Les (séquelles de) blessures peuvent constituer des compagnons de route (les rappels émotionnels, le non-retour à la performance, etc.). Elles représentent à ce titre une raison majeure à l’arrêt de la pratique. Les tenants et aboutissants de ce phénomène sont de mieux en mieux identifiés. Historiquement, les facteurs de prévention du risque de blessure ont été appréhendés à travers un filtre physiologique (ex, le volume d’entraînement) ou biomécanique (ex, la raideur musculaire/articulaire). Cette dynamique a évolué. Depuis une vingtaine d’années, l’analyse des facteurs psychosociaux est entrée en jeu pour prévenir contre le risque de blessure.
Les (séquelles de) blessures peuvent constituer des compagnons de route (les rappels émotionnels, le non-retour à la performance, etc.). Elles représentent à ce titre une raison majeure à l’arrêt de la pratique. Les tenants et aboutissants de ce phénomène sont de mieux en mieux identifiés. Historiquement, les facteurs de prévention du risque de blessure ont été appréhendés à travers un filtre physiologique (ex, le volume d’entraînement) ou biomécanique (ex, la raideur musculaire/articulaire). Cette dynamique a évolué. Depuis une vingtaine d’années, l’analyse des facteurs psychosociaux est entrée en jeu pour prévenir contre le risque de blessure.