Consultant en création et management des organisations
La mère caline rencontre avec le maître spirituel le plus accessible au monde
1. J’ai touché Dieu
Tu n’as de garantie que ma parole, que Tout ce qui suit maintenant est vrai
Comme l’herbe croit au ciel depuis le sol, croie si tu le veux, qu’à présent le vrai est pré
Mon fils ma fille, quoi qu’il advienne rappelle toi que je t’aime
Mon profond respect pour celui ou celle qui dans le monde entier, cherche à savoir, qui il est.
Concernant les mots et pensées que je vous partage, peu importe leur dureté ou légèreté, observez
juste leur message. Mon intention était de filmer l’enseignement d’Amma, à travers ses élèves
proches et moins proches. Les précieuses vidéos que vous pouvez voir et revoir à volonté
uniquement dans cet article et accessible par le mot de passe « happyamma » témoignent de la
lumière de l’homme.
Qu’arriverait-il si vous pouviez, vous, une seule et même personne, donner de l’amour et de la
tendresse, avec le même sourire, avec la même compassion, la même attention particulière à chaque
personne qui passe dans vos bras, 24h d’affilé sans vous arrêter, sans dormir, sans boire et sans
manger ?
Règles spécifiques à cet article
L’ article inspiré suit quelques principes que je viens d’établir tandis que je l’écris. Il procède à un
véritable bouleversement mental.
Thèse antithèse prothèse : tout se résume dans chaque parti et l’éternité dans l’instant devient
palpable à nos sens. Notre perception élargie comme si on « dézoomait » depuis notre situation
actuelle tandis que vous être en train de lire cette article jusqu’à votre quartier, votre village, votre
région, notre pays notre continent notre terre, notre univers connu.
Le mode opératoire est celui de l’inspiration pure et spontané, de l’expérience rapportée toute
entière et non en pièce détachée (aucune retouche ni montage, l’expérience se vit entièrement car
c’est souvent dans les séquences qu’on aime oublier, que se trouvent les plus grands enseignements)
, et enfin des anecdotes qui au-delà des précieuses leçon de vie qu’elles contiennent pour nous
connaître, nous permettent de passer le temps de manière agréable.
Et quand notre patience est infini, on n’attend plus rien de la vie.
Agression mentale (âmes sensibles s’abstenir et passer au point suivant)
Selon moi la pensée de l’être humain est perverse si elle est mal employée, elle crée des réalités
déviantes qui sont des abominations faits d’un ensemble de pseudo connaissances approximatives,
qui associés les unes aux autres donnent des systèmes destructeurs d’humanité et qu’on aime
appeler vérité. C’est ce que j’appelle le vomi mental.
2. Par définition le vomi est un ensemble d’aliments mâchés, macérés et régurgités.
Tout le monde veut intégrer tout le monde dans sa religion, ses idées, sa communauté. Le chrétien
dira que le juif et le musulman n’ont rien compris parce qu’ils n’acceptent pas Jésus comme leur
unique maître et sauveur, le musulman veut lui aussi convertir ceux qui ne croient pas au prophète
mohammad, le boudhiste est fier de n’avoir aucun Dieu ni image à vénérer pour être pleinement lui -
même dans le soi. Tandis que tous se battent pour se convaincre d’intégrer des visions mentale
(c'est-à-dire des images virtuelles fabriquée avec l’ensemble des expériences et des connaissances
sociaux qu’ils ont vécu avec une certaine intensité ou une certaine couleur émotionnelle ) tous
oublient le véritable message qui leur est adressé pour s’épanouir et vivre en paix. Et comme si cela
ne suffisait pas à faire honte au créateur pour sa création, après avoir mis le monde à feu et à sang,
et jeté la responsabilité de nos crimes commis au nom de ce que nous croyons, dans les moments de
doute d’incertitude et de difficultés on se tournent vers Lui en disant : « pourquoi Dieu offre tant de
peines, de guerres, de souffrances, de misère et d’inégalité dans le monde ? »
Ainsi la meilleure recette pour tuer Dieu serait qu’une personne se batte en son nom pour ses
propres croyances égoïste. Et nous sommes plus ou moins 7 milliards à tuer le Dieu tous les jours.
Amis, que ferons-nous au dernier jour où la nature, éternelle résilience de la Vie ne poussera plus, ni
dans le monde ni dans nos coeurs ?
Et si maintenant nous prenions nos responsabilités en main ? Et si dès aujourd’hui nous décidions
d’accepter enfin le noble titre d’être humain, ce pur joyau de l’existence ?
