2. Revaloriser la rue Tripoli (parcours matrice), lui offrir
une qualité d’ambiance urbaine et acquérir un caractère
spécifique
Renforcer l’axialité
Délocaliser les zones industrielles polluantes.
Donner une nouvelle configuration fonctionnelle et
spatiale pour le lieu vécu.
Assurer une continuité entre l’Hussein Dey et la bande
littorale et proposer un tissu de jonction pour renforcer la
liaison.
Plan de travail
Introduction :
1-Objectifs
2-Problématique
3-Présentation de l’approche
d’analyse « la
phénoménologie » :
Définition
objectifs
Concepts
Organigramme.
4-structure du l’analyse :
4-1 : l’image d’Alger
4-2 : Hussein Dey : (perle ferme)
1- Présentation du lieu
2 -L’image du l’Hussein dey
3- identification de différents
parcours
4- les séquences du parcours.
5- l’implantation
6- la morphologie
7- le rythme.
•Phénoménologie du lieu d’Hussein Dey :
la problématique
« Comment faire du parcours tripoli un
parcours de promenade“
Les objectifs Parcours de promenade
3. Le terme est lui-même composé à partir du
grec :
- « phainomenon : « ce qui apparaît »
-logos « discours étude et science »
Telle que la définie le fondateur du courant
de la phénoménologie Husserl au début du
20 siècle:
« la phénoménologie est la science des
phénomènes dont la principale consigne
est le retour aux sources même de
l’évidence dans laquelle les choses se
pressentent à notre conscience. »
Ce courant philosophique repose sur les
concepts suivants et qui vont être utilisés pour
notre analyse :
- Le lieu
- Le parcours
- L’image
- L’implantation
-Le paysage
- La morphologie
- Le rythme
L’objectif de l’approche de Schulz est la
conquête de la dimension existentielle,
soit par la création d’une architecture
représentant des situations existentielles
qui aident l’homme à s’orienter et
s’identifier à son milieu.
Pour cela il faut avoir une parfaite
connaissance des qualités espaces et
caractères du lieu naturel et artificiel (qui
est une révélation du paysage). pour
découvrir le génie du lieu, il faut tester «
l’usage du lieu » qui va bien au delà des
notions d’utilisation ou de nécessité, mais
également les actes, les significations et
les conditions psychiques.
Aujourd’hui, le monde vit une situation de
perte des lieux qui est du à la perte
d’identité de vue, des limites et du
caractère
L’objectif de l’approcheDéfinition de la phénoménologie
La phénoménologie
4. Définition des concepts
lieu =espace vécu
Qu’est ce que le lieu?
-c'est la manifestation concrète du monde
de la vie ,et en tant qu'art instrumental.
L'architecture est l'art du lieu.
-Avec le lieu, l’espace et le temps prennent
une valeur précise et unique, ils cessent
d’être abstraction mathématique ou sujet
d’esthétique, ils acquiert une identité et
deviennent une référence pour notre
existence ».
- C’est un ensemble d’éléments concrets
caractérisés par une présence matérielle:
forme, texture, couleur,…etc. tous ces
éléments définissent un caractère
d’ambiance qui est l’essence du lieu..
-Le monde dans lequel on vit, est construit
par des phénomènes: personnes,
animaux, plantes, fenêtre, portes…etc.
Mais notre vie comporte également des
phénomènes plus intangibles tels que les
émotions, les pulsations et l’aise. Certains
de ces phénomènes constituent l’espace
qui le milieu. Un autre terme pour définir le
milieu est le lieu. L’art du lieu
L’image :
D’après Heidegger la nature de l’image réside
dans ce quelle laisse entrevoir quelque
chose.
L’image de la ville se définit comme une
représentation mentale individuelle ou
collective du milieu urbain, l’image
possède une identité, une structure et une
signification.
L’image doit pouvoir être identifiée, liée à
un objet c’est-à-dire distinguée de ce qui
l’entoure et recouvre en tant qu’entité
séparée.
« image n’est pas plate mais embrasse
tant la lumière du ciel que les profondeurs
de la terre et offre une explication qui se
voile à la fois, habiter, vers une
architecture figurative »
Schultz, l’art du lieu
proche et lointain à la fois et rapporte ce
qu’il y a de loin à ce qui est prés.
L’expérience de l’implantation ne consiste
pas à additionner des édifices isolés mais
à se rendre compte spontanément d’une
forme d’ordre supérieur que nous
pouvons appeler « espace urbain »
5. 4- le paysage :
Portion d'espace visible d'un seul regard à partir d'un endroit donné et que l'on considère pour
son aspect remarquable.
5- L’implantation :
C’est l’installation et l’intégration durables dans un lieu
Toute implantation rassemble un monde proche et lointain à la fois et rapporte ce qu’il y a de
loin à ce qui est prés.
