2. Objectifs de la session
• Connaître les mécanismes de coordination
humanitaire au Tchad
• Comprendre les rôles et responsabilités des
acteurs dans la coordination humanitaire
• Confirmer les objectifs de la coordination
humanitaire
8. Evolution de la Coordination
Humanitaire
1971
La résolution 2816 créé le role
de Coordonnateur des Nations
Unies pour les secours en cas
de catastrophe et établit le
Bureau du Coordonnateur des
Nations Unies pour les secours
en cas de catastrophe
(UNDRO) à Genève
1991
L’Assemblée Générale adopte
la Résolution 46/182 pour
renforcer la réponse des
Nations Unies dans les
urgences complexes et les
catastrophes naturelles.
1991
Le Comité Permanent Inter-
Agence (IASC) est établit
1998
Le Département des Affaires
Humanitaires (DHA) devient le
Bureau pour la Coordination des
Affaires Humanitaires (BCAH ou
OCHA), et son mandat est affiné
2005
Le Secrétaire Général introduit une série de
réformes humanitaires to garantir plus de
prédictibilité, redevabilité et partenariat
dans le système de réponse humanitaire
international
2012
Le Coordinateur des
Secours (ERC) introduit
l’Agenda Transformatif
2016
Sommet
mondial sur
l'aide
humanitaire
(WHS)
12. L’agenda transformatif
“En Decembre 2011, le IASC a adopté l’Agenda
Tranformatif. Il est centré sur trois thèmes: un
meilleur leadership, une redevabilité améliorée
envers toutes les parties prenantes et une
coordination renforcée. Le résultat de ces
changements, sera plus de vies sauvées, plus
rapidement.“ (Valerie Amos, ERC)
13. Liens entre le cluster national et sous-cluster
Le cluster national apporte un soutien stratégique.
Echange d’informations, promouvoir une cohérence
opérationnelle.
Coordination pour suivre l’évolution contextuelle.
Identifier les préoccupations communes aux
différentes zones d’intervention.
Mettre au point (en amont) des stratégies de plaidoyer
et de planification.
Quels outils ? – un contact régulier, les TdR clairs,
assurer un ordre spécifique entre les réunions
nationaux et sous-nationaux.
15. Pourquoi coordonner?
• Renforcer la transparence et la redevabilité
• Plus de prévisibilité de la réponse
• Rationnaliser la coopération avec d’autres acteurs
• Inclusion des communautés pour une réponse plus
effective
• Renforcer l’impacte du plaidoyer sectoriel
• Une planification opérationnelle plus efficace
16. Qui fait quoi?
• Agences « chef de file »
• Agences co-lead
• La co-facilitation
• Les membres
17. Et le rôle d’OCHA?
• OCHA = Office for the Coordination of
Humanitarian Affairs / Bureau de Coordination des
Affaires Humanitaires
• Créé en 1992 comme « Département des Affaires
Humanitaires » des Nations Unies. Devenu «
OCHA » en 1997.
18. Mandat d’OCHA
La mission de OCHA est de
mobiliser et de coordonner une
aide humanitaire qui soit effective et qui réponde
aux principes humanitaires, en partenariat avec
les acteurs nationaux et internationaux, afin de:
19. • Soulager la souffrance humaine;
• Promouvoir des mécanismes d’alerte précoce et
les efforts de préparation et de;
• Faciliter des solutions durables;
• Plaider pour les droits des personnes affectées.
20. Préparer/coordonner la réponse humanitaire
• Faire un suivi régulier de l’évolution humanitaire;
• Coordonner l’assistance humanitaire avec les agences des
Nations Unies, les ONG, famille Croix Rouge et les acteurs
gouvernementaux;
• Fournir des analyses contextuelles sur base des
informations fournies par les acteurs humanitaires;
• Organiser les missions conjointes d’évaluation
• Mobiliser les ressources financières nécessaires.
21. Conclusions
• L’importance de la coordination pour
optimiser la réponse humanitaire
• « On récolte ce qu’on sème »
• Assurer que les mécanismes sont adaptés au
contexte , revue de manière régulière
Utilisez ce schéma d’expliquer les rôles des agences cheffes /lead; co-lead et co-facilitateur. Pour rappel, au Tchad, 7 clusters sont activés: CCCM; Education; Sécurité alimentaire; Santé; Nutrition; Protection; WASH. Au Tchad, le relèvement précoce existe sous une forme de réseau en place pour renforcer l’aspect transversale de cette thématique dans tous les secteurs.
Clusters are groups of humanitarian organizations, both UN and non-UN, responding in each of the main sectors requiring humanitarian action, e.g. water, health and logistics. They are agreed by the Inter-Agency Standing Committee (IASC) and have clear responsibilities for coordination. The Resident Coordinator and/or Humanitarian Coordinator (RC/HC) and the Humanitarian Country Team (HCT) manage a humanitarian response through the clusters.
All clusters have lead organizations, known as Cluster Lead Agencies, which operate at the global and country level. Globally, Cluster Leads are responsible for strengthening system-wide preparedness and coordinating technical capacity to respond to humanitarian emergencies in their respective sector.
In specific countries, Cluster Leads serve as the main contact for a government and the RC/HC. They ensure that humanitarian activities are coordinated and do not duplicate efforts. They also act as a provider of last resort in their respective sector.
The decisions on how many clusters are required in-country and which organization is best placed to lead each of them are based on the specific needs identified in the response plan. The goal is to clarify the division of labour among all organizations and better define the roles and responsibilities of the organizations in each sector.
The response to the Haiti earthquake and Pakistan floods in 2010 exposed a number of weaknesses and inefficiencies in the international humanitarian response. The Transformative Agenda aims to ensure that these shortcomings are addressed.
The risk of future large-scale emergencies remains high due to the increasing frequency and scale of climate-related disasters; violent conflicts; HIV/AIDS and other communicable diseases and pandemics; rapid population growth and urbanization; and increased vulnerability due to poverty, hunger, unemployment, displacement and migration.
Governments, affected communities, humanitarian organisations, donors and the UN General Assembly itself have stressed the need for a more efficient and well-coordinated international response to major disasters.
The actions we are now taking as part of the Transformative Agenda build on the 2005 Humanitarian Reform. We recognize that we need to focus not on the process of implementing change, but on the impact of change. Through the changes agreed, more lives will be saved, and we will all be more accountable for our actions.