Atlas national de la démographie médicale, édition 2015, publié par le Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom), juin 2015. La population de médecins en France vieillit et continue de se féminiser. Le maillage des praticiens connaît de fortes disparités régionales.
L'apprentissage, le parfait équilibre entre formation et métier, Unccas
Atlas national de la démocratie médicale.
1. 1
ATLAS DE LA DÉMOGRAPHIE
MÉDICALE EN FRANCE
SITUATION AU 1ER
JANVIER 2015
CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS
Dr Patrick BOUET, Président
Sous la direction du Dr Jean-François RAULT,
Président de la Section Santé Publique et Démographie Médicale.
Réalisé par Gwénaëlle LE BRETON-LEROUVILLOIS,
Géographe de la santé.
5. 5
Éditorial
Le Conseil national de l’Ordre des médecins a aujourd’hui le plaisir de publier sa nouvelle édition 2015 de l’Atlas de la
démographie Médicale, réalisé par sa section Santé Publique et Démographie Médicale. Cette nouvelle édition met en
avant un certain nombre de paradoxes et met en défaut un certain nombre d’idées reçues.
Les territoires se vident de leurs médecins. Pourtant, avec 281 087 médecins inscrits au tableau de l’Ordre en 2014, la
France n’a jamais compté autant de médecins ! On met souvent en cause le Numerus Clausus, qui serait trop restreint.
Pourtant les effectifs du Numerus Clausus ont presque triplé sur les dix dernières années, pour atteindre 7497 places.
En même temps, chaque année, 25% des médecins diplômés d’une faculté française décident de ne pas s’inscrire à
l’Ordre pour exercer d’autres professions, dans le journalisme ou l’administration par exemple, au détriment du soin.
Plus âgée, mais aussi plus féminisée, la population des médecins présente un profil démographique en constante
évolution depuis une vingtaine d’années. Doit-on y voir un élément de réponse ?
La féminisation de la profession est-elle « responsable » de la désertification ? Les chiffres démontrent le contraire :
parmi les jeunes médecins âgés de moins de 40 ans, qualifiés en médecine générale, 60% sont des femmes qui ont fait
le choix d’exercer en secteur libéral/mixte.
On dénote toutefois une tendance de fond : les nouvelles générations de médecins souhaitent pouvoir concilier vie
professionnelle et vie privée, hommes comme femmes.
Cela veut-il dire que les jeunes générations ne souhaitent plus exercer en libéral ? S’il est vrai que lors de leur première
inscription à l’Ordre, à peine 15% des jeunes médecins choisissent l’exercice libéral/mixte en 1ère intention, cinq ans
plus tard, 40% s’orientent vers ce mode d’exercice.
On dit souvent que les jeunes médecins ne souhaitent plus exercer en zone rurale et qu’ils plébiscitent les maisons
médicales pluri-professionnelles. Chaque territoire, qu’il soit rural ou urbain, rencontre des problématiques
spécifiques pouvant engendrer des pénuries de médecins. Les déserts dits médicaux ne sont pas toujours là où on les
imagine, des zones très rurales, mais aussi des métropoles comme Paris, voire des villes moyennes, comme
Châteauroux y sont confrontées.
Sur la période 2007/2015, la région Ile-de-France recense en effet une diminution de 6% des médecins en activité
régulière, alors que la région des Pays-de-la-loire comptabilise une hausse de 6%.
En ce qui concerne les maisons médicales pluri-professionnelles, sont-elles le moyen d’attirer de jeunes médecins dans
les territoires ? Les chiffres démontrent qu’on y trouve plus particulièrement des médecins âgés en moyenne de 50 ans
qui exerçaient auparavant dans des cabinets individuels.
Les médecins à diplômes « étrangers » sont-ils la solution à la lutte contre la désertification médicale dans certains
territoires ?
Si le nombre de médecins titulaires d’un diplôme obtenu hors de France ne cesse d’augmenter depuis 2007 (+42,7%) il
n’en reste pas moins que ces médecins privilégient massivement l’exercice salarié (62%) ou mixte (13%). Seul ¼ d’entre
eux exerce en secteur libéral exclusif et privilégient les territoires à forte densité.
Ces quelques précisions, extraites de l’Atlas, démontrent l’importance de repartir de données factuelles, quantifiées
sur un sujet aussi complexe que celui de la démographie médicale. Un débat organisé au Conseil National de l’Ordre
nous a par ailleurs donné l’occasion de croiser les expertises institutionnelles (en présence de la CNAMTS, d’un
représentant d’ARS, du CGET et de l’Etat) pour aborder les enjeux de la démographie médicale et envisager son
avenir.
Je vous souhaite une bonne lecture de ce nouvel Atlas, espérant qu'il vous apportera une lumière complémentaire sur
un monde médical en pleine évolution.
