Dans le cadre d'une série d'intervention en stratégie web à la European Communication School of Strasbourg (www.ecs-strasbourg.com), je mets mes interventions à votre disposition.
Le Lean sur une ligne de production : Formation et mise en application directe
Comprendre le web pour se positionner dessus
1. Qui suis-je ? www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
2. Stratégie web Level 1 : comprendre pour se positionner www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Qu’est-ce que le web ? Qu’est-ce qu’une stratégie ? Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
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6. La définition de Tim O’Reilly Je définis le web 2.0 comme étant la conception de systèmes qui mettent à profit les effets des réseaux sociaux pour tirer le meilleur de ceux qui les utilisent, ou plus simplement,mettre à profit “ l’intelligence collective ”. (définition de 2008, traduction Bertrand Duperrin) www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
12. TWITTER L’ENFANT TERRIBLE 50 millions de membres, dont plus de la moitié sont américains 1,5 million de visiteurs uniques en octobre 2009 (source ComScore) En 1 an, on est passé de 200 000 tweets par jour à 50 millions de tweets par jour Késako ? Service de MicroBlogging qui permet d’envoyer des messages, tweets, gazouillis de 140 caractères à ses correspondants (followers) en mode privé ou public.
19. L'attention comme rencontre "L’attention est une ouverture vers l’extérieur. Il s’agit d’une rencontre qui s’effectue dans la relation : l’attention est construite conjointement par le sujet, en corrélation avec le cerveau, le corps et la myriade de connexions dans lesquelles nous sommes pris" Tiziana Terranova (enseigne les media studies à l’Université de East London) www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
33. L’information est un flux Source : http://www.flickr.com/photos/steve_steady64/1426454467/
34. “ Votre marque n’est pas ce que vous en dites mais ce que Google en dit !” Chris Anderson – Rédacteur en chef de Wired LES DANGERS POUR UNE ENTREPRISE www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
35. LES DANGERS POUR UNE ENTREPRISE « Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réel, ils sont susceptibles d’en parler chacun à 6 amis. Sur Internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis » Jeff Bezos, PDG d’Amazon. www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
36. LES DANGERS POUR UNE ENTREPRISE En 2004 le blog Engadget publie un billet avec une vidéo montrant la façon d'ouvrir avec un simple stylo en plastique, un antivol en U pour vélo vendu 50 $ par Kryptonit. La vidéo est téléchargée 250.000 fois en 72 heures... (vidéo reprise sur d'autres blogs) D'immobilisme en démentis, Kryptonit mettra 10 jours à réagir. La vidéo a été téléchargée 250.000 fois en 72 heures... Pertes estimées pour Kryptonit 10 millions de $ soit 1 million par jour www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
37. des cadres, le site de la marque doit être la principale source d’informations 99% Web : www.vanksen.com
38. des salariés pensent qu’il est facile de détruire la réputation d’une marque sur les médias sociaux 74% Web : www.vanksen.com
40. In-situ Se situer en tant que communicant Le Web, les blogs, les médias sociaux, ce n’est pas une question de technologie c’est une question de philosophie de communication. C’est accepter une perte de contrôle du message. www.guillaume-nicolas-meyer.fr www.twitter.com/guillaume_meyerwww.viadeo.com/fr/profile/guillaume-nicolas.meyer www.netvibes.com/guillaume-nicolas-meyer Cours « Stratégie web » Level 1 : comprendre le web pour s’y positionner
Editor's Notes
http://www.demainlaveille.fr/2010/08/29/infobesite-arretez-avec-ce-non-sens/ Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos , (ah bon! je le savais pas!) et ce de manière régulière, pour éviter le burnout, et lui préserver toutes ses capacités de « calcul ». Or, il faut savoir que déjà, à l’ère des livres, les mêmes problèmes se posaient aux utilisateurs et lecteurs : comment éviter les maux de tête et la fatigue pour trouver, lire et exploiter les bonnes ressources documentaires ? Robert Burton , dès 1621 C’est plutôt la conscience du fait qu’on a une capacité limitée de consommation qui nous « oblige » à s’organiser pour éviter de tomber dans l’excès (sauf exception bien sûr).
