Uml classes Par les exemples

Professor at Nice University
Feb. 16, 2011
Uml classes Par les exemples
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Uml classes Par les exemples

Editor's Notes

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  4. Les objets sont représentés par un rectangle, avec leur nom suivi de : puis le nom de leur classe, le tout souligné. Les objets, instances des classes, sont manipulés dans les «collaboration diagramm»\nLes classes d'objets, ou plus simplement classes, possèdent des attributs et des opérations. Les attributs peuvent avoir un type et une valeur par défaut. Les opérations peuvent avoir des paramètres, typés ou non, et une valeur de retour.\n\nDans un souci de clarté des diagrammes, on peut considérer que telle ou telle information n'est pas importante à ce niveau de l'analyse et donc décider de ne pas la faire apparaître.\nPour la même raison, les zones des attributs et des opérations sont optionnelles.\nUne ellipse à la fin d’une liste d’attributs ou d’opérations signifie qu’il existe d’autres éléments dans le modèle, mais qu’ils dépendent de critères de sélection qui ne les font pas apparaître.\n
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  27. Figure 11 shows a sequence diagram that references the sequence diagrams "Balance Lookup" and "Debit Account."\n The sequence starts at the top left, with the customer sending a message to the teller object. The teller object sends a message to the theirBank object. At that point, the Balance Lookup sequence diagram is called, with the accountNumber passed as a parameter. The Balance Lookup sequence diagram returns the balance variable. Then the option combination fragment's guard condition is checked to verify the balance is greater then the amount variable. In cases where the balance is greater than the amount, the Debit Account sequence diagram is called, passing it the accountNumber and the amount as parameters. After that sequence is complete, the withdrawCash message returns cash to the customer.\nIt is important to notice in Figure 11 that the lifeline of theirBank is hidden by the interaction occurrence Balance Lookup. Because the interaction occurrence hides the lifeline, that means that the theirBank lifeline is referenced in the "Balance Lookup" sequence diagram. In addition to hiding the lifeline in the interaction occurrence, UML 2 also specifies that the lifeline must have the same theirBank in its own "Balance Lookup" sequence.\nThere will be times when you model sequence diagrams that an interaction occurrence will overlap lifelines that are not referenced in the interaction occurrence. In such cases the lifeline is shown as a normal lifeline and is not hidden by the overlapping interaction occurrence.\nIn Figure 11, the sequence references the "Balance Lookup" sequence diagram. The "Balance Lookup" sequence diagram is shown in Figure 12. Because the example sequence has parameters and a return value, its label —located in the diagram's namebox—follows a specific pattern:\n\n
  28. \n
  29. Figure 11 shows a sequence diagram that references the sequence diagrams "Balance Lookup" and "Debit Account."\n The sequence starts at the top left, with the customer sending a message to the teller object. The teller object sends a message to the theirBank object. At that point, the Balance Lookup sequence diagram is called, with the accountNumber passed as a parameter. The Balance Lookup sequence diagram returns the balance variable. Then the option combination fragment's guard condition is checked to verify the balance is greater then the amount variable. In cases where the balance is greater than the amount, the Debit Account sequence diagram is called, passing it the accountNumber and the amount as parameters. After that sequence is complete, the withdrawCash message returns cash to the customer.\nIt is important to notice in Figure 11 that the lifeline of theirBank is hidden by the interaction occurrence Balance Lookup. Because the interaction occurrence hides the lifeline, that means that the theirBank lifeline is referenced in the "Balance Lookup" sequence diagram. In addition to hiding the lifeline in the interaction occurrence, UML 2 also specifies that the lifeline must have the same theirBank in its own "Balance Lookup" sequence.\nThere will be times when you model sequence diagrams that an interaction occurrence will overlap lifelines that are not referenced in the interaction occurrence. In such cases the lifeline is shown as a normal lifeline and is not hidden by the overlapping interaction occurrence.\nIn Figure 11, the sequence references the "Balance Lookup" sequence diagram. The "Balance Lookup" sequence diagram is shown in Figure 12. Because the example sequence has parameters and a return value, its label —located in the diagram's namebox—follows a specific pattern:\n\n
  30. Les objets sont représentés par des barres verticales au dessus desquelles figure l’objet et sa classe d’appartenance (même formalisme que dans les diagrammes d’objets). Le nom de la classe ou de l’objet peut être omis.\nLes messages entre objets sont représentés par des flêches partant d’un objet et arrivant à un autre objet.\n
