8. De mon point de vue
• L’évolution technologique est un fait.
La société de demain sera de plus en plus
numérique. Rien ne peut refouler
le vent quand il souffle,
mais on peut apprendre
à barrer correctement
pour aller où l’on veut.
8
9. De mon point de vue
• Les sources d’apprentissages sont multiples
et l’école n’en est plus la seule dispensatrice.
Elle doit néanmoins organiser et
structurer celles-ci. En ce sens,
le professeur a un rôle important
à jouer, que la machine ne peut
remplir. Mais cela implique un
repositionnement didactique
fondamental.
9
10. De mon point de vue
• J’aime la maïeutique de Socrate…
lequel enseignait en philosophant à
travers les jardins.
10
12. Passage du web 1.0
au web 2.0
Un changement de contexte et
changement de paradigme
12
13. Web 2.0 kesako ?
QuickTime™ et un
décompresseur
sont requis pour visionner cette image.
13
14. Web 2.0 kesako ?
QuickTime™ et un QuickTime™ et un
décompresseur décompresseur
sont requis pour visionner cette image. sont requis pour visionner cette image.
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15. Web 2.0 kesako ?
QuickTime™ et un
décompresseur
sont requis pour visionner cette image.
QuickTime™ et un
décompresseur
sont requis pour visionner cette image.
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16. Web 2.0 kesako ?
QuickTime™ et un
décompresseur
sont requis pour visionner cette image.
16
17. En résumé
• De nouveaux outils d’édition, plus simples
• Du « cloud computing »
• Un partage de contenus
• Une labellisation par les pairs
• La nécessaire insertion dans un réseau
expert
17
18. Précipitons une définition
• « Réseau social » encore appelé « SNS » :
– application en ligne
– mettant en relation de confiance des personnes
désireuses de
– mettre en commun certaines de leurs compétences ou
capacités et
– qui recourent, pour se faire, à une interface spécifique
basée sur
– la publication de flux et le référencement par tags
18
19. A l’heure des réseaux sociaux,
que devient le métier d’enseignant ?
19
20. Mon cartable ++
numérique et collaboratif
• De nouveaux outils
• De la collaboration
• Un autre positionnement pédagogique
20
21. Mes axiomes
• Je suis résolument pour des pédagogies actives
– Ce n’est pas moi qui apprend
(c’est l’apprenant)
– Moi, j’enseigne, je forme et, se faisant, j’apprends
beaucoup de choses, moi aussi…mais d’un autre
ordre
– Marcel Lebrun (IPM-UCL) :
« Moins j’enseigne, plus ils apprennent »
21
23. Un premier bénéficiaire
• Outiller ma pratique pour me faciliter la
tâche
– Bureautique
– Internet
• Source documentaire
• Réseau social
• Cloud
– TTT
(Tablette, TBI, Téléphonie)
23
24. Jadis,
je « brouillonnais »
• Un blog est une autre manière de faire
« bouillonner » ses idées et de les
confronter à celles des autres
24
25. Et donc,
je brouillonne en ligne
• Mon blog est une autre manière de faire
« bouillonner » mes idées et de les
confronter à celles des autres
25
32. A tel point qu’on finit
par s’assembler
• Connaissez-vous « Apprendre 2.0 »
32
33. Jadis,
je « brouillonnais »
• Mon Wiki donne une seconde visibilité à
des articles publiés depuis maintenant 17
ans
33
34. Motoriser sa
recherche
• L’équivalent d’un bon documentaliste,
aujourd’hui… sur le net,
cela s’appelle un « moteur de recherche »
34
35. WKPD ?
• Je suis très friand de démarrer une
recherche en dégrossissant une
problématique dans
– Idéal pour percevoir
les enjeux
– Pour pressentir les QuickTime™ et un
décompresseur
sont requis pour visionner cette image.
bons « mots clés »
35
36. WKPD ?
• En faire « un fromage » ? Pourquoi pas
après tout…
36
37. WKPD
• En faire « un fromage » ? Pourquoi pas
après tout… y mettre son grain de sel
37
65. Le secondaire pris entre
• Le primaire innovant (JRM 2’55 “)
• Le supérieur innové… E-learning ! (IAE Caen
2’02“)
• (L.Juin et Amandine Terrier 4’53“)
65
66. Le secondaire titillé par
• L’apparition du B2i-C2i
(Prochaine obligation)
de 2’08“ à 3’
• Avec un marché des plates-formes qui se
cherche dans sa dimension 2.0 (E-campus,
Moodle, Claroline, Chamilo, Doceos...)
