1. ÉTUDE DE CAS e-BUSINESS INTEL
Sussex Downs College
Le Sussex Downs College obtient des
résultats impressionnants grâce à des débits
Gigabit jusqu’aux PC de bureau
Dans cet établissement d’enseignement supérieur anglais, les équipements
Gigabit Ethernet d’Intel pour PC de bureau stimulent les performances,
éliminent les congestions et dopent la productivité des administrateurs réseau
En bref…
Structure Établissement d’enseignement supérieur Sussex Downs College
Enjeux L’encombrement et les médiocres performances d’une
infrastructure existante, câblée sur fils de cuivre de catégorie 5,
entravaient les activités des administrateurs réseau, mais aussi
des utilisateurs.
Solution Faire bénéficier les PC de bureau de ce personnel du Gigabit
grâce à des cartes Gigabit Ethernet Intel® PRO Desktop. Doter
par ailleurs des mêmes performances la dorsale du réseau et
les serveurs de sous-réseaux à l’aide de cartes réseau Intel
PRO/1000 XT et Intel PRO/1000 MT Server.
Avantages Gain de productivité radical pour le personnel concerné.
Intel PRO Passage simple et sans anicroches à une infrastructure fiable
et ultraperformante.
Network Connections
Synthèse
Le Sussex Downs College est un établissement d’enseignement supérieur issu du
regroupement du Lewes Tertiary College et du Eastbourne College of Arts & Technology.
Avec environ 4 500 étudiants et 22 000 inscrits qui exercent une activité professionnelle
par ailleurs, c’est la plus grande université du Sussex.
Son infrastructure réseau vieillissante entravait le travail du personnel administratif comme
des étudiants. En particulier, les médiocres performances de celle-ci et son degré de
congestion entravaient la mission des administrateurs réseau, allant parfois jusqu’à
contrarier les opérations de sauvegarde.
En 2002, pour régler le problème, Adrian Morgan, responsable du réseau, s’est tourné
vers les solutions Gigabit d’Intel. Aujourd’hui, l’infrastructure fonctionne à merveille et ses
rouages sont transparents pour ses utilisateurs.
Enjeu
DÉCONGESTIONNER LE RÉSEAU ET AMÉLIORER SES PERFORMANCES
Adrian Morgan encadre deux équipes d’administrateurs réseau, une pour chacun des deux
campus que compte l’université. Elles sont chargées de tout ce qui touche à l’infrastructure,
de l’assistance aux utilisateurs à l’installation et à la maintenance. Leur responsable
privilégie une approche pragmatique qui implique une intervention dès qu’un problème
se présente, mais il doit également conserver une vision d’ensemble du réseau et fixer
les orientations de son évolution.
2. L’infrastructure d’origine se composait d’une dorsale logiciels, mais aussi les compétences nouvelles
Ethernet et de nombreux sous-réseaux. Même si la dont il allait falloir disposer – donc les besoins en
majorité des segments fonctionnait en Fast Ethernet, formation – et les inévitables perturbations que
il restait des enclaves à 10 Mbit/s, ce qui avait pour l’opération allait susciter.
effet de provoquer des encombrements et de nuire
Adrian Morgan et ses collaborateurs auraient en effet
aux performances. Si des utilisateurs de toute
pu employer des méthodes radicales, en particulier
l’université souffraient de cette situation, elle devenait
pour les sous-réseaux, et scinder l’infrastructure en
cependant critique pour les administrateurs réseau.
segments plus petits tout en instaurant un routage
Adrian Morgan : « Tenter d’équilibrer le trafic sur dynamique. Cette solution aurait cependant impliqué
toute l’infrastructure, c’était comme se heurter à un d’importantes opérations de reconfiguration ou bien
mur. Parfois même, les sauvegardes étaient si le recours à une technologie différente, mais aussi
longues à réaliser qu’à l’heure de remettre le réseau exigé beaucoup de temps, d’argent et de formation.
