Île d'Orléans bridge and some reconfiguration of its lanes.
https://www.linkedin.com/in/bedarddaniel/
Alternative - Complément au Tramway et 3ème lien de la ville de Québec
Tirer le meilleur parti de chacune de ses vaches de réforme Blondes d'Aquitaine (Visite SAS PEPIEUX)
1. Tirer le meilleur parti de chacune de ses
vaches de réforme Blondes d’Aquitaine
Aurélie BLACHON – Marion KENTZEL – Institut de l’Elevage
Présentation des résultats d’essais
sur la finition des vaches
en race Blonde d’Aquitaine
2. Des questions sans réponse sur la finition des
vaches Blonde d’Aquitaine
Des qualités bouchères
reconnues, mais la finition
pose problème
Bordeaux
Assisses de la Blonde
27 & 28 août 2015
Carcasses lourdes,
allongement des durées
Petite capacité d’ingestion
↗ coût des concentrés
Dépôts de gras
tardifs et carcasses
hétérogènes
Durée, aliments
et coût ? Régularité de
la qualité?
3. 3 programmes complémentaires pour y répondre
2016 2017 2018 2019 2020
FINIBLAq
DEFIBLONDE
AFIVAq
• Enquêtes terrain → orienter les essais
• Diagnostic filière → objectiver les constats
• Essais d’itinéraires de finition en station → rénover les
repères, tester
• Valorisation BDD → modéliser la variabilité individuelle
• Construction outil de conseil et diffusion fiches
4. Tirer le meilleur parti de chacune de ses
vaches de réforme Blondes d’Aquitaine
La Blonde de boucherie
Description de l’offre
Caractéristiques des carcasses
Spécificités du bassin Sud-Ouest
5. La vache de boucherie est la 1ère catégorie commerciale
issue du troupeau Blonde d’Aquitaine français
• Un peu plus de 100 000 têtes
produites et abattues, 26% des
animaux Blonds commercialisés
• 20% du cheptel national de
vaches Blondes sort en boucherie
tous les ans.
5
6. La vache Blonde d’Aquitaine représente 6% des abattages
nationaux de vaches de boucherie
« la plus petite des
grandes races… »
• En 7ème position
• Augmentation de 15%
de 2010 à 2016
• Marché de niche
6
7. La vache de boucherie Blonde d’Aquitaine se distingue
Par son poids : 483 kgc = les plus
lourdes en moyenne
7
Par la conformation :
60% conformées E/U
8. Bassin Sud-Ouest
1er bassin naisseur et
détenteur de 51% du cheptel
reproducteur
Un flux de 10 000
vaches maigres
venant du Sud-Ouest
9. Bassin Sud-Ouest : une production atomisée, avec une
majorité de petits apporteurs
9
La moitié des élevages apporte moins
de 2 vaches de boucherie / an
Production de vaches de boucherie
50% de la production provient
d’élevages de moins de 10 vaches
10. Bassin Sud-Ouest : « 2 âges à l’abattage », une particularité
liée au bassin naisseur
Un âge moyen à l’abattage de 8 ans
11
1/3 des vaches abattues
à plus de 10 ans
→ 39% des vaches abattues à plus de 10 ans
Pépieux
→ Un âge moyen à l’abattage de 9 ans
1/3 des vaches abattues
à moins de 5 ans
11. Bassin Sud-Ouest : la dispersion des poids de carcasse
est à relier à celle des âges d’abattage
25% des carcasses
sont « trop » légères (< 420 kgc)
par rapport à l’objectif de la race
12% de carcasses
très lourdes (> 600 kgc)
12
12. Bassin Sud-Ouest : Peu d’amélioration de la conformation des
vaches finies malgré l’augmentation des gabarits et PC
A peine 30% des carcasses répondent aux
objectifs commerciaux de la Blonde
d’Aquitaine dans le bassin Sud-Ouest
13
→ Malgré l’âge, plus de la moitié des
carcasses répondent aux objectifs
commerciaux de la Blonde
13. Pour en savoir plus…
Une synthèse nationale, des zooms par bassin
14
14. Tirer le meilleur parti de chacune de ses
vaches de réforme Blondes d’Aquitaine
Les nouvelles connaissances sur la
finition des réformes
Prévoir le potentiel individuel
Les performances à l’engraissement
Les équilibres alimentaires à respecter
15. Alors quoi de neuf ?
Inutile de forcer
sur l’azote :
100 g PDI/UF
c’est suffisant
Des repères
actualisés
pour piloter la
finition
Des rations
biphases pour
économiser du
concentré
De l’herbe pour finir
nos vaches Blondes
d’Aquitaine
ça marche aussi
16. 10 repères renouvelés concernant la finition des
vaches de boucherie BA
(1) Repères issus de la synthèse des enregistrements en stations Etablières (169 ind.) et Pépieux (936 ind.), observations en fermes de
Nouvelle-Aquitaine (323 ind.) et traitements de BDD (Normabev, SIG-BDNI, 520 000 ind.)