66
69. Pas d’usine à gaz !
• Rejoindre les élèves où ils sont
• Connaître leurs outils
• Intégrer des usages dans des
stratégies
• Rêver des stratégies et
leurs laisser apporter
les solutions
« BYOD - BYOS »
69
70. A l’aide des technologies
• Préparer ses notes de cours
• Echanger avec des réseaux apprenants
• Mettre en ligne des supports sous la forme de
« Documents partagés » et de blogs
• Compiler des ressources du net en
agrégateurs thématiques
• Tenir un agenda partagé en ligne
• Inviter ses élèves à faire de même
70
71. Donner cours autrement…
aussi
• Le retour sur la leçon donnée via un forum
(des notes et des prolongations) et
l’acceptation des interactions
• La publication systématique et notamment via
un @ porte-folio de travail perso
• L’acceptation des consoles personnelles
utilisées à des fins scolaires
71
72. Car il se met en place
des pratiques nouvelles
• Le concept de « Flipped Classroom » ou de
pédagogie inversée… (gagner du temps)
pour enrichir l’échange réflexif
• Evaluation
à « web ouvert »
72
79. Quatrième partie
• Peut-on se mettre en recherche de projets et
d’initiatives
• Y a-t-il des besoins à identifier ? Des
ressources internes et externes (à solliciter) ?
• Des freins à lever ?
• Qu’est-il déjà possible?
79
Notes de l'éditeur
Slideshare permet de retrouver sur le net les transparents de cette présentation, mais aussi les diaporamas d’autres conférences que j’ai pu faire… Et moi, je suis venu, mains dans les poches. Mais cela ne s’arr ête pas là : vous y trouverez aussi des orateurs, conférenciers, formateurs et autres experts qui traitent des mêmes questions et qui ont aussi mis leurs outils de conférence ou de formation en ligne. Nous constituons un réseau… Une partie de réseau… car j’ai sélectionné ceux que j’estime intéressants et fiables. Et donc vous en rencontrerez d’abord parce que je suis abonné à leurs publications et que le système vous donne accès à ce premier réseaux. Mais par le principe de mots clés (tags), vous allez en trouver d’autres en lien avec d’autres thématiques…et les amis de ceux là qui vous ouvriront, eux aussi la porte vers d’autres supports déposés en ligne. Stocker et partager, identifier des réseaux d’experts, profiter de la mutualisation des validations… une mine pour le chercheur praticien.
Slideshare permet de retrouver sur le net les transparents de cette présentation, mais aussi les diaporamas d’autres conférences que j’ai pu faire… Et moi, je suis venu, mains dans les poches. Mais cela ne s’arr ête pas là : vous y trouverez aussi des orateurs, conférenciers, formateurs et autres experts qui traitent des mêmes questions et qui ont aussi mis leurs outils de conférence ou de formation en ligne. Nous constituons un réseau… Une partie de réseau… car j’ai sélectionné ceux que j’estime intéressants et fiables. Et donc vous en rencontrerez d’abord parce que je suis abonné à leurs publications et que le système vous donne accès à ce premier réseaux. Mais par le principe de mots clés (tags), vous allez en trouver d’autres en lien avec d’autres thématiques…et les amis de ceux là qui vous ouvriront, eux aussi la porte vers d’autres supports déposés en ligne. Stocker et partager, identifier des réseaux d’experts, profiter de la mutualisation des validations… une mine pour le chercheur praticien.
