Présentation d'une enquête réalisée par eBrary sur les pratiques de lecture électronique dans la communauté universitaire. ABF Midi-Pyrénées, 9 mars 2009.
Présentation de l'étude eBrary 2009 sur le livre électronique et son usage chez les étudiants et les chercheurs.
Journée ABF Midi-Pyrénées, Toulouse le 9 mars 2009.
Deuxième partie d'une intervention pour la cellule PRAC-TICE à l'ULB. Dominique Lerincks présente les résultats (partiels) d'une étude de cas à l'ULB, à la Bibliothèques des Sciences et Techniques. Première partie disponible : http://slidesha.re/a0s5t4
L'utilisation des médias sociaux dans les bibliothèques universitaires canadi...CARLsurvey2010
Ce sondage sur les médias sociaux s’adresse aux bibliothécaires universitaires travaillant dans les bibliothèques de recherche du Canada (voir la liste des bibliothèques membres de l’ABRC). Les données recueillies permettront de mieux comprendre l’utilisation qui est faite actuellement des médias sociaux par les bibliothécaires universitaires et d’identifier les enjeux reliés à ces médias.
Présentation d'une enquête réalisée par eBrary sur les pratiques de lecture électronique dans la communauté universitaire. ABF Midi-Pyrénées, 9 mars 2009.
Présentation de l'étude eBrary 2009 sur le livre électronique et son usage chez les étudiants et les chercheurs.
Journée ABF Midi-Pyrénées, Toulouse le 9 mars 2009.
Deuxième partie d'une intervention pour la cellule PRAC-TICE à l'ULB. Dominique Lerincks présente les résultats (partiels) d'une étude de cas à l'ULB, à la Bibliothèques des Sciences et Techniques. Première partie disponible : http://slidesha.re/a0s5t4
L'utilisation des médias sociaux dans les bibliothèques universitaires canadi...CARLsurvey2010
Ce sondage sur les médias sociaux s’adresse aux bibliothécaires universitaires travaillant dans les bibliothèques de recherche du Canada (voir la liste des bibliothèques membres de l’ABRC). Les données recueillies permettront de mieux comprendre l’utilisation qui est faite actuellement des médias sociaux par les bibliothécaires universitaires et d’identifier les enjeux reliés à ces médias.
Pésentation de Guillaume Hatt, école nationale des Chartes - Cellule e-Books (CeB) de Couperin, lors de la journée d'étude "Glissements progessifs du plaisir. Incidences du numérique sur les métiers du livre", organisée par la bibliothèque de Compiègne et la BPI, lundi 14 juin 2010, bibliothèque Saint-Corneille de Compiègne.
LES OUTILS DE LECTURE, FACTEUR CLÉ DE LA LECTURE NUMÉRIQUE ?Alexandre Coutant
Intervention avec Delphine Tirole, Ioan Roxin et les étudiants du M1 Produits et services Multimédia de Montbéliard au colloque "Les enjeux de la lecture numérique : de l'Ipad à Jules Verne" le 7 mai 2013
Après une année de travail en commun, l’Hadopi et le GLN dévoilent les résultats de leur étude sur les usages et les perceptions du livre numérique.
QUANTITATIF
Usages des ressources électroniques en libre accès dans les BU et SCDOpenEdition
Comment les ressources électroniques en libre accès sont-elles traitées dans les bibliothèques universitaires et services communs de documentation ? La question mérite d'être posée dans la mesure où, pouvant être accédées en dehors de l'intermédiation bibliothécaire, ces ressources interrogent à leur tour les fonctions que peuvent assumer les bibliothèques dans la nouvelle économie documentaire du numérique. Si ces institutions ont fortement participé au cours des dernières années au mouvement du libre accès, en soutenant la mise en place d’archives ouvertes par exemple, et en accompagnant les chercheurs dans les pratiques d’auto-archivage de leur production scientifique (Green OA), leur implication au niveau de l’autre voie du libre accès – la production de ressources éditées comme des revues électroniques (Gold OA) est moins naturelle. L’activité de référencement et de valorisation de ces ressources d’accès libre peut en effet être a priori appréhendée comme étant en décalage par rapport à l’activité souveraine des bibliothèques qui consiste à acquérir (l’accès à) des ressources documentaires pour les mettre à disposition de leur public. Il reste à se demander si ce décalage voire cette contradiction théorique entre les deux types d’activités est confirmée dans l’observation concrète que l’on peut faire des pratiques documentaires dans les bibliothèques.
