1. e m'appelle Iseult Duhameau dite l'intrépide. Je suis
une écuyère à l'amitié fidèle et protectrice. Mon mari
s'occupe des brebis et des chèvres dans le grand
hameau que nous possédons. J'adore la cuisine
raffinée de mon époux. Nous n'avons pas d'enfants
et je n'en souhaite pas car je ne veux pas les
abandonner lors de mes combats de grande chevalière. J'aime
mon royaume et je compte le protéger et le défendre. Je suis
grande, avec les cheveux bruns et les yeux verts. J'adore les
animaux mais surtout les chevaux, grands, majestueux et
rapides. Mon mari m'a offert un perroquet pour mon
anniversaire, depuis je ne le quitte plus.
a cérémonie de l'adoubement est très émouvante. Je sais
que je vais devoir quitter mon mari pour défendre mon
royaume. C'est un grand devoir qui repose sur mes
épaules. Le seigneur m'a averti de toutes les règles à
respecter et du travail à accomplir. Le roi me pose
devant toute la foule, l'épée sur mes deux épaules. Je
fais le serment de la grande chevalière.Le seigneur me
remet, dans la cour du château,sous le grand soleil, mon écu
argenté, mes deux éperons, mon blason ainsi qu'un destrier bai
magnifique. C'est une jument fraiche et dynamique. Je la nomme
Laïka. Nous nous sommes toutes les deux attachées. La
cérémonie est terminée toute la foule s'assoie devant la grande
table. Les troubadours dansent, chantent, crachent du feu,
jonglent... Les hommes et les femmes font la fête.
2. e prépare ma jument, lui donne à boire. Je la nettoie
soigneusement et la selle correctement. Je serre mon haubert.
J'ajuste mes éperons. Mon mari me donne mes provisions qu'il a
soigneusement préparé. Un peu angoissé, je mets mon heaume
orné de fleur. Des personnes me viennent en aide pour
chevaucher sur mon destrier. J'attrape l'écu d'une main et la
lance de l'autre. Mon épée Danlorde est bien accrochée à ma
ceinture de cuir, le nom de mon mari Sigismong Duhameau dit le
courageux, est inscris sur le manche de mon épée ainsi que
Lancelot Desamajesté dit le gouverneur, notre seigneur pour
m'encourager.
uand je sors de ma chambre, tout le village
m'applaudit. Le cœur serré, je dis au revoir à mon
mari. Au fond de moi je ressens de la tristesse
car je dois partir et quitter mon hameau. Je ressens également de
la joie et du courage car j'ai réussi l'épreuve de chevalière et je
suis une grande cavalière remplis d'espoir et de courage pour
combattre. Je donne la recommandation à mon mari de prendre
soin de mon perroquet d'Amazonie. Je salue les villageois puis ma
jument et moi partons au grand galop. Elle va si vite que le vent
me gifle la figure. Pour me donner du courage je repense à tous
les encouragements des villageois, à ma superbe cérémonie, à mon
mari qui va me manquer. Sans oublier mon magnifique perroquet.
`
3. e pars loin. La nuit tombe, je me fabrique un lit de mousse.
J'accroche fortement les rennes de ma jument à un chêne et
déguste le repas maigre mais fin de mon époux. Je pris Saint
Yseult de me protéger et m'endors paisiblement. Autour de moi, les
arbres bougent à cause du vent. Le somme ne me gagne pas car
les hiboux hululent à toute tête. J'ai envie de leur envoyer des
pierres pour qu'ils me laisse dormir en paix. Finalement ma
jument et moi nous nous m'endormons.
out à coup, je me réveille en chaleur, la fumée
m'entoure. Elle est brulante et d'une couleur
grisâtre. Je suis toute transpirante tellement
la chaleur règne. Je me lève de mon dortoir
inconfortable et brandis mon épée magique.
J'aperçois entre les arbres une énorme peluche rouge éclatant et
vert pomme. En m'approchant au galop avec Laïka je vois, dressé
devant moi, un énorme dragon.