Slideshare permet de retrouver sur le net les transparents de cette présentation, mais aussi les diaporamas d’autres conférences que j’ai pu faire… Et moi, je suis venu, mains dans les poches. Mais cela ne s’arr ête pas là : vous y trouverez aussi des orateurs, conférenciers, formateurs et autres experts qui traitent des mêmes questions et qui ont aussi mis leurs outils de conférence ou de formation en ligne. Nous constituons un réseau… Une partie de réseau… car j’ai sélectionné ceux que j’estime intéressants et fiables. Et donc vous en rencontrerez d’abord parce que je suis abonné à leurs publications et que le système vous donne accès à ce premier réseaux. Mais par le principe de mots clés (tags), vous allez en trouver d’autres en lien avec d’autres thématiques…et les amis de ceux là qui vous ouvriront, eux aussi la porte vers d’autres supports déposés en ligne. Stocker et partager, identifier des réseaux d’experts, profiter de la mutualisation des validations… une mine pour le chercheur praticien.
Slideshare permet de retrouver sur le net les transparents de cette présentation, mais aussi les diaporamas d’autres conférences que j’ai pu faire… Et moi, je suis venu, mains dans les poches. Mais cela ne s’arr ête pas là : vous y trouverez aussi des orateurs, conférenciers, formateurs et autres experts qui traitent des mêmes questions et qui ont aussi mis leurs outils de conférence ou de formation en ligne. Nous constituons un réseau… Une partie de réseau… car j’ai sélectionné ceux que j’estime intéressants et fiables. Et donc vous en rencontrerez d’abord parce que je suis abonné à leurs publications et que le système vous donne accès à ce premier réseaux. Mais par le principe de mots clés (tags), vous allez en trouver d’autres en lien avec d’autres thématiques…et les amis de ceux là qui vous ouvriront, eux aussi la porte vers d’autres supports déposés en ligne. Stocker et partager, identifier des réseaux d’experts, profiter de la mutualisation des validations… une mine pour le chercheur praticien.
Slideshare permet de retrouver sur le net les transparents de cette présentation, mais aussi les diaporamas d’autres conférences que j’ai pu faire… Et moi, je suis venu, mains dans les poches. Mais cela ne s’arr ête pas là : vous y trouverez aussi des orateurs, conférenciers, formateurs et autres experts qui traitent des mêmes questions et qui ont aussi mis leurs outils de conférence ou de formation en ligne. Nous constituons un réseau… Une partie de réseau… car j’ai sélectionné ceux que j’estime intéressants et fiables. Et donc vous en rencontrerez d’abord parce que je suis abonné à leurs publications et que le système vous donne accès à ce premier réseaux. Mais par le principe de mots clés (tags), vous allez en trouver d’autres en lien avec d’autres thématiques…et les amis de ceux là qui vous ouvriront, eux aussi la porte vers d’autres supports déposés en ligne. Stocker et partager, identifier des réseaux d’experts, profiter de la mutualisation des validations… une mine pour le chercheur praticien.
Socrate que j’avais présenté à mon examen d’Histoire de la pédagogie, en agrégation. Je l’utilise abondamment pour l’éducation de mes petits enfants… quand ils sont sur mes genoux ou quand nous sommes en balade dans la nature et que nous nous lançons alors dans des leçons de choses Mais, à l’école, le temps de l’enseignement oral a cédé la place à l’écrit. C’est ce que nous avons tous connu dans notre jeunesse. Et voilà que l’écrit qui n’était qu’aux mains des auteurs patentés est aujourd’hui remplacé par la publication numérique où chacun peut être auteur, pour une interaction plus exposée mais combien nourrissante si elle et livrée à la confrontation du commentaire et à la collaboration. Je fais donc le pari qu’il faut avancer avec ces mutations en en tirant le meilleur et en aidant nos enfants et nos petits enfants à les utiliser intelligemment… et pourquoi pas avec plaisir. Ma problématique n’est donc pas celle des risques et des freins. Pas prioritairement des chartes d’usages… même si de ma réflexion découlera la nécessité d’en convenir… Mon soucis est de vous donner envie si vous ne voyez pas de quoi il retourne. D’ouvrir des portes, de donner des feux verts et d’encourager. Je suis mandaté pour dire que vous êtes dans le bon si vous pensez avancer dans cette intégration. Mais à une condition, que vous ne le fassiez pas pas uniquement comme auxiliaires de l’enseignement, mais en en faisant aussi des objets d’observation critique… de l’EDUCATION AUX MEDIAS, plus que de la seule Educ PAR les médias.