l’économiste Herbert Simon ( Wikipédia ) datant de 1971 : “Ce que l’information consomme est assez évident : l’information consomme l’attention de ceux qui la reçoivent. Du même coup, une grande quantité d’information créée une pauvreté de l’attention et le besoin de répartir efficacement cette attention entre des sources très nombreuses au milieu desquelles elle pourrait se dissoudre.” biens public rivaux et non rivaux
Tiziana Terranova, qui enseigne les media studies à l’Université de East London . En conclusion, Tiziana Terranova pose que l’attention n’est pas seulement le résultat du fonctionnement d’un cerveau individuel, comme les neurosciences semblent le dire, elle ne peut pas non plus être réduite à un bien échangeable. L’attention, selon elle, est un processus dans lequel la production de valeur est inséparable de la production de subjectivité. Elle est le produit de l’invention et de la diffusion de désirs, de croyances, et d’affects qui nous sont communs. J’avoue que le raisonnement de Tizinia Terranova est abstrait, d’ailleurs je ne suis pas certain d’en avoir saisi tous les détails. Néanmoins, je trouve intéressant que sa tentative d’interroger ce lieu commun de l’attention, fondement de cette nouvelle économie de l’attention dont on nous bassine partout, et il faut avouer que sa volonté de sortir cette question des deux champs qui l’ont accaparée, à savoir les neurosciences et l’économie, pour en faire une valeur culturelle et sociale, cette volonté, même si on n’en perçoit pas encore tous les aboutissants, est assez stimulante.
« Sérendipité » est, en français , un néologisme créé par calque de l' anglais à partir du mot « serendipity ». Ce terme a été introduit en 1754 par Horace Walpole pour désigner des « découvertes inattendues, faites grâce au hasard et à l’ intelligence [1] ». Walpole s'était inspiré du titre d'un conte persan intitulé Voyages et aventures des trois princes de Serendip , où les héros, tels des chasseurs , utilisaient des indices pour décrire un animal qu'ils n'avaient pas vu. Le mot serendipity ne fait toutefois pas allusion à ce passage, mais à la fin du conte, où les héros deviennent riches, célèbres et adulés, alors qu'ils étaient simplement partis chercher l'aventure. Plus précisément, le mot fut créé par Walpole, le 28 janvier 1754 , dans une lettre à son ami Horace Mann , envoyé du roi George II à Florence . Walpole y fait mention de ce conte persan, Les Trois Princes de Serendip , publié en italien [2] en 1557 par l'éditeur vénitien Michele Tramezzino et traduit dès 1610 en français. Serendib ou Serendip était l'ancien nom donné au Sri Lanka en vieux persan . L'histoire raconte que le roi de Serendip envoie ses trois fils à l'étranger parfaire leur éducation. En chemin, ils ont de nombreuses aventures au cours desquelles, ils utilisent des indices souvent très ténus grâce auxquels ils remontent logiquement à des faits dont ils ne pouvaient avoir aucune connaissance par ailleurs. Ils sont ainsi capables de décrire précisément un chameau qu'ils n'ont pas vu : « J'ai cru, seigneur, que le chameau était borgne, en ce que j'ai remarqué d'un côté que l'herbe était toute rongée, et beaucoup plus mauvaise que celle de l'autre, où il n'avait pas touché ; ce qui m'a fait croire qu'il n'avait qu'un œil, parce que, sans cela, il n'aurait jamais laissé la bonne pour manger la mauvaise. » Walpole précise dans sa lettre que les jeunes princes font simplement preuve de sagacité, et que leurs découvertes sont purement fortuites. Ce conte a inspiré le Zadig de Voltaire [3] , où le héros décrit de manière détaillée une chienne et un cheval en déchiffrant des traces sur le sol ; il est accusé de vol et se disculpe en refaisant de vive voix le travail mental effectué. L'adjectif dérivé [ modifier ] L'anglais dispose de l'adjectif serendipitous , très courant. Le mot est attesté en français dès 1954 dans le Vocabulaire de la psychologie d' Henri Piéron . On pourrait ainsi avoir, en français, « sérendipiteux » (ex. : une découverte sérendipiteuse), « sérendipitant » (proposé par Jean-Michel Briet [réf. nécessaire] ) ou « sérendipien » (proposé par Sylvie Catellin [réf. nécessaire] du CNRS ; ex. : une découverte sérendipienne). D'usage plus courant — même s'il ne recouvre pas totalement le sens du substantif — est l'adjectif fortuit , du latin fors , le hasard, dont dérive aussi le substantif fortune (et bien qu'il désigne une autre notion).
podcasts Avec plus de 7,5 millions de téléchargements (base France), Radio France confirme sa position de leader en mai 2010. En nette progression, le groupe représente à lui seul plus de la moitié des téléchargements de podcasts, soit 54% du total. Sur la base Monde, le groupe Radio France totalise plus de 9,7 millions de téléchargements en mai 2010, représentant 53% du total des téléchargements de podcasts.