4. L me regarde avec ses yeux globuleux crachant des flammes. Je
prends mon courage à deux mains et saisit fortement ma lourde
épée Danlorde. Je saute, les pieds joins sur ma selle de ma jument
et sous le regard apeuré du montre rouge écarlate, je bondis à son
cou pour lui couper la gorge. Je veux absolument l'empêcher de
bruler cette paisible forêt. Ratez ! Sa grosse patte velu m'a
repoussé comme une poussière. Son crachat rouge brulant me
frôle les pieds. Je cours vers lui, et avec mon épée, j'essaie de le
vaincre mais de sa patte sors une longue griffe aiguisée comme
une véritable épée. Incroyable ce monstre ! Alors là, le combat
comme véritablement. Le dragon me pointe son épée vers le cou
mais je l'esquive de peu et le combat continue violemment. Au bout
d'un moment je fatigue mais parviens à brandir mon épée, et de
tout l'espoir me restant, j'achève mon dragon à la gorge d'un coup
sec. Le sang coule sur le tapis vert de mousse.
uis je récupère ma jument. Elle tremble tant elle
est effrayée. Je la rassure avec des mots doux.
5. Nous partageons un petit repas autour du feu après mon premier
de combat chevalière. Que d'émotions ce combat ! Je regarde mon
genoux, il est plein de sang. Je retrousse ma chausse mais aucune
plaie n'y figure. Je me demande alors d'où peut bien venir ce sang.
Laïka pousse un hennissement. Je la fixe et distingue, sur son
antérieur droit, une vilaine plaie qui saigne. Avec mon talent
d’aventurière, je lui bande la jambe avec des feuilles de fougères et
lasse le tout. Laïka me regarde, s'avance vers moi et pose son
encolure sur mon épaule comme guise de remerciement. Quelle
brave jument... elle est vraiment adorable.
près une longue journée de marche, il est
tant de se reposer. Je ne peu plus
chevaucher ma jument car elle est blessée.
Donc nous marchons solennellement en
direction d'une auberge. Au loin, entre les
arbres, je distinguent une lumière vive dans
la roche. Ma curiosité me prend et Laïka, Danlorde et moi
avançons en cœur vers cette mystérieuse lumière. Je pousse la
croupe de ma jument pour l’aider a grimper dans a grotte
illuminée. Devant mes yeux se tient un feu de bois encore tout
frais. Un preux chevalier doit y séjourner. Du sang coagulé est
répandu sur les parois.
'avance dans la grotte et tombe nez-à-nez avec un
chevalier.Il est plutôt grand et musclé. Ses cheveux
sont bruns. Il a un grand sourire aux lèvres. Je
6. m'approche et on se salue. Il se nomme Hugo de la Pente et vient
ici pour se reposer après une dure journée. Il me raconte son
extraordinaire aventure depuis la sorti de son château et je fais de
même. Nous décidons de s'entraider et de rester ensemble car avec
ses qualités de ténacité et fougue et les miennes, on va l'emporter
vite!
e m’appelle Hugo de la pente du parc dit le fourbe, né
d’ Arthémise du lac dite la magnifique de Bertrand de
la feuille dit la forteresse. J’ai 25 et depuis 3 ans j’ai
décidé de devenir chevalier; Pour y arriver je me suis
entrainé avec mon père à l’épée, à l’arc et au combat à
mains nues. Mais aujourd’hui mon père est très
malade à cause d’une épidémie et il risque la mort tous les jours.
ujourd’hui j’ai décidé d’être adoubé par le
Roi Epson. Quand j’entrai dans la salle du
7. trône, je ressentis un sentiment de stress et en même temps de
l’excitation. Je m’approchai du Roi, il me toucha les épaules avec
son épée Sky. A ce moment la j’étais fier de devenir chevalier
pour mon père. En sortant du château je me rendis conte que
j’étais enfin près pour partir à l’aventure.
réalablement de partir à l’aventure, il faut que
je prépare mon équipement chez mes parents.
Dans ma chambre je pris mon arc accroché au
mur. Sur ma ceinture j’y accrochas mes dagues
et mon épée Screed avec un saphir encré dans
le manche, je me vetus d’une émaille grise et
d’une robe bleu et blanche et mon blason cousue.
e redescendis de ma chambre, en direction de la porte
d’entrée ou la mes parents m’attendes. Je lisais dans
8. leurs yeux la tristesse de me voir partir et la joie d’etre devenue
chevalier. Je leur dis mes adieux et partis vers la grande porte
d’entrée de la ville. Une fois loin de ma ville je repensas à tous les
moments forts de ma vie.
ne fois loin de ma ville, je repensas à ma quete.