Qui est prêt à entendre résonner en lui le message des éveilleurs, à croire Noé, à écouter Moïse,
l’enfant du salut Jésus, la lumière d’Ahmad, la conscience de Boudha ? Détrompez vous, jetez votre
mental diviseur un instant, ce n’est pas un syncrétisme, c’est le message qui nous appel tous. Non
pour expliquer qui ils sont et quelle est leur religion ? Mais pour exprimer qui nous sommes et quel
lien nous uni !
La quête de sens
Il y avait lors cet évènement des gens de tous les âges, et de tous les niveaux sociaux. Des personnes
qui viennent depuis plus de 20 ans et d’autres qui découvrent par curiosité. Le but dites-vous ?
Rencontrer un maître.
Quand on parle de maître il ne s’agit pas d’une personne qui soumet et maîtrise d’autres personnes.
C’est une personne qui a une maitrise totale et complète d’elle-même. La maîtrise ne s’applique qu’à
soit, elle nait dans la lumière se manifeste par la matière et se transmet par l’Homme qui est la
maîtrise elle-même grâce à la vision intérieur dont il a le secret. Et quelque soit la matière que l’on
travail, nous sommes tous potentiellement des maîtres artisans de soi. Bâtisseurs du monde que
nous sommes.
Quelle est notre forme originelle ? L’amour pur et sans défaut qui nous inspire ? et l’inspiration qui
nous enveloppe ? Quelle est le secret de l’oeuvre ultime de Michel-Ange ? Cette statuette qui a l’air
de ne pas être terminé mais sur lequel il a travaillé plus de 10 ans.
3. Chez Amma, comme chez maman
La scène se passe à Pontoise une file d’attente monstrueuse. Je ne sais pas ce que je fais là. En fait je
ne connais le mouvement que depuis 2 semaines, et je remplace une dame du groupe de Bordeaux
qui ne pouvait pas venir. Chez moi j’ai plein de problèmes à gérer, à telle point que j’ai du mal à
imaginer comment tout c’est si bien passé pour que j’arrive ici. Ma mission, m’occuper des Darshan
assistés, ou confort ou prioritaire selon les terminologies employés. A la fin on mettait tellement de
temps à faire passer les personnes en fauteuil que je disais aux autres « on devrait l’appeler la file du
« Confort Eternel ». Au fait si notre patience était infinie, qu’attendrait-on de la vie ?
Bref, je me sentais bien, j’étais comme chez moi. Une sensation que je n’ai jamais vraiment vécu, ni
en Iran où le régime soit disant islamique m’a fait fuir, ni en France où chaque année on me rappel le
que je suis étranger. Bref j’étais bien, comme si je connaissais tout ça depuis très longtemps déjà.
Entre nous j’ai rarement eu des conversations aussi profondes avec les membres de ma propre
famille. Le problème avec la famille c’est qu’on ne peut pas partir sans se justifier si la conversation
ne nous plaît pas, alors que chez Amma, je me suis assis pour manger, et à côté de moi deux vielles
biques ragotaient à tue tête sur des choses qui me paraissaient inutiles, jusqu’à venir me poser plein
de questions toutes aussi inutiles. Comme je ne voulais pas parler je me suis excusé pour aller
m’assoir quelques mètres plus loin. Tout s’est très bien passé !
Prana, la responsable du service Darshan confort, m’accompagnait pour m’expliquer comment faire.
Elle me dit que normalement il faut se préparer un an l’avance, mais je j’ai l ’air de bien faire. Prana,
est toujours joyeuse, souriante et fraiche quoi qu’il arrive. Et je peux vous dire qu’on a eu des
moments difficiles. Et cette leçon m’est parvenue : « AU ROYAUME DE L’AMOUR, PERSONNE N’EST
OUBLIE, ET POUR CEUX QUI OUBLIENT L’AMOUR RAPPELLE à SOI SANS ARRET »
Anecdotes
Une dame était venue avec son amie et frustrée elle me pose une question : pourquoi les gens ont
tant besoin d’une personne avec une image pour être aimés et pour s’aimer les uns les autres. Qu’est
ce qui fait que tant de personnes viennent plusieurs heures durant supporter une file d’attente
interminable pour se retrouver dans les bras d’une seule et unique personne ? une femme qu’ils ne
connaissent pas ?