  31. Figure 11 shows a sequence diagram that references the sequence diagrams "Balance Lookup" and "Debit Account."\n The sequence starts at the top left, with the customer sending a message to the teller object. The teller object sends a message to the theirBank object. At that point, the Balance Lookup sequence diagram is called, with the accountNumber passed as a parameter. The Balance Lookup sequence diagram returns the balance variable. Then the option combination fragment's guard condition is checked to verify the balance is greater then the amount variable. In cases where the balance is greater than the amount, the Debit Account sequence diagram is called, passing it the accountNumber and the amount as parameters. After that sequence is complete, the withdrawCash message returns cash to the customer.\nIt is important to notice in Figure 11 that the lifeline of theirBank is hidden by the interaction occurrence Balance Lookup. Because the interaction occurrence hides the lifeline, that means that the theirBank lifeline is referenced in the "Balance Lookup" sequence diagram. In addition to hiding the lifeline in the interaction occurrence, UML 2 also specifies that the lifeline must have the same theirBank in its own "Balance Lookup" sequence.\nThere will be times when you model sequence diagrams that an interaction occurrence will overlap lifelines that are not referenced in the interaction occurrence. In such cases the lifeline is shown as a normal lifeline and is not hidden by the overlapping interaction occurrence.\nIn Figure 11, the sequence references the "Balance Lookup" sequence diagram. The "Balance Lookup" sequence diagram is shown in Figure 12. Because the example sequence has parameters and a return value, its label —located in the diagram's namebox—follows a specific pattern:\n\n
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  45. La cardinalité joue un rôle essentiel dans la sémantique de l'relation.\nLa sémantique de l'relation change totalement si la cardinalité évolue.\n
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  47. Navigation means that one object contains a pointer or a reference to the other so that it may invoke the services of the latter\n le nombre d'instances de la classe qui participent à l'association.\n
  48. \n
  49. \n
  50. \n
  51. \n
  52. \n
  53. \n
  54. Dans ce cas, les rôles sont très importants pour préciser la signification de l'relation.\nDans l'exemple, un HUMAIN peut être à la fois Parent et Enfant.\nUne relation réflexive n’est pas obligatoirement orientée dans les deux sens.\n
  55. Une relation de type agrégation a pour objectif d’exprimer qu’un ensemble d’objets fait partie intégrante d’un autre objet. Une agrégation renforce ainsi la sémantique de la notion d’relation.\nLes agrégations peuvent êtres de 2 types : simple ou de composition\nl’agrégation exprime une composition faible, alors que la composition exprime une composition forte. \nComposition : la destruction d’un dossier entraîne la destruction de tous les documents contenus dans le dossier, de même la destruction d’une ville déclenche la destruction de tous les immeubles de la ville. \nAgrégation : même si une équipe de basket est dissoute, les joueurs de cette équipe sont toujours licenciés auprès de la fédération et existent en tant que tels. Il ne s’agit donc pas d’une composition.\n
  56. Indicated by a hollow diamond \n Whole-part relationship denotes one object logically or physically contains or has another \n Weaker form of aggregation. Nothing is implied about:\n Navigation\n Ownership\n Lifetimes of participating objects\n
  57. \n
  58. Composition is a strong form of aggregation in which the owner is explicitly responsible for the creation and destruction of the part objects. \nWe prefer the containent notation because it is more visually distinct.\n\n\n\n \nUne agrégation peut notamment (mais pas nécessairement) exprimer :\n qu'une classe (un "élément") fait partie d'une autre ("l'agrégat"),\n qu'un changement d'état d'une classe, entraîne un changement d'état d'une autre,\n qu'une action sur une classe, entraîne une action sur une autre. \nA un même moment, une instance d'élément agrégé peut être liée à plusieurs instances d'autres classes (l'élément agrégé peut être partagé). \nUne instance d'élément agrégé peut exister sans agrégat (et inversement) : les cycles de vies de l'agrégat et de ses éléments agrégés peuvent être indépendants.\n\n \n  q  Composition\n\nLa composition est une agrégation forte (agrégation par valeur). \nLes cycles de vies des éléments (les "composants") et de l'agrégat sont liés : si l'agrégat est détruit (ou copié), ses composants le sont aussi. \nA un même moment, une instance de composant ne peut être liée qu'à un seul agrégat. \nLes "objets composites" sont des instances de classes composées.\n\n  q  Agrégation et composition : rappel\n\nL'agrégation et la composition sont des vues subjectives. \nLorsqu'on représente (avec UML) qu'une molécule est "composée" d'atomes, on sous-entend que la destruction d'une instance de la classe "Molécule", implique la destruction de ses composants, instances de la classe "Atome" (cf. propriétés de la composition). \nBien qu'elle ne reflète pas la réalité ("rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"), cette abstraction de la réalité nous satisfait si l'objet principal de notre modélisation est la molécule... \nEn conclusion, servez vous de l'agrégation et de la composition pour ajouter de la sémantique à vos modèles lorsque cela est pertinent, même si dans la "réalité" de tels liens n'existent pas !\n \n