Dr Jean-François RAULT
Président de la Section Santé Publique
et Démographie Médicale
6. 6
CHAPITRE I – ÉTAT DES LIEUX
I – LES EFFECTIFS 13
II – LE PROFIL DÉMOGRAPHIQUE DES MÉDECINS 15
III – L’ACTIVITÉ RÉGULIERE 17
III.1 – Les effectifs : de l’observé à l’attendu selon l’approche territoriale 17
III.2 – La répartition par genre et âge 47
III.3 – Le cadre d’activité et les modes d’exercice 51
III.4 – Les densités médicales 57
IV – LA SITUATION ACTUELLE 67
IV.1 – Nombre de postes offerts dans les spécialités 67
IV.2 – Nombre d’internes à former 71
V – LE SOLDE DES ENTRÉES 105
V.1 – L’origine du diplôme 105
V.2 – Le profil démographique 109
V.3 – Délais entre l’obtention du diplôme et l’inscription 110
V.4 – Les modes d’exercice lors de la première inscription 113
VI – LE SOLDE DES SORTIES 123
VI.1 – Les effectifs 123
VI.2 – Le profil démographique 125
VI.3 – La structure d’exercice libéral 125
VI.4 – Les modes d’exercice et l’approche territoriale des retraités de l’année 2014 126
VII – LE CUMUL EMPLOI/RETRAITE 131
VII.1 – Le dispositif 131
VII.2 – Les effectifs et l’approche territoriale 136
VII.3 – L’âge 138
VII.4 – Les qualifications et les modes d’exercice 138
VIII – LES MEDECINS REMPLAÇANTS 141
VIII.1 – Législation du remplaçant 141
VIII.2 – Les effectifs 147
VIII.3 – Les remplaçants « actifs » 148
IX – LES ÉTUDIANTS REMPLAÇANTS 157
IX-1 – Le contexte juridique 157
IX- 2 – Modèle d’un contrat de remplacement 160
IX-3 – La démographie des étudiants remplaçants de l’année 2014 163
7. 7
ETUDES THÉMATIQUES
PARTIE - I 175
La médecine générale
De l’exercice libéral à l’approche territoriale
I – GÉNÉRALITES 177
II – L’ÉVOLUTION DES EFFECTIFS 179
III – PROFIL DÉMOGRAPHIQUE ET FÉMINISATION 180
IV – L’ORIGINE DES DIPLÔMES ET L’APPROCHE TERRITORIALE 183
V – LA DENSITÉ MÉDICALE 184
VI – IDENTIFICATION D’UNE CLASSIFICATION RÉGIONALE 186
PARTIE - II 189
Les spécialités médicales et chirurgicales
De l’exercice libéral à l’approche territoriale
I – LES SPÉCIALITÉS EN ACCÈS DIRECT 190
I-1 – L’ophtalmologie 190
I -2 – La pédiatrie 192
I-3 – La psychiatrie 194
I-4 – La gynécologie 196
II – LES AUTRES SPÉCIALITES MÉDICALES 199
II.1 – Zoom sur la rhumatologie 200
II.2 – Zoom sur la dermatologie et vénéréologie 202
III – LES SPÉCIALITÉS CHIRURGICALES 205
III.1 – Zoom sur la chirurgie générale 206
III.2 – Zoom sur l’ORL 208
15. 15
II – LE PROFIL DÉMOGRAPHIQUE DES MÉDECINS
Au 1er janvier 2015, le tableau de l’Ordre recense 281 087 médecins ; soit +1,7%
comparativement à l’année précédente. Parmi ces médecins, 215 539 sont en activité totale et 65
548 retraités dont 14 665 en cumul emploi-retraite (activité libérale/mixte/salariée ou remplaçant).
Ces neuf dernières années, les médecins retraités enregistrent un accroissement de 75,1% de
leurs effectifs tandis que le nombre d’actifs n’a augmenté, sur la même période, que de 1,2%.
Tableau n°2: Les effectifs des médecins actifs/retraités de 2006 à 2015
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
Actifs 212972 213995 215028 216017 216450 216145 216142 215865 215531 215539
Retraités 37433 38751 40070 42136 44928 48321 51930 56105 60823 65548
Total 250405 252746 255098 258153 261378 264466 268072 271970 276354 281087
Graphique n°1 : Les effectifs des médecins inscrits au tableau de l’Ordre de 1979 à 2015
0
50000
100000
150000
200000
250000
300000
79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14
Retraités
Actifs
6 776
112 066
65 548
215 539
Entre 1979 et 2015, le nombre de médecins est passé de 118 842 à 281 087 soit une
augmentation de 136,5%. Les médecins actifs enregistrent une hausse de 92,3% alors que les
retraités atteignent presque les 867,4% d’inscrits en plus au tableau de l’Ordre entre 1979 et 2015.
17. 17
III – L’ACTIVITÉ RÉGULIERE
En application des dispositions de l’article R 4127-85 du code de la santé publique, l’activité
régulière détermine, comme lieu habituel d’exercice du médecin, sa résidence professionnelle, au
titre de laquelle, il est inscrit sur le tableau du Conseil Départemental conformément à l’article
L 4112-1.
III.1 – Les effectifs : de l’observé à l’attendu selon l’approche territoriale
III.1.1 - Généralités
Actuellement, le tableau de l’Ordre recense 198 365 médecins inscrits en activité régulière.
Sur la période 2007/2015, les effectifs ont diminué de 0,2% et ont une forte probabilité de
continuer de décroitre d’ici à 2025.
Graphique n°2: Effectifs en activité régulière – de l’observé à l’attendu
198814
199306
199736
200045
199987
199821
199419
198760
198365
198309
198253
198197
198141
198085
198029
197973
197917
197861
197805
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023 2024 2025
Observé : -0,2% Attendu : -0,3%
19. 19
III.1.2 – Approche régionale : Identification d’une classification
L’analyse territoriale des effectifs des médecins exerçant en activité régulière sur la période
2007/2015 permet de mettre en exergue trois classes de régions :
- Les régions en augmentation
- Les régions en stagnation
- Les régions en diminution
Parmi les huit régions qui comptabilisent une baisse significative des effectifs en activité
régulière, la région Ile-de-France se positionne au premier rang.
Sur la période 2007-2015, le nombre des médecins inscrits au tableau de l’Ordre des 8
départements de l’Ile-de-France a diminué de 6%.
À l’opposé, sur la même période la région Pays-de-la-loire enregistre une hausse de 6% des
effectifs des médecins inscrits au tableau de l’Ordre
Les régions Haute-Normandie, Lorraine, Poitou-Charentes et Auvergne stabilisent leur
nombre de médecins inscrits en activité régulière.
Carte n°1: Les médecins en activité régulière – Variation des effectifs 2007/2015
LANGUEDOC
ROUSSILLON
PACA
POITOU
CHARENTES
PAYS DE
LA LOIRE FRANCHE
COMTE
LORRAINE
ALSACE
CHAMPAGNE
ARDENNE
HAUTE
NORMANDIE
BASSE
NORMANDIE
NORD-PAS
DE-CALAIS
ILE-DE-FRANCE
PICARDIE
CENTRE
BOURGOGNE
BRETAGNE
AQUITAINE
MIDI-PYRENEES
LIMOUSIN
RHONE-ALPES
AUVERGNE
CORSE
Variation des effectifs 2007/2015
Stagnation (4)
Augmentation (10)
Diminution (8)
Source : CNOM 2007/2015
Auteur : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2015
Plus forte hausse
des effectifs (+6%)
Plus forte baisse
des effectifs (-6%)
Les médecins en activité régulière
Variation des effectifs 2007/2015
21. 21
A – Panorama des régions en diminution de médecins en activité régulière
La région Ile-de-France
Entre 2007 et 2015, 1835 médecins ont quitté la région Ile-de-France et plus particulièrement
le département de Paris (40,2%). Âgés en moyenne de 50 ans, ces médecins sont représentés
équitablement par les hommes (50%) et les femmes (50%).
50% de ces médecins se sont inscrits pour la première fois à un tableau de l’Ordre au cours
des années 2000.
