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Lettre mediapart [maitre x]

  1. NOM : …………………………………………. Prénom : ……………………………………… Adresse : ……………………………………… …………………………………………………….. SAS MEDIAPART Edwy Plenel 8 Passage Brulon 75012 PARIS Recommandé avec A.R. Monsieur, Dans la crise sanitaire, politique et sociale que nous traversons depuis mars 2020, le rôle de la presse (papier ou télévisée) est fondamental. Depuis des décennies, les obligations déontologiques des organes de presse ont été codifiées et rappelées à de multiples reprises. Le texte le plus important est, bien entendu, la Charte de Munich dont je crois utile de rappeler quelques-uns des principes énumérés parmi les 10 devoirs des journalistes : « 1. Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour (le journaliste), et ce en raison du droit que le public a de connaître la vérité. /…/ 9. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs. 10. Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction. » (https://www.journalisme.com/images/stories/pdf/charte_munich.pdf). Votre quotidien ainsi que le site Internet qui lui est adossé sont manifestement soucieux, dans les principes du moins, de respecter ces engagements. C’est ainsi que votre site web reproduit, entre autres textes, la Déclaration de Munich, sur la page https://www.mediapart.fr/charte-de- deontologie, de même que la Déclaration de Tunis de 2019. Or, depuis le début de la campagne vaccinale destinée à freine ou enrayer l'épidémie de Covid-19, force est de constater qu'un pan entier de l'information pourtant indispensable à permettre un consentement libre et éclairé de la population fait cruellement défaut, tant dans vos programmes télévisés que dans vos contenus écrits sur le site Internet que vous publiez. L'importance des effets secondaires et décès directement attribués aux différentes substances thérapeutiques en phase d'essai clinique a été SYSTÉMATIQUEMENT passée sous silence. Ce ne sont pourtant pas les données scientifiques fiables, publiées sur des sites officiels - qui manquent pour proposer une information de qualité. À titre d'exemple : • Comme cela découle d'un rapport de pharmacovigilance bien caché sur le site de l'ANSM (voir lien ci-dessous), les remontées d'effets secondaires officiellement déclarés en 1 mois et 3 jours (du 28 mai au 1er juillet 2021) uniquement, en France uniquement et pour le Pfizer
  2. uniquement montrent une quantité très alarmante de dossiers ouverts (https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/16/20210716-vaccins-covid-19-rapport-pfizer- periode-28-05-2021-01-07-2021-2.pdf). • Ce rapport regroupe les données des Centres régionaux de pharmacovigilance de Bordeaux, Marseille, Toulouse et Strasbourg (voir page 1). • Or, il y a bien plus de centres régionaux en France, comme vous le verrez sur la carte qui est en ligne ici sur le site officiel : https://www.rfcrpv.fr/contacter-votre-crpv/ • Sur les 4 centres (et quatre uniquement !) ayant contribué à établir ce rapport, qui ne concerne donc qu'un mois et 3 jours d'un seul vaccin et sur le seul territoire français, notamment en pages 8, 9, 16 et ensuite 45 à 51. La lecture de l'ensemble aiguisera toutefois, je n'en doute pas, votre curiosité de journaliste... • Que penser de ces résultats, s'il faut ensuite les reporter : o à l'intégralité du territoire français ? o à l'ensemble des produits injectés à la population depuis fin 2020 (puisque le rapport de l’ANSM ne couvrait qu’une période d’un mois et 3 jours) o et, surtout, à l'ensemble des 33 centres de pharmacovigilance disséminés sur le territoire ? o Qu’il ne s’agit que d’un rapport concernant UN SEUL fabricant (Pfizer). o Qu’il ne s’agit que des chiffres des dossiers déposés pendant 1 mois et 3 jours (et non depuis le début de la vaccination). o Et, enfin, qu’il ne concerne que 4 des 33 centres de pharmacovigilance établis sur le territoire. Or, cette information n’a été que partiellement reproduite sur votre site, avant d’être totalement supprimée quelques jours plus tard : • Le 22 août 2021, vous avez en effet publié un article qui se présentait de la façon suivante :
