1. 00 SCENOGRAPHIE DE STAND
Informations personnelles : réalisé chez be-attitude
01 ARCHITECTURE D’INTERIEUR
LOGICIELS Marianne Daneshmand
Email : marianne.daneshmand@ gmail.com
Adobe photoshop
Date de naissance : 09/01/1985
Adobe illustrator Situation : célibataire
Tel : 06 84 92 95 64
Adobe In design réalisé chez be-attitude/une galerie d’art et un appartement 70m²
Architecte DE
02 ARCHITECTURE ET ARTS DE LA TABLE
Artlantis
Archicad
Autocad
Word réalisé chez be-attitude/partenariat maison rouge-rose bakery
Excel
03SCENOGRAPHIE-SALLE DE SPECTACLE
,
COMPETENCES
Réalisation de maquette réalisé chez bcbg
Mise en forme d’un projet
Suivie de chantier
Réflexion sur le projet
04 AGENCEMENT HALL D’ENTREE-ECOLE PRIMAIRE ET MATERNELLE
Réalisation de dossier réalisé chez chartier-dalix
05 300 LOGEMENTS A MEZIEU
‘
FORMATION
MARIANNE
Obtention du master 2 mention Bien - 2010
Ecole d’architecture Paris Val de Seine à Paris
réalisé chez atelier ARAGO
DANESHMAND 06 TRAVAIL PREALABLE AU PFE
Baccalauréat sciences économiques et sociales - 2004
option Arts Plastiques
présentation des aires d’autoroute
07 REATTRIBUTION D’UNE IDENTITE: ET SI...?
INTERETS
Dessin
Peinture
Couture étape 1ère du travail/ recherche d’une valeur ajoutée
08 CHOIX ET TESTS
Stylisme.
Danse
Photos
Scénographie
Lecture
Illustration
09 PROJET FIN D’ETUDE étape 2ème/ 3choix testés..le séjour, l’évènement, la peur
LES AIRES D’AUTOROUTES /UN AUTRE TEMPS D’ARRET
EXPERIENCES
Agence Be-attitude
réalisation de scénographie de stands, suivie de chantier architecture intérieure
10 PROJET URBAIN A ORLY
Agence BCBG 50 hectares en friche entre ville et nature
11
réalisation de dossier DCE pour une salle de spectacle et un auditorium.
CDD chez Atelier Arago, T.Cazals et L. de Fauchecourt
permis de construire de 300 logements à Meyzieu.
IMMEUBLE COMPLEXE
Freelance chez Frédéric Cazanova, scénographe réflexion sur la mixité
réhabilitation d’une maison à Montfort l’Aumory pour particulier.
Stage en Agence chez Chartier-Dalix 12 FENETRE SUR COUR
13
concours d’une extension de lycée, dessin d’un hall d’école maternelle et primaire
Freelance chez Robinson Architecture TRAVAUX GRAPHIQUES concours architectures vives
Dessin autocad de plans d’une extension de cuisine professionnelle
CDD chez agence ZW2. réalisés dans un cadre personnel et d’étude
+BOOK
Chef maquettiste
Stage chez OPUS 5 - M.Decaris
visite de chantiers, recherche d’informations, dessin autocad
Stage chez 2AD
visite de chantiers
LANGUES
Français
Anglais 2012
Espagnol
Marianne DANESHMAND
marianne.daneshmand@gmail.com
2. 00
SCENOGRAPHIE DE STANDS
effectué chez l’agence be-attitude pour le PAD LONDON 2012.
Il s’agit d’aménager 3 stands afin de mettre en avant les
oeuvres de ces marchands d’arts
Stand Galerie Jacques Lacoste Stand Galerie Diane de Polignac Stand Modernity
3. Rénovation de la Galerie Diane de Polignac-Paris 7eme
01ARCHITECTURE D’INTERIEUR effectué chez l’agence be-attitude- plans et suivis de chantier
Rénovation d’un appartement 70m²-Paris 3ème
Stand Galerie Diane de Polignac
4. 02
ARCHITECTURE ET ARTS DE LA TABLE
LA MAISON ROUGE
La maison rouge accueille dans ses murs Rose Bakery culture.
