5. Microsoft n’est plus le maître des navigateurs. Chrome et Firefox ont mené la vie dure à
Internet Explorer et l’éditeur a dû revoir sa stratégie : plus d’ouverture, plus de
nouveautés et plus souvent, plus d’outils de développement. Bref, plus d’innovations
dans un marché plus compétitif.
http://www.microsoft.com/france/msdn/buildforwindows/internet-explorer.aspx
6. Le premier outil vise à faciliter les tests pour analyser une page web, via un portail dédié.
Il suffit d’entrer l’URL de votre site et un rapport est généré avec les différentes
remarques des équipes de Microsoft.
Assez proche dans l’idée, ce portail d’analyse donne également accès à BrowserStack - pendant 3 mois.
BrowserStack compare l’affichage de votre site sur différents navigateurs et les met en parallèle.
7. Vous développez un site mais vous n’êtes pas sous Windows ? Pas de problème. Des machines virtuelles
préconfigurées peuvent à présent être téléchargées pour tester le rendu d’un site dans IE 10 depuis des
environnements Linux et Mac.
Deuxième angle d’attaque : le tactile. IE 10 est en effet « taillé » pour les tablettes et Microsoft essaye de
pousser les développeurs Web à exploiter ces possibilités.
L’éditeur a donc mis en ligne un ensemble de codes (CSS) et d’API (MS Pointer) ainsi que des ressources
explicatives pour les implémenter plus facilement dans un site et le « préparer aux interactions tactiles ».
8. Dans le même esprit, Microsoft a réalisé un guide sur la manière d’épingler votre site à l'avant-plan de la
Modern UI comme s’il s’agissait d’une application.
Un générateur de code automatise cette tâche en ligne pour « placer votre vignette juste à côté
d'applications sur l'écran d'accueil de Windows 8 en l'espace de quelques minutes ». Impossible de faire
plus simple.
9. Troisième angle d’attaque pour ces nouveaux outils : le respect des standards et l’ouverture.
On parle ici bien sûr du trio HTML5, CSS, JavaScript, des portes qu’il ouvre aux développeurs… et de son support
dans IE 10.
Introduction au Point Events (toujours pour simplifier l’implémentation du tactile dans un site), à Hand.js, tutoriels
sur Canvas et SVG, retour sur les coulisses de Cut The Rope en HTML5, explication de l’élément <datalist>, des tags
Sémantiques, Modernizr, le point sur JavaScript pour les développeurs.NET, etc. etc. etc.
Autant de ressources générales abordées dans le nouveau « Centre de Développement HTML5 » de l’éditeur qui
vient d’ouvrir.
11. La NASA a indiqué avoir envoyé 3 smartphones en orbite autour de la Terre afin qu'ils deviennent en quelque
sorte des satellites « low-cost ». Ces trois PhoneSats s'avèrent être des Nexus One, sous Android.
La NASA a indiqué en début de semaine avoir mené à bien une mission plutôt originale, à savoir embarquer
dans un lanceur Antares d'Orbital Sciences Corp trois Nexus One de Google-HTC afin de les déployer en orbite
(la fusée ayant également lancé un simulateur de masse du cargo spatial Cygnus). Ces smartphones n'ont
alors pas seulement l'ambition de devenir à leur tour des déchets spatiaux mais doivent servir, selon
l'organisme, de satellites « low-cost ».
L'objectif de la NASA est en fait de déterminer si un objet de consommation courante peut devenir, d'une
manière ou d'une autre, utile à l'observation de notre planète. Plusieurs stations de réception sont présentes
au sol afin de faire un point régulier sur l'état de fonctionnement des appareils. Par contre, les smartphones
devraient, selon les estimations, ne rester en orbite que pendant deux semaines.
Ces satellites enverront donc des données sur leur état de fonctionnement et tenteront de prendre des
clichés de la Terre. La NASA indique à ce titre qu'elle publiera des photographies sur le site phonesat.org. Elle
précise aussi que les Nexus ont été légèrement modifiés. Ils embarquent ainsi une batterie externe lithium-
ion ainsi qu'un émetteur radio plus puissant, capable d'envoyer des messages depuis l'Espace. Enfin, la
fonction permettant aux terminaux d'émettre ou de recevoir des appels a été désactivée.
13. Avec pour nom de code Raring Ringtail, cette version se montre plus rapide au démarrage que les
versions précédentes. Elle est aussi moins gourmande en utilisation de mémoire, réduit les tailles des
images et la consommation d’énergie.
Jane Silber, le PDG de Canonical, explique qu’elle a été conçue pour converger vers différents
clients (tablette, téléphone, ordinateur de bureau).
« Du point de vue de l'utilisateur, je pense que les gens remarqueront une augmentation réelle de la
vitesse et la finesse visuelle de l'expérience. C'est un polissage de l'expérience utilisateur » poursuit-
elle.
14. L a n g a g e d e p r o g r a m m a t i o n c e l l u l a i r e
15. Les récentes avancées de la biologie moléculaire des gènes nous
rapprochent de plus en plus du domaine de la science-fiction. Après
l’ordinateur biologique, un cap a été franchi. La suite logique devait être un
langage de programmation cellulaire.
Tout part de la volonté des chercheurs d’accroître le rendement des
expériences de manipulation génétique. Car s’il est vrai qu’il est possible
d’insérer des séquences d’acides nucléiques dans un organisme unicellulaire
comme « Escherichia Coli », les résultats étaient la plupart du temps aléatoires.
Un collectif de chercheurs du BIOFAB (International Open Facility Advancing
Biotechnology) a réalisé l’exploit de rendre les résultats de plus en plus
prévisibles avec le meilleur rendement possible. Pour cela, ils ont créé des
séquences d’acides nucléiques spéciales, qui permettent de contrôler de
façon déterministe les processus d’insertion et d’expression de gènes
étrangers à une cellule et dans le cas précis « Escherichia Coli ». À titre de
rappel, les gènes sont les gardiens de l’information cellulaire.
17. Gratuit, Support de Git et le support très avancée du Cloud (ex : Azure) c’est les atouts sur lesquels
Microsoft compte pour rendre son IDE l’un des plus utilisé pour la création et le dev. Web
18. Le support de Windows Azure introduit une option permettant de se connecter à la plateforme
Cloud à partir de l’IDE. L’utilisateur a la possibilité de créer jusqu’à 10 sites gratuits sur Azure. Tous les
sites publiés peuvent être consultés et édités à distance au sein de WebMatrix.