1. auréfectoire
lesamedi23octobtrede15hà17h
GOÛTER DE
L’AUTOMNE
LE FAMILISTÈRE
de Guise
1ER
MAI
Spectacles
Expos
Visites
Rencontres
levendredi1er
mai2013àpartirde18H
LE FAMILISTÈRE
de Guise
www.familistere.com
BIGMINIS
Julieta Aranda,
Carl Andre, Dan
Attoe, Gianfranco
Baruchello, Marcel
Broodthaers, Martin
Creed, William
Daniels, Marcel
Duchamp
du22févrierau14avril2013dumardiaudimanche
LE FAMILISTÈRE
de Guise
«Fétichesdecrise»
de11hà18h
PROGRAMME
théâtre
saison2012-2013
LE FAMILISTÈRE
de Guise
THÉÂTRE
Le jeu de l’amour et du hasard
de Marivaux
Mise en scène : Jean Luc
Michaux avec Sandrine Ruby,
Victor Lourac, Nicolas Bléou et
Virginie Dulan
Tout en respectant les codes de
bienséance de l’époque – les
nobles finiront ensemble, et les
« petites gens » de leur côté –
Marivaux retourne, dans cette
comédie au dialogue étince-
lant, l’ordre établi, trouble les
préjugés et inverse les rapports
maîtres-valets. Cette situation
engendre complications et qui-
proquos, et ce sont finalement
les femmes, avec les serviteurs,
qui se sortent le mieux de cette
situation. Ainsi, Lisette est
la première à comprendre ce
qui se passe, puis elle l’avoue
tardivement à Arlequin. Bien
après, Silvia se rend à son tour
compte de la situation, mais
sa fierté l’empêche de l’avouer
tout de suite à Dorante. Après
quelques problèmes, ce dernier,
passablement déconcerté,
parvient finalement à vaincre
l’orgueil de Silvia.
Du 17 au 28 novembre 2012
Ivanov de Anton Tchekov
Mise en scène : Marianne
Durieux avec Samuel Blanc,
Jasmine Rotin, Luc Chatel,
Johanna Virzon, Laurent Labute
et Simone Renée
Le lendemain de la première,
Tchékhov écrit à son frère : «
Tu ne peux imaginer comment
cela s’est passé ! Le souffleur
m’a dit qu’en trente-deux ans
de métier, il n’avait jamais
vu pareille excitation dans la
salle et dans les coulisses. À
la fin, ce fut le tohu-bohu,
les sifflements étaient noyés
sous les exclamations ! ».
Devant l’incompréhension de
la critique, Tchekhov en tire
alors une seconde mouture,
qu’il sous-titre cette fois «
drame en quatre actes », où les
conventions de l’époque sont
mieux respectées et qui obient
un triomphe en 1889.
Du 30 novembre au 10 décembre
2012
Œdipe roi de Sopocle
Mise en scène : Gérard Le roux
avec Sophie Josse, Eric Sorin,
Ludivine Jamé, Vincent Durand
et Mathilde Loup
Œdipe roi sophocle, représentée
entre 430 et 420 avant J.-C1.
Elle met en scène la décou-
verte par Œdipe de son terrible
destin. Alors qu’il avait accédé
au trône de Thèbes après avoir
triomphé de l’énigme du Sphinx,
l’enquête qu’il mène afin de
découvrir la cause de la peste
envoyée par Apollon sur la ville
le conduit à découvrir que le
responsable de l’épidémie n’est
autre que lui-même : il est
coupable à la fois de parricide
et d’inceste, car il a, sans le
savoir, tué son propre père,
Laïos, et épousé sa propre
mère, Jocaste. Le prologue de
la pièce s’ouvre sur l’audience
accordée par Œdipe, roi de
Thèbes, à un prêtre et à des
enfants venus le supplier de
découvrir l’origine de la peste
qui s’abat sur la ville.Œdipe se
déclare prêt à aller jusqu’au
bout afin de découvrir la vérité
et de châtier le coupable.