Je l’écoutais avec attention et beaucoup d’empathie pour cette souffrance qu’elle partageait. Au
terme son débat mental avec moi, je dis « que viennent-ils chercher selon toi ? » elle dit : «Chacun
vient prendre ce qu’il veut », je lui demande ce qu’elle veut elle me répond « de l’amour et de la
compassion ». Et je mentirais si je ne vous disais pas « qui cherche trouve, on ouvre à celui qui
frappe, et donne à qui demande »
4. Abondance gratuité et valeur
Ce qui est abondant peu se voir être rare et sans valeur à la fois. On cherche à obtenir ce que
personne ne possède jusqu’à ce que tout le monde l’ai, et alors cette chose n’a plus de valeur à nos
yeux. Nous n’en sommes plus les possesseurs privilégiés. Tel est le paradoxe de l’amour véritable,
abondant et oubliées de tous. Remplacée par les objets de nos désirs, rares et limités, pour
lesquels on s’entre-déchire depuis la nuit des temps.
Le jeu rusé du mental et l’intelligence de l’être
Le symbole ne transmet aucun sens :
Il est un rappel à Soi qui en soi ne sert à rien. Soyez attentifs s’il vous plaît pour ce point important.
Car il semble qu’on dise « même » pour dire « soi-même » car le soi reste égal et à l’équilibre quelle
que soient les circonstances. « les difficultés et les vicissitudes de la vie, trouvent une résolution que
je vis actuellement en moi-même » dit Nirvan. Ainsi la justice existe.
Le bruit du monde et le silence de la Vie
A l’intérieur de la salle régnait un mélange d’ordre et de confusion. Il vous appartient alors de choisir
l’un ou l’autre. J’ai vu des personnes très calmes et d’autres surchargées au bord de la crise
cardiaque. J’ai remarqué que ceux qui souffraient le plus n’étaient ni les malades, ni les handicapés,
ni les femmes seules avec leurs enfants en bas âge, mais toute les personnes qui se laissaient guider
par leur mental. Le brouhaha en eu même était tel, qu’ils n’avaient pas une seule seconde de répit.
J’ai remarqué que lorsqu’on fait confiance à son mental dans de telles conditions, on se coupe de la
réalité, on prend les mauvaises décisions, on ressasse toutes nos frustrations et émotions négatives
qu’on tente d’imposer à l’environnement. Si l’environnement est chargé de doutes, et de fatigue cela
crée le chaos et la panique, et la pensée divise les gens. A l’inverse si l’environnement est chargé
d’amour, les choses se passent par elles même, de manière organisée, calme et paisible. L’action
même si elle est intense sur une longue durée, reste pure énergie, elle est régénératrice et revitalise
quiconque s’y applique avec joie. Entendez-vous ce qu’on dit là ? En toutes circonstances, l’effort et
la fatigue peuvent être régénérateurs si l’on s’en remet à son coeur !
J’avais pour responsabilité de faire passer des personnes prioritaires, des enfants, des personnes en
fauteuil, des VIP, dans les bras d’Amma. Il y avait un monde fou on me demandait dans la
précipitation de guider un groupe de personnes. A l’entrée une dame attendait avec son fis de 4 mois
dans les bras, on me demandait de les guider. La jeune mère me dit « il me faut un ticket et un
endroit pour le changer » Une des disciples d’Amma noyée dans la foule distribuait les tickets. Je ne
sais pas comment je l’ai trouvé et comment elle s’est rappelée des 3 personnes à qui je lui demandé
de donner un ticket, mais bien après elle me dit avec un sourire et enthousiasme « je leur ai donné à
tous ceux que tu as demandé » et la jeune mère était celle qui eut le dernier ticket avant qu’il n’y en
n’ai plus.
5. La vision et le point de vue
Le darshan c’est certes l’étreinte (ou câlin pour ceux qui veulent) mais c’est surtout au sens de la
vision. Par cet acte de prendre dans les bras, Amma transmet une vision du soi. Avec un sérieux et
une extrême concentration elle pose votre tête sur son épaule droite, elle pose sa joue droite sur
vous et glisse quelques mots à votre oreille tandis qu’elle vous encercle avec ses bras, juste avant de
prendre dans sa main gauche près de son coeur, un présent qu’elle vous donne au moment ou elle
vous relâche, et elle vous sourit. Sur les films vous verrez son visage dur, sérieux parfois très triste
quand elle prend une personne, et toujours son enthousiasme et son sourire quand elle relâche la
personne. Comme si elle entendait les souffrances pour les dénouer et laisser jaillir la joie.