L’expérience de l’implantation ne consiste pas à additionner des édifices isolés mais à se rendre
compte spontanément d’une forme d’ordre supérieur que nous pouvons apper « espace urbain
»
6- la morphologie :
Forme et aspect extérieur et général (de quelque chose). Une forme devient
figure lorsque, mise en œuvre, elle est organisée d’une manière précise. Des
bâtiments circulaires ou linéaires , des coupoles ou des tours ne deviennent
réels que s’ils sont matérialisée en choses concrètes , à l’intérieur d’une relation
terre ciel se referant à un usage. « L’art du lieu : Schulz »
7- le rythme :
Le rythme est crée par la répétition d’éléments reconnaissables à intervalles réguliers,
il est en quelque sorte la mesure du mouvement, que celui-ci soit mouvement effectif
ou simplement mouvement de l’œil. Le parcours le plus marquant, en architecture,
sont verticaux. Leurs éléments de base sont piliers, colonnes, ouvertures, (portes et
fenêtres) , ou simplement la largeur régulière de façades se succédant.
7. Présentation de la ville d’Alger
Alger est la capitale d’Algérie, est l'un des grands ports de la méditerranée. C’est après Casablanca
la plus grande agglomération d’Afrique du Nord.
Il y a quelque 3 000 ans, les Phéniciens établirent un comptoir sur le site actuel de la ville, qui devint
cité romaine sous le nom d'Icosium. Alger fut fondée par les Berbères en 925.
Topologie : Le territoire algérois appartient au complexe
montagneux de l’Atlas Tellien qui représente un relief
complexe et différentiel : un étroit cordon littoral et des
bassins intérieur constituant la plaine de la Mitidja., ce
territoire s’étend à 300 Km
La ville d’Alger contient 28 communes et 1585609
habitant
Le Gouvernorat d’Alger contient 57 communes et
2562428 habitants arrondis au total à 256000.
Le climat d’Alger est le climat méditerranéen typique :
été chaud et sec, hiver doux, printemps et automne
orageux.
8. L’image d’Alger : « La baie qui côtoie la méditerranée »
Paysage naturel:
« C’est une ville qu’on ne peut se lasser d’admirer et
dont l’aspect enchante l’imagination, assise au
bord de la mer, sur le penchant d’une montagne, elle jouit
de tous les avantages qui résultent de cette
Position exceptionnelle; elle a pour elle les sources du
golf et de la plaine, rien n’approche l’agrément de sa
perspective Abou Mohamed El Albery.»
La vieille ville, bâtie sur les hauteurs, est parcourue de
ruelles étroites et sinueuses. Elle est dominée par une
forteresse turque du xvie siècle, la Casbah, qui a donné
son nom au quartier entier. Dans la partie basse,
s'étend la ville coloniale, moderne, aux larges avenues..
Les quartiers alentour sont essentiellement résidentiels
et industriels.
9. Alger apparaît magnifique avec son étagement en vaste
amphithéâtre que constitue le Sahel. Le site originel de la
ville est très classique dans le monde méditerranéen: une
acropole (la Casbah) adossée au massif de la Bouzareah
qui permet la défense d'une «marine», un port abrité des
vents d'ouest grâce à un alignement d'écueils et d'îlots (al-
Djazaïr). Dans un cadre superbe constitué par la baie
d'Alger et son amphithéâtre de collines et de plateaux
escarpés sur lequel s’appuient les terrasses habitées, qui
s’étagent en escalier jusqu’à la mer et qui abritent les
réalisations prestigieuses de grands architectes (Le
Corbusier, Pouillon),
L’amphithéâtre a l’origine était un vaste édifice romain,
circulaire ou elliptique, constitué de gradins étagés, la
scène et les coursives.
Image de comparaison:
Gradins : les reliefs, étagements des maisons
La scène : la mer, le port
Les coursives : les différentes percés
La façade :La façade : travail monumental sur la façade
urbaine de la ville d’Alger ,la construction de
l’édifice de type Haussmannien
10. Intérieur d’Alger :
Qui représente le noyau historique et colonial
d’Alger, s’étend jusqu'à Agha, ici se dégage une
atmosphère de bâti dense accroché au relief de la
baie et qui s’étend jusqu’au bord de la mer offrant
ainsi une façade urbaine maritime
Les quais du port d'Alger s'étirent sur près de
15 km : derrière les immeubles de style européen
s'étend la Casbah, qui a conservé son aspect
traditionnel.
Noyau historique
Alger la blanche : bâtiment colonial
-Périphérie d’Alger :
Arrivé à Agha, nous assistons à un changement de
topographie, Celle-ci s’aplanie créant ainsi une
rupture visuelle avec la mer, cette rupture est
accentuée par le recul établi par la façade urbaine,
qui tourne le dos à sa baie. Nous assistons à ce
niveau à la formation d’un vide urbain le long de la
baie, et la prolifération d’industries de tout genre,
structurées par la voie rapide.