Su 14 au 22 décembre 2012
afficher le plan
histoire
agenda
infos pratiques
espace partagé
ressources
l’avant-garde. Les
doubles entraits du magasin d’expédi-
tion sont adaptés pour une portée peu
habituelle.
Le report de charge sur poteaux de bois
en nombre dégressif par niveau dans le
magasin aux modèles est exception-
nel… L’agencement des fonctions de
l’usine entre acheminement des maté-
riaux (charbon, métaux…), machine à
vapeur, rapport à la rivière, au train,
au canal, stockage et commercialisa-
tion des produits finis est
remarquable ». Pour tenter d’éviter
encore ce vandalisme typiquement
bruxellois, plusieurs associations de
défense et de protection de l’environ-
nement et du patrimoine urbain ont en
dernier recours présenté en 2010 une
pétition au gouvernement de Bruxelles
pour ouvrir une procédure de classe-
ment de l’usine.
17 mars 2011
Avec la réforme du code d’aménage-
ment du territoire entré en vigueur le
1er janvier 2010, l’exécutif bruxellois
est doté d’une compétence discrétion-
naire pour entamer une procédure de
classement. Cette disposition est cen-
sée mettre un terme aux abus du droit
de « pétition » qu’ont les associations
à but non lucratif de présenter une
demande de protection du patrimoine.
Dans le cas du Familistère de Laeken,
la réforme donne permission au gou-
vernement de Bruxelles de tirer un trait
au nom de l’impératif « socio-écono-
mique » sur un ensemble unique dont
les associationsbelges ont démontré
la valeur patrimoniale incontestable
et la possible reconversion à partir des
activités actuelles. Elle autorise aussi
le gouvernement à manquer de cohé-
rence. En décembre 2009, le ministre-
président de Bruxelles Charles Picqué s
félicitait d’avoir attribué une sub-
vention de 2 331 000 euros pour la
restauration et la réhabilitation en
logement social du pavillon d’habita-
tion classé en 1988. Et il déclarait sur
le site Internet du parti socialiste : «
Dès sa création par Godin, le Familis-
tère défiait déjà toutes les idées tra-
ditionnelles. Rendre à ce bâtiment ses
fonctions originelles (logement social)
permet de conjuguer sauvegarde d’un
patrimoine emblématique d’un idéal
social généreux et répondre à un besoin
actuel en logements sociaux. » Doit-
on en conclure que la conjugaison d’un
patrimoine social et d’un patrim oine
industriel n’est pas « emblématique »
et que la coopération des travailleurs-
habitants à la propriété et à la gestion
de l’industrie ne relève pas d’un « idéal
social généreux », dans une moindre
mesure en tout cas que Just under
the sky ? Les prescriptions de bonne
conscience accompagnant le renonce-
ment du 17 mars - la préservation du
lavoir et des économats du Familistère
ainsi que de l’indiennerie
antérieure à l’usine Godin - relèvent
quant à elle d’une pratique tout à fait
archaïque L’usine du Familistère de
Laeken sera détruite. de la protection
du patrimoine .
Le 17 mars 2011, le gouver-
nement de Bruxelles a renon-
cé à entamer une procédure
de classement de l’ancienne
usine du Familistère de Lae-
ken. Un immense complexe
commercial sera édifié à sa
place d’ici à 2013.Just under
the sky (c’est le nom para-
doxal de ce complexe) s’ap-
prête à prononcer l’oraison
funèbre du patrimoine belge
de la plus grande utopie
industrielle jamais expéri-
mentée en Europe.
Le site industriel d’une alternative so-
ciale. On sait que Jean-Baptiste André
Godin a recherché une implantation
industrielle en Belgique après 1848.
Bruxelles, où étaient exilés les leaders
français du mouvement fouriériste,
devait apparaître comme un refuge
possible pour le jeune entrepreneur
socialiste. En outre, l’existence d’une
main d’oeuvre qualifiée et l’accès à
de nouveaux marchés pouvaient être
profitables aux affaires. Godin installe
en 1858 des ateliers à Laeken sur le
quai des usines, face au château royal,
entre le canal de Willebroeck et la
rivière Senne (aujourd’hui couverte).
