1. LES INTERVIEWS
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“On me compare
souvent à une
mini entrepreneuse ! ”
Quel est votre parcours ?
Fanny Leberquier : Pendant mes études d’ingénieur à l’INSA (Institut National des Sciences
Appliquées) de Strasbourg, j’ai travaillé en alternance au sein d’un grand Groupe en tant
qu’ingénieure d’études. L’occasion pour moi d’acquérir un peu d’expérience, mais surtout de
plancher sur un contrat de performance énergétique afin de réaliser des travaux d’économie
d’énergie pour des bâtiments communaux. C’est grâce à ce projet de fin d’étude qu’en 2013,
j’ai convaincu SPIE Est de m’embaucher au poste d’ingénieure en efficacité énergétique. Un
vrai succès ! En 2016, je suis passée responsable d’affaires en maintenance. Et depuis janvier
dernier, j’opère au sein de SPIE Facilities, une nouvelle filiale dédiée au marché de la
maintenance des bâtiments et du Facility Management.
En quoi consistent vos missions chez SPIE Facilities ?
F.L. : Je manage une équipe de trois personnes au sein d’une unité opérationnelle en
maintenance multitechnique. Au quotidien, je fais en sorte de satisfaire les clients en
m’assurant de la bonne marche des prestations techniques, je garantis de bonnes relations
commerciales, je veille à la rentabilité financière de l’entreprise, je réponds aux appels
d’offres, je participe au recrutement des techniciens… Bref, on me compare souvent
à une mini entrepreneuse !
Qu’est-ce qui vous motive le plus ?
F.L. : J’aime participer pleinement à la concrétisation de travaux d’envergure dans
le domaine de la performance énergétique. Je suis amenée à accompagner les clients
dans toutes étapes de la vie de leurs projets. Cette dimension humaine dans mon métier
est passionnante !
Optimiser la performance énergétique d’un bâtiment, c’est le dada de Fanny Leberquier.
A seulement 28 ans, cette ingénieure de formation assure comme un chef au poste de
responsable d’affaires en maintenance pour SPIE Facilities, la nouvelle filiale du Groupe SPIE.
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“SPIE offre
une diversité technique
très enrichissante ! ”
Comment avez-vous intégré SPIE ?
Matthieu Dalloz : En parallèle de mes études d’ingénieur informatique et électronique
à l’ESIREM de Dijon, j’organisais des compétitions de VTT. SPIE était l’un de nos partenaires
et, alors que je ne connaissais pas du tout cette entreprise, j’ai eu l’opportunité de rencontrer
sa direction, à Dijon. La diversité de ses activités m’a plu et j’ai pu y mener mon projet de fin
d’études, en 2005, avant d’être embauché. Au début, j’ai travaillé à la création d’une
plateforme de CRM (Customer Relationship Management) puis je me suis orienté vers un
poste de responsable d’affaires dans le domaine électrique pour enfin me spécialiser dans
la protection et la sécurisation. L’année dernière, j’ai notamment travaillé sur un circuit
automobile pour lequel nous avons mis en place une interface unique capable de tout gérer :
vidéo-protection, diffusion TV, contrôle d’accès, contrôle des intrusions,… C’était passionnant.
Que vous a apporté le dispositif SPIE Talent ?
M.D. : En 2013, on m’a proposé d’intégrer ce dispositif destiné à faire évoluer des profils
« à potentiel ». En 2014, j’ai donc pu suivre le MBA SPIE Talent réalisé en partenariat
avec l’ESSEC Business School. Il s’agit d’une formation très complète qui aborde à la fois
le management, le marketing et le leadership. Elle m’a permis d’accéder à un nouveau projet
pour 2017 : la création du service Smart Building au sein de notre filiale.
Après un peu plus de dix ans dans l’entreprise, pourquoi y êtes-vous toujours fidèle ?
M.D. : La diversité des projets sur lesquels je travaille, du magasin Carrefour à la base
aérienne, en passant par le CHU de Dijon, me permet de découvrir constamment
des environnements très différents depuis les coulisses de lieux auxquels peu de monde
accède. Et tout cela représente autant de nouveaux défis à relever au quotidien.
À 34 ans, Matthieu Dalloz est un expert des systèmes de sûreté et de sécurité.