Le Web 1.0, c’est le web des éditeurs « officiels »… des associations qui ont pignon sur rue et qui transposent leur existence dans les médias traditionnelles dans une présence virtuelle sur le net. Le public assiste à leur « démonstration de force » en matière de publication. Le Web 2.0., c’est la dissémination de la responsabilité éditoriale. Tout le monde devient auteur. Tout le monde a un avis à donner. Tout le monde publie… et celui qui cherche de l’info est confronté à l’avis de l’homme de la rue tout autant qu’à celui de l’expert patenté.
Si Larousse n’a rien à prouver en venant sur le web, il ne crée pas non plus polémique c ôté validation de l’info. Par contre, l’encyclopédie Wikipédia, collaborative et ouverte, pose plus question ! Elle a pourtant de nets avantages, notamment la capacité à se modifier… et donc à se corriger, s’améliorer. De plus, elle est gratuite, ce qui n’est pas sans intérêt pour le monde de l’éducation et pour la démocratisation des échanges de savoirs.
Le web 2.0, c’est aussi une évolution technologiques qui passe par la mise au point d’outils simples de publication. Plus rien à voir entre l’édition de pages HTML et la tenue d’un blog… Un enfant de primaire peut publier en ligne après un petit quart d’heure d’explication !
Le Web 2.0, ce sont des outils dispersés dans les nuages (on parle de « cloud computing »), ce qui vous évite de devoir stocker et les outils et leurs productions (data) sur votre machine. Démocratisation des acquisitions de logiciels, et de l’espace de stockage disque. Accessibilité de n’importe où sur le web. Partage possible avec d’autres utilisateurs et collaboration possible pour contribuer
Une des grandes compétences émergeante, c’est d’identifier avec qui faire réseau. Se mettre à l’école de quelqu’un avec qui on communique, que l’on lit en s’y fiant, avec qui on collabore… c’est un enjeu capital. Un peu comme si l’élève avait la responsabilité d’organiser lui-m ême le casting de ses profs. !
Commenter les termes en orange
Ce n’est pas moi qui apprend : apprendre, c’est s’adapter pour mieux se situer et interagir. Qu’as-tu appris à l’école, mon fils ? (Graeme Allwright) J’enseigne : un corpus dont je suis +/- le spécialiste et qui passera d’autant plus si j’en partage la passion qui m’habite Ne pas se tromper dans le ratio enseigner / apprendre… Une bonne leçon, c’est celle qui a produit un max d’apprentissages.
C’est d’abord comme utilisateur perso que je trouve un intér êt à utiliser les technologies d’aujourd’hui. La bureautique (open et gratuite) facilite grandement la production d’écrits, leur modification, la multiplication des versions. Leurs transformations… la récupération d’une version « notes de cours » pour la transformer en exercices, voire interrogation ou examen… En matière de recherche documentaire, l’évidence n’est même plus à devoir être démontrée que l’on a à sa disposition, nombre de ressources variées qui permettent non seulement la consultation mais aussi la transcription rapide par copier/coller (attention au recoupement des sources, à la validation du contenu et, bien sûr, aux droits liés à la diffusion d’œuvres protégées). Je peux aussi compter sur le net pour identifier et joindre des collègues connus ou virtuels qui pratiquent comme moins autour des mêmes thématiques ou qui enseignent les mêmes contenus disciplinaires. Je peux stocker et partager des documents ailleurs que sur mon ordi perso de table (à mon domicile) et retrouver à tout instant ces productions en ligne, stockées dans le cloud. La téléphonie est occupée à ajouter une couche à cet équipement moderne.