Graphique n°3: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
3,7%
19,5%
27,0%
49,7%
0,1%
87,7% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4,8% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 7,5% hors Union Européenne.
36% sont médecins généralistes et 64% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
63% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 37% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°4: Qualifications Graphique n°5: Modes d’exercice
Généralistes
36%
Spécialistes
64%
Lib/mixte
37%
Salarié
63%
Ces médecins en exercice régulier ont quitté la région Ile-de-France pour les régions
suivantes (par ordre décroissant) :
12,6% PACA
9,9% Rhône-Alpes
8,1% Bretagne
7,1% Centre
7,1% Aquitaine
22. 22
La région PACA
Entre 2007 et 2015, 610 médecins ont quitté la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Âgés en
moyenne de 53 ans, ces médecins sont représentés à 61,8%par les hommes et à 38,2% par les
femmes.
33,8% de ces médecins se sont inscrits pour la première fois à un tableau de l’Ordre au cours
des années 2000.
Graphique n°6: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
4,7%
30,2%
31,3%
33,8%
0%
88,7% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 6,1% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 5,2% hors Union Européenne.
43,3% sont médecins généralistes et 56,7% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
59,7% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 40,3% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°7: Qualifications Graphique n°8: Modes d’exercice
Généralistes
43,3%
Spécialistes
56,7%
Lib/mixte
40,3%
Salarié
59,7%
Ces médecins en exercice régulier ont quitté la région PACA pour les régions suivantes (par
ordre décroissant) :
15,7% Languedoc-Roussillon
15,1% Rhône-Alpes
15% DOM
11,% Ile-de-France
6,2% Aquitaine
23. 23
La région Bourgogne
Entre 2007 et 2015, 300 médecins ont quitté la région Bourgogne. Âgés en moyenne de 53,1
ans, ces médecins sont représentés à 62% par les hommes et à 38% par les femmes.
36,4% de ces médecins se sont inscrits pour la première fois à un tableau de l’Ordre entre
1990 et 1999.
Graphique n°9: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
3%
26,3%
36,4%
34,3%
0%
80,7% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 15,3% hors Union Européenne.
40,3% sont médecins généralistes et 59,7% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
63,3% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 36,7% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°10 : Qualifications Graphique n°11 : Modes d’exercice
Généralistes
40,3%
Spécialistes
59,7%
Lib/mixte
36,7%
Salarié
63,3%
Ces médecins en exercice régulier ont quitté la région Bourgogne pour les régions suivantes
(par ordre décroissant) :
25. 25
La région Champagne-Ardenne
Entre 2007 et 2015, 280 médecins ont quitté la région Champagne-Ardenne. Âgés en
moyenne de 52 ans, ces médecins sont représentés à 64,3% par les hommes et à 35,7% par les
femmes.
40% de ces médecins se sont inscrits pour la première fois à un tableau de l’Ordre au cours
des années 2000.
Graphique n°12: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
1,4%
27,5%
31,1%
40%
0%
81% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 8,2% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 10,8% hors Union Européenne.
35,4% sont médecins généralistes et 64,6% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
60,4% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 39,6% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°13: Qualifications Graphique n°14: Modes d’exercice
Généralistes
35,4%
Spécialistes
64,6%
Lib/mixte
39,6%
Salarié
60,4%
Ces médecins en exercice régulier ont quitté la région Champagne-Ardenne pour les
régions suivantes (par ordre décroissant) :
27. 27
B – Panorama des régions en augmentation de médecins en activité régulière
La région Rhône-Alpes
Entre 2007 et 2015, 1030 médecins ont quitté leur région pour exercer en région Rhône-
Alpes. Le département du Rhône absorbe 31% des effectifs ; la Haute-Savoie 15,6% et l’Isère
13,4%.
1/5ème de ces médecins exerçait auparavant en région Ile-de-France.
Ces médecins en exercice régulier exerçaient auparavant dans les régions suivantes :
Graphique n°15: Activité générale par région – Flux migratoires
Âgés en moyenne de 50 ans, ces médecins sont équitablement répartis entre les hommes
(50%) et les femmes (50%).
Graphique n°16: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
3%
19,4%
30,5%
47,1%
0%
activité régulière
87,8%
Remplaçant
9,1%
Temporairement
sans activité
3,1%
20,1% Ile de France
10,7% PACA
7,7% Nord-Pas-de-Calais
7,2% Bourgogne
5,5% Auvergne/DOM
Actuellement, 87,8% de
ces médecins sont inscrits
en activité régulière
29. 29
89,5% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4,2% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 6,3% hors Union Européenne.
39,4% sont médecins généralistes et 60,6% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
61,2% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 38,8% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°17: Qualifications Graphique n°18: Modes d’exercice
Généralistes
39,4%
Spécialistes
60,6%
Lib/Mixte
38,8%
Salarié
61,2%
À la lecture du graphique ci-dessous, on note des disparités selon les modes d’exercice aux
échelles départementales
Graphique n°19: Modes d’exercice à l’échelle départementale
Ain Ardèche Drôme Haute Savoie Isère Loire Rhône Savoie
35% 34,3%
27,1%
36,6%
31,9% 29,8%
24,8%
38,3%
11,7%
5,7%
10,2%
9,9%
5,1% 11,9%
7,5%
6,2%
53,3%
60% 62,7%
53,5%
63%
58,3%
67,7%
55,5%
Salarié
Mixte
Libéral
30. 30
La région Bretagne
Entre 2007 et 2015, 670 médecins ont quitté leur région pour exercer en région Bretagne.
Le département de l’Ille-et-Vilaine attire 31% de ces nouveaux arrivants. Le département
du Morbihan se positionne au 2ème rang (28,4%). Les Côtes-d’Armor attirent 20,8% des effectifs et
le Finistère 20%.
¼ de ces médecins exerçait auparavant en région Ile-de-France.
Ces médecins en exercice régulier exerçaient auparavant dans les régions suivantes:
Graphique n°20 : Activité générale par région – Flux migratoires
Âgés en moyenne de 50 ans, ces médecins sont représentés équitablement par les hommes
(50%) et les femmes (50%).
Graphique n°21: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
2,8%
23,3%
29,9%
44%
0%
24,3% Ile de France
14,3% Pays de la Loire
6,7%DOM
6,3% Basse Normandie
5,7% Nord-Pas de Calais
Activité régulière
88,4%
Remplaçant
9,3%
Temporairement
sans activité
2,3%
Actuellement, 88,4% de
ces médecins exercent en
activité régulière
31. 31
94,5% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 3% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 2,5% hors Union Européenne.