200 kg
Gain de
poids vif
185 j
6 mois
Durée
1 100
g/jour
GMQ
2,5 TMS
Bilan alim
14 kgMS/j
(≈ 5,1 TMS/an)
Ingestion
Performances à l’engrais et Itinéraire
alimentaire
17. 10 repères renouvelés concernant la finition
des vaches de boucherie BA
(1) Repères issus de la synthèse des enregistrements en stations Etablières (169 ind.) et Pépieux (936 ind.), observations en fermes de
Nouvelle-Aquitaine (323 ind.) et traitements de BDD (Normabev, SIG-BDNI, 520 000 ind.)
535 kgc
Poids
carcasse
900 kg
PV avant
abattage
U-/U=
80% U
CONF
74 mois
≈ 6 ans
Age
abattage
59,5%
Rdt carc
Caractéristiques des carcasses
90 mois
≈ 7,5 ans
Référence U-
58% U
483 kgc
18. Adapter les choix de finition
au potentiel de ses vaches de réforme
• Différents profils de performances des animaux : cibler le marché adéquat
• Importance de la pesée des animaux
05 Octobre 2021
(2) Source : BDD Pépieux, 820 ind puis validation sur BDD synthèse des enregistrements en stations Etablières (169 ind.) et Pépieux
(136 ind.), observations en fermes de Nouvelle-Aquitaine (323 ind.)
20. Comment prédire le potentiel de finition
de ma vache ?
Informations
sur l’animal
arrivant à
l’engrais
Poids vif âge rang de
vêlage NEC type
génétique
DS,
DM, date
dernier vêlage,
date fin
lactation
Taux d’erreur d’affectation
Information sur
la réponse à
l’engrais à 60-
90 jours
Gain poids vif
GMQ Poids
Avec l’âge,
le poids vif,
la NEC,
le GMQ ou le
poids à 2
mois
Je peux
prédire le
potentiel de
croissance
avec 80% de
fiabilité
21. Connaître le gain de poids à 2 mois
pour repérer le « bon » modèle de croissance et
viser la meilleure valorisation
Meilleure valorisation = meilleure marge pour l’éleveur
23
22. Jeunes ou vieilles ?
• Utiliser le potentiel de croissance*
• Le poids carcasse est maximum entre 70
mois (5 ans ½) et 100 mois (8 ans ½)
• Meilleurs rendements carcasse
• Gagne 1 point pour les vaches jeunes
• Moins de 4 ans → 60% en moyenne
• Les plus forts GMQ
• Avec le carburant qui va bien !
• Valorise bien les rations énergétiques et
concentrées
24
• Après 120 mois, la conformation se dégrade*
• La relation poids carcasse et conformation ne se
maintient pas après 10 ans
• Vaches de plus de 10 ans, plus de 700 kg
• Sans prise de poids après 2 mois à l’engrais, ne fera
rien à 90%
• Mesures d’ingestion **
• 10% d’ingestion supplémentaire (1,8→2 kg MS/100
kg de poids vif, jq 15 kg de MS / jour)
• Valorise les rations fourrages
• Moins 1 point de rendement carcasse
• Plus de 10 ans, 58% en moyenne
24. Les principales questions sur les rations
Niveau PDI/UF ?
Autonomie protéique
Coût de la ration ?
Coût de la finition ?
Intérêt 2 phases /
1phase ?
2 phases : introduction fourrages ?
Herbe (pâturée, ensilée…) ?
Luzerne ?
Durée de finition ?
25. 5 repères renouvelés sur la ration de
finition des vaches BA
(4) Repères issus de la synthèse des enregistrements en stations Etablières (169 ind.) et Pépieux (136 ind.), observations en fermes de
Nouvelle-Aquitaine (323 ind.)
