Le Cloud (informatique en nuage) ou les services en ligne ont changé notre façon de travailler et de partager des informations. Grâce à des services comme Gmail, Dropbox, Flickr, Slideshare, etc, une partie de nos données (photos, documents, contacts et plus) sont en ligne...
Quels outils sur Internet pour m'assister dans mon activité au quotidien ?
1. E-TOURISME WEB 2.0
VER.2
QUELS OUTILS SUR INTERNET POUR M’ASSISTER DANS MON ACTIVITE AU 08/2014
QUOTIDIEN ?
NTRODUCTION
Le Cloud (informatique en nuage) ou les services
en ligne ont changé notre façon de travailler et
de partager des informations. Grâce à des
services comme Gmail, Dropbox, Flickr,
Slideshare, etc, une partie de nos données
(photos, documents, contacts et plus) sont en
ligne.
Le principe de ces services consiste à utiliser la
puissance de calcul et/ou de stockage de
serveurs informatiques distants à travers le
Web. Plus communément appelé le Web 2.0,
ces services permettent de simplifier et/ou
d’organiser son activité au quotidien.
Par exemple, l’e-mail, souvent utilisé comme seul
et unique moyen de communication entre
services, avec ses partenaires ou avec ses
clients, devient un problème quand il duplique
une information supposée rester centrale (fichier
clients…).
L’e-mail doit informer (envoyer une newsletter ou
notifier un collaborateur) et ne devrait pas être
utilisé pour échanger des documents de travail
(en particuliers si ces derniers sont amenés à
évoluer…) ou bien encore utilisé comme une
plateforme de documents (recherche dans les
pièces jointes).
Autre élément important, la sauvegarde des
données informatiques se trouve facilitée et
sécurisée par l’usage des services de
sauvegarde en ligne.
Pour tout cela, le Cloud et les outils en ligne
donnent accès à la demande et en libre-service à
des ressources informatiques partagées
configurables.
’INFORMATIQUE TRADITIONNELLE
Vs LE CLOUD
L’informatique traditionnelle souvent bâtie autour
d’un serveur et d’un réseau informatique ne
permet pas d’être ouvert à la mobilité (accès aux
applications et aux données de par un
Smartphone, une tablette, etc.).
Alors que l’informatique dans le Cloud permet
de s’affranchir des distances…
…et d’être :
Flexible
Fiable (récupération des données)
Collaboratif
Mobile
Sécurisé
Moins cher à l’usage (absence de frais
d’investissement)
…
En revanche, il demande :
Une connexion Web indispensable (et
performante !!!).
De confier ses données à un tiers (ex
Google).
I
L
1
2. RAVAILLER A PLUSIEURS - LE
TRAVAIL COLLABORATIF
Les raisons peuvent être de plusieurs ordres :
géographiques (mobilité des salariés, télétravail,
etc.) ou bien encore organisationnelles
(collaboration autour d’un projet, etc.).
Les objectifs :
Informer :
o Donner rapidement des
informations liées à l’entreprise,
o Accéder aux informations
structurées et validées par
l’entreprise,
o Créer (ou initier) des contenus non
structurés.
Fédérer les collaborateurs de l’entreprise
(culture commune).
Identifier rapidement les référents dans
les domaines métiers.
Mutualiser les bonnes pratiques.
Optimiser l’utilisation des mails.
Partager et capitaliser les connaissances.
Les domaines impactés :
La veille (référencer des ressources
intéressantes et même stratégiques pour
l’entreprise).
Gestion du temps (agenda, réunion, etc.)
L’organisation de l’information (partage de
fichiers, diffusion, etc.).
La communication (entre services, avec
ses clients, entre collègues RSE
Réseaux Sociaux d’Entreprise).
ES OUTILS COLLABORATIFS ET
DE CLOUD
1- La veille collaborative :
Avec Diigo.com qui vous permet de classer,
d'indexer vos favoris au moyen de mots-clés
personnels (les tags) et d'accéder à ceux des
autres utilisateurs. Mais il permet surtout de créer
des bibliothèques collectives et accessibles via le
Web.
2- Le Webmail :
Avec par exemple, Gmail, qui vous permet de
gérer des libellés (principe de la Gestion
Electronique de Documents) ou bien encore de
partager un agenda.
3- Le partage de fichiers et les sauvegardes
en ligne :
Avec Drive ou Dropbox qui sont des services
de stockage et de partage de fichiers dans le
Cloud.