Je devais rendre un présent au Roi Léandre de
le ville de Croissy, mais la route était longue et
semées d’embuches. J’avençais dans un couloir
de pierre. D’un coup, j’entendis le bruit d’un
pas, quelques temps après le meme son m’aparut. J’en étais
maintenant sur quelqu’un me suivait et que cette longue route ne se
passera pas tranquillement.
9. es
bruits de pas me trottaient dans la tete, je me rappelais
qu’un chevalier ne devais pas avoir peur mais dois etre
courageux. Pas après pas j’avençais, quand soudain
mon pied droit ne touchait plus le sol, je me rendis
comte en une fraction de seconde que je tombais dans
un piège. Dans ma tete je comptas jusqu’à cinq pur
éliminer la peur en moi 1…2…3…4…5, d’un coup je sortis mes
dagues et coupa les filets qui recouvrait le piège. Une fois sortis,
c’était déjà trop tard les barbares tendaient leurs flèches sur moi.
Ils me demendaient qui j’étais, je ne leur répondis pas mais plutot
j’évaluais la situation et le nombre d’ennemi autour de moi, je fis
glisser ma main sur ma cuisse, pour d’un coup attraper mon épée,
trancha les mollets des ennemis autour de moi, pris mon arc et
mes flèches pour tirer sur deux barbares en hauteur. Par
surprise un autre m’attaqua au visage et je le contras avec ma
dague dans son cœur. S’en était fini enfin pour le moment!!!
10. l se faisait tard je devais me reposer dans une
auberge mais il n’y avait pas de ville aux alentours.
Je cherchais alors une grotte pour m’assoupir. Une
fois dans une grotte, j’allumais un feu. Au nom de
dieu, mais ce n’est pas possible je restas abassurdi
sur ce que je voyais. Il y avait du sang partout sur
les murs. Il y a du se passer quelque chose içi, je
décida de suivre la galerie de la grotte. Je marcha,
glissa, grimpa dans les galeries mais les traces de sang ne
disparaissait pas. Peut-etre y avait-il des loups, des gnomes ou un
géant ?
'avancais dans la grotte et tombe nez-à-nez avec
était plutôt une chevalière. Elle était plutôt grande et jolie. Ses
cheveux étaient bruns. Elle avait un grand sourire aux lèvres. Je
m'approchas et on se saluat. Elle se nommait Yseult Duhameau
dite l'intrépide et venait ici pour se reposer après une dure
journée. Elle me raconta son extraordinaire aventure depuis la
sorti de son château et je fais de même. Nous décidions de
s'entraider et de rester ensemble car avec ses qualités malesse et
de fougue et les miennes, on va l'emporter vite !
11. ous avançons tout deux dans la grotte sombre
et ténébreuse. Nous tombons face à face avec
un géant. Il est assis à l'angle de la grotte. Le
géant a un seul œil au milieu du front. Sa tête
est ronde et quelques cheveux se dressent en
pic sur sa tête. Il a quelques poils sur le torse et que trois orteils
de pieds et quatre doigts à la main. Quand on se regarde droit
dans les yeux lui aussi est surpris de notre présence. Nous
l'avons dérangé durant son repas de moutons tout frais avec des
chênes qu'il engloutissait entier.
12. l
avance vers nous en faisant trembler le sol avec ses
énormes pieds. Il sortit sa main et frappe le sol de
toute ses forces. Nous l'esquivons de justesse. Nous
brandissons notre épée main avec sa robuste peau un
coup d'épée n'atteint même pas sa chair. Nous
comprenons que pour le vaincre il faut lui planter nos
épées dans son œil. Le géant nous voit de son seul
œil se diriger chacun d'un côté et de l'autre de la
grotte. Nous gravissons un grosse pierre chacun de notre côté et
nous sautons de toute nos forces pour atteindre son œil avec nos
deux épée. Il nous rejette comme de misérables poussières. Nous
tombons à ses pieds. Il nous regarde et recommence à faire
trembler le sol avec ses grosses mains qui essayent de nous
aplatir. Hugo, le preux chevalier, monte sur l'épaisse carapace du
monstre. Il brandit son épée et d'un coup sec, lui crève son œil. Le
géant, tordu de douleurs le prends dans sa main et le jette avec
puissance. Le monstre se lève mais il ne voit presque plus rien. La
preux chevalière escalade la paroi de la grotte saignante et quand
le géant arrive à son auteur, elle saute et lui plante son épée dans
l'oeil. Le géant, définitivement mort s'écroule comme une pierre sur
le sol.
