2. Plan 1. Prendre part à la « guerre de l’image » : un activisme lié aux mots, à la parole, aux représentations. a. Un contexte de pensée univoque : vaincre le monopole israélien de la vérité. b. La parole comme action. c. Transformer les schémas de compréhension. 2. Emetteurs, récepteurs et modalités de diffusion. a. Emetteurs : Refuzniks et Shministim. b. Modalités de diffusion. c. Destinataires et réceptions.
3. 1. Prendre part à la « guerre de l’image » : un activisme lié aux mots, a la parole et aux représentations.
7. l’éducation religieuse (en ne retenant que certains passages)Dans ce contexte de « sécurité » toute personne qui remet en cause l’idéologie est vue comme un traite, un danger.
8.
9. Par leur parole, ils remettent en cause le consensus social autour de l’occupation, et remettent donc en questions les actions de l’état dans la sphère publique.
10. Madison : « La désobéissance n’est pas une rupture du contrat sociale, mais sa réinterprétation. »
14. Aller contre une « essentialisation » du conflit qui reprendrais la théorie de Huntington sur le « choc des civilisations » (le conflit serait due à la nature fanatique du peuple arabe).
15. Transformer les termes : envisager les « territoires » comme des colonies, les divisions comme un apartheid… Démontrer que Israël n’est pas dans une situation de défense mais d’attaque.
16. Photos prise par des soldats durant la dernière opération à Gaza, diffusé sur le site www.shovrimshtika.org.
19. Donc : le service militaire (trois ans) est le moment ou l’on deviens citoyen à part entière, « scelle la relation entre le citoyen et l’état » (RoniChacham).
29. Discours repris et remis en circulation sur des blogs, site perso, etc… Les objecteurs de consciences donnent également de nombreuses interview pour des médias locaux et internationaux.