C’est un projet dans lequel Emilie Bonaventure, s’est engagée avec la maison rouge et Rose
Bakery. Trois fois par an, les visiteurs peuvent découvrir le décor éphémère, expérience de la
table dans un lieu culturel.
A chaque saison, ses décors, réalisés avec des prototypes, des créations spécifiques, des éditons
en série limitée, des objets chinés et réinventés… sont d’étonnantes surprises, en résonnance ou
non avec les expositions de la fondation.
Décor Réserve -octobre à janvier 2012 en collaboration avec les artisans
social designer
Décor Urgence -juin à septembre 2012 en collaboration avec kidimo
5. 03
SCENOGRAPHIE
SALLE DE SPECTACLE
effectué chez l’agence BCBG en phase DCE, étude d’une
salle de spectacle et d’un auditorium
auditorium
DATE: PHASE: ECHELLE: N°:
Espace Culturel
ELEVATION- AUDITORIUM
de Bussy Saint Georges 25/04/12 DCE - 01
salle de spectacle
6. 04 SUR AUTOCAD
TRAVAIL
AGENCEMENT HALL D’ENTREE
effectué chez l’agence CHARTIER-DALIX en phase APD, étude
ECOLE PRIMAIRE ET MATERNELLE
d’un hall d’école primaire et maternel
effectué chez l’agence CHARTIER-DALIX en phase APD, étude d’un hall d’école primaire
et maternel
Comment créer du lien entre extérieur et l’intérieur?
Comment donner à lire un moment de passage aux usagers?
De quellle manière l’intérieur peut apporter une lecture de l’extérieur?
7. 05 LOGEMENTS A MEZIEU
300
effectué chez l’agence ARAGO pour un permis de construire et début
de DCE de 300 logements à Mezieu, sur autocad.
8. 06
TRAVAIL PREALABLE AU PFE........
Un kit d’aire d’autoroute: un lieu générique sans impreinte territoriale
L’aire d’autoroute c’est...
A ? B
A’
Un appel à la consommation Prolongement de la vitesse Un lieu atemporel
L’hypothèse formulée est si on injectait une fonction avec un caractère propre sur cette aire d’autoroute générique, que deviendrait donc l’arrêt sur l’autoroute? Qu’est ce que cette valeur ajoutée transformerait sur
l’aire d’autoroute actuelle ? quel usage en ferait-on? Qu’est ce que cela changerait à l’échelle du réseau autoroutier? Qui en seraient les usagers?
Et si on s’imagine à la place d’un scientifique qui observe....
La démarche désormais après avoir proposé 5 hypothèses, et d’émettre une sorte de dérive architecturale qui nous permettra de comprendre et d’analyser ces propositions. C’est un catalogue de
possibilités où les images ne sont en rien des choix d’architecture.
J’ai fait trois choix qui m’ont semblé les plus représentatifs pour développer cette idée de territoire choisi et non plus subi à travers les hypothèses de l’habitation, du parc d’attraction et les équipements qu’on l’on cherche à
cacher.
La supposition de l’habitation se transforme en un séjour, donc au fait de « arrêter et rester”
La proposition du parc d’attraction devient un évènement ou attracteur de par les caractéristiques de son lieu, c’est donc le principe de « passer et être attiré ».
La peur de certains lieux prend la forme d’une maison de retraite, c’est donc « l’être attiré et ne pas s’arrêter”.
Je me suis appuyée sur trois sites existants les plus appropriés pour développer chaque idée.
9. 07
ETAPE 1...
-et si on ajoutait des habitations sur les aires d’autoroutes? Si je pars du constat, qu’il y a
pratiquement tout pour vivre (consommation, premiers usages, carburant) il ne manque plus qu’un lieu pour
y habiter. Je fais référence au film “Home” où une famille est installée à l’abord d’une autoroute hors service.
En effet, la route est un accès, une circulation, pourquoi la ville ne s’est elle pas approprier cette déserte? Qui
pourrait lui favoriser son approvisionnement.
-et si on ajoutait un divertissement, des jeux, des distractions? Si je pars du constat que
l’autoroute est un système privé, fermé et payant comme les parcs d’attractions, pourquoi l’arrêt n’offrirait-il
pas une distraction particulière qui donnerait l’envie de choisir l’endroit où l’on s’arrête. Prendre l’autoroute
deviendrait alors une attraction en soi. Ce qui changerait nos rapports et notre appréciation sur l’aire
d’autoroute actuelle.
