2. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
3. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
4. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
5. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
6. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
7. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
8. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
9. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
10. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
11. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
12. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
13. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
14. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
15. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
16. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
17. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
18. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
19. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
20. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
21. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
22. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
23. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
24. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
25. J’ai besoin de toi, poète Auteur de chanson : Saysamone AMPHONESINH