14 kgMS/j
(≈ 5,1 TMS/an)
Ingestion
2,5 TMS
Bilan alim
Bilan
consommation
Valeur
alimentaire
1 UFV
/ kg MS
Energie
15%
100 PDI/UF
MAT
15%
CB
Cellulose
26. On peut finir une blonde avec autre chose
que du 100% maïs en régime sec
(5) Essais en stations Etablières (5 séries) et Pépieux (3 séries)
Moyennant le respect des repères de
valeur alimentaire de la ration, on peut
finir une blonde avec tout type de ration
La part des fourrages dans la ration et les itinéraires biphases
peuvent jouer sur la durée de finition et permettent d’atteindre
l’objectif commercial visé et atteignable avec :
- Caractéristique des carcasses équivalente (poids, conformation)
- Qualité de finition de la carcasse équivalente (état
d’engraissement)
27. 100g PDI/ UF ou 125 g PDI/UF ?
Inutile de gaspiller !
(5) Essais en stations Etablières (5 séries) et Pépieux (3 séries)
Pas de différences significatives entre
les lots 100 et 125 g PDI/UF
En mono comme en biphase
28. Mono ou biphase ?
Economiser du concentré, c’est possible
(5) Essais en stations Etablières (5 séries) et Pépieux (3 séries)
La croissance est équivalente en mono et
biphase
Et n’impacte pas la qualité des carcasses
Mono = 93% concentrés
Biphase = 70% concentrés
29. Maïs Grain Humide ou Ensilage épis entier ?
De la cellulose en prime
(5) Essais en stations Etablières (5 séries) et Pépieux (3 séries)
Les performances sont équivalentes : pas de
différences significatives
Surconsommation de 5%, intérêt
économique à l’ha de maïs
30. Tirer le meilleur parti de chacune de ses
vaches de réforme Blondes d’Aquitaine
Modèles d’itinéraires de
finition
Utilisation de différentes formes de maïs
Rations biphases plus fourragères et autonomie
31. Pour développer des conduites de finition
Un équilibre entre l’animal, les ressources
disponibles et le marché visé
• Coût de la ration, de la
finition, impact système
• Fourrages disponibles /
ration sèche, concentrés,
• Place de l’herbe….
• Marché accessible,
performances, durée
• Type de carcasse
attendue
• Jeune/vieille, format
génétique, état,
poids…
Type d’animal
et
performances
Objectif de
finition et
marché
Intérêt
économique
Ressources
alimentaires
32. Impact économique
des différents itinéraires de finition
(6) Conjoncture prix 2019 – 2022
Coût de la ration (6) (€/jour)
2 €/j 4 €/j
Herbe Part des fourrages Maïs
Part céréales et concentrés (énergie)
Coût de la ration
2,5 → 3,2
€ / kg croît
400 à 600 → 600 à 800
€ / vache
Hypothèses de prix :
Céréales et Maïs grain à 230€/T brute
Correcteur azoté 35% MAT à 390€/T brute
2,9 €/j 4,4 €/j
Coût de la finition
2019
2022
33. Des itinéraires construits pour une marge
optimale
La meilleure période
de vente se situe entre
150 et 220 jours.
Au-delà, la vache ne
gagne plus en
conformation, sa
croissance plafonne et
elle continue de
consommer : elle
coûte sans produire
35
Marge sur coût alimentaire = (prix vente vache engraissée) – (prix
de valorisation vache maigre) – (coût alimentaire de la finition)
42. L’itinéraire de finition est déterminé par le potentiel
de croissance, le marché visé, et les ressources
disponibles
Objectif
commercial
Ressources
alimentaires
Animal
44
A chaque blonde correspond
un marché…
1. identifier potentiel marché
2. proposer le meilleur
itinéraire
A chaque vache correspond
un potentiel de croissance
Disponibilité fourrages /
concentrés
Conjoncture prix des aliments
43. Pour aller plus loin…
Plaquette technique pour piloter la finition des vaches
05 Octobre 2021
44. 46
Le projet AFIVAQ est porté par France Blonde d’Aquitaine Sélection, Organisme de Sélection agréé, en
partenariat avec l’Institut de l’élevage, les chambres départementales d’Agriculture et Bovins croissance de
la Région Nouvelle Aquitaine, les organisations de producteurs, l’INRA et Bordeaux Science Agro.
Il vient en complément du projet DéfiBlonde.