Recherche et évaluation de l'information : De l'interrogation d'un outil de r...FADBEN
TABLE RONDE
[Logiciels et langages documentaires : présentent-ils encore un intérêt pour la recherche d’information des élèves?] - Vassilia MARGARIA-PENA - Prof. doc. – Tit. M2 Rech. en SIC (Univ. Nice) - Militante SNES-FSU.
Cette communication proposera un éclairage sur les pratiques de formations des professeurs documentalistes en matière de recherche instrumentée avec un logiciel documentaire et plus particulièrement de l’intérêt que peuvent présenter les thésaurus dans l’étape de questionnement du sujet, en tentant un comparatif avec d’autres outils ou méthodes (3QOCP, brainstorming, cartes mentales, etc.). Pourquoi les professeurs documentalistes continuent-ils à former à la recherche sur logiciel documentaire, alors même que leurs élèves tendent à délaisser les outils documentaires classiques ? Quelles sont les conséquences, pour leur pratique professionnelle, de l’évolution des outils documentaires qui tend à minimiser la place des langages documentaires ? Cette évolution fait-elle débat ? Quel intérêt pédagogique d’un thésaurus : permet-il d'améliorer les capacités à exprimer son besoin d'information et à formuler des requêtes efficaces ?
[Le document de collecte : la place des écrits réflexifs dans la formation des élèves à l’évaluation de l’information] -Noël UGUEN - Prof. doc., Chargé de cours « culture num. » Univ. Rennes 2, Mb GRCDI.
L'activité de lecture numérique engage souvent l’élève à élaborer des compilations d’extraits qu’il consigne dans un « document de collecte » comme l’a décrit Nicole Boubée dans sa thèse. Edité parallèlement à la recherche d’information, cet « écrit » permet de clôturer celle-ci et peut constituer un de carnet de bord et une « mémoire empirique » qui permet à l’élève de contextualiser les énoncés sélectionnés pour en évaluer les sources. Dans une visée de formation des élèves à la culture de l'information, le document de collecte agit comme un révélateur des pratiques informationnelles des élèves. Le professeur documentaliste peut prescrire un format de collecte et l’associer à un dispositif éditorial dans le but d’accompagner leurs recherches. Une expérimentation menée en TPE dans mon établissement durant deux années scolaires (2013-2014 et 2014-2015) par l'équipe des trois professeurs documentalistes permet de montrer comment les carnets de bord de la recherche d'information, réalisés avec l’outil Scoop it, amènent les élèves à confronter de manière réflexive leurs critères "spontanés" d'évaluation de l’information avec ceux qui sont exigés dans une démarche scientifique comptant pour le baccalauréat.
Valérie Briat, professeure documentaliste est l'auteure de ce diaporama.
Pour son intervention dans le cadre de la COPY PARTY du 28 mars 2015 à la Médiathèque Neudorf
Pésentation de Guillaume Hatt, école nationale des Chartes - Cellule e-Books (CeB) de Couperin, lors de la journée d'étude "Glissements progessifs du plaisir. Incidences du numérique sur les métiers du livre", organisée par la bibliothèque de Compiègne et la BPI, lundi 14 juin 2010, bibliothèque Saint-Corneille de Compiègne.
LES OUTILS DE LECTURE, FACTEUR CLÉ DE LA LECTURE NUMÉRIQUE ?Alexandre Coutant
Intervention avec Delphine Tirole, Ioan Roxin et les étudiants du M1 Produits et services Multimédia de Montbéliard au colloque "Les enjeux de la lecture numérique : de l'Ipad à Jules Verne" le 7 mai 2013
Après une année de travail en commun, l’Hadopi et le GLN dévoilent les résultats de leur étude sur les usages et les perceptions du livre numérique.