  59. Composition is a strong form of aggregation in which the owner is explicitly responsible for the creation and destruction of the part objects. \nWe prefer the containent notation because it is more visually distinct.\n\n\n\n \nUne agrégation peut notamment (mais pas nécessairement) exprimer :\n qu'une classe (un "élément") fait partie d'une autre ("l'agrégat"),\n qu'un changement d'état d'une classe, entraîne un changement d'état d'une autre,\n qu'une action sur une classe, entraîne une action sur une autre. \nA un même moment, une instance d'élément agrégé peut être liée à plusieurs instances d'autres classes (l'élément agrégé peut être partagé). \nUne instance d'élément agrégé peut exister sans agrégat (et inversement) : les cycles de vies de l'agrégat et de ses éléments agrégés peuvent être indépendants.\n\n \n  q  Composition\n\nLa composition est une agrégation forte (agrégation par valeur). \nLes cycles de vies des éléments (les "composants") et de l'agrégat sont liés : si l'agrégat est détruit (ou copié), ses composants le sont aussi. \nA un même moment, une instance de composant ne peut être liée qu'à un seul agrégat. \nLes "objets composites" sont des instances de classes composées.\n\n  q  Agrégation et composition : rappel\n\nL'agrégation et la composition sont des vues subjectives. \nLorsqu'on représente (avec UML) qu'une molécule est "composée" d'atomes, on sous-entend que la destruction d'une instance de la classe "Molécule", implique la destruction de ses composants, instances de la classe "Atome" (cf. propriétés de la composition). \nBien qu'elle ne reflète pas la réalité ("rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"), cette abstraction de la réalité nous satisfait si l'objet principal de notre modélisation est la molécule... \nEn conclusion, servez vous de l'agrégation et de la composition pour ajouter de la sémantique à vos modèles lorsque cela est pertinent, même si dans la "réalité" de tels liens n'existent pas !\n \n
  60. Aggregation is also a kind of association. Aggregation is used when one object logically or physically contains another. \n
  61. shared part is also known as "catalog aggregation". Example: library card catalog\na book is under author catalog, subject catalog, title catalog\n\nNote that in the figure we are being very explicit about sharing the parts with the {share} constraint. Without that shared parts are not implied because although they aggregate instances of the same classes, this doesn’t mean that they are the same instances. \n
  62. A FAIRE EN S3.... L’ an prochain\n
  63. Une relation de type agrégation a pour objectif d’exprimer qu’un ensemble d’objets fait partie intégrante d’un autre objet. Une agrégation renforce ainsi la sémantique de la notion d’relation.\nLes agrégations peuvent êtres de 2 types : simple ou de composition\nl’agrégation exprime une composition faible, alors que la composition exprime une composition forte. \nComposition : la destruction d’un dossier entraîne la destruction de tous les documents contenus dans le dossier, de même la destruction d’une ville déclenche la destruction de tous les immeubles de la ville. \nAgrégation : même si une équipe de basket est dissoute, les joueurs de cette équipe sont toujours licenciés auprès de la fédération et existent en tant que tels. Il ne s’agit donc pas d’une composition.\n
  64. Composition is a strong form of aggregation in which the owner is explicitly responsible for the creation and destruction of the part objects. We prefer the containent notation because it is more visually distinct.\n
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  75. Most often, subclasses are extended and specialized at the same time\n
  76. La factorisation apportée sur la généralisation apparaît graphiquement pour les relations. Imaginons le nombre de relations qui devraient être représentées sans généralisation.\nLes Voitures et les Camions ont tous un ou deux moteurs.\nUn répertoire peut contenir des drivers, des fichiers sources ou des fichiers binaires.\n
  77. Composition is a strong form of aggregation in which the owner is explicitly responsible for the creation and destruction of the part objects. We prefer the containent notation because it is more visually distinct.\n
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  84. La généralisation peut-être simple ou multiple, la généralisation simple signifie qu'une classe hérite d'une seule super-classe alors que dans la généralisation multiple une classe peut hériter de plusieurs super-classes (au moins deux).\n
  85. \n
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  87. Les attributs, opérations, relations et généralisations ne suffisent pas à définir avec précision l’ensemble des instances possibles.\nOn appelle invariant d’une classe l’ensemble des conditions et des propositions, appelées contraintes en UML, qui doivent être vérifiées durant la vie d’une instance.\nLes conséquences du non respect de ces contraintes sortent du cadre d’UML .\n
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  92. A Qualified association could be implemented as a balanced tree.\n
  93. A Qualified association could be implemented as a balanced tree.\n
  94. \n
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  97. generalization == "is a"\naggregation == "has a"\nassociation == "uses“\n\nUML has lots of different kinds of relationships. These are by far the most important.\n
  98. \n
  99. \n
  100. Permet d'incorporer des données dans une association\nA n'utiliser qu'en analyse\nPose un problème de représentation pour la conception\n
  101. \n
  102. Il s'agit d'une configuration déconseillée sur le plan de l'implantation. Généralement, il vient d'un problème mal analysé et conçu\n
  103. \nToute relation N-aire peut être transformée en relation binaire, par application de règles systématiques illustrées ici.\n
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  199. p86 de UML 2 par la pratique\n
  200. p86 de UML 2 par la pratique\n
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