2. Avertissement
Ceci est une introduction aux arbres programmatiques avec des exemples pour
illustrer mes propos, il n’y a pas d’exercices d’applications pour vous entraîner.
Si vous voulez appliquez les arbres programmatiques, prenez par exemple une
fonction X²+X+2 et faites un programme permettant de résoudre cette
équation pour qu’elle soit égale à 0 en utilisant son discriminant.
Ce sera une bonne mise en pratique de cela.
3. Sommaire
1. Introduction
a. Qu’est-ce qu’un arbre programmatique?
b. A quoi cela ressemble?
2. Les règles
a. Les lois et les symboles générales
b. Les différentes conditions
c. Les différentes actions
5. Qu’est-ce qu’un
arbre
programmatique?
Un arbre programmatique est un
dessin permettant de représenter
visuellement l’algorithme d’une
fonction, d’un logiciel ou d’un
programme automate.
C’est un outil puissant pour qui
sait l’utiliser correctement. Il
permet d’avant de se lancer dans
le code ou dans le programme, de
réfléchir à comment est-ce qu’il
compte réussir à aller au but.
6. A quoi cela
ressemble?
A ceci, je vous expliquerez plus
loins comment est-ce que cela
fonctionne et comment
représenter correctement l’
arbre programmatique en
commençant par les règles
Algorithme
ou
fonction
Action 1
Action 2
Action X
9. Le cercle
Il sert à l’identifier des
conditions d’exécutions de l’
algorithme. Un cercle vierge ne
sert à rien, nous le
remplissons pour désigner
quelque chose.
10. La flèche dans le
cercle
Il permet de définir le sens de
lecture du programme à ce
moment là.
Par exemple ici, la flèche pointe
vers le bas, ainsi tout ce qui
suivra la flèche devront être lut
de haut en bas.
La flèche pointe vers la droite,
on doit alors lire ce qui suit de
gauche à droite
11. Le carré
J’aurai dù l’appeler le rectangle,
en tout cas le carré représente
une action à réaliser quand on
y arrive.
Action à faire
12. Le prédicat
Associé à des conditions d’
exécutions, c’est lui qui vérifie l’
exécution, le franchissement
ou non de la condition d’
exécution associée.
On écris une condition
de franchissement
dedans, on peut
changer sa
représentation suivant
la condition qui lui est
associée….
14. SI
Exemple: SI j’ai B et C alors je
ferai l’action 1, sinon je ferai l’
action 2
SI B ET C
Action 1
Action 2
15. SI
Afin de pouvoir rajouter des
actions à faire, nous pouvons
faire comme cela. Cela nous
permet de rajouter des
branches d’actions.
Pour les logiciels de
représentations, cela permet
assez facilement de
rouler/dérouler ce qu’il se
passe afin d’y voir plus clair.
SI B ET C
Action 1
Action 2
Action 3
Si j’ai ceci
Alors j’irai ici
Sinon
Action 4
Action 5
Action 6
17. POUR
Exemple d'utilisation de la boucle
POUR
Pour la variable I variant de 0 à 10
avec un pas de 1, on executera les
actions de la boucle.
On peut avoir l'inverse aussi, on
peut varier la variable I de 10 à 0
avec un pas de -1 MAIS il faut que la
flèche va vers le bas et non vers le
haut.
POUR
I
0
10
1
Les actions de la
boucle
18. Tant Que
TQ
Voici l’exemple, tant que A est
inférieur à B, j’exécuterai le
corps de la boucle. Attention, il
faut que le prédicat soit à un
moment ou à un autre vérifier
pour pouvoir sortir de la
boucle.
TQ A < B
A <- A+1
20. Une action
Comme nous avons vu précédemment, nous avons déjà vu un type d’action:
A <- A+1
Voici ce que je lis: la variable A est affecté de A+1.
A vaut A+1 pour être plus précis.
21. Actions avec l’utilisateur
Nous pouvons afficher un résultat, une phrase, ou quoi que ce soit d’autre en
utilisant la chose suivante:
ecrire(“Quelque chose vaut: ”, A)
A est une variable, ici il y aura affiché à l’écran:
Quelque chose vaut: 10 par exemple si A <- 10
L’action écrire est une action de sortie, par exemple avec l’imprimante, on écrit
les caractères les uns à la suite des autres.
22. Actions avec l’utilisateur
Si l’utilisateur doit écrire la valeur d’une variable, ce sera:
lire(&variable_a_remplir)
Exemple: lire(&B)
L’utilisateur devra à ce moment là taper sur son clavier la valeur de B qui peut-
être un nombre, un caractère ou une phrase.
23. Exemple concret
On aura à l’écran:
Entrer la valeur de B: 3.14
Puis on appuie sur la touche
entrée pour valider le nombre
rentré et passer à la suite. Ici,
le programme s’arrête juste
après avoir rentré le nombre
B.
ecrire(“Entrer la valeur de B: ”)
lire(&B)