Les cabinets de curiosités par sarah retourne sultan, morgane kadarbi & bapti...
Parc de la tête d'or
1. En 1530, les terrains constituant l'actuel parc sont la propriété de la famille Lambert, et le lieu
porte déjà le nom de « tête d'or ». En 1662, une pièce d'archives mentionne le domaine de
appelé Grange Lambert, possession de l'Hôtel Dieu ainsi héritier universel de Catherine Lambert
[3]
. Le nom de « Tête d'Or » provient d'une légende selon laquelle un trésor avec une tête de
Christ en or serait enfoui à cet endroit. Le domaine était alors une zone inondable constituée de
lônes, bras morts du Rhône, et de brotteaux (marécages en lyonnais). Il le restera jusqu'à la
création du parc.
2. En 1530, les terrains constituant l'actuel parc sont la propriété de la famille Lambert, et le lieu
porte déjà le nom de « tête d'or ». En 1662, une pièce d'archives mentionne le domaine de
appelé Grange Lambert, possession de l'Hôtel Dieu ainsi héritier universel de Catherine Lambert
[3]
. Le nom de « Tête d'Or » provient d'une légende selon laquelle un trésor avec une tête de
Christ en or serait enfoui à cet endroit. Le domaine était alors une zone inondable constituée de
lônes, bras morts du Rhône, et de brotteaux (marécages en lyonnais). Il le restera jusqu'à la
3. À l'origine, le jardin botanique de Lyon est issu d'un décret de 1794 de la
Convention nationale qui oblige la création d'Écoles Centrales pour les villes de plus
de 300 000 habitants. Ces écoles doivent enseigner les sciences, les lettres et les
arts. Elles doivent être accompagnées d'un cabinet d'histoire naturelle et d'un jardin
des plantes.
4. À l'origine, le jardin botanique de Lyon est issu d'un décret de 1794 de la
Convention nationale qui oblige la création d'Écoles Centrales pour les villes de plus de
300 000 habitants. Ces écoles doivent enseigner les sciences, les lettres et les arts. Elles
doivent être accompagnées d'un cabinet d'histoire naturelle et d'un jardin des plantes.
5. À l'origine, le jardin botanique de Lyon est issu d'un décret de 1794 de la
Convention nationale qui oblige la création d'Écoles Centrales pour les villes de plus de
300 000 habitants. Ces écoles doivent enseigner les sciences, les lettres et les arts. Elles
doivent être accompagnées d'un cabinet d'histoire naturelle et d'un jardin des plantes.