Le gouvernement Michel Temer adopte une politique d'austérité économique qui conduit le pays à la catastrophe. Le extremement elevé déficit dans les comptes publics fourni par le gouvernement Temer dans le budget de l'Union de R$ 159 milliards en 2017 et aussi en 2018, R$ 139 milliards en 2019 et R$65 milliards en 2020 montre non seulement l'échec de la politique économique néo-libérale, mais surtout, le but du gouvernement Michel Temer pour le maintenir cette politique dans les années à venir, il prendra le Brésil au statut de la « terre brûlée ». Un objectif budgétaire des déficits successifs 2017-2020 va encore accroître l'énorme dette publique.

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EXTREMEMENT ELEVE DÉFICIT DANS LES COMPTES PUBLICS MÈNE À
FAILLITE L'ÉCONOMIE BRÉSILIENNE
Fernando Alcoforado *
Chaque analyste économique sait que la baisse des recettes publiques actuellement en
cours au Brésil est principalement le résultat de l'activité économique réduite et non la
baisse de l'inflation ces derniers mois, comme l'a déclaré le ministre des Finances,
Henrique Meirelles. L'activité économique est mesurée par le PIB (Produit Intérieur
Brut) qui est la somme de la consommation des ménages, l'investissement des
entreprises publiques et privées, les dépenses publiques et la balance commerciale
(recettes d'exportation moins les dépenses sur les importations). La croissance du PIB
dépend principalement de l'augmentation de la consommation, l'investissement, les
dépenses publiques et les revenus avec exportations. Au cours de Michel Temer
gouvernment, il y avait baisse brutale de la consommation des ménages en raison de la
hausse du chômage et la baisse des investissements des entreprises ont contribué au
ralentissement de l'activité économique dans le pays.
La baisse de l'activité économique au Brésil est résulté non seulement de désastreux
gouvernement Dilma Rousseff mais aussi de l'action de Michel Temer gouvernment
que leur politique économique récessive a aggravé la récession qui a entraîné la faillite
généralisée de l'entreprise et le chômage de masse de 26 millions sans emploi, selon les
données PNAD. Pour réactiver l'activité économique, le gouvernement fédéral devrait
favoriser la réduction des taux d'intérêt exorbitants pratiqués par le système financier
pour encourager l'investissement privé, ce qui réduit la charge fiscale élevée avec la
réduction drastique des dépenses publiques et la réduction du coût de l'infrastructure
existante en Brésil avec l'attrait de des investisseurs privés pour permettre son
expansion et de réduire le coût de la logistique.
En plus de ces mesures, le gouvernement fédéral devrait augmenter les recettes
publiques et de l'autre, de réduire considérablement les dépenses des coûts. Le
gouvernement fédéral peut favoriser une augmentation des recettes publiques avec: 1)
imposition des grandes fortunes avec plus de R$ 1 milliard qui pourrait donner environ
R$ 100 milliards par an; et 2) augmenter la taxe sur les banques. À son tour, serait
atteint la réduction des dépenses des coûts par: 1) la réduction drastique du nombre de
ministères et d'organismes gouvernementaux et les dépenses du gouvernement à tous les
niveaux; et 2) la réduction drastique des taux d'intérêt de base de l'économie pour
réduire la taille de la dette publique et la charge de son amortissement. Ce serait la
condition du gouvernement fédéral ont les ressources nécessaires pour réaliser les
investissements publics nécessaires à la réactivation de l'économie brésilienne.
Au lieu d'adopter les mesures décrites ci-dessus, le gouvernement Michel Temer a
choisi mettre en œuvre la politique d'austérité qui conduit le pays à la catastrophe. Le
extremement eleve déficit fourni par le gouvernement Temer dans le budget de l'Union
de R$ 159 milliards en 2017 et aussi en 2018, R$ 139 milliards en 2019 et R$ 65
milliards en 2020 montre non seulement l'échec de la politique économique néo-
libérale, mais surtout, le but du gouvernement Michel Temer pour le maintenir cette
politique dans les années à venir que il prendra le Brésil au statut de la « terre brûlée ».
Un objectif budgétaire des déficits successifs 2017-2020 va encore accroître l'énorme
dette publique du gouvernment qui devra emprunter des fonds pour financer les
dépenses.