45% sont médecins généralistes et 55% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
64% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 36% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°22: Qualifications Graphique n°23: Modes d’exercice
Généralistes
45%
Spécialistes
55%
Lib/Mixte
36%
Salarié
64%
À la lecture du graphique ci-dessous, on note que les départements du Finistère et de l’Ile-
et-Vilaine sont sensiblement moins attractifs à l’exercice libéral/mixte.
Graphique n°24: Modes d’exercice à l’échelle départementale
Côtes-d'Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan
31%
24,6% 26,1%
31,6%
9,4%
6,7% 6,8%
7,4%
59,6%
68,7% 67,1%
61%
Salarié
Mixte
Libéral
32. 32
La région Pays-de-la-Loire
Entre 2007 et 2015, 601 médecins ont quitté leur région pour exercer en région Pays-de-la
Loire. Le département de la Loire-Atlantique attire 42,6% de ces nouveaux arrivants ; la Vendée se
positionne en 2ème rang (19,8%).
Ces médecins exerçaient auparavant en région Ile-de-France (24%), en Bretagne (10,3%) et
en région Centre (9,2%).
Graphique n°25 : Activité générale par région – Flux migratoires
Âgés en moyenne de 40,5 ans, ces médecins sont majoritairement représentés par des
femmes (57,5%).
Graphique n°26: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
3,2%
18,8%
29,6%
48,4%
0%
Activité régulière
84,4%
Remplaçant
10,5%
Temporairement
sans activité
5,1%
Actuellement, 84,4% de
ces médecins exercent en
activité régulière
33. 33
90,5% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 5,5% hors Union Européenne.
45,5% sont médecins généralistes et 54,5% sont des spécialistes médicaux (hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
60,1% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 39,9% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°27: Qualifications Graphique n°28: Modes d’exercice
Généralistes
45,5%
Spécialistes
54,5%
Lib/Mixte
39,9%
Salarié
60,1%
À la lecture du graphique ci-dessous, on note que le département de la Sarthe à la
particularité d’une plus forte proportion de médecin en exercice libéral/mixte comparativement
aux autres départements de la région.
Graphique n°29: Modes d’exercice à l’échelle départementale
Loire-Atlantique Maine-et-Loire Mayenne Sarthe Vendée
32,4% 30,2% 31,3%
44,9%
31,9%
6,3% 7,8% 3,1%
6,4%
5,9%
60,9% 62,1% 65,6%
48,7%
62,2% Salarié
Mixte
Libéral
* : Loire-Atlantique : 0,4% en Divers
34. 34
La région Alsace
Entre 2007 et 2015, 191 médecins ont quitté leur région pour exercer en Alsace. Le
département du Bas-Rhin attire 57,6% de ces médecins.
Ces médecins exerçaient auparavant en région Lorraine (21%) ; en Franche-Comté (16,2%)
et en Ile-de-France (14,7%).
Graphique n°30: Activité générale par région – Flux migratoires
Âgés en moyenne de 50 ans, ces médecins sont représentés à 55% par des hommes et à 45%
par des femmes.
Graphique n°31 : Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
4,2%
16,7%
30,4%
48,7%
0%
Activité régulière
92,2%
Remplaçant
6,8%
Temporairement
sans activité
1%
Actuellement, 92,2% de
ces médecins exercent en
activité régulière
35. 35
82 ,2% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 10,5% ont obtenu leur
diplôme dans un pays de l’Union Européenne et 7,3% hors Union Européenne.
33,5% sont médecins généralistes et 66,5% sont des spécialistes médicaux hors médecins
généralistes) ou chirurgicaux.
63,4% de ces actifs réguliers exercent en secteur salarié et 36,6% en secteur libéral/mixte.
Graphique n°32: Qualifications Graphique n°33: Modes d’exercice
Généralistes
33,5%
Spécialistes
66,5%
Lib/Mixte
36,6%
Salarié
63,4%
Graphique n°34: Modes d’exercice à l’échelle départementale
Bas-Rhin Haut-Rhin
23,6% 23,5%
12,7% 13,6%
63,7% 62,9%
Salarié
Mixte
Libéral
37. 37
III.1.3 – Approche départementale : Identification d’une classification
L’analyse de la variation des effectifs sur la période 2007/2015 à l’échelle départementale
permet de mettre en évidence la classification suivante :
- Les départements en augmentation
- Les départements en stagnation
- Les départements en diminution
57% des départements dénombrent une baisse des médecins inscrits au tableau de l’Ordre
en activité régulière sur la période 2007/2015.
Le département de la Nièvre recense la plus forte diminution (-16%). Les départements du
Cher et de la Creuse enregistrent respectivement une baisse de 14% de leurs effectifs.
À l’opposé, parmi les 36 départements qui recensent une hausse des médecins inscrits en
activité régulière au tableau de l’Ordre sur la période 2007/2015. Le département de la Loire-
Atlantique recense la plus forte augmentation (+12%).
Le département de la Haute-Savoie se positionne à la 2ème place (+ 10%) des départements
dont les effectifs des médecins en activité régulière ont augmenté sur la période 2007/2015.
Le département du Doubs occupe la 3ème place avec une hausse de 9% des actifs réguliers.
Carte n°2: Les médecins en activité régulière – Variation des effectifs 2007/2015
AQUITAINE
MIDI-PYRENEES
LANGUEDOC
ROUSSILLON
PACA
POITOU
CHARENTES
PAYS DE
LA LOIRE
BRETAGNE
FRANCHE
COMTE
ALSACE
LORRAINE
PICARDIE
CHAMPAGNE
ARDENNE
NORD-PAS
DE-CALAIS
HAUTE
NORMANDIE
BASSE
NORMANDIE
ILE-DE-FRANCE
CENTRE
BOURGOGNE
LIMOUSIN
RHONE-ALPES
AUVERGNE
CORSE
Variation des effectifs 2007/2015
Stagnation (5)
Augmentation (36)
Diminution (55)
Source : CNOM 2007/2015
Auteur : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2015
Les médecins en activité régulière
Echelle départementale
Variation des effectifs 2007/2015
Plus forte hausse
des effectifs (+12%)
Plus forte baisse
des effectifs (-16%)
38. 38
A – Panorama des départements en diminution de médecins en activité régulière
Le département de la Nièvre
Entre 2007 et 2015, 93 médecins ont quitté le département de la Nièvre pour exercer dans un
autre département et plus particulièrement :
Ces médecins âgés en moyenne de 57 ans, et représentés à 62% par des hommes, exercent en
activité régulière (76,4%) et en tant que remplaçants (6,5%).