-et si on ajoutait un parc ou un jardin sur les aires d’autoroutes? Ce qui est intéressant avec
l’idée du parc, c’est qu’il fait référence au territoire, mais aussi à la recherche d’un moment calme et de repos à
l’opposé de l’autoroute, de sa vitesse et de son bruit. Avec un parc ou un jardin, on cherche à faire en sorte de
dilater l’espace temps, que l’on reste plus longtemps comme pour oublier l’autoroute et s’évanouir dans celui ci.
Ce serait alors l’occasion de créer un nouveau type de jardins ?
-et si l’on ajoutait un centre commercial sur une aire d’autoroute? En agrandissant le
potentiel de l’actuel supermarché sur les aires de service, on cherche aussi une certaine attraction, à ce
que les usagers choisissent leur lieu d’arrêt. Si l’on part de l’observation que les autoroutes sont des accès à
l’approvisionnement aisé, pourquoi les centres commerciaux ne sont-ils pas en bordure d’autoroute?
-et si l’on ajoutait tout ce que “l’on se désire pas ville”, tous les équipements avec lesquels
on ne veut pas se confronter? type cimetière, asile, hôpitaux, prison.......On peut constater que les aires
d’autoroutes ne sont pas des lieux on l’on souhaite rester, dans les 15minutes en moyenne, pourquoi n’y met-
on pas tout ce qu’on cherche à cacher? Peut-être alors pourrait-on révéler une chose qu’on ne connait pas?
10. 08 2....
ETAPE
Quelles sont leurs applications sur l’aire d’autoroute?
Le fait de séjourner, en général, est associé à l’idée du temporaire. Le contraire est habiter, et revêt un caractère durable. Le séjour se vit comme une étape ou même une destination. Les lieux ou les moyens utilisés sont l’hôtel, le motel,
le camping, le camping car…
Introduire l’usage du séjour sur les aires d’autoroutes, amène à considérer l’arrêt comme une étape du voyage à vivre ou même un point de rendez vous.
Voici trois types de formes architecturales et qui pourraient répondre à la question de la séparation des flux, à savoir comment peuvent cohabiter piéton et automobile?
1-des chambres de motel posées de manière disparates qui viennent comme pousser sur l’aire d’autoroute dans le parc actuelle.
2-l’asphalte du parking se soulève pour y introduire des chambres ou des équipements pour répondre à un besoin acoustique.
3-le pont habité, un entre deux formel entre l’autoroute et le territoire
A qui cela bénéficierait ? Qui en seraient les usagers et de quelle manière ? Comment serait considéré le moment de l’arrêt ?
Les usagers qui profiteraient du séjour sur l’autoroute seraient :
-Les routiers qui voudraient changer leur camion pour une chambre et d’avoir une alternative aux habitudes. L’arrêt serait apprécié comme une destination habituelle et voulue.
-le personnel travaillant sur l’aire, cela leur permettrait de limiter leur temps de trajet pour aller au travail. L’aire d’autoroute se transformerait en un microsome où se mêlent le social et l’intime.
-les couples qui travailleraient loin et aux extrémités de l’un et de l’autre. L’aire d’autoroute deviendrait comme un rendez vous, un point de réunion.
-La famille en vacances qui s’arrêteraient lors de leur périple. Il s’agit de s’arrêter différemment. L’arrêt sur l’aire serait envisagé comme une étape de voyage, une destination.
Quels seraient les changements provoqués sur les équipements existants ?
La boutique s’agrandirait pour fournir le plus grand nombre et plus de marchandises diversifiée.
Le parking se développerait pour accueillir des véhicules qui passent et d’autres qui restent. Le soir sera la plus grande affluence du parking avec les gens qui séjournent et les gens se garent sans rester.
La station service devient un service superflu au service du confort mais pas de première nécessité
Le rapport entre piéton et automobile se distinguerait voir se séparerait. La voiture est aussi importante que l’usager car elle a une place importante, il s’agirait alors de lui attribuer une place spécifique.