En tant que responsable d’affaires chez SPIE, à Dijon,
il gère notamment la protection de sites sensibles
3. LES INTERVIEWS
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“Être V.I.E. chez
SPIE après ses études,
c’est devenir autonome
en douceur. ”
Pourquoi avoir opté pour le Volontariat International en Entreprise (V.I.E.)
après votre diplôme ?
Charlène Boudet : Après mon Master en management durable des ressources humaines et
de la diversité à la Business School de Montpellier, je voulais vivre une expérience à l’étranger.
Pour moi, c’est essentiel pour prouver son adaptabilité et sortir de sa zone de confort en
appréhendant une nouvelle culture, d’autres méthodes… Le dispositif V.I.E. offre pour cela
de nombreuses opportunités. En dehors des avantages fiscaux, c’est aussi un bon moyen
de faire ses preuves dans une entreprise en vue d’une éventuelle embauche.
Pourquoi avoir intégré SPIE ?
C.B. : Sur un site dédié aux annonces de postes en V.I.E., j’ai vu une annonce publiée par SPIE.
Même si je ne connaissais pas cette entreprise et que le pays indiqué – la Belgique – n’était
pas mon premier choix, la mission proposée m’a séduite d’emblée. Alors que j’avais touché
au sourcing dans une précédente expérience en découvrant que cette thématique
ne me correspondait pas du tout, SPIE proposait une mission beaucoup plus variée.
Concrètement, quel est votre rôle ?
C.B. : Il est double. Pour SPIE Operations, je suis ambassadrice du programme V.I.E.
en interne, mais aussi vis-à-vis de cibles externes, comme les étudiants. Il s’agit de faire
connaître ce dispositif et ses avantages. Pour la filiale SPIE Belgium, j’interviens sur
des missions RH plus opérationnelles, comme le recrutement, la gestion des formations
et l’intégration de nouveaux collaborateurs. On m’accorde une grande autonomie tout
en me transmettant les connaissances qui me permettent de prolonger mon apprentissage.
Ça donne envie de s’investir à fond !
À 27 ans, Charlène Boudet, formée au management des ressources humaines,
vient d’intégrer SPIE en tant que V.I.E., à Bruxelles.
4. LES INTERVIEWS
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En tant que responsable du développement de la maintenance industrielle chez SPIE Est,
Christophe Friboulet, 46 ans, accompagne les Directions Opérationnelles et développe
la maintenance des installations industrielles des clients en proposant des solutions techniques
et contractuelles multitechniques.
“L’offre multitechnique
de SPIE rend mon métier
très transversal.”
Quel est votre parcours ?
Christophe Friboulet : Ingénieur de formation, j’ai travaillé dix ans dans l’industrie comme
responsable service technique et dix ans dans le service comme responsable de centre de
profit. J’ai bifurqué en excellence opérationnelle pendant un an, mais je perdais la relation
client que j’affectionne tant. En 2016, lorsque Philippe LINDEN , directeur opérationnel de
SPIE Est m’a contacté via Linkedin pour me proposer un poste de développement commercial,
j’ai foncé ! Aujourd’hui, je suis responsable du développement de la maintenance industrielle.
En quoi consistent vos missions chez SPIE ?
C.F. : Nous avons la chance de bénéficier d’un réseau dense et étendu de ressources propres
en ingénierie et méthodes et de techniciens spécialisés dans tous les métiers de la
maintenance (génies électrique, climatique et mécanique). Mon rôle est de proposer un
contrat de maintenance multitechnique adapté aux besoins de mes clients. Parallèlement,
je participe à la réflexion stratégique de la maintenance industrielle, j’anime les réseaux
de commerciaux, j’accompagne les ressources humaines pour les aider à recruter
les meilleurs profils…
Avez-vous trouvé ce que vous cherchiez en rejoignant SPIE ?
C.F. : Oui et même plus ! Au départ, je pensais simplement ajouter une corde à mon arc
en travaillant au développement commercial dans le domaine CVC (Chauffage, Ventilation,
Climatisation), qui est mon domaine de prédilection. Aujourd’hui, je mets à la disposition
de mes clients une gamme de savoir-faire techniques beaucoup plus large, ce qui rend
mon métier très transversal et bien plus intéressant.