QUANTITATIF
Usages des ressources électroniques en libre accès dans les BU et SCDOpenEdition
Comment les ressources électroniques en libre accès sont-elles traitées dans les bibliothèques universitaires et services communs de documentation ? La question mérite d'être posée dans la mesure où, pouvant être accédées en dehors de l'intermédiation bibliothécaire, ces ressources interrogent à leur tour les fonctions que peuvent assumer les bibliothèques dans la nouvelle économie documentaire du numérique. Si ces institutions ont fortement participé au cours des dernières années au mouvement du libre accès, en soutenant la mise en place d’archives ouvertes par exemple, et en accompagnant les chercheurs dans les pratiques d’auto-archivage de leur production scientifique (Green OA), leur implication au niveau de l’autre voie du libre accès – la production de ressources éditées comme des revues électroniques (Gold OA) est moins naturelle. L’activité de référencement et de valorisation de ces ressources d’accès libre peut en effet être a priori appréhendée comme étant en décalage par rapport à l’activité souveraine des bibliothèques qui consiste à acquérir (l’accès à) des ressources documentaires pour les mettre à disposition de leur public. Il reste à se demander si ce décalage voire cette contradiction théorique entre les deux types d’activités est confirmée dans l’observation concrète que l’on peut faire des pratiques documentaires dans les bibliothèques.
Recherche et évaluation de l'information : De l'interrogation d'un outil de r...FADBEN
TABLE RONDE
[Logiciels et langages documentaires : présentent-ils encore un intérêt pour la recherche d’information des élèves?] - Vassilia MARGARIA-PENA - Prof. doc. – Tit. M2 Rech. en SIC (Univ. Nice) - Militante SNES-FSU.
Cette communication proposera un éclairage sur les pratiques de formations des professeurs documentalistes en matière de recherche instrumentée avec un logiciel documentaire et plus particulièrement de l’intérêt que peuvent présenter les thésaurus dans l’étape de questionnement du sujet, en tentant un comparatif avec d’autres outils ou méthodes (3QOCP, brainstorming, cartes mentales, etc.). Pourquoi les professeurs documentalistes continuent-ils à former à la recherche sur logiciel documentaire, alors même que leurs élèves tendent à délaisser les outils documentaires classiques ? Quelles sont les conséquences, pour leur pratique professionnelle, de l’évolution des outils documentaires qui tend à minimiser la place des langages documentaires ? Cette évolution fait-elle débat ? Quel intérêt pédagogique d’un thésaurus : permet-il d'améliorer les capacités à exprimer son besoin d'information et à formuler des requêtes efficaces ?
[Le document de collecte : la place des écrits réflexifs dans la formation des élèves à l’évaluation de l’information] -Noël UGUEN - Prof. doc., Chargé de cours « culture num. » Univ. Rennes 2, Mb GRCDI.
L'activité de lecture numérique engage souvent l’élève à élaborer des compilations d’extraits qu’il consigne dans un « document de collecte » comme l’a décrit Nicole Boubée dans sa thèse. Edité parallèlement à la recherche d’information, cet « écrit » permet de clôturer celle-ci et peut constituer un de carnet de bord et une « mémoire empirique » qui permet à l’élève de contextualiser les énoncés sélectionnés pour en évaluer les sources. Dans une visée de formation des élèves à la culture de l'information, le document de collecte agit comme un révélateur des pratiques informationnelles des élèves. Le professeur documentaliste peut prescrire un format de collecte et l’associer à un dispositif éditorial dans le but d’accompagner leurs recherches. Une expérimentation menée en TPE dans mon établissement durant deux années scolaires (2013-2014 et 2014-2015) par l'équipe des trois professeurs documentalistes permet de montrer comment les carnets de bord de la recherche d'information, réalisés avec l’outil Scoop it, amènent les élèves à confronter de manière réflexive leurs critères "spontanés" d'évaluation de l’information avec ceux qui sont exigés dans une démarche scientifique comptant pour le baccalauréat.
Valérie Briat, professeure documentaliste est l'auteure de ce diaporama.
Pour son intervention dans le cadre de la COPY PARTY du 28 mars 2015 à la Médiathèque Neudorf
M2i Webinar - « Participation Financière Obligatoire » et CPF : une opportuni...M2i Formation
Suite à l'entrée en vigueur de la « Participation Financière Obligatoire » le 2 mai dernier, les règles du jeu ont changé !
Pour les entreprises, cette révolution du dispositif est l'occasion de revoir sa stratégie de formation pour co-construire avec ses salariés un plan de formation alliant performance de l'organisation et engagement des équipes.