9% d’entre eux ont quitté la Nièvre en tant que retraités (non actif dans un autre
département).
Graphique n°35: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
19,3%
25,8%
28%
26,9%
0%
81,7% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4,3% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne ; 14% hors Union Européenne.
Graphique n°36: Qualifications Graphique n°37: Modes d’exercice
Généralistes
46%
Spécialistes
54%
Lib/Mixte
40,8%
Salarié
59,2%
39. 39
Le département du Cher
Entre 2007 et 2015, 84 médecins ont quitté le département du Cher pour exercer dans un
autre département :
Âgés en moyenne de 58 ans ; les hommes représentent 64,3% des effectifs. Ces médecins
exercent en activité régulière (78,6%) et en tant que remplaçants (4,8%).
À peine 10% d’entre eux ont quitté le Cher pour prendre leur retraite (non active dans un
autre département).
Graphique n°38: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
15,5%
29,7% 29,7%
25%
0%
83,3% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 8,3% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 8,4% hors Union Européenne.
Graphique n°39: Qualifications Graphique n°40: Modes d’exercice
Généralistes
56%
Spécialistes
44%
Lib/Mixte
33%
Salarié
67%
41. 41
Le département de la Creuse
Entre 2007 et 2015, 35 médecins ont quitté le département de la Creuse pour exercer dans un
autre département et plus particulièrement :
Ces médecins âgés de 56 ans sont représentés à 66% par des hommes et exercent plus
spécifiquement en activité régulière (80%).
Les remplaçants représentent 11,5% de ces médecins qui ont quitté la Creuse pour exercer
dans un autre département.
Graphique n°41: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
11,4%
28,6%
25,7%
34,3%
0%
83% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 5,7% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 11,4% hors Union Européenne.
Graphique n°42: Qualifications Graphique n°43: Modes d’exercice
Généralistes
57%
Spécialistes
43%
Lib/Mixte
39%
Salarié
61%
43. 43
B – Panorama des départements en augmentation de médecins en activité régulière
Le département de la Loire-Atlantique
Entre 2007 et 2015, 326 médecins ont quitté leur département pour exercer dans le
département de la Loire-Atlantique :
Âgés en moyenne de 49 ans ; ces médecins sont représentés à 53,5% par des femmes et à
46,5% par des hommes. Ils exercent massivement en activité régulière (85,5%) et les remplaçants
comptabilisent 11,4% des effectifs.
Graphique n°44: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
2,8%
20,9%
30,4%
45,9%
0%
96,2% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français, 2,2% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 1,6% hors Union Européenne.
Graphique n°45: Qualifications Graphique n°46: Modes d’exercice
Généralistes
41%
Spécialistes
59%
Lib/Mixte
39,5%
Salarié
60,5%
Les 3 principales villes :
• Nantes : 50%
• St Nazaire : 13%
• St Herblain : 8%
44. 44
Le département de la Haute-Savoie
Entre 2007 et 2015, 242 médecins ont quitté leur département pour exercer dans le
département de la Haute-Savoie :
11,6% exerçaient auparavant dans le département du Rhône.
Âgés en moyenne de 49 ans ; les femmes représentent 53% des effectifs et les hommes 47%.
Ces médecins exercent majoritairement en activité régulière (86,8%) et les remplaçants
représentent 9,1% des effectifs.
Graphique n°47: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
3,3%
18,2%
27,7%
50,8%
0%
93% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 3,3% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 3,7% hors Union Européenne.
Graphique n°48: Qualifications Graphique n°49: Modes d’exercice
Généralistes
41%
Spécialistes
59%
Lib/Mixte
43,4%
Salarié
56,6%
Les 4 principales villes :
• Pringy : 17%
• Annecy : 12%
• Contamine-sur-Avre: 11,28%
• Thonon-les-Bains : 10%
11,6% Rhône
7,9% Isère
7,1% Savoie/Paris
5,8% Nord
3,7% Ain
45. 45
Le département de la Savoie
Entre 2007 et 2015, 172 médecins ont quitté leur département pour exercer dans le
département de la Haute-Savoie :
Presque ¼ de ces médecins exerçait auparavant en Isère.
Âgés en moyenne de 49 ans ; les femmes sont légèrement majoritaires avec 52,3% des
effectifs. Ces médecins exercent en activité régulière à 86,1% et les remplaçants sont représentés à
12,8%.
Graphique n°50: Proportion des médecins inscrits de 1980 à ≥ 2010
<1980 [1980-1990[ [1990-2000[ [2000-2010[ >=2010
2,9%
18%
27,9%
51,2%
0%
94,5% de ces médecins sont titulaires d’un diplôme français ; 4,1% ont obtenu leur diplôme
dans un pays de l’Union Européenne et 1,4% hors Union Européenne.
Graphique n°51: Qualifications Graphique n°52: Modes d’exercice
Généralistes
47%Spécialistes
53%
Lib/Mixte
45%
Salarié
55%
Les 3 principales villes :
• Chambéry : 43,2%
• Aix-les-Bains : 11,1%
• Challes-les-Eaux : 10%
47. 47
III.2 – La répartition par genre et âge
Au 1er janvier 2015, les médecins inscrits en activité régulière au tableau de l’Ordre sont
âgés en moyenne de 51,5 ans.
Plus âgée, mais aussi plus féminisée, la population des médecins présente un profil
démographique en constante évolution depuis une vingtaine d’années. L’âge médian est en effet
passé de 40 à 53 ans entre 1990 et 2015.
Les médecins âgés de 60 ans et plus représentent 26,4% des effectifs alors que les médecins
âgés de moins de 40 ans représentent 17,4% des effectifs.
Graphique n°53: Pyramide des âges des médecins en activité régulière - France entière
5647
8261
8657
11255
16506
24023
25043
10392
10110
10447
10329
11481
13439
15766
13217
3792
<= 34 ans
35-39 ans
40-44 ans
45-49 ans
50-54 ans
55-59 ans
60-64 ans
>= 65 ans
Femmes
49 ans
45 %
26,4%
Hommes
53 ans
55%
17,4%
Le tableau de l’Ordre recense 89 788 médecins généralistes en activité régulière ; tous modes
d’exercice confondus. Âgés en moyenne de 52 ans, les médecins généralistes sont représentés à
55% par les hommes et 45% par les femmes. 26,7% sont âgés de 60 ans et plus, tandis que les moins
de 40 ans représentent 14,8% des effectifs.