en service, le travail n’était pas encore terminé. » Or du temps ainsi que des moyens financiers et de
formation, l’université en manquait… Les choix
Avec un parc d’environ 1 500 postes informatiques
étaient par conséquent limités. Adrian Morgan :
à gérer et un plan permanent de renouvellement de
« Il était donc logique d’opter pour Gigabit Ethernet
celui-ci, l’instauration de configurations standards est
sur cuivre. »
le seul moyen d’assurer rapidement le déploiement de
nouvelles applications et de mises à jour logicielles. Les solutions Gigabit d’Intel sont standardisées et
Les programmes sont ainsi chargés sur le serveur conçues dans un souci de compatibilité avec le
pour être ultérieurement télédiffusés à vingt-cinq matériel et les logiciels existants. Grâce au réemploi
ordinateurs à la fois, c’est-à-dire l’équipement d’une du câblage sur cuivre dont était déjà équipé
salle de cours. Les petits ajustements de l’image l’établissement, les aménagements à réaliser étaient
logicielle standard interviennent ensuite poste par poste. d’une ampleur restreinte : il était en effet inutile de
Adrian Morgan : « Cette activité mettait littéralement recâbler les ordinateurs et la migration était
le réseau à genoux et prenait deux heures voire plus à relativement simple à mettre en œuvre, mais aussi
chaque fois. On lançait la télédiffusion et on trouvait une moins perturbatrice pour les activités au quotidien
autre occupation en attendant qu’elle se termine. » des administrateurs et de l’établissement dans son
ensemble. Adrian Morgan : « Les modifications à
L’autre inconvénient était que la lenteur du réseau
réaliser étaient limitées. Il nous fallait effectivement
provoquait souvent l’interruption de la procédure
de nouveaux commutateurs, mais la topologie allait
avant son terme et que certains postes ne recevaient
rester pour l’essentiel inchangée. Par ailleurs, nous
donc pas les logiciels qui leur étaient destinés.
allions pouvoir tirer parti de nos compétences
Adrian Morgan : « Assurer l’uniformité de l’image
propres sans en rechercher de nouvelles et la durée
était un vrai casse-tête et il fallait s’y reprendre à
d’apprentissage promettait d’être courte. »
deux ou trois fois pour configurer tout le parc. C’était
une tâche plus que fastidieuse. » Si les techniciens du campus d’Eastbourne
n’avaient aucune expérience de Gigabit Ethernet,
Le problème d’encombrement touchait l’ensemble
leurs collègues de Lewes, en revanche, avaient
du réseau et n’était pas limité aux techniciens, les
mal vécu une première phase d’adoption de cette
premiers à l’avoir subi. Les utilisateurs eux-mêmes
technologie. Ils avaient en effet rencontré de graves
commençaient à se plaindre. Il gênait ainsi le person-
problèmes de compatibilité entre le système
nel administratif et d’encadrement, car dans le cadre
d’exploitation réseau et les commutateurs. Il était
des budgets et des inscriptions, celui-ci se transmet
donc hors de question de faire appel au même
des feuilles de calcul d’une taille de 200 Mo parfois,
prestataire pour cette nouvelle tranche des travaux.
surtout à la rentrée lorsqu’il faut mettre à jour ou
créer les dossiers de plus de 7 000 étudiants. Le cahier des charges prévoyait un équipement
performant, fiable et de maintenance simple.
De plus, l’établissement entendait faire jouer la
Processus
concurrence pour obtenir des tarifs avantageux.
LIMITER LE COÛT DE LA MODERNISATION Le choix d’Intel s’est alors imposé de lui-même.