12. Parcours de la ville d’Alger à l’Hussein
Dey :
La ville d’Alger s’est développée
progressivement le long de la baie, ainsi
qu’à l’intérieur au niveau des plaines et
des hauteurs
Le 1er
développement s’est effectué à
partir de la Casbah avec l’extension de la
ville intra-muros qui a donné naissance
aux quartiers avoisinants : quartier d’Isly,
1er
Mai.
Ce même développement est plus
accentué vers l’est, en occupant la plaine
d’ElHamma où vient se greffer le quartier
d’Hussein Dey.
A travers son développement, la ville
rejetait ses activités industrielles vers
l’extérieur qui furent accueillis par la
périphérie. Ce phénomène était
accompagné d’un glissement de
centralité de la Casbah à Hussein Dey.
13. Intérieur d’Alger
La marine-la Casbah-
Grande poste- Tafoura
Périphérie d’Alger
Port d’Alger La Gare d’Agha La Gare de Belcour
Caractère fortement administratif et
commercial : port- Gare- Ministère de
finances- Hôpital- HLM- Place 1er
Mai
le caractère qui domine est celui de culture
et de loisirs: l’hôtel Sofitel –la BN- le musée
des beaux arts- le bois des arcades- le jardin
d’essais-le monument Riad El Feth-
banques- assurance
Gare Hussein dey
Le caractère y est mitigé, entre la culture et
l’économie mais un fort potentiel de sport et
loisirs y est ancré. on recense des présences
telle que :
-Hippodrome
-universités
Caroubier
14. · C'est une commune côtière située à 10
KM l'Est du centre d'Alger, elle s'étend sur une
superficie de 425Ha
· -la commune d'Hussein dey située dans
la demi couronne de la baie d'Alger, ainsi elle
donne sur la mer méditerranée en sa limite
Nord,elle s'étire sur une bande longue de 3Km
elle est limitée selon les critères
administratifs,comme suit:
-Au Nord: par la mer
-Au Sud : par les communes d'El-
Harrach, d'El-Magharia et de Kuba.
-Al' Est: par le chemin de la glacière,
oued El-Harrach.
-A l'ouest: par la commune d'el Hamma
et el-Annassers.
· Hussein dey se trouve à l'intérieure de la
plaine côtière qui est caractérisée par des pentes
qui varient en allant vers le sud, elle s'élève de la
cote 0 du niveau de la mer jusqu'à la cote 93,à
L'ouest les pentes sont très faibles, elle s'animent
en allant vers l'Est (cote rouge) mais sans
dépasser les 5%.
Présentation du lieu:Hussein dey:
Communes Nombre d’habitants
Hussein Dey 49921
El Magharia 30457
Kouba
Magharia
Hussein Dey
Hamma,elAnnasser
Harrach
15. Limites du lieu
Route national
5 Voie(ALN)Chemin de fer
Chemin Fernan
hanafi
La bretellePont de la farge
17. L’image du lieu Hussein Dey
Hussein Dey la perle cachée,enfermée dans sa coquille ,une perle
qui appartient à un bleu conjugué entre celui de la mer et celui du
ciel,implanté dans un milieu naturel.
Une perle qui est rejetée par les vagues de son milieu pour qu’elle
se trouve seule dans la périphérie entourée du sable noir et
polluant ,de gros rochets qui l’éloigne de la mer ,et sa coquille qui
ne cesse de s’enfermer pour qu’elle sera cachée et oubliée,mais
elle attend toujours le souffle d’un vent si doux,si fort pour qu’il
puisse la rendre vivante et existante,à son milieu naturel.
18. L’enclavement du lieu
Hussein dey présente une structure urbaine globalement pas très bien organisée
avec un centre animé, des tissue souvent pavillonnaire et des implantations peu
cohérentes d'unités industrielles, d'habitats collectifs et individuels, qui
s'organisent le long du parcours matrice tripoli.
Donc l'image extérieur du lieu c'est l'enclavement par rapport à Alger à cause de la
bande industriel qui est un rempart.
L'image extérieure d'Hussein dey
19. L'image intérieur d'Hussein dey
En allant vers l’Hussein Dey, on traverse du
l’intérieur un long parcours, à un moment donné ; sa
grande dimension lui procure la présence d’un point
de fuite qui vient renforcer cet ordre axial.
En traversant ce dernier on assiste à un défilé du
bâtis de base de différents types du côté gauche et
de bâtis spécialisés du côté droit.
