3. Principe de mesure du Hydro N-Sensor
Hydro N-Sensor mesure et
analyse la lumière naturelle
réfléchie par la culture .
La mesure de la lumière
ambiante prend en compte
les variations des
conditions d'éclairement
lumière réfléchie
Lumière ambiante
lumière réfléchie
6. Principe de régulation
Situation en
nutrition azotée Indice Sensor (S1 )
élevé
faible
Dose N
faible
Valeur de seuil
élevée
Carencée
élevé
faible
7. Les 3 Etapes du Procédé Hydro N Sensor
Etape 1 Etape 2
Etape 3
Epandage variable d'azote controlé par le Sensor
Epandage N
Mesure
Transfert et Traitement
des Données
8. Stabilité de la dose appliquée par N-Sensor
12 repetitions entre 10 heures et 16 heures
avec différentes conditions météo.
-Matin : végétation humide , vent , temps gris
-Midi : végétation partiellement humide, vent, alternance nuages - soleil
-Aprés-Midi :végétation sèche , pas de vent ,temps ensoleillé
Source: ATB Bornim, AgriCon
Metre
Ecart-type Moyen sur les 12 répétitions : 3kgN /ha
Le fonctionnement du N-Sensor est indépendant des conditions météorologiques !
9. N-Sensor
génération des cartes d'épandage et Sensor
épandage N-Sensor- avec DGPS
Carte PCMCIA
Sensor Office
sur serveur Internet
(http://www.HydroPrecise.com)
Internet
Internet
carte indice
Biomasse
carte d'apport
exportation vers
les SIG du
marché
13. Parcelle colza
Chatellerault
2013
1er apport fin Février
Dose moyenne 84 unités avec
Un mini a 40 U et un maxi a 110 U
Soit une variation dans la quantité de
Produit épandu de 148 à 407 Kg/ha
D’ammo 27
22. Essai Blé Poitou Charentes
Blé comparaison 3eme apport
Entre dose modulée et dose constante
Parcelle volontairement irriguée et épandue avec
de la solution azotée pour faciliter le test
23. Essai Blé Poitou Charentes
Blé comparaison 3eme apport
Entre dose modulée et dose constante
Parcelle volontairement irriguée et épandue avec
de la solution azotée pour faciliter le test
24. Blé Val d’Oise 3eme apport
Essai Chambre D’agriculture 2003
Sur blé en 3eme apport
Piloté a la pince Ntester
apport
Biomasse
25. Carte de rendement
Points de prélèvements de reliquats
Azotés après récolte , de rendement
Et de prélèvement pour mesurer la
protéine
27. Commentaires technicien Chambre
• Les rendements sur les bandes étudiées varient de 44 à 115 qx, pour un rendement moyen de 93 qx, soit 13 qx
de plus que l'objectif de la parcelle.
• Le bilan azoté initial était de 180 u dont 40 u pour le 3ème apport.
• 13 qx de plus avec un besoin de 3 u/ql : la préconisation (70 à 80 u) réalisée à la pince semble justifiée pour le
3ème apport. La dose moyenne de 72 unités apportée avec le NSensor est donc cohérante.
• Le suivi de la ferti avec le NSensor a permi de maintenir la qualité dublé : il n'y avait pas de zones versées, les
teneurs en protéines restent dans la fourchette de 10.6 à 12.5 %.
• Il n'y a pas eu de surfertilisation avec des teneurs en protéine qui auraient dépassé 13-14 %
• Les reliquats mesurés confirment qu'il y a pas de surfertilisation lors du passage du N Sensor : sur les point 12 et
14 avec des reliquats sont faibles 32 et 36 u.
• Sur le point 16, il y a eu surfertilisation, le 3ème apport réalisé à 15 u n'est pas le seul en cause, il aurait
également fallu baisser la dose du 2ème apport.
• Lors du passage du NSensor, les précos variaient de 0 u dans les zones avec peu de végétation, à plus de 130 u.
Pour plus de cohérance par rapport à la pratique de l'agriculteur initialement prévue sur la base d'une dose
unique, l'appareil a été borné de 10 à 110 unité maxi. Vu les résultats de rendement, protéines et reliquat, le
bornage ne semblait pas justifié !!!
40. N-Sensor
L’expérience – les essais
• Les enjeux :
– Comparaison à dose d’azote totale identique
• Mesure du strict intérêt de la modulation
– + 2 à 3 q/ha sur plus de 140 essais (2.5 à 3.5 %)
– + 0.1 à 0.5 pt de proteines
• Fréquence de gains > 85 % des situations d’essais
• Cette approche purement technique minimise l’intérêt
du Hydro N-Sensor