Un mème (de l'anglais meme ainsi que du français même ) est un élément culturel reconnaissable (par exemple : un concept, une habitude, une information, un phénomène, une attitude, etc.), répliqué et transmis par l' imitation du comportement d'un individu par d'autres individus. L' Oxford English Dictionary définit le mème comme « un élément d'une culture pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation » [1] . Le terme de mème a été proposé pour la première fois par Richard Dawkins dans Le Gène égoïste ( 1976 ) et provient d'une association entre gène et mimesis (du grec « imitation »), en même temps qu'un jeu de mots sur le mot français « même ». Les mèmes ont été présentés par Dawkins comme des réplicateurs , comparables à ce titre aux gènes, mais responsables de l'évolution de certains comportements animaux et des cultures . L'étude des mèmes a donné naissance à une nouvelle science : la mémétique . Sommaire [ masquer ] 1 Définition 2 Voir aussi 2.1 Articles connexes 2.2 Bibliographie 2.3 Liens externes 2.4 Notes et références Définition [ modifier ] La définition que donne Dawkins correspond à une « unité d'information contenue dans un cerveau, échangeable au sein d'une société ». Elle résulte d'une hypothèse selon laquelle les cultures évolueraient comme les êtres vivants, par variations et sélection naturelle . À l'instar du gène, le mème serait l'unité de base dans cette évolution. Mème et mémétique sont analogues à gène et génétique , appliqués aux éléments des cultures et non aux individus biologiques. Le mème est l'unité cognitive échangeable, permettant la réplication au sein d'un milieu social de complexes mémiques , appelés mémotypes , dont les variations de structure constitueraient l'équivalent des mutations connues en biologie. La manifestation de ce mémotype est alors le phémotype (terme utilisé par Robert Aunger), dont la distinction du mémotype est sujet à controverses, et conditionne le rattachement de l'évolution de ces entités à une évolution lamarckienne ou darwinienne. Les mèmes, éventuellement regroupés en complexes mémiques, ne se répliquent pas au sein des individus, mais suscitent leur réplication en provoquant l'imitation du comportement qu'ils confèrent à l'individu les hébergeant, par d'autres individus. Leur « survie » est donc bâtie sur leur capacité à provoquer un comportement imitable, et se trouve donc soumise à une sélection. On parle par exemple de « communication virale » ( William Seward Burroughs ) pour la diffusion de bouche-à-oreille d' information et de concepts . Selon cette hypothèse, toute culture est constituée d'unités échangeables, qu'elle véhicule d'un individu à l'autre, et se maintient ainsi au travers du temps en subissant toutefois des variations. Leur rôle peut être banal (par exemple : titre de chanson à la mode, marque très connue, …) ou crucial pour la vie en société (par exemple : paradigme , convention commune , …). Un mème peut être largement répandu car il tend à se diffuser par lui-même une fois franchie une masse critique d'utilisateurs du terme ( percolation ). Une définition stable du mème n'existe encore pas clairement à ce jour. Selon les auteurs, la définition utilisée s'adapte le plus souvent à leurs propres travaux ou opinions. Une classification de ces différentes approches, est apportée par les travaux de Pascal Jouxtel et la société francophone de mémétique. l'idée abstraite individuelle : le mème logique, comme instruction, choix, éthique personnelle, règle de conduite, algorithme. l'idée abstraite collective : le mème symbolique, comme symbole, dogme, idéologie, valeur, lien communautaire l'objet concret individuel : le mème neuronal, comme schéma neuronal électrochimique l'objet concret collectif : le mème pratique, comme langage, organisation, trait culturel, convention, procédé, schéma fonctionnel