Le bio en Lorraine, Organic Agriculture in the Lorraine Region of France
1. Avant d’arriver en Lorraine, je m’étais bien informée sur la gastronomie lorraine et
sur les produits alimentaires cultivés dans cette région intermédiaire. Je sais que
l’agriculture de cette région se compose de viande, de produits laitiers, de céréales et de
pommes de terre. La base de l’agriculture en Lorraine est destinée aux consommateurs
régionaux sauf les céréales, où 90 % de la production est exportée.i Ce fait illustre le
maintien d’une production agroalimentaire qui n’est pas aussi éclatée qu’aux Etats Unis.
D’ailleurs on peut observer les liens avec l’agriculture régionale et les plats typiques qui
sont préparés fidèlement par un traiteur aussi bien que par une femme au foyer. En fait,
c’est grâce à Monsieur Gérard Bechler, un pâtissier lorrain qui réside en Californie
maintenant, que je connais des plats qui sont typiques de la Lorraine. J’ai travaillé à la
Pâtisserie Bechler où non seulement on confectionnait des petits fours, mais où l’on
cuisinait aussi des quiches lorraines et de la pâte feuilletée farcis de porc et de veau
marinés dans du vin blanc. Indéniablement, ce Français—Monsieur Bechler—se comporte
avec un esprit différent de celui des autres chefs pour qui j’ai travaillé. J’apprécie sa
ténacité et l’art qu’il semble mettre dans chaque présentation ; qu’il s’agisse d’un gâteau de
mariage, ou d’un plat du jour pour le déjeuner dans la véranda du café.
Je mentionne M. Bechler parce que mon
expérience chez lui a motivé mon goût pour la
France avant mon voyage à Nancy. J’avais
d’ailleurs tellement idéalisé mon voyage à
l’étranger pendant mes études que j’ai conservé
en moi un tableau de la campagne lorraine et de passer dans ce paysage.
tous ce qui pouvait se
1
2. Malheureusement je idéalise la pureté de la France, même ici, en Lorraine, mais
malgré l’importance de l’industrie agroalimentaire j’ai trouvé des agriculteurs et des
fermiers qui reconnaissent maintenir un style de vie qui ne repose pas sur le facteur décisif
du profit. Ce travail se propose de démontrer la présence de l’agriculture biologique en
Lorraine et celle des organismes régionaux qui soutiennent ces exploitations. De plus il
s’agit d’examiner la distribution des zones de cultures et des élevages biologiques parmi les
quatre départements de Lorraine et de voir comment fonctionne le réseau de la
communauté biologique dans une telle région productrice.
Dans l’actualité, lorsqu’une information pour montrer comment fonctionne
l’industrie alimentaire est suivie par un tableau bien construit qui montre des flèches
reliant directement des vaches Prim’ Holstein aux bouteilles de lait, il faut réévaluer la
manière dont nous obtenons notre nourriture, en l’occurrence, ici le lait. En Occident, nous
vivons à l’écart de la production des produits agroalimentaires, en fait, cette manière même
de décrire l’origine de la denrée implique un éloignement entre nous et notre nourriture.
Suivant le pays, on peut identifier quelques tendances différentes créées dans le but de
relier l’acte de manger avec la source d’une denrée. Par exemple, aux Etats-Unis il y a un
mouvement social qui s’appelle « Mangeons local » où les consommateurs votent avec
leurs dollars pour soutenir la production et la consommation alimentaires durables et
locales qui favorisent par voie de conséquence l’économie locale. En revanche, il existe des
groupes qui promeuvent l’abstention de tous produits d’origine animale parce que
l’éloignement entre nous et la majorité des produits animaux entraîne un échange
inéquitable entre les éleveurs et ses animaux. C’est pour cela que les membres de tels
groupes préfèrent protester (avec leurs fourchettes) contre cet aspect précis qui fait partie
2
3. de l’énorme industrie agroalimentaire. Comme le monde scientifique affirme que, les
animaux sont des êtres sensibles, qui ressentent ce qui leur arrive, le développement de
l’élevage industriel des animaux soulève aussi de nombreuses questions éthiques, pour les
éleveurs et les consommateurs.