L’usine occupe plus de 4 hectares en
1874. À cette date, c’est déjà une unité
de production complète : fonderie,
émaillerie, râperie, forge, halles
d’ajustage et d’emballage, menuiserie,
magasins de modèles, de châssis et
d’outillage, écurie, salles d’exposition
des appareils, bureaux. L’usine belge
emploiera jusqu’à 773 personnes en
1930. En 1874, on trouve aussi une
quinzaine de maisons d’habitation
pour la direction et pour les ouvriers.
En 1887, Godin obtient de la ville de
Bruxelles l’autorisation de bâtir un
immeuble d’habitation « unitaire » de
72 logements. Il sera achevé au cours
de l’été 1888, après la mort de Godin.
Des écoles, un lavoir, un économat,
un service de santé forment avec les
logements une unité sociale sur le
modèle du Familistère de Guise. Deux
cents personnes, familles des sala-
riés de l’usine, habitent le Familistère
de Laeken. Désormais, les ouvriers
et employés de l’usine de Bruxelles
peuvent être membres à part entière
de l’association coopérative du capital
et du travail fondée à Guise en 1880.
Au même titre que les travailleurs
français, ils deviennent collectivement
propriétaires de la Société du Fami-
listère (usines et ensembles d’habita-
tion). Ils développent une vie sociale
comparable à celle de leurs homolo-
gues de Guise : ils jouissent de services
collectifs, bénéficient d’une bonne
éducation, organisent des représenta-
tions théâtrales, constituent une
importante société musicale, célèbrent
les fêtes familistériennes de l’enfance
et du travail… Cette relation entre
les installations industrielles et les
équipements sociaux est évidemment
fondamentale dans le projet coopératif
de Godin : l’habitation sans le travail
est une « épave des idées sociales ».
Après 1968
Après la dissolution de l’association
coopérative du capital et du travail en
juin 1968, les bâtiments du Familis-
tère de Laeken, comme ceux de Guise,
sont vendus. L’immeuble d’habita-
tion est converti sans succès en hôtel
d’entreprise. Il est classé en 1988. Les
ateliers du XIXe siècle sont investis par
plusieurs sociétés de recyclage
de pièces automobiles et de pneuma-
tiques, de production de panneaux
d’affichages
urbains, ou de vente d’articles de
sports. Ces activités préservent le
site industriel dont les demandes de
classement par la Commission royale
des monuments et des sites en 1994 et
2006 n’aboutissent pas. C’est juste-
ment en 2006 que la société Equilis
rachète le site pour y implanter Just
under the sky, un centre d’activités de
commerce et de loisir d’une surface de
50 000 m² : « Rire, jouer, flâner,
se divertir, rencontrer, rêver. En cha-
cun de nous sommeille un enfant qui
s’envole dans l’azur du ciel, se glisse
dans le bleu profond de l’eau » (sic) !
Dixit les promoteurs, cités avec effroi
par La Gazette de Bruxelles le 14 mars
2011 (http://gazettebxl.interrenet.
be), qui déposent un certificat d’urba-
nisme en novembre 2008. En 2009, une
troisième demande de classement
échoue. Alors que les observateurs font
valoir que cette forme d’urbanisation
cannibalise les quartiers plutôt que de
contribuer à leur vitalité, la promesse
de création d’emplois, l’argument-
massue raditionnel des aménageurs, a
clos le débat.
L’intérêt intrinsèque des constructions
industrielles a pourtant été ardemment
défendu par M. Van der Hulst, fonda-
teur de la Fonderie et membre de la
Commission
royale des monuments et des sites : «
L’usage des matériaux en bois, avec ses
charpentes inspirées de la structure
de la range, avec semelles de fonte
pour les poteaux, est particulière
aux constructions familistériennes.
Les toitures à deux pentes sont à
peine antérieures aux toitures sheds
si typiques par la suite des grands
ensembles industriels. L’organisation
du processus de fabrication par un
réseau de rails au sol est résolument à
ACTUALITÉS
L’usine du Familistère de
Laeken sera détruite.