Mais selon le point de vue sans vision, on peut voir une petite dame basanée et trapue qui fait des
câlins. De ce point de vu, on peut l’appeler « mamie câline ». Mais si par hasard on entend ne serait-ce
qu’un seul de ses enseignements, on se rend compte de la profondeur et de la détermination de
cette femme qui ne mesure pas plus haut que certains hommes politique. Mais dont l’action en ce
monde a sauvé des milliers de vies tandis que d’autres s’acharnent à les tuer.
C’est une activité très intense qu’elle réalise depuis des années, jusqu’à noircir son sari blanc par la
sueur et le maquillage des gens qu’elle embrasse. Je comprends maintenant le bleu sur son visage.
Imaginez vous prendre jusqu’à 20 000 personnes dans vos bras sur 3 jours. Et maintenant sur
plusieurs décennies.
Nous étions assis avec Marion, une blonde de la Rochelle passionnée de chevaux, en train de
regarder Amma prendre les gens dans ses bras, il était bientôt 2h du matin et la mère caline était à la
tache depuis 10h, pour moi ça avait quelque chose de fascinant, un exploit. Mais ça avait aussi
quelque chose de troublant. Et je dis sans me retenir « tout cet amour, ça m’écoeure », elle se tourne
vers moi et dit : « Ah bon ? pourquoi tu dis ça ? » - « D’abord parce qu’elle prend tout le monde sans
distinction, qu’ils soient beaux moches, propres sales, ensuite elle a toujours le même sourire, et le
même enthousiasme, on ne voie jamais la fatigue sur son visage alors qu’elle est là depuis 10h sans
boire ni manger, ni dormir, et enfin peut être parce que je suis jaloux »
« Jaloux de quoi ? » - « Imagine un peu ta mère prendre le monde entier dans ses bras avec le même
amour qu’elle le fait pour toi, on cherche tous l’exclusivité de l’amour, on ne veut pas partager sa
mère » et j’ajoute « au déjeuné j’ai parlé aux gens, beaucoup se fichent des enseignements et
préfèrent vivre dans le manque, avoir un câlin sans chercher pl us loin. En fait c’est parce que
beaucoup ont vécu une rupture affective ou un manque profond par rapport à leurs propres parents
Ils ressentent le besoin d’être aimé » Marion est au bord des larmes « mais ce manque on l’aura
toujours » dit elle. « Non justement, c’est bien ça la bonne nouvelle, car l’enseignement d’Amma ne
cherche pas à nous rendre dépendants de son amour, mais de nous émanciper de tout manque par
l’amour que nous avons en nous. C’est à nous de choisir, la liberté d’une vision sans borne, où
l’image d’une mère câline. »
Et je reprends cet exemple d’Amma : « Quand on plante un jeune arbre il est fragile, c’est pourquoi
on l’accroche à un tuteur, mais une fois grand, son tronc s’épaissie de devient stable, alors on peut
même y attacher un éléphant si on veut. »
6. Le parc d’attraction
Vous rigolez mais c’est un peu ça. Et pour beaucoup, ce n’est QUE ça. Un évènement festif sur 3 jours
où l’on peut s’habiller boire manger et écouter indien et faire un tour de manège, Amma, l’attraction
principale. Plus de détails sur cette idée dans l’article sur Sri Tathara, accessible sur ce lien :
http://www.happynextdoor.fr/38.html et par le mot de passe « happytatata »
Rencontre avec Hélène de Fougerolle
Une dame me touche l’épaule et m’offre une pierre rose tacheté. Je suis surpris, « je vous ai vu vous
occuper des personnes avec amour et attention. Prenez, c’est sans contre partie » Dit elle en posant
la pierre dans ma main avant de retourner s’assoir et dessiner sur son cahier remplie de mandalas.
Le jour où j’ai pris Martine REICHERTS dans les bras
Cette dame m’a marqué pour plusieurs raisons. Qui parmi vous peut dire qu’il ou elle a vu une
femme occidentale, commissaire chargée de la justice à l’union européenne, pieds nus, s’agenouiller
devant une indienne qui fait la moitié de sa taille ? L’accessibilité de cette dame m’a étonné, et
surtout son discours. Sa sensibilité rendait sa force encore plus troublante, et pourtant on s’est pris
dans les bras. En effet, elle ne s’est pas caché derrières sa fonction, et a dévoilé devant plusieurs
milliers de personnes ce jour là, son cheminement spirituel intime. Qu’elle était pendant plus de 20
ans une disciple d’Arnaud Desjardin et que nous pouvons tous avoir le bénéfice des enseignements
de maîtres (gens de maître de soi) comme Amma, pour une vie meilleure. Par cette prise de parole
très applaudie, elle a donné courage à plusieurs personnes qui hésitaient à prendre la parole et dont
vous pouvez voir les vidéos seulement dans cet article.