Sans tenir compte du mouvement qu’on poursuit il faut qu’on fasse attention à la
puissance de l’agroalimentaire avant que la culture de la nourriture ne se réduise à une
pure transaction. Cette analyse semble pertinente pour une citoyenne américaine et même
pour une française car les productions alimentaires des deux pays puissants sont
comparables. D’ailleurs par leur position dominante dans l’industrie agroalimentaire, les
Etats-Unis et la France nourrissent leur peuple au moyen de l’élevage des poulets dans des
hangars. La France est le premier producteur en Europe « avec 830 millions de poulets par
an (suivant aux Etats-Unis avec un taux élevé de 9 milliards par an). »ii Ainsi la France a une
influence sur les méthodes et les moyens par lesquels cultive et distribue ses récoltes, ses
viandes, ses œufs, et ses laitages. C’est pourquoi une analyse du rôle de l’agriculture
biologique dans une région relativement productrice comme la Lorraine donne un aperçu
utile pour évaluer les attitudes vers la nourriture et la culture vis-à-vis de l’agriculture
lorraine.
En 2006, l’industrie en Lorraine comprenait au total 798 entreprises, l’industrie
agroalimentaire dans ce contexte industriel représentait 270 de ces entreprises. iii Mais il
faut encore y ajouter depuis 2006, 230 exploitations biologiques. iv Après une analyse de ces
chiffres la Lorraine dépendrait une région dans laquelle l’agriculture biologique est aussi
présente que l’industrie agroalimentaire, mais il faut d’abord définir ce qu’est une
3
4. entreprise agroalimentaire et une exploitation pour mieux évaluer leurs impacts. Une
entreprise est une unité économique de production de biens ou de services à but
commercial. On peut dire une société ou une entreprise car les deux opèrent pour
surpasser leurs quotas à chaque cycle de vente. En revanche, une exploitation est plutôt
une ferme d’une taille plus petite que les élevages et les cultures industriels. Pour comparer
les industries agroalimentaires aux exploitations biologiques en Lorraine il faut se reporter
au tableau suivant :
Malheureusement il n’y a pas de chiffres spécifiques pour les industries
agroalimentaires car la chambre d’agriculture lorraine préfère communiquer les chiffres
plus précis pour les activités les plus lucratives de la région. « L’industrie laitière
représente le lait qui est essentiellement transformé en fromage, notamment en pâte molle
et en pâte pressée non cuite. La quasi totalité du Munster français est produite en Lorraine,
ainsi que près des 3/4 des bries français. L’industrie de la viande est orientée vers la
production de viande de boucherie avec essentiellement 4 abattoirs de taille moyenne. Les
4
5. fabrications de charcuterie et de conserve de viande (qui représentent moins de 2 % de la
production nationale) sont tournées vers la viande salée. »v En Lorraine, il y a 90 industries
agroalimentaires en dehors de la viande et du laitage ; elles fabriquent des produits comme
les eaux de table, du pain et de la pâtisserie, et quelques autres denrées comestibles.
En revanche, il y a une distribution plus équilibrée
des exploitations biologiques partout en Lorraine.
Le département le plus producteur est celui des
Vosges qui soutient 83 agrobiologistes sur son
terrain montagneux avec une qualité de l’eau
supérieure. Les producteurs biologiques de Moselle
se composent de 44 agrobiologistes avec la plupart
des exploitations
qui sont situées autour de Sarreguemines et de Sarrebourg. En outre, la Meurthe et Moselle
ressemble à sa voisine de l’est car on compte 42 agrobiologistes sur ce terrain-là. Et,
finalement la Meuse où il existe beaucoup moins d’agrobiologistes que dans les autres
départements lorrains : 32 agrobiologistes. Sur ce point, on peut considérer la destruction
territoriale causée par les tranchées pendant la guerre comme un facteur qui réduit la
possibilité de cultiver le sol…
Produire selon l’agriculture biologique implique le respect d’un ensemble des
règlements européens et français. Devenir certifié avec le logo AB nécessite l’engagement
de satisfaire aux démarches administratives qui peuvent évoluer lentement car la terre
traitée avec les produits chimiques n’est pas capable de réagir efficacement après avoir été
5
6. tellement exploitée. En général, l’étape de la conversion a une durée minimale de 2 années
pendants lesquelles les activités de l’exploitation doivent respecter les règlements du corps
de la certification « sans pouvoir bénéficier du logo AB. » C’est déjà une épreuve. Selon le
site internet, le Bio en Lorraine, administré par les producteurs qui y travaillent, la marque
AB a pour objet d'identifier un produit agricole destiné à l'alimentation humaine*,
conforme au mode de production biologique selon la réglementation nationale et
communautaire en vigueur, et certifié par un organisme agréé par les Pouvoirs Publics
français. La marque AB regroupe tous les éléments qui font l’agriculture biologique à la
française : cahier des charges, contrôle, traçabilité. Elle est la propriété exclusive du
Ministère en charge de l'Agriculture.
