2. Toujours en attente d’une reprise économique 2
• Les investisseurs explorent leurs options mais la plupart
attendent pour s’assurer de la stabilité politique et de la
direction politique
• Le gouvernement a toujours peu de ressources à disposition
o Pression fiscale n’a pas augmenté
o Décaissements d’aide extérieur sont lents
• Dépréciation d’Ariary a contribué au renchérissement des prix
d’importation, notamment du riz
• Taux d’inflation reste stable à 6.1 % (sep 2013-sept 2014)
• Exportation a augmenté de 7.6 %
3. La Loi de finances rectificatives 2014 est en vigueur 3
• Axé sur l’amélioration de l’accès de la population aux services
sociaux de base de qualité, le développent des infrastructure et
le soutien aux secteur productifs.
• Les recettes fiscales correspondent à 11.6% du PIB et les
dépenses publiques correspondent à 16.6% du PIB. Le déficit
budgétaire sera comblé par l’aide extérieur et les emprunts
judicieux.
• Des appuis budgétaires sont prévus. L’Etat va accroître la
proportion des programmes d’investissement publics sur
financement intérieur.
4. Plus de ressources allouées aux services sociaux 4
• L’État a augmenté les allocations du budget aux programmes
santé et éducation, y compris les ressources destinées à
o Réouverture des centre de santé de base
o Prise en charge des enfants malnutris
o Achat de vaccins
o Kits scolaires
o Construction de 400 nouvelles salles de classe
o Etc.
• L’État a annoncé récemment de reconsidérer l’allocation
importante de ses ressources en subvention régressive,
notamment à la JIRAMA, pour qu’il y ait plus de ressources
disponibles pour les services sociaux.