Histoire de la médecine les prémices de la pédiatrie en tant que spécialité.Réseau Pro Santé
Revue "La lettre de l'AJP n°11" janvier 2015
Sous-enseignée dans notre cursus, l’Histoire de la médecine est pourtant riche en anecdotes et en leçons. Le fondement de la médecine remonte à la nuit des temps et les médecins de l’antiquité en ont posé les premières bases scientifiques. Pourtant, la pédiatrie ne vit le jour en tant que spécialité officiellement reconnue que vers la fin du XIXème siècle (1). Découvrons ensemble, quels ont été les prémices de la pédiatrie.
1. Comment peut-on définir les concepts de pédiatrie et de pédiatre ?
La pédiatrie n’est pas née de l’individualisation d’un groupe de maladies, liée aux progrès de la physiopathologie, comme la cardiologie ou la pneumologie. Elle ne doit pas non plus son existence à des techniques particulières d’intervention, comme la chirurgie ou l’urologie. Et elle n’a pas été liée au développement d’une instrumentation spéciale permettant de visualiser et d’explorer les organes, comme l’ophtalmologie ou 1’otorhinolaryngologie. La pédiatrie s’adresse non à un organe ou un groupe d’organes particulier, non à une technique particulière, mais à un sujet particulier : l’enfant. Et, de suite, précisons qu’elle s’adresse non pas à un malade seulement, mais à l’enfant, ou mieux à l’enfance, dans toutes ses dimensions : physiologie, pathologie, psychologie, éducation, et surtout, prévention. Le pédiatre suit l’enfant depuis sa naissance et à travers son développement, sa croissance, ses vaccins et ses maladies. Il est l’interlocuteur privilégié des parents, surtout de la mère dont il est censé calmer l’anxiété dès qu’elle apparaît, c’est-à-dire dès la naissance de l’enfant et à la moindre incongruité.
reseauprosante.fr
On peut définir le journaliste web, comme ce journaliste qui utilise Internet comme support de diffusion de son contenu. On l’appelle aussi Web journaliste ou journaliste en ligne ou encore Journaliste 2.0. Un métier à part entière qui évolue dans un environnement spécifique, qui requiert certaines aptitudes . Un métier avec de nombreux débouchés ici et ailleurs. http://yoroba.net/devenir-web-journaliste/
Histoire de la médecine les prémices de la pédiatrie en tant que spécialité.Réseau Pro Santé
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Sous-enseignée dans notre cursus, l’Histoire de la médecine est pourtant riche en anecdotes et en leçons. Le fondement de la médecine remonte à la nuit des temps et les médecins de l’antiquité en ont posé les premières bases scientifiques. Pourtant, la pédiatrie ne vit le jour en tant que spécialité officiellement reconnue que vers la fin du XIXème siècle (1). Découvrons ensemble, quels ont été les prémices de la pédiatrie.
1. Comment peut-on définir les concepts de pédiatrie et de pédiatre ?
La pédiatrie n’est pas née de l’individualisation d’un groupe de maladies, liée aux progrès de la physiopathologie, comme la cardiologie ou la pneumologie. Elle ne doit pas non plus son existence à des techniques particulières d’intervention, comme la chirurgie ou l’urologie. Et elle n’a pas été liée au développement d’une instrumentation spéciale permettant de visualiser et d’explorer les organes, comme l’ophtalmologie ou 1’otorhinolaryngologie. La pédiatrie s’adresse non à un organe ou un groupe d’organes particulier, non à une technique particulière, mais à un sujet particulier : l’enfant. Et, de suite, précisons qu’elle s’adresse non pas à un malade seulement, mais à l’enfant, ou mieux à l’enfance, dans toutes ses dimensions : physiologie, pathologie, psychologie, éducation, et surtout, prévention. Le pédiatre suit l’enfant depuis sa naissance et à travers son développement, sa croissance, ses vaccins et ses maladies. Il est l’interlocuteur privilégié des parents, surtout de la mère dont il est censé calmer l’anxiété dès qu’elle apparaît, c’est-à-dire dès la naissance de l’enfant et à la moindre incongruité.