Mes propres écrits ont lgtps été personnels et à mon seul usage. Dans mes loisirs d’abord… et dans mon emploi professionnel aussi. Mais la capacité à les m ettre en ligne m’a ouvert de nouveaux usages liés au partage.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
La dimension « réseau » s’avère on ne peut plus rentable quand il s’agit de construire une pratique professionnelle complexe.
On peut aussi disposer de vrais outils collaboratifs… Le wiki en est un, remarquable.
Chercher de l’info a réclamer la mise en place de nouveaux savoirs procéduraux. Cela a pris du temps, mais quel gain aujourd’hui.
Parmi les sources disponibles, il en est une qui est particulièrement intéressante, car elle est produite selon un processus de construction des savoirs qui est typiquement celui de la communauté scientifique. Bien sûr, ce processus de tâtonnement et de correction progressive sous la gouverne de la vigilance citoyenne est un peu particulier…Mais c’est un bon départ
Ceci peut nous servir d’exemple. Partez d’un concept que vous ne connaissez pas (comme vos élèves) et qui vous passionne… accrochez vous à la navigation par hyperliens et consacrez-y le temps nécessaire… Plongez-vous alors dans les articles dédiés à votre recherche… C’est passionnant, instructif, interpellant (on va recouper des choses ailleurs, cela va renvoyer vers la littérature aussi…) Et si vous voulez vous faire un conpendium de vos trouvailles… vive le cop ier/coller. Moi, je ne m’en lasse pas et n’en ai nullement honte !
Et si l’encyclopédie se révèle intéressante en consultation, c’est parce que des passionnés et des experts y passent du temps en production. Rien ne vous emp ê che alors de basculer en utilisateur référencé et de publier une partie de votre savoir…
Et si l’encyclopédie se révèle intéressante en consultation, c’est parce que des passionnés et des experts y passent du temps en production. Rien ne vous emp ê che alors de basculer en utilisateur référencé et de publier une partie de votre savoir…
Et si l’encyclopédie se révèle intéressante en consultation, c’est parce que des passionnés et des experts y passent du temps en production. Rien ne vous emp ê che alors de basculer en utilisateur référencé et de publier une partie de votre savoir…
Mes outils se sont très vite spécialisés. Les usages grand public étant vite dépassés quand on s’investit dans une recherche de rentabilité véritable. D’où l’évocation des modules complémentaires de Firefox… le navigateur open source. Notamment pour capter (télécharger) de l’info.. Mais aussi pour la transférer, la republier, la donner à conna ître à d’autres.
Stockage et partage sont les deux mamelles de mon repositionnement pédagogique. Ici, pour les bonnes adresses de ce que je trouve sur le net. Gagner du temps et en faire bénéficier les autres, c’est dans un rapport mutuel, un fameux bon truc ! Bien s ûr, pour lancer la machine, il faut alimenter la pompe. Pourquoi attendre ou croire qu’il faut se lancer seul… je vous prends volontiers dans mon sillage et vous place au cœur d’un réseau déjà établi… et toujours à réajuster selon VOS besoins.
Stockage et partage sont les deux mamelles de mon repositionnement pédagogique. Ici, pour les bonnes adresses de ce que je trouve sur le net. Gagner du temps et en faire bénéficier les autres, c’est dans un rapport mutuel, un fameux bon truc ! Bien s ûr, pour lancer la machine, il faut alimenter la pompe. Pourquoi attendre ou croire qu’il faut se lancer seul… je vous prends volontiers dans mon sillage et vous place au cœur d’un réseau déjà établi… et toujours à réajuster selon VOS besoins.