Comme pour toute infrastructure réseau, l’équipement Adrian Morgan : « La réputation et la notoriété d’Intel
ne représentait qu’une partie des charges informatiques nous ont inspiré confiance. Ses services après-vente
de l’université, le reste correspondant aux ressources sont très pratiques et les ressources proposées en
humaines. Lorsqu’il s’est agi de moderniser le réseau ligne sont tout à fait complètes et nous conviennent
de l’établissement, l’étude préalable a ainsi pris en parfaitement. »
compte non seulement le coût du matériel et des
3. Solution Adrian Morgan : « Nous effectuons en général nos
sauvegardes d’un serveur sur un autre et cette
PASSAGE RAPIDE ET SIMPLE À DES
procédure nous prend désormais largement moins
PERFORMANCES GIGABIT
de temps. Cela représente un mieux conséquent en
Pour hisser les performances réseau de leurs huit termes de productivité pour les administrateurs
stations de travail départementales à des débits réseau. »
Gigabit, Adrian Morgan et son équipe ont porté leur
choix sur des cartes Gigabit Ethernet Desktop Intel C’est cependant la télédiffusion logicielle qui bénéficie
PRO Desktop. Ils ont également installé des cartes de l’avantage le plus marquant. Auparavant, les
réseau Intel PRO/1000 MT ou Intel PRO/1000 XT fichiers correspondants, d’une taille de 4 Go,
sur vingt-deux des serveurs du parc, afin de relever exigeaient vingt minutes pour un téléchargement
les performances dans les parties en amont de parfois inabouti. À présent, ce délai n’est plus que
l’infrastructure qui en avaient le plus besoin. de deux à trois minutes.
Cette installation s’est révélée extrêmement simple. Si l’incidence pour les utilisateurs est moins
De plus, la compatibilité des cartes réseau Intel avec apparente, puisque le déploiement n’est pas encore
les systèmes d’exploitation réseau libres de droits a achevé, le degré de congestion a néanmoins
évité tout problème d’interopérabilité. clairement diminué, les interruptions de service sont
De surcroît, la technologie Intel® SingleDriver™, grâce moins fréquentes et les connexions réseau sont plus
à laquelle toutes les cartes réseau Intel exploitent le stables, ce qui permet au personnel comme aux
même jeu de pilotes, a rationalisé l’installation. étudiants de travailler avec plus de sérénité.
Conformes aux spécifications Ethernet et compatibles
avec le câblage cuivre standard de catégorie 5, les Bilan et perspectives
cartes réseau Intel détectent en outre automatiquement
GAINS DE PERFORMANCES IMMÉDIATS
le débit maximum des équipements (10, 100 ou 1 000
Mbit/s), ce qui a permis de limiter les interruptions Les autres serveurs de sous-réseaux sont passés à
de service à une durée de quelques minutes à peine Gigabit Ethernet au cours des mois suivants, afin
par poste. Adrian Morgan : « Il a suffi d’éteindre les d’être prêts pour la rentrée 2003. À chaque nouvelle
ordinateurs, de changer leur carte et de les rallumer. carte réseau installée, l’amélioration était évidente.
Les gains de performances ont été immédiatement Adrian Morgan : « Nous n’avons eu strictement
perceptibles. aucun problème avec les solutions Intel. L’intérêt du
kit correspondant, c’est qu’il fonctionne sans aucune
« Nous avions opté pour une approche graduelle,
peine. C’est aussi simple que cela : il suffit d’enficher
de manière à progresser en fonction de nos moyens
la carte, d’installer les pilotes et les gains de
financiers et autres. C’est la rapidité et la simplicité
performances sont immédiats. »
du passage à Gigabit Ethernet qui nous a permis d’y
parvenir. Nous avons ainsi pu limiter considérablement Pour l’avenir, Adrian Morgan n’exclut pas de doter les
les perturbations et accomplir une grande partie du ordinateurs d’autres parties de son établissement de
travail en période de cours. » débits Gigabit : « Même si ce n’est pas une priorité
pour l’instant, il est vrai que certains postes gèrent
Les administrateurs réseau bénéficient à présent de
des logiciels graphiques lourds, aussi ce projet ne
performances en nette hausse, la migration a été
s’arrête-t-il pas là et nous le suivons de près. »
finalisée à 60 % pour le reste de l’infrastructure et
les seize serveurs de la dorsale ainsi que six autres
serveurs de sous-réseaux sont aujourd’hui équipés
de cartes réseau Intel. Adrian Morgan est ravi de
n’avoir aucune difficulté particulière à signaler.
Il est par ailleurs très satisfait des résultats. Les
solutions Gigabit d’Intel contribuent à faciliter le
travail de l’équipe des services réseau, en accélérant
des opérations comme les sauvegardes et en
réduisant les perturbations qu’elles suscitent.