  3. Votre article fait état de 982 décès sur une période de 6 mois entre le 27 décembre 2020 et le 1er juillet 2021 (soit en 6 mois environ, tous produits confondus et sur tout le territoire). Or, le SEUL rapport relatif au produit PFIZER (votre premier lien au bas de l’article) fait déjà état, pour 4 centres de pharmacovigilance seulement et pour à peine un peu plus d’un mois – comme indiqué plus haut dans ce courrier – de 761 décès (p.8 du rapport). Mieux encore, votre article qui avait au moins le mérite minimal d’attirer l’attention du public sur l’existence d’effets secondaires graves – même s’ils étaient largement sous-estimés dans la synthèse que vous en faisiez -, fut purement et simplement supprimé de votre site, de telle sorte que depuis le 28 août (soit 6 jours à peine après sa publication), https://blogs.mediapart.fr/laboetie67/blog/220821/selon-les-chiffres-de-l-ansm-les-vaccins-sont-plus-risques-que-le-virus - Capture d’écran depuis le 28/8/2021 Internet a toutefois de la mémoire, et votre article reste accessible à l’adresse https://web.archive.org/web/20210828111734/https://blogs.mediapart.fr/laboetie67/blog/220821/ selon-les-chiffres-de-l-ansm-les-vaccins-sont-plus-risques-que-le-virus. Le public a dès lors espéré que cette dépublication, annoncée comme « ne respectant pas votre Charte de participation », était motivée par le désir d’effectuer ensuite une réelle analyse de ces rapports de pharmacovigilance. Toutefois, à ce jour, il semble bien que vous n’ayez strictement rien publié de neuf, censurant ainsi toute information pourtant primordiale pour le public sur ces injections thérapeutiques en phase 3 de tests cliniques.
  4. Si des scientifiques et juristes ont été capables de trouver ces informations après une recherche rapide, je présume que vos journalistes, par hypothèse respectueux de la Charte de Munich, en sont capables également. Ceux-ci ayant, de ce fait, pris l'engagement de « refuser toute pression et de n'accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction » (Charte de Munich, 10), dois-je en déduire que ces « directives » émanent de façon systématique de votre direction ? En tout état de cause, cette omission délibérée de faire part des vives inquiétudes relayées par les scientifiques du monde entier et basées sur des données objectives (dont je vous ai donné un exemple parmi tant d'autres) dénote une volonté tout aussi délibérée d'empêcher la population de s'informer efficacement, alors qu'il en va pourtant de la santé de chacun. Sur le plan légal, ces importantes et substantielles « omissions » peuvent à mon sens être considérées comme : • Une atteinte à l’article 27 de la loi sur la Liberté de la presse, réprimant la publication de fausses nouvelles (https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000006419726). • Eu égard aux conséquences potentielles – vu l’importance des effets secondaires dont il est question suite à ces injections -, une mise en danger délibérée de la vie d’autrui, au sens des articles 223-1 et 223-2 du Code pénal (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006 165287?etatTexte=VIGUEUR&etatTexte=VIGUEUR_DIFF&anchor=LEGIARTI000024042637#LE GIARTI000024042637). En conséquence, et avant d’envisager une éventuelle action en justice, il me paraît que la principale priorité est aujourd’hui d’informer CORRECTEMENT la population française des risques RÉELS des injections de thérapie génique expérimentale, de façon à offrir une information qui soit conforme tant à la loi qu’à la Charte de Munich et à votre propre Charte de déontologie. Je conserve bien sûr une copie de ce courrier ainsi que de la preuve de son envoi. Dans l’attente de voir, à l’antenne, une information digne de ce nom, je vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de mes salutations les plus indignées, Signature :
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