Graphique n°54: Pyramide des âges des médecins généralistes en activité régulière - France entière
2022
2911
3642
4650
7594
11735
12436
4726
4197
4134
4816
5371
7281
7497
5325
1451
<= 34 ans
35-39 ans
40-44 ans
45-49 ans
50-54 ans
55-59 ans
60-64 ans
>= 65 ans
26,7%
Femmes
49 ans
45%
Hommes
54 ans
55%
14,8%
49. 49
Graphique n°55: Profil démographique des médecins généralistes par modes d’exercice
Le tableau de l’Ordre comptabilise 108 577 spécialistes médicaux (hors médecine générale)
et chirurgicaux. Âgés en moyenne de 51 ans, les hommes représentent 55% des effectifs.
26,3% sont âgés de 60 ans et plus tandis que les moins de 40 ans représentent 19,5% des
effectifs.
Graphique n°56: Pyramide des âges des médecins spécialistes médicaux et chirurgicaux en activité régulière - France entière
3625
5350
5015
6605
8912
12288
12607
5666
5913
6313
5513
6110
6158
8269
7892
2341
<= 34 ans
35-39 ans
40-44 ans
45-49 ans
50-54 ans
55-59 ans
60-64 ans
>= 65 ans
Hommes
53 ans
55%
Femmes
49 ans
45%
19,5%
26,3%
Graphique n°57: Profil démographique des médecins spécialistes par modes d’exercice
51. 51
III.3 – Le cadre d’activité et les modes d’exercice²
III.3.1 – Les généralités
Plusieurs situations caractérisent l’exercice médical : le cadre d’activité et le mode d’exercice
du médecin. Dans ce chapitre, le cadre d’activité est l’activité régulière.
Les différents modes d’exercice sont :
- l’exercice libéral,
- mixte (c’est-à-dire libéral et salarié),
- salarié (décomposé en médecine salariée, hospitalière, médecine salariée et
hospitalière),
- une catégorie divers1, et
- une catégorie sans exercice déclaré.
Parmi les 198 365 médecins2 en activité régulière (dont 45% de femmes), on recense :
- 88750 médecins libéraux exclusifs,
- 87410 médecins salariés dont 65,4% d’hospitaliers,
- 22079 médecins ont un exercice mixte dont 67,4% de libéraux-hospitaliers,
- 13 médecins n’ont pas d’exercice déclaré,
- Et, enfin, 113 médecins ayant d’autres activités, salariées ou libérales (catégorie
« divers »).
Tableau n°3: Répartition des médecins en activité selon le mode d’exercice
Mode d’exercice Effectifs
2015
Pourcentage 2015 Variation n-8
Libéral 88750 44,7% -6,3%
Mixte 22079 11,1% +14,7%
Libéral-Salarié 6240
Libéral-Hospitalier 14872
Libéral-Salarié-Hospitalier 967
Salarié 87410 44,1% +5,4%
Salarié 27217
Hospitalier 57124
Salarié-Hospitalier 3069
Divers 113 0,1%
Sans exercice déclaré 13
Total France entière 198365
1 La catégorie « divers » fait référence aux médecins dont la forme de rémunération (salaires ou honoraires) n’est pas connue ; on ne peut donc pas
les classer comme libéraux ou salariés. Ce sont, notamment, les médecins travaillant au sein de laboratoires pharmaceutiques, ou des médecins
réalisant des expertises, des missions pour les sociétés d’assurance privée…
2 France entière
53. 53
En 2007, 57,3% des médecins en activité régulière exerçaient en secteur libéral/mixte.
Actuellement, ils sont 55,9% à exercer avec un mode d’exercice libéral/ mixte.
Selon la méthode de calcul du TCAM*, il est fort probable que 55% des médecins en activité
régulière exerceront leur spécialité en secteur libéral/ mixte.
Graphique n°58: Modes d’exercice sur la période 2007-2020
47,6% 44,8% 43%
9,7%
11,1% 12%
41,8% 44,1% 45%
Salarié
Mixte
Libéral
2007 2015 2020
* : TCAM : Taux de croissance annuel moyen
54. 54
III.3.2 – Les modes d’exercice par spécialité (France entière au 1er janvier 2015)
Tableau n°4: Modes d’exercice par spécialité
Spécialités Libéral Mixte Salarié Sans Divers
Anatomie et cytologie-pathologiques
Effectif
N % ligne
533
36,10%
129
8,70%
814
55,10%
0
0,00%
0
0,00%
Anesthésie-réanimation Effectif
N % ligne
3114
30,80%
445
4,40%
6540
64,80%
0
0,00%
1
0,00%
Biologie médicale
Effectif
N % ligne
1065
37,30%
41
1,40%
1747
61,20%
1
0,00%
2
0,10%
Cardiologie et maladies vasculaires
Effectif
N % ligne
2662
43,50%
1576
25,80%
1881
30,70%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie de la face et du cou
Effectif
N % ligne
7
58,30%
4
33,30%
1
8,30%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie générale Effectif
N % ligne
819
25,10%
488
15,00%
1950
59,80%
2
0,10%
4
0,10%
Chirurgie infantile Effectif
N % ligne
36
12,50%
70
24,30%
182
63,20%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie maxillo-faciale
Effectif
N % ligne
150
49,30%
96
31,60%
58