Quelques outils « Cloud » disponible dans Drive :
traitement de texte, tableur, formulaire, HelloFax,
MergePDF, Pixlr Editor, WeVideo, etc.
Utilisés de façon légèrement détournée, ces
services peuvent devenir des solutions de
sauvegarde très intéressantes (de par les
possibilités de synchronisation).
4- Les Réseaux Sociaux d’Entreprise (RSE) :
Les solutions logicielles disponibles pour gérer
un Réseau Social d'Entreprise sont nombreuses
et l'offre s'enrichit régulièrement (voir lien ci-après
: http://social-collaboratif.blogspot.fr/2011/
06/48-solutions-proprietaires-de-rse-et.html)
Les fonctions principales tournent autour de :
Collaboration sociale (profil, mur, tableau
de bord, contact sociaux…)
Edition et publication de contenu (portail,
blog, wiki, forum, flux…)
Partage documentaire (fichiers et
documents, recherche, versioning…)
Gestion de projets (ressources, planning,
workflow, risques…)
Organisation et bureautique (messagerie,
contacts, agenda, tâches, édition de
documents…)
Echanges distants synchrones
(messagerie instantanée, vidéo-conférence…).
5- La messagerie instantanée :
Avec Hangouts la pièce maitresse de Google+,
il s’agit d’une panoplie de services de
messagerie instantanée. A priori elle n’apporte
pas grand-chose en plus que Skype mais
permet de connecter jusqu’à 10 participants
lors d’une réunion à distance et intégration
parfaite avec les autres services de Google.
T
L
2
3. Les 10 commandements du
QRcode :
1. Tu choisiras ton type de
QR Code.
2. Tu personnaliseras ton
QR Code.
3. Tu contrasteras les
couleurs.
4. Tu adapteras la taille de
ton code.
5. Tu sélectionneras ton
support.
6. Tu optimiseras la
visibilité de ton QR
Code.
7. Tu t’assureras de la
présence d’un réseau
téléphonique adapté.
8. Tu indiqueras le
fonctionnement de ton
QR Code.
9. Tu offriras de la valeur
ajoutée.
10. Tu mèneras ton QR
Code sur un site
MOBILE.
ESTION ET DIFFUSION DE VOS
CONTENUS
Le site Internet peut être considéré comme « un
socle » dans la communication ce qui n’exclu pas
pour autant d’utiliser d’autres canaux de
communication, en fonction du type de contenu
que l’on souhaite diffuser :
Présentation, notice, formulaire …
Photos, vidéos …
Réseaux sociaux
Plans d’accès
Agendas
Etc.
Les services Web incontournables :
Possibilité d’intégrer les réseaux sociaux…
... ou d’utiliser des QR Codes :
Les avantages du QR Code :
Grande capacité
Taille d'impression réduite
Résistant à l'usure
Lisible dans tous les sens
Un QRcode peut contenir différentes
informations :
Un texte alpha numérique
Une URL = une adresse Web
Un contact complet (nom, téléphone,
adresse...)
Une action spécifique : Afficher un plan
(Google Maps), envoyer un message
(SMS, E-mail), obtenir un code Wifi, etc…
G
Vidéos…
Présentations…
Images…
3
4. ONCLUSION
C
Avant le digital, une entreprise évoluait dans un
univers unique : le monde réel.
Un monde qui, au début des années 90, a vu
surgir un second univers avec l’explosion
d’Internet et qui depuis 20 ans et de longues
années d’expérimentation, a permis aux chefs
d’entreprise d’identifier les « best practices »
pour optimiser leur business dans cet
environnement et d’en faire un potentiel pour leur
activité.
De ce fait, les entreprises évoluent à présent
dans deux univers parallèles, profondément
interdépendants, où les usages numériques
deviennent un enjeu de plus en plus majeur.
Que ce soit le Cloud, qui s’inscrit directement
dans ces évolutions, en permettant disposer de
l’ensemble de ses informations où que l’on soit,
ou bien les FabLabs ou les MOOCs (qui sont des
cours gratuits et ouverts en ligne), les
technologies numériques font apparaitre de
nouveaux usages et de nouveaux modèles.
Il est à noter que « d’ici 2020 - autant dire
demain - 90 % des emplois nécessiteront des
compétences numériques, et nous ne
sommes pas prêts. Déjà, les entreprises
européennes manquent de travailleurs qualifiés
dans le domaine des technologies de
l’information. Nous devons remédier à cette
situation… », explique Neelie Kroes, vice-présidente
de la Commission européenne
chargée de la stratégie numérique (source :
Frenchweb - 28 mars 2014).
4