Au cours de ce webinar de 20 minutes, co-animé avec la Caisse des Dépôts et Consignations, découvrez tous les détails actualisés sur les dotations et les exonérations, les meilleures pratiques, et comment maximiser les avantages pour les entreprises et leurs salariés.
Au programme :
- Principe et détails de la « Participation Financière Obligatoire » entrée en vigueur
- La dotation : une opportunité à saisir pour co-construire sa stratégie de formation
- Mise en pratique : comment doter ?
- Quelles incidences pour les titulaires ?
Webinar exclusif animé à distance en coanimation avec la CDC
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
#Agriculture #Wallonie #Newsletter #Recherche #Développement #Vulgarisation #Evènement #Information #Formation #Innovation #Législation #PAC #SPW #ServicepublicdeWallonie
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24
Le livre électronique, un outil prometteur pour les étudiants et les chercheurs
1. Le Livre électronique
Un outil prometteur pour les
étudiants et les chercheurs
Toulouse, le 9 mars 2009
Jeremy Jeanguenin, Bulletin des bibliothèques de France
2. Problématiques
●Comment répondre à des usages pratiques de
recherche (lecture hypermédia, pratique
textuelle, herméneutique, lecture
« scientifique »)?
●Une réponse à la mobilité?
●Vers une refonte totale des pratiques de
travail?
●Quelles habitudes des étudiants?
3. Un état des lieux
L’enquête de eBrary dans des universités des
Etats-Unis, du Canada, de Chine, d’Italie et à
Hong Kong (en grande partie) et partout dans le
monde
Participants volontaires :
6492 étudiants (tous niveaux : 1er cycle/Post-
doctorat)
400 établissements supérieurs
4. Méthodologie
●Utilisation de l’outil en ligne
« Surveymonkey » : partialité
●Utilisation à des fins prospectives : eBrary est
un agrégateur numérique (services à
l’ensemble des acteurs du livre)
●Enquête uniquement basée sur des réponses
volontaires : exclusion des non-usagers des
ebooks
5. Écarts de participation
●USA : 2143 participants
●Italie : 2707
Ces deux pays regroupent 2/3 des participants
devant :
Hong Kong (529), Canada (511), Chine (97),
Suède (69)…
6. Profils
●Prédominance des sciences techniques et
médicales (engineering, nurse, health and
Medical science, computer & and information
science, architecture) : 50% des étudiants
●Nette sous-représentation des sciences
humaines et sociales à l’exception de la
psychologie et une percée des historiens et
des bibliothéconomistes/archivistes (logique)
8. Résultats globaux
●Superposition des pratiques
papier/numérique
●Dominante du public technique
●Perception variable de la bibliothèque
●« Print books still command respect »
10. En chiffres…
●Avoir un ebook sur Mac/PC portable est
plus intéressant que sur une « liseuse »:
80% des étudiants estiment important
d’avoir l’ebook sur ce support de travail.
11. Les 5 premières sources du
mésusage des collections
électroniques●Je ne sais pas où en trouver
●Je préfère les livres imprimés
●Ma bibliothèque n’a pas d’offre
●Un ebook est difficile à lire
●Il n’y a pas d’offre pertinente dans mon
domaine
●Les ebooks sont difficiles à manipuler
12. La perception de l’information et
sa validité
La question de l’autorité : les acteurs traditionnels
fondent la pertinence des contenus.
●Professeur(transmission/prescription)
●Réputation d’un éditeur
●Disponible à la bibliothèque ou recommandé
par un bibliothécaire
●Ouvrage recommandé par les pairs
●Existe en version imprimée
●Est disponible dans un moteur de recherche
13. Habitus de recherche
●Prédominance des moteurs de
recherche, Google en tête
●Disparités selon l’usage : un usage
académique (un devoir, une thèse, un
mémoire) appelle davantage de sources
papier, plus appropriées à l’étude d’un
corpus complet (de type « œuvres »)
14. Avantages comparés
Pour les ebooks :
●Dimension écologique
●Accessibilité
●Recherche facilitée/Navigation
●Partage/Usage multiple
●Encombrement minimisé
15. Pour le livre papier
●Facilité de lecture
●Repérage graphique par la couverture
(dimension du graphisme et du paratexte
comme élément de localisation)
●Prise de notes et surlignage
●Offre large en regard du programme
●Facilité d’utilisation
17. L’information
●57% affirment que leur bibliothèque possède
des ebooks
●9% affirment qu’elle n’en possède pas
●33% ignorent complètement
Il y a donc une représentation collective du livre
numérique à la bibliothèque.