LAGAZETTEn°14novembre-décembre
Projet de graphisme sur le
Familistère de Guise, réalisation
d’affiches, d’un logo et de l’étendue
de la commuication (gazette, site
internet..)
3. observatoire
du bruit
Marseille
Métropole
observatoire du son
Marseille Métropole
observatoire du son
Marseille Métropole
observatoire du son
Marseille Métropole
observatoire du son
Marseille Métropole
Projet de graphisme : réalisation de
l’identité de l’observatoire du son
de Marseille Métropole.
5. MadaMe rêve d’aéroport
Les vieilles de notre pays ne
sont pas des vieilles moroses,
dit la chanson.
L’architecture des maisons
de retraite le dit aussi à sa
manière. Il existe dans ce
programme quelque chose qui
rapproche les maisons de re-
traite des centres de vacances
ou des VVF. La jeunesse
joyeuse et insouciante aurait
besoin des mêmes locaux
que la vieillesse : des lits, des
espaces conviviaux, un certain
rapport entre le
dedans et le dehors,
des locaux où la col-
lectivité est possible
et nécessaire, comme
les réfectoires, les
cuisines…
Les images des cartes
postales sont à ce
titre trompeuses qui
font passer un lieu
de fin de vie pour un
Club Med. Souvent,
seul l’âge des per-
jardinet en accueil renforçant
ce sentiment.
La solitude de la femme sur
cette route est accentuée
involontairement sans doute
par le sens interdit, seul point
de couleur vive dans cette
photographie.
Au Clair Logis à Alès, les rési-
dents de la maison de retraite
ont droit à un espace
extérieur posé en bas de
l’immeuble courbé.
Mais il n’y a personne
pour profiter des sièges
de rotin et des jolis para-
sols qui donnent indé-
niablement à l’ensemble
un côté bord de mer ou
hôtel de luxe. Car, à bien
y regarder, avec ses balcons
filants pour chaque chambre,
cet immeuble est assez
beau. On croit deviner une
attention simple et particulière
à une architecture, sinon
d’avant-garde, au moins bien
dessinée. Si la carte postale
ne nommait pas la fonction du
lieu ni la particularité de son
programme, le destinataire
pourrait bien croire que le cor-
respondant est en vacances à
Benidorm.
Les architectes Jean Schneider
et Pierre Myassard devaient
quant à eux avoir d’autres
références lorsqu’ils ont
dessiné la maison de retraite
intercommunale de Saint-
Maur-des-Fossés.
La carte postale Combier nous
montre une façade et un trai-
tement d’entrée qui pourraient
être ceux d’un lycée ou d’une
antenne de
la Sécurité
sociale, voire
du siège
social d’une
entreprise.
Le béton
se croise
de manière
orthogonale,
creusant sur
l’épaisseur des piliers une
grille parfaite que seul le store
rouge baissé vient rompre.
Le photographe se place à
hauteur du piéton et du visiteur
qui devra sans doute, dans
cette grille, trouver, grâce
à l’orientation donnée à
l’accueil, l’étage et le numéro
de la chambre de la grand-
mère ou de la vieille tante.
Une hauteur, une largeur, une
profondeur pour un lieu de
vie dont l’échelle est offerte
à la vue par l’image même
de cette grille. La maison
de retraite de Saint-Calais
représentée ici encore par
les éditions Combier ne nous
donne pas à voir toute son
intelligence.
Depuis cette carte postale, la
modernité vient sans doute
exclusivement des couleurs
primaires sur les ouvertures
et de leur alternance faisant
écho à Mondrian.
À peine devine-t-on le reste
du bâtiment caché par la
chapelle qui est bien l’objet
architectural visé sur ce cliché.
On ne peut ici malheureuse-
ment pas vraiment analyser les
richesses de cette construction
mais simplement s’étonner
que celle-ci soit ainsi rejetée
au profit du pittoresque –son
retrait dont seule la couleur
viendrait un peu réanimer son
originalité.
La dame ne s’est pas assise
dans son fauteuil (lui aussi
tourné vers le lit et non vers
la fenêtre). Le fauteuil n’est
pas pour elle mais pour
les visiteurs. Nous sommes
à la maison de retraite de
Cugand.