Tout le long du parcours on est frappé par la qualité
et le caractère du paysage artificiel, cet espace vécu
présente un tissu lâche consommant un lieu d’une
manière irrationnelle, urbanisation non maîtrisée et
anarchique et surtout à caractère industrielle, des
bandes, d’hangars et de dépôts : des barrières qui
viennent couper la continuité entre un lieu naturel et
le lieu artificiel
En parcourant ce dernier on ressent l’absence d’un
ordre urbanistique dû à l’absence d’une coexistence
idéologique rentrant dans différents cadres :
architecturaux, sociaux …. Ce lui procure une image
faite d’unité individuelle fragmentée opérant avec
l’ordre de l’égoïsme humain qui vient d’une certaine
manière fausser le timbre de la ville tout on éliminant
tout ce qui est naturel
20. L’image intérieur d’Hussein dey
L'atmosphère du lieu:
La première image que j'ai eu lors de ma première visite à ce lieu HUSSEIN DEY ; été une image angoissante
avec une vision pessimiste ; j'avais un sentiment de renfermement comme si j'été dans une boite totalement fermé,
et cette boite je l'ai imaginée comme une usine, qui provoque la pollution industrielle (forme de nuisance) dans cet
lieu.
Mais tout en avançant du caroubier vers le centre j'ai santé une certaine ouverture surtout sur le coté sud du
parcours matrice tripoli, avec des façades un peu ouvertes avec
Une certaine ambiance, contrairement au nord qui est totalement aveugle,
Pour cela j'ai symbolisé le lieu par une belle jeune femme qui exprime la beauté du lieu ,et la robe de cette femme
qui est divisé en deux partie qui exprime les deux coté du parcours tripoli et la différence entre ces deux coté est
exprimé par la différence de couleur
La façade nord Façade sud
La pollution
21. Hussein Dey présente un lieu urbaine globalement
homogène : un centre animé avec des petits ilots, un
tissu pavillonnaire vers le haut et de grands
ensembles à l’ouest ainsi que des implantations
industrielles occupants de grandes surfaces
dispersées tout le long du parcours.
Hussein Dey s’est développé comme étant une
périphérie d’Alger qui par la suite à connu la
densification de son tissu, mais actuellement avec le
glissement de la centralité des problèmes énormes
se présentent :
la rupture avec le tissu urbain d’Alger :
La discontinuité est due à l’installation des industries
sous formes d’entités fermées
la rupture avec la mer :
Engendrée par la présence de limites rempart
fonctionnelles et architecturales : le chemin de fer, la
moutonnière et la rue Tripoli, ce qui empêche
l’ouverture sur la mer.
l’état vétuste et incompatible du bâties :
Le bâtie de base qui fut destiné à l’origine aux
ouvriers mais qui aujourd’hui ne répond plus aux
besoins, on outre on a le bâti spécifique qui est
incompatible avec le nouveau statuts dus quartier.
Zone industrielle Superficie en Ha Nombre d’employés densité Branche d’activité industrielle
Hussein Dey
Cote rouge
30 2183 71.76 -ISMMMEE (industrie sidérurgie,
métallurgie, mécanique,
électronique, et électricité),
-industrie agro-alimentaire
L’image objective du lieu
22. Des hauts bâtiments font la relation entre ciel et terre, en accentuant le caractère de verticalité . La façade
urbaine qui donne un aspect mystérieux qui coupe la vision et interrompe l’extérieur du l’intérieur tout en
donnant une image plein du brouillard
le lieu artificiel « paysage classique »
Le lieu artificiel c'est le lieu urbain est le caractère de notre lieu c'est la
fermeture l'enclavement, et l'espace fermé signifie avant tout un lieu distinct et
séparé du milieu naturel à cause de la construction limite qui est la bande
industrielle, un mur de clôture.
Le lieu artificiel représente complète et symbolise la connaissance que l'homme
a de son milieu, les habitation urbains les places ……tout ces lieux
23. Les parcours desservants Hussein Dey
1. la route nationale N°05 :
Est le support d’un trafic routier
important et constitue un obstacle de
franchissement pour les sites tels que la
gare routière.
Elle sépare entre la ville d’Hussein et la
mer (du coté Nord), permettant une vue
extérieure globale sur la position
d’Hussein Dey dans la baie d’Alger
reliant deux paysages : le paysage
cosmique du coté Nord, et le paysage
classique du coté Sud.
2. Parcours Tripoli :
par l’action d’élargissement du
boulevard et les différents traitements qui
lui seront apportés, l’axe de
Tripoli sera rehausser au rang d’une
grande avenue reliant la zone au
Caroubier à la place du 1er
Mai ce qui lui
confirme la notion de parcours
MATRICE.
