Le "festival du changement" présente les deux grandes dynamiques de changement. La montée des marches constitue la dynamique positive ; et la descente aux enfers, la négative. Dans les deux cas, le changement est un donné initial ; la différence tient à la manière de le prendre : dans un cas, il est un stimulant, un défi relevé ; dans l'autre, le changement est subi. S'en suivent deux dynamiques opposées, décrites ici marche après marche. On notera que le changement ne cesse pas. La montée n'est jamais un accomplissement fini, elle demeure un process à renouveler sans cesse, à reprendre de période en période. Cette présentation du festival du changement synthétise les travaux de Maurice Obadia sur la conduite du changement.