Son usage est accordé sous réserve du respect de ses règles d'usage. *Mais, dans le cas des
éleveurs bio il faut considérer que le fourrage des animaux doit être « bio » aussi. C’est
précisé par l’agriculteur Jean-Marie Marchal à Arraye-et-Han, où il a 45 vaches laitières qui
produisent du lait destiné à être vendu à la filière Sarl BioGam.
« L’alimentation du bétail est différente [des éleveurs
traditionnels] car pour produire du lait bio il faut que
les vaches mangent bio. [Plus précisément, il n’y a] pas
d’engrais chimiques, ni pesticides, ni désherbants, ou
produits phytosanitaires quelconques [utilisés dans les
pâtures ni contenus dans le foin]. »vi
vi
La sarl BioGam est une société à responsabilité limitée unique en Lorraine qui s’appuie
6
7. sur des agriculteurs laitiers pour produire du lait biologique et le distribuer aux divers
transformateurs lorrains aussi (fabrication des fromages et des desserts lactées).
Pour être exhaustif, il s’agit de montrer les organismes en Lorraine qui soutiennent
l’agriculture bio ainsi que ceux qui se convertissent à la méthode biologique. A présent, il
existe 4 groupements locaux qui prédominent dans le cadre de ce genre d’agriculture ; CGA
de Lorraine, PROBIOLOR, Sarl BioGam, et Paysan Bio Lorraine. Mais il y a également une
association qui promeut l’élevage biologique et dont on trouve les locaux à Metz ; elle
s’appelle Protection Mondiale des Animaux de ferme (PMAF). Donc, au total il y a 5
organismes lorrains qui s’occupent des affaires biologiques. Le Centre des Groupements
des Agrobiologistes de Lorraine (CGA) est un syndicat professionnel créé pour promouvoir
l’agriculture bio dans la région et ainsi il est comme le patriarche de la communauté
biologique. On ajoute que « le CGA a été réfléchi depuis 1973 et s’est créé en 1975. C'est un
syndicat agricole qui fait suite au CGA des VAL (Vosges Alsace Lorraine) et qui a été mis en
place après la décision de l'Alsace de créer sa propre structure. »vii
Le CGA se compose de 19 membres qui sont tous des agriculteurs biologiques dans
la région. Etant donné les exploitations typiques—la viande et le lait—en Lorraine, le CGA
se concentre sur ces mêmes productions mais uniquement sur celles qui suivent une
méthode agricole différente. Leur travail consiste à établir des certifications pour les
exploitations qui se évoluent vers l’agriculture ou l’élevage biologique, c’est-à-dire qu’ils
assurent l’appui technique pour la conversion et pré-conversion des exploitations. C’est
une étape essentielle pour les agriculteurs qui décident de s’orienter vers une agriculture
plus durable pour la terre et les animaux. D’ailleurs une fois l’appui technique fourni, le
7
8. CGA s’applique à régler la qualité des produits dans le cadre bio et à animer des dossiers
éducatifs, professionnels, et communicatifs (pour les médias).