19,10%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie orthopédique et traumatologie Effectif
N % ligne
1547
51,50%
673
22,40%
781
26,00%
0
0,00%
3
0,10%
CPRE Effectif
N % ligne
513
63,00%
195
24,00%
105
12,90%
0
0,00%
1
0,10%
Chirurgie thoracique et cardio-vasculaire Effectif
N % ligne
110
26,10%
111
26,30%
201
47,60%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie urologique Effectif
N % ligne
577
51,60%
275
24,60%
266
23,80%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie vasculaire Effectif
N % ligne
224
46,20%
124
25,60%
137
28,20%
0
0,00%
0
0,00%
Chirurgie viscérale et digestive Effectif
N % ligne
334
35,50%
179
19,00%
426
45,30%
0
0,00%
1
0,10%
Dermatologie et vénéréologie Effectif
N % ligne
2238
63,10%
720
20,30%
588
16,60%
0
0,00%
0
0,00%
Endocrinologie et métabolisme Effectif
N % ligne
489
28,10%
296
17,00%
958
55,00%
0
0,00%
0
0,00%
Gastro-entérologie et hépatologie Effectif
N % ligne
1259
37,00%
715
21,00%
1426
41,90%
0
0,00%
0
0,00%
Génétique médicale Effectif
N % ligne
6
2,60%
3
1,30%
222
96,10%
0
0,00%
0
0,00%
Gériatrie Effectif
N % ligne
32
2,00%
37
2,30%
1511
95,60%
0
0,00%
0
0,00%
Gynécologie médicale Effectif
N % ligne
843
65,50%
261
20,30%
183
14,20%
0
0,00%
0
0,00%
Gynécologie médicale et obstétrique Effectif
N % ligne
833
60,50%
328
23,80%
216
15,70%
0
0,00%
0
0,00%
Gynécologie-obstétrique Effectif
N % ligne
1413
33,60%
1007
23,90%
1784
42,40%
0
0,00%
2
0,00%
Hématologie Effectif
N % ligne
12
2,50%
20
4,20%
449
93,30%
0
0,00%
0
0,00%
Médecine du travail Effectif
N % ligne
12
0,20%
11
0,20%
5234
99,40%
5
0,10%
2
0,00%
Médecine générale Effectif
N % ligne
51677
57,60%
6427
7,20%
31610
35,20%
3
0,00%
71
0,10%
Médecine interne Effectif
N % ligne
158
7,10%
132
6,00%
1922
86,90%
0
0,00%
1
0,00%
Médecine nucléaire
Effectif
N % ligne
185
28,40%
156
24,00%
310
47,60%
0
0,00%
0
0,00%
55. 55
Spécialités Libéral Mixte Salarié Sans Divers
Médecine physique et de réadaptation Effectif
N % ligne
267
14,30%
125
6,70%
1479
79,00%
0
0,00%
2
0,10%
Néphrologie Effectif
N % ligne
249
16,40%
158
10,40%
1115
73,30%
0
0,00%
0
0,00%
Neuro-psychiatrie Effectif
N % ligne
25
45,50%
5
9,10%
24
43,60%
0
0,00%
1
1,80%
Neurochirurgie Effectif
N % ligne
109
21,50%
78
15,40%
320
63,10%
0
0,00%
0
0,00%
Neurologie Effectif
N % ligne
449
19,50%
352
15,30%
1497
65,10%
0
0,00%
1
0,00%
Onco-hématologie Effectif
N % ligne
5
7,00%
4
5,60%
62
87,30%
0
0,00%
0
0,00%
Oncologie médicale Effectif
N % ligne
141
16,40%
44
5,10%
677
78,50%
0
0,00%
0
0,00%
Ophtalmologie Effectif
N % ligne
3358
64,90%
1151
22,30%
663
12,80%
0
0,00%
1
0,00%
ORL Effectif
N % ligne
1240
46,00%
813
30,10%
643
23,80%
0
0,00%
2
0,10%
Pédiatrie Effectif
N % ligne
1710
24,20%
823
11,60%
4539
64,20%
1
0,00%
0
0,00%
Pneumologie Effectif
N % ligne
690
25,00%
445
16,10%
1621
58,80%
0
0,00%
0
0,00%
Psychiatrie Effectif
N % ligne
3511
27,90%
1494
11,90%
7555
60,10%
0
0,00%
10
0,10%
Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Effectif
N % ligne
195
28,20%
82
11,80%
414
59,80%
0
0,00%
1
0,10%
Radiodiagnostic et imagerie médicale Effectif
N % ligne
4004
54,50%
1219
16,60%
2119
28,90%
0
0,00%
1
0,00%
Radiodiagnostic et radiothérapie Effectif
N % ligne
14
58,30%
2
8,30%
8
33,30%
0
0,00%
0
0,00%
Radiothérapie et onco-radiothérapie Effectif
N % ligne
276
34,90%
113
14,30%
401
50,80%
0
0,00%
0
0,00%
Réanimation médicale Effectif
N % ligne
19
5,80%
7
2,10%
302
92,10%
0
0,00%
0
0,00%
Recherche médicale Effectif
N % ligne
0
0,00%
0
0,00%
14
100,00%
0
0,00%
0
0,00%
Rhumatologie Effectif
N % ligne
1090
47,00%
505
21,80%
723
31,20%
0
0,00%
3
0,10%
Santé publique et médecine sociale Effectif
N % ligne
12
0,70%
7
0,40%
1651
98,70%
0
0,00%
3
0,20%
Stomatologie Effectif
N % ligne
538
71,40%
133
17,70%
81
10,80%
1
0,10%
0
0,00%
* : 0.00% = 0%
57. 57
III.4 – Les densités médicales
Selon le décret n°2014-1611 du 24 décembre 2014 authentifiant les chiffres des populations
de métropole, la France compte 63 375 971 habitants.
III.4.1 – Les densités régionales : de l’observé à l’attendu
A – État des lieux
Au 1er janvier 2015, la densité médicale métropolitaine est de 281,4 médecins pour 100 000
habitants. La région Picardie recense la plus faible densité avec 230,9 médecins pour 100 000
habitants tandis que la région PACA enregistre la plus forte densité avec 352 médecins pour
100 000 habitants.