“Le séjour ”ne doit pas déranger le paysage, doit s’y poser comme de manière “naturelle ”ou artistique.
11. ....
Quelles sont leurs applications sur l’aire d’autoroute?
Dans sa définition, l’attraction est ce qui attire le public dans un lieu et est un objet, une occasion de curiosité ou de divertissement. L’évènement est un fait qui attire l’attention par son caractère exceptionnel, mais il se peut aussi que le
mot évènement revêt le sens d’une chose imprévue, donc extra- ordinaire. Leur application se tienne ordinairement dans des lieux spécifiques, tels que les parcs d’attractions ou à des dates précises en rapport à l’histoire comme les feux
d’artifices le 14juillet. Pour ce qu’on appelle l’évènement ou l’attracteur, on parle d’un arrêt “en spectacle” ou en plein spectacle ; et qui ferait participer les usagers et leur véhicule. L’arrêt se transforme alors, en un point de ponctuation
lors du voyage. C’est un lieu qui se voit de la route, un appel ou un symbole, qui se pose, un élément atypique. Les équipements permettent d’avoir des visions à différentes échelles du paysage alentour.
Les trois formes architecturales ont recherché à faire cohabiter le piéton et son véhicule, soit en faisant participer le véhicule soit en s’en détachant.
1et 3-la grande et le toboggan qui sont des éléments caricaturaux de l’attraction et qui assurent un arrêt divertissant où la voiture devient un objet à part entière de l’attraction. Ce qui permet d’avoir un autre rapport avec son véhicule,
autre que le fonctionnel.
2-la plate forme qui permet par sa mobilité verticale de se séparer de la voiture er de s’élever.
A qui cela bénéficierait ? Qui en seraient les usagers et de quelle manière ? Comment serait considéré le moment de l’arrêt ?
-les routiers s’y arrêteraient pour se détendre. Cette aire pourrait même leur être interdite d’accès pour garder la cadence du travail. L’arrêt serait envisagé comme un lieu de divertissement donc interdit.
-les personnes travaillant sur l’aire d’autoroute seraient heureux car c’est un lieu lucratif, qu’ils auraient du travail et pourraient gagner de l’argent dans un lieu extraordinaire. L’aire d’autoroute serait perçue alors un lieu lucratif car
touristique.
-la famille en vacances qui s’arrêteraient lors de leur périple. Ils auraient l’opportunité de s’arrêter différemment. Les familles habitant non loin de l’aire auraient aussi la possibilité de venir sur l’aire d’autoroute. L’arrêt se transformerait
un moment autre, un choix de destination.
-les personnes qui passeraient et qui désireraient rester dans leur voiture. Cela offrirait la liberté de se divertir en restant dans sa voiture et de manière fugace. L’arrêt serait alors vécu comme une volonté et une demande.
Quels seraient les changements provoqués sur les équipements existants ?
Le parking deviendrait comme un driving cinéma, le paysage se déroulerait comme un film muet.
La station service ne changerait pas, elle offrirait un panorama magnifique et se situe au niveau du sol.
Le supermarché se transformerait en boutique de souvenirs
Cet usage sur l’aire d’autoroute donne lieu à un moment de détente et d’oubli de la route, un lapse de temps où tout s’arrête pour vivre. C’est
un moment d’apprentissage du lieu sur lequel on se stoppe et répond alors à une demande autre qu’est l’information du lieu traversé durant
le voyage.
12. ....
Quelles sont leurs applications sur l’aire d’autoroute?
Pour cette question sur la peur, j’ai opté pour le bâtiment de la maison de retraite développé sur un échangeur. Le site adopté est aussi caricaturale que le sujet traité.
Dans ce choix, il existe une métaphore du passage: passage d’une route à une autre et d’un monde à un autre mais aussi une contradiction entre la vitesse de la voiture, la fougue et ce corps qui périt dans ce lieu et qui lui se transporte
lentement. La route n’est plus ici considérée comme un lieu quelconque, une symbolique forte lui est associée, celle de la mort, de la souffrance et du respect du corps meurtri. L’aire d’autoroute est alors appréciée comme un lieu sacré,
anecdotique, redouté par certain et subi par d’autre.
