30. des internautes déclarent faire confiance à des recommandations d’ amis 90% 70% des internautes déclarent faire confiance à des recommandations d’internautes inconnus (blogs, forums…) 42% des internautes déclarent faire confiance à la publicité Source : www.dix-katre.com
83. Source : http://www.flickr.com/photos/peupleloup/3829677433 Une ile déserte sur l’océan web ?
84. Un catalogue est un outil de recherche documentaire http://www.flickr.com/photos/bluyckx/3123613702
85.
86. « Seuls les bibliothécaires aiment chercher, tous les autres aiment trouver. » Roy Tennant Source : http://www.flickr.com/photos/diandra1/4830057281/
87. Une ergonomie à la Google http://www.flickr.com/photos/st3f4n/3951143570
Mais une logique au service du servie. Un partnaire
Sentiment renforcer par le fait que l’internaute est aussi créeateur d’informations et de métadonnée.
Sentiment d’autonomie : facilité d’accès à l’infortion du fait des moteurs de recherche donne le sentiment que la biliothèque n’est plus utile.
‘ J’aimerai être le bibliothècaire dans son siècle n’ont pas pour faire tendance mais pour suivre l’écolution des usages, des médias afin de proposer un service aux public et accompagner le public dans cette écvolution
D’où la question de notre visibilité : nous disparaissons progressivement du paysage numérique des internautes
Rien n’est acquis
Capsule intitutionelle
D’où la question de notre visibilité : nous disparaissons progressivement du paysage numérique des internautes
Meme si il regarde dans la même direction , ils sont différents, dans leurs diverstités d’usagers, de centres d’intée^tes. Les lunettes ou les chapeaux
La lecture à l'écran répond aussi à des codes d'usages web précis auquels il faut être très attentifs lorsque que l'on produit des contenus
important de souligner que cette démarche n'est pas un renversement vers la demande, comme pas mal de bibliothèques américaines le laissent entendre, en faisant complètement disparaitre un discours sur l'offre. Il ne s'agit pas de promouvoir la bibliothèque, de la vendre, mais de partir des contenus
pour autant, il ne s'agit en aucun cas d'abandonner les collections pour une approche exclusivement centrée sur l'usager
Voici l’exemple de bibliothèque de l’université d’ Huddersfield où l’on peut savoir ce qu’on emprunter les lecteurs sur le même sujet. La participation des usagers est ici uniquement statistique, mais elle est réelle et pas moins efficace, comme on l’a vu avec Amazon une fonction permet d’exploiter la longue traîne. [Clic] il s’agit d’afficher pour chaque notice les titres que les usagers ont également emprunté. [Clic] il est également possible d’afficher l’historique des prêts pour chaque titre, ce qui peut aussi aider au choix pour l’usager. Je précise ici car l’objection m’est souvent faite, et je souhaite la désamorcer, que la CNIL interdit de conserver des traces personnalisées des trajectoires de consultation ou d’emprunt à la bibliothèque, mais n’interdit en aucun cas de conserver les même données une fois rendues anonymes. Il est également possible de faire figurer des statistiques de prêt pour chaque ouvrage. (CNIL dans sa NORME SIMPLIFIEE, DELIBERATION N° 99-27 du 22 avril 1999)
La bibliothèque de Bourg la Reine permet à ses usagers de mettre en parallèle du thésaurus des bibliothécaires, leurs propres mots clefs sur la notice. Notre thésaurus est très réfléchi et pas toujours en phase avec l’approche souvent bien empirique qu’on nos usagers de nos catalogues. Ses tags atténue la rigidité de nos thésaurus.
Dernier exemple. La bibliothèque de Toulouse enrichie ses notices des avis et des critiques écrites par des internautes sur les réseaux sociaux du livre tels que Librarything, Libfly ou encore babelthèque. Le catalogue se nourrit de l’information produite par les « clubs de lecteurs numérique ». Le catalogue est ouvert sur le web
La recherche avancé ne doit être qu’un deuxième choix
Il es très important de permettre le rebond : quelque soit le terme saisi, il faut être en mesure de proposer à l’usager un résultat. L’utilisateur doit pouvoir continuer sans avoir à ressaisir la moindre informations. Seul 17 % des internautes reformulent leur requête !
L’exemple de l’Aquabrowser de la Médiathèque de l’école supérieure de commerce de Lille : à gauche une nébuleuse de mots clefs autour du mot de la requête, ici internat. A droite une présentation à facette, facilitant l’usager à préciser sa demande.
important de souligner le changement de point de vue : ne plus faire aller l'usager là où on veut, mais aller là où il est déjà !
Autre point essentiel : Si l’usager ne va pas vers la bibliothèque, si il ne se retrouve plus dans nos services en ligne, nous devons aller vers lui.
Par les fils RSS : par ce procédé la bibliothèque rentre deans les outils qu’utilise l’usager : les agrégateurs coimme netvibes. Ici la Médiathèque de Saint Raphael propose une page ou l’on retrouve tous les fils rss disponibvle sur leurs sites;
A l’image de Google, voici la barred ‘outils de la bibliothèque de Limoges. La bibliothèques est toujours présente sur le navigateur de l’usager !
Étendre la logique de la table thématique et de la recommandation à l’univers d’internet. Outils numériques blog, rss, etc, que des outils au service du projet de la bibliothèque, de ses missions. Effets de réseaux comme la longue traîne. Plus large et intégré à nos activités que le concept de bibliothèque 2.0.
Disséminer la médiation dans les murs et hors les murs : Prenons la critique d'une Bd. Elle est dans le panier commun qu'est le brouillon d'Everitouthèque : - Elle est publiée sur le blog - Elle est copiée dans les avis de la notice sur l'opac web - Elle devient une étiquette papier qui sera collée sur la première de couverture du document. - Elle servira a faire une bibliographie thématique qui rassemblera non pas les résumés de quatrième de couverture, mais les recommandation des bibliothècaires, des lecteurs ... Une bibliographie papier et numérique consultable sur issuu, le portail, le blog ... - Elle sera sur la lettre bimensuelle de la bibliothèque dans les pages "sélections" - Elle nourira un dossier documentaire numérique fait sur prezi. - Elle sera automatiquement disséminée sur nos réseaux sociaux Facebook, twitter & netvibes ... Au final autant de possibles que de types d'usagers. Le bibliothècaire n'aura lui produit qu'une seule critique qui est capitalisée pat cet ecosystème informationnel.