Ce parcours matrice Tripoli a fait l’objet
de l’implantation des industries suite à
l’installation du chemin de fer,
l’autoroute, isolant plusieurs parties du
bâti
3. Parcours Kadour Rahim :
Cet axe serra prolongé à la rue
Mohamed Hassen Bey et
deviendra le support principal de la
zone des grands équipements. Sa
position centrale lui permettra de
jouer un rôle de liaison interne
entre les différentes zones
d’Hussein Dey et entre le pôle
important comme l’hôpital Parnet et
le future centre d’affaires des
abattoirs.
4. Parcours Fernane Hanafi :
Cet axe traverse la zone
d’Hussein Dey dans sa partie
Sud. Il joue un rôle de transit
périphérique aux flux des
voitures en provenance de
l’Est d’Alger et allant vers
l’hyper centre.
Parcours d’Hussein Dey :
L'identification du lieu Hussein dey se fait par des parcours qui forment un domaine public de transit,
continue et différencier :
25. Les séquences de parcours:
le centre:
limitée du coté Ouest par le 1er
seuil qui est le pont de la
farche, du nord par la voie
ferrée,de l’Est par la rue
Hamadache Moussa, et du sud
par l’axe Fernane Hanafi. Sa
position centrale permet une
forte liaison :Alger / H-Dey.
Elle reçoit le 2éme seuil:Gare
d’Hussein Dey.
Brossettes:
elle s’étend de l’inter- zones
Brossettes , tout le long de l’axe
Tripoli jusqu’à la limite de la côte
rouge.
côte rouge:
Limitée du coté Est par le seuil de
la Bretelle et du nord par l’avenue
ALN prenant une partie du
Caroubier.elle reçoit un autre seuil
c’est celui de la gare routière.
27. Sa position centrale par rapport aux extensions de l'agglomération d'HD, lui confère son rôle de
"centre'' même la dégradation et vieillissement de ses bâtiments.
Elle est composée d'un ensemble mélange d'activités, pour cela elle a plusieurs caractères :
1-Caractère éducatif: (lycée aicha, lycée boulkine),
2- Caractère administratif (la daïra PTT,,APC)
Lycée Thaalibia
3-Caractère résidentiel
(habitat collectif ou mixte)
activité
équipement
H collectif
H individuel
La daïra
L’APC
PTT
Caractère religieux
( la mosquée)
typologie
28. Caractère du centre
-Les constructions ne présentent aucun intérêt architectural (ni décoration, ni
forme architecturale particulière)
Architecture coloniale classique qui présente le paysage classique,à importé
son model culturel ,une liberté au niveau des façades ce qui frise l'anarchie .
A Hussein dey l'urbanisation et l'édification ont été gérées par le type en ligne
et le type en bande.
Le sky ligne de la façade nord du tripoli ( centre)
on a une morphologie très hétérogène
État du bâti:
Les immeubles ont été réalisés pour la plupart durant l'époque coloniale, il présentent une variété
très riche allant du simple pavillon à RDC à l'immeuble collectif de R+5.
29. c'est une maison en bande dédoublée,
Ex: Immeuble d'habitat variante de rive en R+6,
L'immeuble se développe sur 6 modules et 3 en profondeur ,symétrie au niveau de la
façade (tracé géométrique).
Habitat de type en ligne
Façade sur tripoli Le tracé géométrique de la façadeLes plans de l’immeuble
30. Habitat à façade étroite
Ex:Immeuble de rive sur R+2 avec un
pressing au RDC et log de gardien.
Le front est composé de 2 modules
par contre la profondeur est plus
tendus, s'étalant sur 4 modules.
Paysage classique
Habitat de type en bande
Le tracé géométrique
31. Cette entité se caractérisée par ses fortes densités en habitat surtout l’individuel qui occupe la
partie sud de Brossette et tout autour de rond-point et en commerces, on outre on trouve des
équipements multifonctionnels ( caserne,hôpital,CTC,…) qui sont positionnés le long de la rue
tripoli
2eme séquence:Brossette
Équipement existent
Activité existant
Habitat collectif
Habitat individuel
Pour la composition urbaine de cette zone on trouve que cette dernière est composée de plusieurs
sous entités (Trame régulière) ou : l’habitats et les équipements sont disposés d’une manière où on
a des percés des rues perpendiculaires qui nous donne cette forme de trame régulière.
32. typologie
Habitat individuel
Habitat collectif
le centre culturel
le tribunal l’école paramédical.
Pour la façade on a un rythme régulier horizontal. Généralement les ouvertures sont les
éléments rythmiques verticaux.
33. Le seuil :
Le premier seuil pour pénétrer dans le quartier de Caroubier représente plus
un élément d’orientation qu’un seuil physique car qui dit seuil dit
certainement une porte urbaine, une différence de niveau une chose qui est
concrète et matérialisée c’est la fin de Brocette limité par la zone militaire
qui marque le départ de domaine Caroubier.