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Café Numérique - Les technologies au service du commerce - Quentin le BussySam Piroton
Quentin le Bussy nous présente un état des lieux de l'utilisation des technologies par les commerces de proximité; avec un axe réseaux sociaux. Café Numérique Liège.
Dossier il était une fois... le statut du ph 1er partie - les fondamentaux.Réseau Pro Santé
Revue "Le Mag de l'INPH n°2" Septembre 2014
Dans cette période où de grands changements sont annoncés, nous avons voulu rappeler les caractéristiques fondatrices de notre statut : modalités de nomination, affectation et rémunération, droits et devoirs dans l'organisation de notre temps de travail.
Un statut est l’ensemble des dispositions législatives ou règlementaires fixant les garanties fondamentales (droits et obligations) accordées à une collectivité publique ou à un corps de fonctionnaires ou d’agents publics.
Introduction
Notre statut de praticien hospitalier est donc défini par des dispositions législatives : ce sont articles L 6152-1 à L6152-6, mis en application via les articles R6152-1 à R6152-99 du Code de la santé publique (1). Les articles L 6152-1 à L 6152-6 définissent les catégories de personnel concernées, mais également la notion de gratuité des soins, la clause de non concurrence en cas de démission, et la position de recherche d’affectation.
Les articles R-6152-1 à 4 dessinent les contours généraux de notre statut :
1) Nous exerçons dans des établissements publics de santé.
2) Nous assurons les actes médicaux « de diagnostic, de traitement, de soins d'urgence » au sein des établissements publics de santé.
3) Nous participons aux missions de service public (détaillées dans l'article L. 6112-1 dont la recherche et l’enseignement) dans les mêmes établissements de santé et autres établissements ou structures (détaillées dans l’article L. 6112-2) dans le respect des valeurs socle de la fonction publique : l’égalité, la continuité, l’adaptabilité, la gratuité : (cf. le MAG de l’INPH 1, dossier « attractivité de l’hôpital public » et détaillées ici dans l’article L. 6112-3).
4) Nous appartenons au corps unique des praticiens hospitaliers quelle que soit notre discipline (médicales, biologiques, pharmaceutiques,odontologiques et leurs spécialités) et portons le titre correspondant (médecin, chirurgien, psychiatre, biologiste, pharmacien ou odontologiste) (Art. R6152-3).
5) Nous sommes recrutés sur un poste dont la vacance est déclarée par le Centre National de Gestion (CNG) et le profil défini par arrêté du ministre chargé de la Santé (Art. R6152-6).
reseauprosante.fr
3ème journée "Thyroïde & Tumeurs Endocrinines", Pitié-Salpêtrière : présentation de l'association Vivre sans Thyroïde sur "Le vécu du patient face à l’innovation thérapeutique"
Les professionnels inscrits auprès d’institutions ordinales remplissent tous des missions sociales d’intérêt général et exercent dans des secteurs où le marché ne peut intervenir seul et où l’exigence d’une éthique est impérieuse. Proposant des biens et/ou des services de nature intellectuelle, ces professionnels, qui contribuent de manière significative à l’économie nationale et européenne, sont en contact direct et quotidien avec le consommateur, le client, le patient, le justiciable, qui placent en lui sa confiance.
S’il est du devoir des professionnels d’honorer cette confiance, il revient aux institutions ordinales de garantir à la collectivité les moyens de la confiance. Ainsi, une institution ordinale contrôle l’accès et l’exercice d’une profession dans des secteurs concurrentiels, de grande technicité et au coeur de l’humain. Secteurs qui nécessitent donc de rechercher des équilibres entre des principes inaliénables tels que les droits fondamentaux des personnes, l’intérêt général ou encore les règles du droit de la concurrence. C’est la mission des Ordres : une mission de service public. C’est la fonction des Ordres : un acteur de régulation.
Aujourd’hui, cette nécessité d’équilibres ne cesse de grandir et de s’imposer, comme en témoigne la multiplication des Hautes Autorités Indépendantes, les codes ou chartes de déontologie qui fleurissent partout, et le rôle croissant confié aux institutions ordinales. Pourtant, certains souhaitent remettre en cause les caractéristiques essentielles à leurs missions.