Après PROBIOLOR, Sarl BioGam, et Paysan Bio Lorrain qui sont partenaires du CGA,
qui se réfèrent au CGA comme à un système de coordonnées. La coopérative agricole
PROBIOLOR regroupe 70 agriculteurs de céréales (des lentilles vertes aussi !) en Lorraine
et dans les départements limitrophes. Outre des céréales, PROBIOLOR vend une gamme de
farines de Lorraine grâce à son association avec le moulin d’Heucheloup sur Bégnecourt
dans les Vosges. Au sujet de Sarl BioGam, on ajoute qu’elle « coordonne et gère avec l’aide
de ses partenaires toute la filière dans le but d’apporter la meilleure valorisation possible
du lait bio aux producteurs. »viii La création de BioGam a été engagée en 1975 avec la SICA
Bioval dont l’objectif consistait à fournir les laitages biologiques en Lorraine. Enfin, en 1990
la Sarl BioGam a remplacé sa cousine Bioval dans le but de gérer la filière bio avec ses
producteurs de lait et ses laiteries dans les 4 départements. De la même manière que le
logo AB, Paysan Bio Lorrain est une association des paysans qui emploient l’agriculture bio
dans leurs propres exploitations. Effectivement, c’est une marque qu’on peut trouver sur
les produits de la région, en grande distribution dans la région nancéienne. L’objectif de cet
organisme permet aux consommateurs d’être « consommacteurs » du développement local
et de l’économie régionale. Alors, cette analyse relève de nombreux organismes régionaux
qui renforcent la présence de l’agriculture bio en Lorraine.
Ce travail a ouvert la voie à une association qui est impliquée dans l’agriculture bio mais
bien plus s’efforce d’améliorer la situation du chômage dans le département de Meurthe et
Moselle. L’association Lortie est située à Malzéville juste en face du établissement Lycée
8
9. Agricole de Pixerécourt et au bord de la Meurthe. Lortie est une association loi 1901 à but
non lucratif, soutenue par des partenaires institutionnels comme la Commune de Malzéville
et le Plan d’Insertion par l’Economie de l’Agglomération Nancéienne. En fait, j’ai passé une
journée avec la directrice de Lortie, Mme. Valérie François et un de ses ouvriers, Nicolas,
qui m’ont donné plein d’informations sur cet enjeu à Malzéville. Ainsi, depuis sa création en
1997, Lortie, à travers son activité de maraîchage biologique, a soutenu plus de 150
personnes sans boulot qui touchent les minimums sociaux et sont souvent en situation
précaire dans leur volonté de réinsertion dans le monde du travail. Les objectifs de
l’association comprennent 4 actions :
i. Poursuivre son action d’insertion en faisant travailler des personnes sans emploi.
ii. Développer son activité maraîchère bio et faire découvrir sa production à d’autres
personnes.
iii. Accroître son activité environnement en réhabilitant de nombreux vergers en friche
de l’agglomération nancéienne.
iv. Continuer le long travail de valorisation d’un site de verdure, celui des Coteaux de
Malzéville.
L’association Lortie cultive plus de 60 variétés des légumes et petits fruits sur 4 hectares où
il y a une dizaine de serres qui ne sont réchauffées que par le soleil. Les 7 ouvriers manuels
ont accès aux 3 petits tracteurs et l’irrigation souterraine est fournie par un étang sur la
propriété elle-même. Le fonctionnement de Lortie dépend de 240 adhérents qui s’abonnent
aux livraisons de paniers remplis de légumes et de quelques fruits chaque mois. Je vous
9
10. conseille de vous inscrire, mais il y a beaucoup de monde. A peu près 240 adhérents c’est la
capacité maximum car le maraîchage est produit le plus possible sans l’utilisation d’apports
chimiques. Cela implique une liste d’attente qui accumule des personnes depuis les 7
années d’existence pour satisfaire les 300 personnes qui l’attendent. C’est donc une
réussite, mais c’est un échec aussi parce qu’il n’y a pas assez de cultures de ce genre en
Meurthe et Moselle même quand les paniers comme ceux d’une AMAP 1 sont à la demande.