Sans doute que Madame rêve
d’aéroport.
Écrit et illustré par David Liaudet en
partenariat avec Archipostcard.
sonnes saisies dans leur pose
nous donne la réalité du lieu.
Des vieux ou des jeunes sur
les images.
Mais est-ce l’image qui nous
leurre ou bien l’architecture ?
Sur la carte postale de la
maison de retraite de Noisiel,
une femme âgée marche sur
la route. Elle est seule dans
cet espace. On devine autour
d’elle l’architecture en ruban
des chambres collées les
unes aux autres, chambres
dont la modernité tient à
peu de chose : une certaine
manière de creuser la façade
en alvéole. Au dos de cette
carte postale l’architecte
est nommé, il s’agit de Jean
Marcot.
Certainement que depuis cette
image, l’architecte ici étale
comme une rue de village les
logements des retraités afin
de leur donner à chacun le
sentiment d’un chez-soi, le
parfois
les cartes
postales ne
rendent pas
hoMMage aux
grands archi-
tectes.
Dans le cadre de notre partenariat avec le blog
Archipostcard, David Liaudet nous envoie une
nouvelle salve de cartes postales. Ou comment faire
rimer « retraité » avec « modernité » ...
bonus
numérozéro
concerts
spectacles
expos
cinéma
numérozéro
concerts
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cinéma
déclencheur
CINÉMA
Camille redouble
Mélancholia
Take Shelter
Oslo 31
Tabou
Jules et Jim
Une séparation
Buffalo ‘66
Paris, Texas
CONCERTS
La femme
Fauve
Oxmo Puccino
Beyonce
C2C
Nicolas Jaar
Arne Vinzon
Deftones
Animal Collective
EXPOS
Edward Hopper
Art brut japonais
Museum of everything
Les cheveux
Sur la route et Jack Kérouac
Les néons
Mélancolie
Picasso et ses maîtres
Chagall
SPECTACLES
Incendies
Chris Esquerre
Festen
Le lac des cygnes
Himmelweg
Peau d’âne
La cantatrice chauve
Rhinocéros
La mouette
la gâ-
chette
numéro zérodu mercredi 13 février au mardi 28 février 2013
cinéma - concerts - spectacles - expositions
la gâchette
du 13 janvier au 23
févirer 2013
déclenche
l’envie de se
balancer
///
no
zéro
JEUDI 12 FÉVRIER
98
Spectacles Concerts Expos
MK2 NATION -
La Vraie vie des profs
Comédie (01h40min) - De
Emmanuel Klotz, Albert Pereira
Lazaro - Avec Emir Seghir, Sami
Bouzid - 13h - 14h30 - 20h-
Amitiés sincères
De Stephan Archinard, François
Prévôt-Leygonie - Avec Gérard
Lanvin, Jean-Hugues Anglade
- Comédie dramatique - 12h -
18h30 - 21h - 22h30
Lincoln
De Steven Spielberg -Avec Daniel
Day-Lewis, Sally Field -Biopic -
13h - 17h15 - 20h - 21h30 - 23h
La Vraie vie des profs
Comédie (01h40min) - De
Emmanuel Klotz, Albert Pereira
Lazaro - Avec Emir Seghir, Sami
Bouzid - 13h - 14h30 - 20h-
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De Stephan Archinard, François
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Lanvin, Jean-Hugues Anglade
- Comédie dramatique - 12h -
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De Steven Spielberg -Avec Daniel
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La Vraie vie des profs
Comédie (01h40min) - De
Emmanuel Klotz, Albert Pereira
Lazaro - Avec Emir Seghir, Sami
Bouzid - 13h - 14h30 - 20h-
CGR MIROMESNIL
Amitiés sincères
De Stephan Archinard, François
Prévôt-Leygonie - Avec Gérard
Lanvin, Jean-Hugues Anglade
- Comédie dramatique - 12h -
18h30 - 21h - 22h30
Lincoln
De Steven Spielberg -Avec Daniel
Day-Lewis, Sally Field -Biopic -
13h - 17h15 - 20h - 21h30 - 23h
La Vraie vie des profs
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Lazaro - Avec Emir Seghir, Sami
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De Stephan Archinard, François
Prévôt-Leygonie - Avec Gérard
Lanvin, Jean-Hugues Anglade
- Comédie dramatique - 12h -
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Lincoln
De Steven Spielberg -Avec Daniel
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CENTRE POMPIDOU
Nouvelles présentation des
collections contemporaines
des années
Place Georges Pompidou M° Ho-
tel de Ville ou Rambuteau - 01 44
34 37 38 Tlj sf Mar de 11h à 21h.