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Le gouvernement n'a pas dit quel sera l'impact de l'augmentation du déficit budgétaire
sur la dette dont les charges de son paiement correspond actuellement à 45% du budget
de l'Union. Afin de réduire ces frais au paiement de la dette publique, il est impératif
que renégocier le gouvernement fédéral avec ses créanciers stretching ce paiement afin
que puisse bénéficier des fonds pour l'investissement. Malheureusement, le
gouvernement Temer ne pas adopte cette mesure qui permettrait d'éviter réduction des
avantages sociales avec l'adoption des réformes du travail et de la sécurité sociale et
l'augmentation des impôts que se produira nécessairement avec la politique
économique mise en pratique pour le gouvernement.
Les stratégies adoptées par le gouvernement Temer de l'augmentation des revenus et la
réduction des dépenses publiques sont incapables de résoudre la grave crise économique
qui fait face au Brésil comme il est indiqué ci-dessous. La stratégie adoptée par le
gouvernement Temer pour augmenter les recettes est la taxe sur les fonds exclusifs qui
causeront il y a moins de ressources pour l'investissement et les cotisations de sécurité
sociale élevées des employés fédéraux de 11% à 14% pour les salaires supérieurs à R$
5.300 qui fera la réduction de la consommation des ménages. À court terme, la
proposition va générer plus de revenus proviendra de remettre à plus tard des
ajustements prévus pour 2018 des serveurs exécutifs fédéraux qui causeront la réduction
de la consommation des ménages. La stratégie adoptée par le gouvernement Temer pour
réduire les dépenses publiques consistait à la fermeture de 60 000 postes qui sont
ouverts, à l'examen des avantages tels que la réduction de l'allocation de logement et le
gel des salaires des commissaires qui auront un impact négatif sur la consommation des
ménages. Craignant Le gouvernement veut faire respecter le plafond salarial de R$
33.700 de fonctionnalisme. En outre, a annoncé une restructuration des carrières de la
fonction publique, ce qui conduira à une réduction du salaire de départ des travailleurs
qui entrent dans le gouvernement, aussi, aura un impact négatif sur la consommation
des ménages.
Le maintien de cette politique économique par le gouvernement Michel Temer signifie
continuer à « saigner » économique qui fait que les entreprises brésiliennes sont portées
à la faillite et la souffrance de la grande majorité de la population avec le chômage de
masse. Cette situation seulement prendra fin avec le départ de Michel Temer de la
présidence et son groupe au pouvoir avec l'installation d'un gouvernement de salut
national composé de personnalités d'une compétence et morale sans tache pour
convoquer une nouvelle Assemblée constituante pour corriger les distorsions de la
Constitution de 1988 et permettre de définir de nouvelles orientations pour le Brésil,
non seulement dans les domaines économique, politique et sociale, mais aussi les plans
éthiques et moraux.. Après l'Assemblée constituante, avec la réorganisation politique du
Brésil, des élections générales seraient appelés.
* Fernando Alcoforado, 77, membre Académie Bahia de l'Education et l'Académie Rotary Brésilienne de
Lettres - Section de Bahia, ingénieur et docteur de planification du territoire et du développement régional
pour l'Université de Barcelone, professeur d'université et consultant en planification stratégique, la
planification la planification stratégique, la planification d'entreprise, planification des systèmes d'énergie,
est l'auteur de livres de la Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a FHC- O Brasil e a
Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o Brasil (Editora Nobel,
São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia (Tese de doutorado.
Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003), Globalização e
Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século XVI ao Século XX
e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The Necessary Conditions of

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the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM Verlag Dr. Müller
Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e Catástrofe
Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia Sustentável-
Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do
Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico e Social
(Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática
Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015), As Grandes Revoluções Científicas,
Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016) et A Invenção de um novo
Brasil (Editora CRV, Curitiba, 2017). Il a Blog propre sur Internet (http://fernando.alcoforado.zip.net).
E-mail: falcoforado@uol.com.br.