13. e cours vers Hugo inanimé et serre dans mes bras, il
respire encore. Je le prends sur mon épaule et nous
retournons au campement avec le feu. Là je le couche
à terre. Puis je retourne vers ma jument et prend ma
gourde. Je lui dépose de l'eau sur le visage et lui
donne à boire. Ses yeux commencent à s'écarquiller.
Il se lève doucement. Hugo veut repartir combattre le
géant mais je le stope et lui dit qu'avec ton aide j'ai réussis à le
vaincre. Le chevalier me félicite. Quelle aventure!
ous sortons de la grotte. Nous nous dirigeons
vers un arbre bien feuillu pour soigner ma
jument et lui faire un bandage naturelle. Une
fois Laïka soigné, je monte Hugo sur son dos. Nous partons à la
recherche d'une clairière pour se reposer après une dure journée
de combat. Je prends ma jument par la bride et je la conduit vers
la clairière. Nous arrivons enfin dans une belle clairière bien
dégagée. Nous nous couchons chacun sur un tapis de mousse. La
nuit ne sera pas paisible...
14. AOOOOOOUUUUUUH, nous nous réveillons tous deux en
sursaut. Une meute de loup se lèche les babines autour de nous.
Nous nous levons de notre lit de mousse et déguénons nos deux
épée du fourreau. Un des loups se détache de la meute, il est
grand par rapport aux autres. Il est plus noir, ses crocs sont
aiguisés et longs, ses yeux jaunes déchirent le regard. Il a l'air
plus féroce et décider.
etit à petit, la meute resserre le cercle, nous
sommes dos à dos sur nos gardes. Les loups
ont l'air affamés. Nous tremblons car il y en a
de tous les côtés. Quand tout à coup comme si il s'était donné un
signal secret, tous bondirent à notre cous. Le combat est violent.
Nous esquivons de nombreuses fois les gueules , les épées
déchirent la chair de certains loups. Le combat est un vrai
carnage. Il en reste trois dont le chef qui m'attaque violemment.
Nous nous écartons de plus en plus. Hugo s'occupe des deux
vassaux du chef.
15. e chef me saute à la gorge et me mors de toute sa gueule.
Je cris et Hugo arrive vers moi et fous de rage plante
son épée dans le coeur du chef mais c'est déjà trop tard.
Je pousse mes derniers cris de douleurs et m'endors pour
toujours. Il reste un dernier loup à combattre. Hugo y
court et vains le dernier loup tout en pleurant de ma
disparition. Il revient vers moi, il se couche à mes côtés et pleure.
Il voit bien que je ne respire plus. Il m'enrobe dans un drap et me
dépose en toute délicatesse sur ma jument. Ma jument hennis de
douleur et avant de repartir au château pour annoncer ma
disparition je maudit ces loups qui m'ont enlevé ma meilleur amie.
e saisis les brides de Laïka pour retourner au château
de Yseult. Je marche longtemps et longtemps en
pleurant sa mort. J'arrive enfin à de grande grille
d'un château. La ville est déserte. Je me rend dans le
château et demande à parler à Lancelot Desamajesté,
le seigneur du village. Je m'entretiens avec lui et lui
compte mon aventure. Il s'écroule de douleur en pleurant. Il était
si attaché à Yseult. Je le console vaillamment. Au fond de moi je
me dis pauvre seigneur... Elle était si jeune... Le seigneur reprend
ses esprits et me remercie de mon courage et de ma vaillance. Je
le salue et ferme la porte derrière moi.
16. uelques jours plus tard arrive la grande cérémonie de
l'enterrement. J'ai le cœur serré et les larmes qui me gagnent. Je
dépose un bouquet de rose au pieds de la tombe. Je me retire et le
seigneur me félicite de mon courage. Il me dit également que je
suis le plus brave chevalier du royaume. Sigismond fond lui aussi
en larme. Il est très triste de voir sa bienaimé monté au cieux. Il
espère que son âme sera pris par les anges et non Satan; mais il
a confiance.
Épilogue: Hugo c'est installé au village
avec Sigismond pour l'aider avec ses brebis.
L'âme de Yseult est monter au cieux et elle
veille sur Sigismond et Hugo.
504 Jeanne L et Joseph