Entrée : 11€ à 13, TR : 9€ à 10€.
Entrée libre -25 ans (résidents
de longue durée dans L’U.E.) et
premier dimanche du mois.
De le lettre à l’image
Jusqu’au 28 mars 2013 Tlj sauf
Ma.
Musée de la chasse et de la
nature
Collections Permanentes
Place Georges Pompidou M°
Hotel de Ville ou Rambuteau
- 01 44 34 37 38 Tlj sf Mar de
11h à 21h. Entrée : 11€ à 13, TR :
9€ à 10€. Entrée libre -25 ans
(résidents de longue durée dans
L’U.E.) et premier dimanche du
mois. - Expos : Cible
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(résidents de longue durée dans
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Cinéma
LE MOTEL
Léopoldine HH
8 passage Josset -
01.58.30.88.52 - M° Ledru-Rollin
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- Lundi 25 février - Pop-Rock - à
partir de 20h - Gratuit - bière
à 3€
LA LOGE
La Fayette
77 rue de Charonne
01.88.36.08.62 - M° Ledru-Rol-
lin - www.myspace.com/leloge
Lundi 25 février Scène française à
partir de 20h
Siestes Acoustiques de Bastien
Lallemant
MARDI 26 FEVRIER Scène fran-
çaise à partir de 20h 10€
SCÈNE BASTILLE
Aesthetic Perfection, C-Lekktor,
Ivardensphere
2 bis rue des Taillandiers -
02.09.83.03.03 - - M° Bastille-
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5 - Dance, House, Techno &
Minimale - A 21h - 20
LE MOTEL
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LE THÉÂTRE DU ROND POINT
La Vraie vie des profs
Comédie (01h40min) - De
Emmanuel Klotz, Albert Pereira
Lazaro - Avec Emir Seghir, Sami
Bouzid - 13h - 14h30 - 20h-
Amitiés sincères
De Stephan Archinard, François
Prévôt-Leygonie - Avec Gérard
Lanvin, Jean-Hugues Anglade
- Comédie dramatique - 12h -
18h30 - 21h - 22h30
Lincoln
De Steven Spielberg -Avec Daniel
Day-Lewis, Sally Field -Biopic -
13h - 17h15 - 20h - 21h30 - 23h
La Vraie vie des profs
Comédie (01h40min) - De
Emmanuel Klotz, Albert Pereira
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Lanvin, Jean-Hugues Anglade
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Day-Lewis, Sally Field -Biopic -
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De Steven Spielberg -Avec Daniel
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CINÉMA
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SPECTACLES
CONCERTS
la gâchette déclencheur
ladu14/01au28/012013n°deux
déclenche l’envie de se balancer
du 12 février au 31 février 2013cinéma - concerts, - spectacles - expos
numéro trois
LA GÂCHETTE
6.
7.
8. Dessins anaglyphe en A3, pour une
projection plus directe et efficace du
spectateur dans un imaginaire alter-
natif, utopique et fantasmagorique.
9. Appropriation et réalisation du jeu
de tarot de Marseille en utilisant
un jeu de tampon. Impression en 3
couleurs avec livret explicatif.
10. Réalisation d’un jeu de puzzle
modulable à volonté en linogravure,
associations démultipliées d’un
corps humain. Un livret regroupe
l’inventaire d’un groupe de diffé-
rentes personnes s’ayant prêter au
jeu pour créer leur propre géogra-
phie du corps.