Engagée depuis de très nombreuses années au service des valeurs professionnelles des pharmaciens, et aujourd’hui investie de la confiance des 16 institutions ordinales pour présider leur Comité de Liaison, j’ai souhaité présenter ma vision des institutions ordinales, de leurs missions, de leurs modes de fonctionnement, de leurs avantages et des contreparties de l’autorégulation.
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Un statut est l’ensemble des dispositions législatives ou règlementaires fixant les garanties fondamentales (droits et obligations) accordées à une collectivité publique ou à un corps de fonctionnaires ou d’agents publics.
Introduction
Notre statut de praticien hospitalier est donc défini par des dispositions législatives : ce sont articles L 6152-1 à L6152-6, mis en application via les articles R6152-1 à R6152-99 du Code de la santé publique (1). Les articles L 6152-1 à L 6152-6 définissent les catégories de personnel concernées, mais également la notion de gratuité des soins, la clause de non concurrence en cas de démission, et la position de recherche d’affectation.
Les articles R-6152-1 à 4 dessinent les contours généraux de notre statut :
1) Nous exerçons dans des établissements publics de santé.
2) Nous assurons les actes médicaux « de diagnostic, de traitement, de soins d'urgence » au sein des établissements publics de santé.
3) Nous participons aux missions de service public (détaillées dans l'article L. 6112-1 dont la recherche et l’enseignement) dans les mêmes établissements de santé et autres établissements ou structures (détaillées dans l’article L. 6112-2) dans le respect des valeurs socle de la fonction publique : l’égalité, la continuité, l’adaptabilité, la gratuité : (cf. le MAG de l’INPH 1, dossier « attractivité de l’hôpital public » et détaillées ici dans l’article L. 6112-3).
4) Nous appartenons au corps unique des praticiens hospitaliers quelle que soit notre discipline (médicales, biologiques, pharmaceutiques,odontologiques et leurs spécialités) et portons le titre correspondant (médecin, chirurgien, psychiatre, biologiste, pharmacien ou odontologiste) (Art. R6152-3).
5) Nous sommes recrutés sur un poste dont la vacance est déclarée par le Centre National de Gestion (CNG) et le profil défini par arrêté du ministre chargé de la Santé (Art. R6152-6).
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3ème journée "Thyroïde & Tumeurs Endocrinines", Pitié-Salpêtrière : présentation de l'association Vivre sans Thyroïde sur "Le vécu du patient face à l’innovation thérapeutique"
Les professionnels inscrits auprès d’institutions ordinales remplissent tous des missions sociales d’intérêt général et exercent dans des secteurs où le marché ne peut intervenir seul et où l’exigence d’une éthique est impérieuse. Proposant des biens et/ou des services de nature intellectuelle, ces professionnels, qui contribuent de manière significative à l’économie nationale et européenne, sont en contact direct et quotidien avec le consommateur, le client, le patient, le justiciable, qui placent en lui sa confiance.
S’il est du devoir des professionnels d’honorer cette confiance, il revient aux institutions ordinales de garantir à la collectivité les moyens de la confiance. Ainsi, une institution ordinale contrôle l’accès et l’exercice d’une profession dans des secteurs concurrentiels, de grande technicité et au coeur de l’humain. Secteurs qui nécessitent donc de rechercher des équilibres entre des principes inaliénables tels que les droits fondamentaux des personnes, l’intérêt général ou encore les règles du droit de la concurrence. C’est la mission des Ordres : une mission de service public. C’est la fonction des Ordres : un acteur de régulation.
Aujourd’hui, cette nécessité d’équilibres ne cesse de grandir et de s’imposer, comme en témoigne la multiplication des Hautes Autorités Indépendantes, les codes ou chartes de déontologie qui fleurissent partout, et le rôle croissant confié aux institutions ordinales. Pourtant, certains souhaitent remettre en cause les caractéristiques essentielles à leurs missions.
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Viceverba_appdelmes_0624_joc per aprendre verbs llatinsDaniel Fernández
Vice Verba és una aplicació educativa dissenyada per ajudar els estudiants de llatí a aprendre i practicar verbs llatins d'una manera interactiva i entretinguda.