La maison de retraite prend ici ses quartiers dans un lieu peu commun, et peu considéré sur l’échangeur.
Les trois formes architecturales sont :
1-Un équipement enterré pour éviter les nuisances, ce qui permettrait d’avoir un jardin au dessus.
2-Une maison de retraite en hauteur qui surplomberait l’échangerait pour venir y chercher des accès de l’extérieur (principe de l’araignée).
3-L’illusion de recréer une sorte de « bulle » un microcosme où l’on retrouverait un aspect de village
A qui cela bénéficierait ? Qui en seraient les usagers et de quelle manière ? Comment serait considéré le moment de l’arrêt ?
-Les routiers n’auront ici aucunes raisons de s’arrêter, une visite à la famille (grands-parents; parents) y est toutefois possible, d’une indifférence notable
-Le personnel travaillant sur l’aire d’autoroute, se verrait alors attribuer une fonction différente: gestion de l’accès à la maison de retraite, et rapport aux pensionnaires, donc une mission bien différente.
-Un couple qui travaille, pour qui les réunions de famille sembleraient être un véritable calvaire. Un “dépose mamie” serait envisagé au plus vite ce qui deviendrait une étape de voyage.
-La famille aurait ici un véritable but, celui de se retrouver et de passer d’agréables moments ensemble, l’arrêt prendrait les formes d’un rendez vous ou d’un point de réunion.
Quels seraient les changements provoqués sur les équipements existants ?
Sur l’aire d’autoroute, la maison de retraite constituerait un “objet de curiosité”. Son empreinte symbolique lui procurait un statut bien spécifique, qui fait de ce lieu, le “lieu de toutes les curiosité”.
Pour la station service, tenant compte du caractère sacré de l’aire d’autoroute, ainsi définie, la station essence n’aurait, ici, plus lieu d’être.
La boutique deviendrait une boutique de cadeaux pour les personnes âgées.
L’aire d’autoroute prendrait ainsi des airs de dépose minutes et de point de rencontres.
Cet usage sur ce lieu devient un lieu d’une autre échelle du temps, car il accueille des corps lents et vieillissant....des gens qui n’ont plus de place dans notre société de consommation et production rapide sur un lieu qui généralement délaissé.
Le lieu de l’échangeur est un lieu d’exception et exceptionnelle si l’on y construit un équipement, c’est aussi un lieu non approprié par les hommes, “un no man’s land”, un lieu de passage sans identité, un lieu enfermé car non accessible.
Y introduire, un équipement devient “un évènement non voulu ».-
13. 09AUTRE TEMPS SUR L’AUTOROUTE
UN
Diplome de fin d’étude à l’Ecole Paris Val de Seine
Le cheminement se commence dans
la matière de la foret, il est sinueux
et formule alors un choix de par-
cours entre les obstacles que con-
stituent les arbres.
Le parking est formé par deux
pentes douces. La passerrelle pié-
ton reprend les deux niveaux de
parking pour rendre accessible à
tous la partie champs et forêt.
Le cheminement piéton se fait au
sol. La passerrelle se détache petit
à petit pour s’évanouir petit à pe-
tit dans le sol,. Elle se transforme
aussi mobilier.
14. Les chambres observatoires proposent un
cadrage sur le ciel. L’expérience vécue se
fait à travers la lumière. La morphologie de la
chambre est construite en forme d’escargot.
L’individu rentre alors dans le creux de la
terre. Il s’en extrait par la lucarne sur le ciel.
L’expérience mène alors à l’élévation de soi
vers le tableau du ciel.
Les chambres dites bunker proposent un
cadrage sur l’horizon, C’est à dire la ren-
contre de la terre et du ciel qui forment un
tableau. Ce sont des fenêtre sur l’horizon en-
terrées de sorte à avoir le niveau du lit dans
cette perspective d’infini. Les couleurs du ciel
et de la terre sont des tableaux changeants
selon les saisons et le temps. L’expérience
vécue est alors celle d’un tableau que l’on
observe dans le temps.
Les chambres dites à poils sont un cadrage
sur la terre. Elles permettent l’expérience
au sein même de la matière champs: c’est
à dire la pratique du champs dans le temps.