Graphique n°59: Densité régionale en activité régulière
230,9 235,3
245,5 249 250,3 254,8 260,5 261,2
270 271 273,4 275,2 275,6 279,2
297,2
306 306 308,3
317,5
325,2
346,3 352
Picardie
Centre
Haute-Normandie
Bourgogne
Champagne-Ardenne
Pays-de-la-Loire
Poitou-Charentes
Basse-Normandie
Auvergne
Lorraine
Corse
Franche-Comté
Bretagne
Nord-Pas-de-Calais
Limousin
Midi-Pyrénées
Rhône-Alpes
Aquitaine
Alsace
Languedoc-Roussillon
Ile-de-France
PACA
Moyenne : 281,4
58. 58
Graphique n°60: Plus faibles densités
Plusfaiblesdensités2007
Picardie (240,7)
Pays-de-la-Loire (245)
Centre (249,2)
Graphique n°61: Plus fortes densités
61. 61
B – Selon la réforme territoriale - l’attendu
Loi n°2015-29 du 16 janvier 2015 relative à la délimitation des régions
Sans préjudice des dispositions applicables aux régions d'outre-mer et à la collectivité
territoriale de Corse, les régions sont constituées des régions suivantes, dans leurs limites
territoriales en vigueur au 31 décembre 2015 :
« - Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine ;
« - Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes ;
« - Auvergne et Rhône-Alpes ;
« - Bourgogne et Franche-Comté ;
« - Bretagne ;
« - Centre ;
« - Ile-de-France ;
« - Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ;
« - Nord - Pas-de-Calais et Picardie ;
« - Basse-Normandie et Haute-Normandie ;
« - Pays de la Loire ;
« - Provence-Alpes-Côte d'Azur. »
« - Corse »
Carte n°4: Densités médicales dans les nouvelles régions
Languedoc-Roussillon
Midi-Pyrenees
Aquitaine
Limousin
Poitou-Charentes
Alsace
Champagne-Ardenne
Lorraine
Nord-pas-de-Calais
Picardie
Haute-Normandie
Basse-Normandie
PACA
Auvergne
Rhone-Alpes
Pays-de-la-Loire
Bourgogne
Franche-Comte
Bretagne
Centre
Corse
Ile-de-France
Densité en activité régulière
pour 100 000 habitants
Densité faible (4)
Densité moyenne (6)
Densité forte (3)
Source : CNOM 2015
Auteur : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2015
Densités médicales
dans les nouvelles régions
63. 63
III.4.2 – Les densités départementales : de l’observé à l’attendu
Au 1er janvier 2015, en moyenne, la densité départementale est de 266,4 médecins en activité
régulière pour 100 000 habitants alors qu’elle était de 275,7/100 000 habitants au 1er janvier 2007.
Le département de l’Eure conserve sa première place de département ayant la plus faible
densité médicale. Il recense 167 médecins pour 100 000 habitants. À l’opposé, le département de
Paris se positionne au premier rang des départements ayant la plus forte densité médicale. Il
compte 678,2 médecins pour 100 000 habitants.
Graphique n°62: Plus faibles et plus fortes densités départementales
Le département de la Nièvre enregistre la plus forte baisse en passant de 233,9 médecins
pour 100 000 habitants en 2007 à 192,5 médecins pour 100 000 habitants en 2015.
Le département de la Creuse est le deuxième département de France à enregistrer la plus
forte baisse en densité médicale. En 2007, ce département recensait 242,7 médecins pour 100 000
habitants alors qu’actuellement on en comptabilise 201,5 médecins pour 100 000 habitants.
Le département du Cher se positionne au troisième rang des départements qui
comptabilisent les plus fortes baisses. Sa densité médicale est passée de 219,8 médecins pour
100 000 habitants en 2007 à 185 médecins pour 100 000 habitants en 2015.
À l’opposé, le département de la Loire-Atlantique est le premier département de France à
enregistrer une hausse significative de sa densité médicale passant de 280,3 médecins pour
100 000 habitants en 2007 à 306,3 médecins pour 100 000 habitants en 2015.
Le département de la Haute-Savoie se positionne au deuxième rang des départements
attractifs pour lequel la densité médicale a augmenté entre 2007 et 2015 passant de 252,1 médecins
pour 100 000 habitants à 271,1 médecins pour 100 000 habitants.
Le département du Doubs se positionne à la troisième place des départements qui
enregistrent une hausse de la densité médicale. En 2007, ce département recensait 323 médecins
pour 100 000 habitants. Actuellement, il comptabilise 343,1 médecins pour 100 000 habitants.
64. 64
Carte n°5: Densités départementales en activité régulière – État des lieux au 1er janvier 2015
LANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOC
ROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLON
PACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACA
POITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOU
CHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTES
PAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DE
LA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRE
FRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHE
COMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTE
ALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACE
CHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNE
ARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNE
BASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSE
NORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIE
HAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTE
NORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIE
NORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PAS
DE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAIS
ILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCE
PICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIE
CENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRE
BOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNE
LORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINE
BRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNE
AQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINE
MIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEES
LIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSIN
RHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPES
AUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNE
CORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSE
Densité en activité régulière
pour 100 000 habitants
Densité faible (49)
Densité moyenne (10)
Densité forte (37)
Source : INSEE, CNOM 2015
Auteur : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2015
Densités départementales en activité régulière
Etat des lieux au 1er janvier 2015
37 départements comptabilisent une densité forte ≥ 282 médecins/100000* habitants. La
majorité d’entre eux héberge une faculté de médecine.
Dix départements se trouvent dans la classification de la densité moyenne avec un
intervalle de confiance compris entre [251,5 médecins/100000 habitants – 282 médecins/100000
habitants [.
Un département sur deux recense une densité faible comprise entre 167 médecins/100000
habitants à 251 médecins pour 100000 habitants.
* : Borne supérieure de l’Indice de Confiance
65. 65
Carte n°6: Densité médicale en activité régulière – Le devenir des départements en 2020
LANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOCLANGUEDOC
ROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLONROUSSILLON
PACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACAPACA
POITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOUPOITOU
CHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTESCHARENTES
PAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DEPAYS DE
LA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRELA LOIRE
FRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHEFRANCHE
COMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTECOMTE
ALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACEALSACE
CHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNECHAMPAGNE
ARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNEARDENNE
BASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSEBASSE
NORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIE
HAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTEHAUTE
NORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIENORMANDIE
NORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PASNORD-PAS
DE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAISDE-CALAIS
ILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCEILE-DE-FRANCE
PICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIEPICARDIE
CENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRECENTRE
BOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNEBOURGOGNE
LORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINELORRAINE
BRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNEBRETAGNE
AQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINEAQUITAINE
MIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEESMIDI-PYRENEES
LIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSINLIMOUSIN
RHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPESRHONE-ALPES
AUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNEAUVERGNE
CORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSECORSE
Densité en 2020
Stagnation (7)
Augmentation (26)
Diminution (63)
Source : INSEE, CNOM 2015
Auteur : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2015
La densité médicale en activité régulière
Le devenir des départements en 2020
Le TCAM permet de calculer un taux d’évaluation moyen sur une durée déterminée. Cette
analyse permet de déterminer de manière hypothétique le devenir de la démographie médicale à
l’échelle départementale en 2020.
Il est fort probable que de 2015 à 2020, 63 départements enregistrent une baisse du nombre
de médecins inscrits au tableau de l’Ordre en activité régulière. Sur la même période, 26
départements ont une forte probabilité de recenser une hausse plus ou moins significative des
actifs réguliers. À noter l’attractivité plus spécifique des départements de la Côte Atlantique ; ainsi
que les départements de la région Rhône-Alpes.