Il indispensable de mentionner que ce lieu est structurer le long d’un
parcours qui est l’élément plus intéressant dans notre analyse suite aux
objectifs définis au part avant, un parcours qui nous donne une impression
d’une perspective sans fin et d’un lieu sans limite mais c’est pas le cas car
caroubier se termine par la brettelle de Oued Ouchaïh
La 3ème Séquence : Caroubier
34.
35. Les hangars de Caroubier sont l’implantation la plus ancienne elles dates
de 1867après l’inauguration de la voie ferrée. Les colons voulaient
adoucir la condensation du centre vers l’Est Mais ces activités ont
tendance a ce délocalises laissant derrière eux des entités importantes
délaisses et vêtus formant un obstacle devant le développement de la rue
et la création des ambiances au niveau du parcours de Tripoli. qui donne
a ce lieu une image déplaisante du coté nord en se promenons dans celui-
ci, mais le parcours de tripoli revient toujours pour séparer entre ces
hangars et la partie sud qui est plus ou moins ambiante sa propriété
spéciale c’est ce mélange entre les activités tertiaires et l’habitats dans
cette partie de Caroubier on distingue quelque quartiers répartis
aléatoirement sans aucune organisation urbaine ni même de relation entre
eux ils sont vécus comme distants les uns des autres et cela et dû au
résultat de la réparation dans la période coloniale où les gens occupés les
terres à proximité des hangars pour faciliter le déplacement ils
s’installèrent en premier lieu sur la deuxième partie du parcours tripoli
puis se déplacèrent vers le sud. Même cette partie comprend des activités
de types industriels qui remontent à la période coloniale.
Le lieu : Caroubier
36.
37. Caroubier donc se caractérise par un caractère plus industriel que résidence car
on voit la dominance du type spécialisé que le type de base. Entre ses
différents bâtis existent des parcours et des rues qui forment le réseau de voirie
de ce domaine Caroubier se dote de deux Grands parcours large qui sont
Tripoli et Moghni d’une moyenne de largeur de 12m le premier parcours est
bordé d’arbre à l’extrémité et cela pour diminuer le bruit des véhicules allant
de part et d’autre plantées dans le trottoir comme un balcon pour Caroubier
sud et qui est plus large du côté nord qu’au sud.
Parcours de Tripoli
38. Ainsi que de plusieurs percées orthogonale affirmant l’ouverture du réseau
de voirie vers le sud tel que la rue de Boujamaa Ahmed qui fait 8m de
largeur qui ramènent toute au parcours sud de Moghni c'est-à-dire quelle
ont une seule et même direction vers le sud c’est une structure qui nous
rappelle plusieurs oueds qui coulent dans la mer. Elles coulent le long d’un
parcours dans trois directions sans suivre une structuration distincte de la
voie mais la source reste toujours la même c’est le parcours de tripoli.
Tandis que la voie ferrée et la route nationale n°5 constitue la relation de
Caroubier avec le centre c’est le rapport intérieur extérieur qui est
matérialisé car la gare représente un point d’échange entre Alger et sa bon
lieu Caroubier.
Les activités qui s’y déroulent dans ce domaine sont les activités du type
tertiaire des activités surtout bouillantes et polluantes
40. Schéma de Structuration de la voirie
Le parcours de tripoli donne accès direct aux différents équipements tout au long de la bande littorale il donne
accès aussi sur quelques habitations individuelles au coté Sud mais surtout ce parcours joue un rôle de
distributeur dans ce côté
41. Paysage de Caroubier a une qualité cosmique cachée par des hangars et la voie ferrée, ce
paysage définit par la rencontre de la mer bleu et la terre qui forme la baie d’Alger une
ouverture vers la mers qui aurait dû être présente mais malheureusement c’est pas le cas
pour ce lieu. Avec un ciel bleu qui continue en perspective avec la mer formant a la fin
de l’horizon une ligne bleu et ce beau soleil qui reflète avec ces rayons solaires un éclat
aux bâtis malgré sa vétusté. Cette fermeture vers la mer est une donnée défavorable dans
la mesure ou elle implique une limite restrictive pour ce lieu Caroubier
Le paysage cosmique:
Cette image montre les
obstacles qui viennent
empêchés l’ouverture
vers la mer tel que la
route N°5 et la voie
ferrée
42. La morphologie :
La séquence de Caroubier contient deux types de bâtis l’un qui est spécialisé et l’autre
type de base.
le type spécialisé est définit par les différents équipements avec un gabarit qui ne
dépasse pas 2 niveaux. Ces derniers sont dans un état vêtus comme il à été mentionner
précédemment car ils datent de 1870 c'est-à-dire la période coloniale pour cela leur
architecture est typiquement coloniale ou L’espace était vécu fonctionnel avec aucun
apport urbain disposés en bande pour des raisons de décondensations du centre et aussi
a cause de la topologie du site qui est presque plane. Ces équipements ont une forme
cubique ou rectangulaire c’est a ire une forme géométrique peu d’ouverture sur les
façades qui sont petites car ces équipements nécessitent pas beaucoup de lumière,les
murs sont construit en béton et pour la toiture c’est de la charpente. Tandis que les
portes sont représentés par de grands seuils d’entrées aux hangars permettant ainsi
l’entrée des véhicules.