Autres enseignements
« Le mental est comme des ciseaux qui découpent, divisent et séparent le tissus d’un vêtement qui
devient alors inutilisable. Tandis que l’amour est comme une aiguille qui réuni les morceaux de tissus
pour faire un vêtement qui nous habille et nous réchauffe »
L’amour : La densité vitale et naturellement constituante de la vision intérieure : Maintenant que
mon aiguille est aiguisée je m’en vais coudre l’immense voile du destin
La devise d’Amma : Compassion in Action
Par l’action juste, sincères et désintéressée on peut purifier notre âme et changer notre Karma.
« Vous avez de la peine pour les personnes handicapés, mais vous devez aussi avoir de la peine et de
la compassion pour les gens égoïstes, dépressifs, avares, coléreux, et orgueilleux, car ce sont des
maux terribles dont il est difficile de se détacher, même après la mort »
Amma dit « Cassez un oeuf de l’intérieur et il naît la vie, cassez la de l’extérieur et vous tuez ce qu’il
contient. » Dans tous les cas une statique est certaine : 100% des gens meurent. Et chacun cassera sa
pipe … ou son oeuf un jour. Reste à savoir comment faire au mieux, agir avec justesse et avec justice.
Pensez-y franchement la prochaine fois que vous ferrez une omelette.
7. Autres histoires pour plus tard :
- Je rencontre une disciple d’Amma
- Je mange à côté de 2 femmes qui médisent sur le monde et les hommes.
- Une vielle d’âme indienne me regarde avec attention depuis son fauteuil
- Une mamy algérienne musulmane me parle de son amour pour l’Iran
- Une inspectrice de l’éducation nationale me magnétise le dos
- Je prive une belle jeune femme du soleil dont elle profite (cecilia)
- Je bois un thé au gingembre chez éric
- Je guide une mère et son bébé dans la ligne prioritaire, il lui faut un ticket et un endroit pour
changer son fils : « merci pour lui » dit elle souriante
- Je mange des gens qui terminent leur repas autour d’un conflit idéologique . Je dis « pas la
peine de s’énerver » et tous s’en vont.
- Dès mon arrivé on me présente une belle blonde en fuite et l’envie me prends de pleurer
dans ses bras (Marion), Elle me rappelle mon dernier livre Evazia : Mémoires d’une fugitive
- On m’offre 3 tickets pour le darshan le premier jour
- Marianne m’offre son ticket le troisième jour
- Je rencontre belle femme très cultivée (Armelle)
- Une mamy dessine Amma sous tous les profils « la mer pour ceinture, … » c’est ainsi que
commence le poème qu’elle écrit pendant que je l’observe
- Une dame rousse en fauteuil passe in extremis. Son amie conteste son attente, je lui dis qu’il
faut qu’elle demande. Et voila chose faite. Elle me dit la voix tremblante « vous êtes un
ange ». Si seulement c’était vrai !
- Un viel homme mourant, ex-habitant des chaînes himalayennes viens avec moi pour voir
Amma. C’est le coeur léger qu’il repart, et j’ai toujours son regard en ma mémoire.
- Je rencontre Coralie alors que j’achète un bracelet souvenir pour ma soeur. (voir texte
Advaïta, inspiré de ma rencontre avec Sri Tathata)
- Je rencontre le service Presse qui me permet de filmer la matrone.
- Je parle à Amma pour faire passer les fauteuils plus vite.
- Amma m’offre une pomme
- Laurent un homme en fauteuil me raconte son rêve. Sa patience est sans borne.
- Je rencontre une chinoise qui vient des États Unis pour faire le tour d’Europe avec Amma.
- Fous rires toute une journée
- Une mère avec son enfant de 2 mois décide de partir car son fils est fatigué, je ne peux pas la
faire passer. Je la retrouve sur scène de l’autre côté tandis j’amène une autre dame à se faire
embrasser
- Un homme bon ne peut passer avec sa famille, car il a perdu son ticket, je lui offre celui que
j’ai
- Un enfant prend le micro et chante pour Amma… 3 000 personnes l’encouragent
- …