18. Quels usages et pour quoi?
●Recherches dans le cadre de cours :
1.Google
2. Ebooks
3. Livres papier
4. e-references
5. Wikipedia
6. Manuels imprimés
Les outils sociaux, sites personnels figurent en
dernière position, Google Scholar arrivant
19. Pour un usage personnel
●Google est en tête
●Le web 2.0 : Wikipedia et les réseaux sociaux
sont privilégiés
●Les sites personnels et blogs sont plébiscités
●Puis les livres, magazines et journaux papier
Bases de données et e-documentation sont
moins convoitées : le format électronique est
donc plus adapté à la recherche académique
20. Pertinence
●De façon générale, les étudiants
opposent encore nettement les
applications sociales et collaboratives
aux supports pérennes (livres et ebook
en tête)
●L’ebook arrive derrière le livre imprimé!
●Le discrédit est porté sur Wikipédia (!)
22. Usages contrastés
●Double usage papier/numérique dans les
sciences médicales et le droit : un usage
n’efface pas l’autre
●Les usages différent avec la progression
du taux de « Web natives »
23. Les conclusions de Allen W.
McKiel pour eBrary
●Montée en puissance de la recherche Web
dans les travaux académiques
●Le livre (papier/ebook) reste la source de
référence (79% des sondés)
●Recul des textbooks
●Critique de la méthode : le sondage
électronique comme « cartographie »
(imprécisions, ambivalence)
●L’ information literacy est la priorité des
24. Tout comme en France :
●« Pour accroître l’usage des ressources,
il ne suffit pas de les rendre plus visibles
et mieux accessibles, il faut encore
s’assurer que les étudiants sont bien
informés de leur existence »
(Laurent Jonchère, SCD de Rennes-I)
25. Une constante
●Le concept de « cartable électronique » reste le
préalable pour appréhender le passage massif
au livre électronique
●La majorité du public étudiant devient un public
de « Web natives », donc captif à la lecture
électronique
●Le bibliothécaire est cité de façon quasi-
unanime comme informateur sur l’ebook
26. Limites du sondage
●Absence de données sur les non-lecteurs
d’ebooks
●Limite de l’enquête électronique
●Recueil des statistiques relatif à la
communication autour de l’enquête dans
chaque établissement
27. Les problématiques des
l’économie « immatérielle »
●Un marché qui n’imposera pas ses
usages (cf Rapport Patino)
●Les usagers feront le livre électronique
de demain
●Proposer une offre suffisante en
ouvrages universitaires de niveau 1er
cycle (L1-L3)
28. Conclusion au sondage
●Absence de données sur les non-lecteurs d’ebooks
●Une attente des étudiants qui demeure devant la
confusion des acteurs de ce « livre à venir »
●Changement rapide des technologies mobiles:
difficulté à resituer un mode d’usage du contenu ebook
●Perspective prometteuse des technologies tactiles et
intuitives : Sony PRS 700
●Convergence des données : interconnexion des
techniques sur un dispositif amené à devenir unique
●Le bibliothécaire est le premier médiateur du livre
électronique
29. Pistes
●Au niveau du traitement des métadonnées, les
étudiants ont recours aux moteurs de
recherche : cette habitude doit être prise en
compte pour orienter la recherche sur les
OPAC
●En France : accord Sudoc/Google, le Sudoc
est indexé par Google
●L’évaluation de la perception de l’ebook doit
passer par une phase test de prêt de readers.
●Penser en termes d’hybridité : un reader qui est
30. Le mot de la fin…
●Le tactile comme mode d’interaction de
l’ebook (sur le modèle du smart phone):
La condition d’une désintermédiation est
celle du doigt qui aura la possibilité de
surligner et de changer/moduler l’ordre du
discours. « L’écran ne doit plus faire
31. L’enquête est disponible sur
demande à :
●http://www.ebrary.com/corp/newspdf_intl/ebrar
y_student_survey/ebrary_student_survey_FR.p
df
●Pour aller plus loin à propos des derniers
readers :
http://blogbbf.enssib.fr/?2009/03/12/349-le-
livre-numerique-entre-innovations-et-inquietude