44. Le deuxième type de bâtis est le type de base c’est donc l’habitat, le domaine de
Caroubier est doté de grands ensemble d’habitations tel que la cité Armaf et la cité
Cilla au coté sud du parcours de tripoli qui remonte a la période coloniale
Com
Commerce
Commerce
R+5
R+4
R+4
Parfumerie
R+15
R+17
Commerces
Cite CILA
Cite ARMAF CENTRE
COMMERCIAL
Hydro-
technique
Hydro-
technique
32
Type de base
45. L’évolution de cette cité reste toujours en bande est sa on le constate d’après la forme de
l’habitat qui rectangulaire avec un gabarit important qui est de R+14en moyenne et cela nous
rappels qu’on vit pas seulement sur la terre mais sous le ciel aussi. La couleur utilisée et la
couleur bleu et blanc qui nous rappelle un peu la mer qui est devons nous et qu’on ne voit pas
tandis que les ouvertures sont de grande dimensions d’une ordonnance régulière et de forme
carrées ou rectangulaires représentées par des balcons fenêtres bien régulières
ntalité des
tures
verticalité des
ouvertures
Cité cilla
46. Le problème qui se pose au niveau du domaine de Caroubier c’est que la relation inter
quartiers n’existe pas on a la sensation que les quartiers sont éparpillé sans aucune
organisation spatiale ni architecturale et que chaque quartier se renferme sur lui-même
en se créant une clôture propre à lui-même. Comme si ce domaine était une créature
vivante isolée des autres qui veut vivre toute seule mais ce quelle sait pas c’est qu’elle
peut pas continuée sa vie sans l’aide des autres et avec sa contribution on peut donner
au domaine une image meilleure et véritablement organisé.
C’est le cas du quartier qui se trouve au coté sud du parcours tripoli
Habitation de R+4
L’accès se fait pas de
la rue Tripoli
47. Le rythme
On remarque que le rythme du domaine de Caroubier s’évalue sur une
horizontalité en bande avec des ouverture du parcours allant vers le sud
tout du long du parcours de tripoli
Mais on trouve quelques éléments de verticalité au coté sud qui nous
rappelle quand vit sous le ciel tel que le domaine de Cilla le rythme de
Caroubier est donc un rythme claire on peut distinguer les éléments de la
verticalité et celle de l’horizontalité
48. implantation
Cette terre avec tout ce qu’elle abrite de montagnes et de pleines se conjugue avec la mer
pour donner cette notion de Tri d’où le nom de la rue Tripoli, cette rue qui a pris rôle d’une rue
de promenade et de plaisance vue la maison de Dey Hussein de compagne, dernier souverain
de la régence d’Alger et qui donnera enfin son nom au lieu.
Période précoloniale :
Hussein Dey à l’origine était une zone agricole prospère ,irriguée par l’aqueduc du Hamma ,réalisé entre
16 eme et 17 eme siècle.son tracé ,prenant ses origines du parcellaire agricole classique ,persiste à
travers le temps et c’est les principaux axes d’irrigation qui ont structuré la ville .
c’était le site choisit pour la réalisation de la maison de plaisance du « Dey Hussein » construite en 1821,
cette maison de compagne donnera son nom au lieu (classée monument historique depuis 1982 : lycée
Thalibia actuellement)
Hussein Dey avait des maisons qui datent de la période Turque
49. En 1879 : l’installation d’établissement industriel le long de la rue de Constantine (tripoli), on y signalait une fabrication
de ciment et l’importante minorité.
En 1890 : avec l’avènement de l’ère industriel et par la proximité du lieu du port et de la voie ferroviaire, des hangars
sont concentrés au niveau de l’actuel îlot des abattoirs ainsi que les habitants le long du chemin polignac (rue fusillée)
-aux usines qui s’y sont développés, d’autres sont venus s’ajouter, industrie de la construction mécanique, électrique,…
et un assez grand nombre d’atelier plus modeste, qui ont attiré et fixé une population ouvrière européenne et indigène,
sans que la culture maraîchère, refoulée cependant, naisse bondonné complètement le terrain.