Tout cela nous renvoie à la présence d’une agriculture biologique en Lorraine qui
n’est pas qu’une tendance, mais également un mouvement se développant depuis des
décennies sous la main des agriculteurs passionnés par la conversion à une agriculture plus
simple comme celle d’antan. Je trouve les Lorrains très fiers de leur terroir pour les raisons
politiques et même gastronomiques donc il me semble capital de considérer l’agriculture
biologique comme positive pour eux-mêmes et aussi pour la terre qui les soutient. A la
lumière de cette analyse, j’espère qu’on pourra tenter d’explorer ces produits valables et en
même temps éviter les grandes surfaces qui pourrissent les rapports entre producteur et
consommateur, donc l’économie locale. Profitons de la Lorraine !
1
AMAP: Association pour le maintien d’une agriculture paysanne. “Ce mouvement
associatif né en 2001 en France n’a cessé d’augmenter. A raison d’une cinquantaine de
paniers livrés dans les Amap, on peut chiffrer a minima à 35 000 paniers de fruits et
légumes de saison, bio ou issus de l’agriculture raisonnée, distribuís par des bénévoles
dans quelque 700 lieux à travers le territoire.” -- Guirec Gombert pour Le Figaro dans « Les
paniers de fruits et légumes emballent les consommateurs » 03/04/2009.
10
11. i
Site Internet du Panorama des Industries Agroalimentaires. “Perception par les entreprises
agroalimentaires du territoire.” http://panoramaiaa.agriculture.gouv.fr/article.php3?
id_article=87
PMAF. Dans l’exposition: “Nourrir l’humanité avec humanité; quelle agriculture pour demain?”
ii
réalisée par la Protection Mondiale des Animaux de Ferme (PMAF) à la Médiathèque Jean Macé à
Borny.
Site Internet de La Chambre Régionale d’Agriculture de Lorraine. “Les chiffres agroalimentaires
iii
pour les entreprises et les activités.” http://www.cra-lorraine.fr/index.php?
page=053&article=215
iv
Site Internet de l’Agronomie et Développement durable. “CGA Etat des lieux.” http://www.cra-
lorraine.fr/fichiers/conf-bio-etat-lieux-CGA.pdf
v
Site Internet de La Chambre Régionale d’Agriculture de Lorraine. “Diagnostic Territorial.”
http://panoramaiaa.agriculture.gouv.fr/article.php3?id_article=86
vi
L’Est Républicain. Agriculteur “bio.” Article de Philippe Mercier le 21 avril 2009.
Site Internet de CGA de Lorraine. “Statut Historique.”
vii
http://www.bioenlorraine.fr/cgalorraine/pages/fr/8.htm
viii
Guide de consommateurs. “Manger Bio, 2005-2006.” Page 5, le déscriptif de la Sarl BioGam.
12. i
Site Internet du Panorama des Industries Agroalimentaires. “Perception par les entreprises
agroalimentaires du territoire.” http://panoramaiaa.agriculture.gouv.fr/article.php3?
id_article=87
PMAF. Dans l’exposition: “Nourrir l’humanité avec humanité; quelle agriculture pour demain?”
ii
réalisée par la Protection Mondiale des Animaux de Ferme (PMAF) à la Médiathèque Jean Macé à
Borny.
Site Internet de La Chambre Régionale d’Agriculture de Lorraine. “Les chiffres agroalimentaires
iii
pour les entreprises et les activités.” http://www.cra-lorraine.fr/index.php?
page=053&article=215
iv
Site Internet de l’Agronomie et Développement durable. “CGA Etat des lieux.” http://www.cra-
lorraine.fr/fichiers/conf-bio-etat-lieux-CGA.pdf
v
Site Internet de La Chambre Régionale d’Agriculture de Lorraine. “Diagnostic Territorial.”
http://panoramaiaa.agriculture.gouv.fr/article.php3?id_article=86
vi
L’Est Républicain. Agriculteur “bio.” Article de Philippe Mercier le 21 avril 2009.
Site Internet de CGA de Lorraine. “Statut Historique.”
vii
http://www.bioenlorraine.fr/cgalorraine/pages/fr/8.htm
viii
Guide de consommateurs. “Manger Bio, 2005-2006.” Page 5, le déscriptif de la Sarl BioGam.