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Plusieurs interfaces proposent cette logique… on choisit alors selon sa sensibilité
Plusieurs interfaces proposent cette logique… on choisit alors selon sa sensibilité
Plusieurs interfaces proposent cette logique… on choisit alors selon sa sensibilité
Plusieurs interfaces proposent cette logique… on choisit alors selon sa sensibilité
Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
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Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
Si je vous cite Twitter, c’est parce qu’il a été sans doute celui qui m’a le plus stupéfait quand à ses potentialités. Que peut-on faire avec ces post-it virtuels de 140 caractères ? Surtout si la pub se contente de dire « Communiquez ce que vous êtes occupés à faire: « Je suis un peu fatigué et je m’arrête pour prendre une tasse de café » ou encore : « Marre de cette musique qui va trop fort chez mon voisin »… Un peu comme si on vous suggérait l’usage du téléphone et ne prenant en guise d’exemple que la possibilité de faire des blagues téléphoniques ou de commander des pizzas. Twitter est pourtant devenu l’option logicielle que je regretterais le plus en matière professionnelle , si j’avais à m’en séparer.
Facebook est la fonction logicielle grand public que je regretterais de devoir fermer. Gr âce à elle, je suis redevenu contact avec des tas de gens que j’avais perdu de vue et j’entretiens de façon plus soutenue et autrement, les rapports privilégiés que j’ai avec mes amis et parents. J’ai aussi découvert de nouvelles relations grâce au principe du réseau « Les amis de mes amis peuvent devenir des amis » Mais cette interface bien gérée peut s’avérer aussi efficace au niveau professionnel. C’est à mesurer dans les usages et les formes… mais il y a du pain sur la planche pour le prof… Alors que pour les élèves, c’est du tout déjà connu. Or, c’est là le gain de temps. Imaginez les scénarios pédagogiques et ils vous diront avec quelles technologies il est possible d’en réaliser chaque partie -s’il a lieu que les technologies s’en mêlent… votre responsabilité, en découvrant cela, étant d’apprendre vous le processus, mais eux, avec votre aide… les réflexions critiques sous-jacentes. Prenons un exemple simple : écrire une lettre à quelqu’un. Le processus postal est maîtrisé de longue date. Chez les élèves, ce n’est déjà plus garanti. La version mail a déjà tendance à devenir obsolète… or cette transposition réclame déjà de nombreux savoir-faire qui justifie pleinement que vous réfléchissiez avec eux pour décliner correctement les usages épistolaires dans la technologie virtuelle. Mais voilà que de plus ne plus, le mail n’est plus sollicité pour être remplacé par un post via des réseaux sociaux… Comment se fait la transposition ? Non pas techniquement, mais à travers la technique… dans les potentialités du nouvel outil et ce, tout en gardant la qualité d’interpellation, sans qu’il ne soit contrevenu aux codes de la vie sociale.
Si vous connaissez et pratiquez le travail de groupes, en classe, vous devez conna î tre sa version sur le net qui passe par des outils comme celui-là.
Aimeriez-vous que l’on vous apporte tous les jours une revue de presse de ressources en ligne qui correspondent exactement à vos préoccupations. Aucun service dans la vraie vie ne garantit cette livraison. C’est une demande trop personnalisée que pour être honorée à un coût abordable. Sur Internet, par contre, cela existe. Explication des flux agrégés ?
Aimeriez-vous que l’on vous apporte tous les jours une revue de presse de ressources en ligne qui correspondent exactement à vos préoccupations. Aucun service dans la vraie vie ne garantit cette livraison. C’est une demande trop personnalisée que pour être honorée à un coût abordable. Sur Internet, par contre, cela existe. Explication des flux agrégés ?
Aimeriez-vous que l’on vous apporte tous les jours une revue de presse de ressources en ligne qui correspondent exactement à vos préoccupations. Aucun service dans la vraie vie ne garantit cette livraison. C’est une demande trop personnalisée que pour être honorée à un coût abordable. Sur Internet, par contre, cela existe. Explication des flux agrégés ?
Aimeriez-vous que l’on vous apporte tous les jours une revue de presse de ressources en ligne qui correspondent exactement à vos préoccupations. Aucun service dans la vraie vie ne garantit cette livraison. C’est une demande trop personnalisée que pour être honorée à un coût abordable. Sur Internet, par contre, cela existe. Explication des flux agrégés ?