L’utilisation du verre permet de dématérialis-
er la construction. La toiture se soulève pour
acceuillir des végétaux. Le module de cette
chambre devient un élèment inflitré qui infil-
tre lui même l’individu.
L’idée de l’immersion et d’une pratique plus
longue est traitée par le camouflage. C’est à dire
se transformer en prédateur, en animal, retrou-
ver l’état oà l’on guette chaque son et chaque
mouvement. La forêt est peuplée à différentes
échelles d’une faune et d’une flore, parfois dif-
ficilement percevable. Nécessite alors, un obser-
vatoire cachée, dans lequel l’individu se retrouve
dans son état d’animal.
comment crée un autre temps entre autoroute et paysage?
comment extraire l’individu de sa bulle autoroute ?
comment créer un évèment à l’aide du territoire ?
15. 10 URBAIN A ORLY
PROJET
Effectué dans le cadre du master 1 à l’Ecole Paris Val de Seine
La phase précédente, il nous avait été demandé de faire l’analyse d’un terrain en front de Seine de la ville d’Orly. Le site à étudier faisait 50hectares
et constituait la seule ouverture coté seine pour cette ville. A l’échelle de la Seine, Orly en s’ouvrant permet de se relier à Paris. La contrainte de ce
terrain est son enclave par les voies ferrées qui isole le site. Il était demander de créer un quartier durable. J’ai pris le partit de creer deux quartiers,
l’un dit quartier coté urbain qui seraient des ilôts ouverts et le second dit quartier coté parc qui serait constitué de différentes typologies d’habitats,
pour garder la diversité. Le parc à pour thème l’art et acceuille différents équipements àl’échelle de la ville et pour son rayonnement à l’échelle de la
Seine. Les circulations sont le prolongement des voies existantes, et sont réduites dans le parc.
prolongation des voies existantes plan du système viaire
redonner un front de seine à la ville d’Orly
prolonger la coulée verte existante jusqu’à la Seine
la transition entre la ville et la seine est nature.
amener la ville jusqu’à la Seine+créer une ouverture sur la Seine pour l’amener à rayonner à l’échelle de la Seine
16. 11IMMEUBLE COMPLEXE
Effectué dans le cadre du master 1 à l’Ecole Paris Val de Seine
Le projet se situe à Aubervillier. Le travail porte sur la mixité, il intégre différents fonctions. Les différents équipements sont superposés et
séparés en trois blocs. et sont desservis par trois types de circulations. La première échelle de circulation est au R+1 est une circulation en lien
avec la rue et le jardin et est destinée à tous, celle R+2 est pour les utilisateurs des équipements et la dernière devient privée. J’ai pris le partis
de mélanger hotel de bureaux et hotel étudiants, il me semblait intéressant alors de développer des lieux interstitielles qui sont le résultat de la
rencontre de deux fonctions. Une peau de petits panneaux photovoltaiques vient recouvrir le bâtiment pour lui redonner une unité.
comment crée t-on de la mixité?
que signifie mixité?
comment crée du lien avec différents programmes?
hotel de bureaux+hotel étudiants hotel de bureaux+hotel étudiants
restaurant
bar
bureaux salle de sport
élévation supermarché salle de conférence parking
17. 12FENETRE SUR COUR
Concours architectures vives en collaboration avec
Morgane Damez et Gloria Maso. Le thème étant la
surprise.
Notre projet aborde la surprise par le biais de la
perte de repère. En effet, c’est le décalage avec la
réalité qui provoque la stupeur initiale.
Nous choisissons un élément architectural symbol-
ique, un signe fort de la façade: la fenêtre. Multipliée,
elle devient un module qui va construire des espaces
et recréer des limites au sein même de l’espace clos
de la cour, comme pour s’affranchir de sa propre
frontière physique.
1//principe
cable
2//mise en espace-vue en plan 3//mise en construction
18. 13
TRAVAUX GRAPHIQUES
3 images conceptuelles réalisées dans le cadre d’une esquisse pour
illustrer les intentions d’un projet aux usages mixtes
19. image réalisée pour
l’introduction d’un Pfe sur la
culture/architecture
image réalisée pour l’ouverture d’un restaurant
2 images conceptuelles réalisées pour illustrer mes
intenttions de PFE