Les années 20 furent témoins de plusieurs réalisations d’envergures dont les plus importantes sont les abattoirs,
comme on trouve à l’intérieur de la zone de la l’habitation dispersée pour fixer la main d’œuvre bon marché (hbm)
proximité de la zone industrielle
Période coloniale :
Hussein Dey garda cet aspect de banlieue même au début de la période coloniale ou les terrains étaient
occupés par des cultures maraîchères, des fermes, des villas, des maisons de jardiniers et ginguettes.
En 1867 : création de chemin de fer d’Alger-Constantine (Rue Tripoli actuelle).
En 1870:HD devenait une commune libre autonome séparée définitivement de Kouba,sa superficie 1390ha
Période 1867-1930
50. Entre 1935-1948 :
La commune d’Hussein Dey connaissait la réalisation d’habitat pavillonnaire (lotissemet Bois Ramel) de
quelques immeubles, d’autres types d’habitations et de locaux à usage industriel (hangars, garage,
ateliers, entrepôts) essentiellement au niveau de la rue Parnet, la rue Tripoli.
Les années 50 : témoignent de la densification de la périphérie sud du quartier d’Hussein Dey avec la
réalisation des grands ensembles de type HLM de 5 à 16 étages :
-le groupe Vouban actuellement Fernane Hanafi en 1956
- la cité Germain Martin actuellement cité Amirouche constituée de 11 immeubles abritant 651
logements en 1958.
1930-1962
51. -après 1962 : le lieu d’Hussein Dey connaîtra une mutation rapide et ceci d’un
périphérique industrielle à un périphérie « résidentielle –industrielle, il connaitra la
construction des HBM, HLM puis la réalisation des grands ensembles et par
conséquent éliminant ainsi tout caractère
Après 1962
52.
53. La morphologie :
Comprendre et connaître un lieu, interpréter sa réalité dépend de ce qu’on est, et de notre objectif
.delà nos lectures du bâti sont liées au souci de projet c'est-à-dire concevoir dans un contexte qui
convient et pas dans un autre pour une bonne intégration.
Topologie :
Hussein Dey un lieu qui constitue le prolongement immédiat du centre d’Alger, situé dans la demi
couronne de la bais d’Alger.
Un plateau peut élevé dont la bordure a été déchirée par les flots, s’allonge parallèlement au rivage.
Au nord, la mer bleue s’étend jusqu’aux limites de l’horizon, un seul paysage naturel limite ce lieu. Au
sud un talus presque continu, donnant le dos à la mer.
Caractère géographique du lieu : unité géographique apparente, situé à l’intérieur de la plaine
côtière d’Alger, bordé au sud par un talus presque continu ce qui lui donne cet aspect très net de
creuset géomorphologique qui constitue son caractère unitaire,il se caractérise par des pentes qui
varie en allant de la côte 0 du niveau de la mer jusqu’à la côte 93 à l’ouest , les pentes sont très faible
et parfois nulles ,elles ne s’animent que vers la côte rouge à l’est ,sans qu’elle dépassent les 5٪ .
La ville d’Hussein Dey est implantée sur une basse terrasse comprise entre la mer et les premières
pentes d’un talus.
morphologie
54. Analyse des caractères spécifiques des composants (d'un ensemble ou d'un phénomène) afin de les
décrire et d'en établir une classification distincte.
Cette lecture consiste à nous faire distinguer entre le bâti de base (habitat individuel, collectif) d’une
part et le bâti spécialisé (équipement, usines, hangars et dépôts).
Typologie des unités bâtis :
Tout en passant le long de parcours, nos yeux sont frappés par la concentration du bâti spécialisé
notamment les activités industrielles (Hussein Dey lieu d’activité à l’origine) surtout au niveau de l’îlot
Kadour Rahim et dans la bande délimité par la Rue de Tripoli et le chemin de fer.
Quand aux équipements qui sont à différents échelles prédominants dans la partie Est et Ouest ainsi
que dans la bande littorale, sous forme d’équipement de détente et de loisir.
Activités existantes Équipement existant Zone militaire
55. Par contre le bâti de base se concentre dans la partie centrale du quartier.
L’habitat individuel occupe le majeur parti des hauteurs loin des activités industrielles,
Ce lieu est composé d’unités qui contiennent des logements de taille de maison individuelle mais
occupées différemment.
Quand à l’habitat collectif occupe la partie Est et Ouest (sous forme de grands ensembles
engendrant des unités mal structurés ainsi que des espaces résiduels) le long de la rue Tripoli et au
sein de l’unité Boudjemaa Moghni .
Notant aussi qu’une typologie spécifique se présente destinée autrefois aux ouvriers, il s’agit des
maisons en bande occupant deux modules en profondeurs
Habitat collectif Habitat individuelle
56. Type du bâtis de base : une étude qui se porte sur le processus typologique du bâti de base et non du bâti
spécialisé, le bâti de base qui véhicule une image d’un indice toujours moindre de la personnalisation du produit
bâti, à l’opposé du bâti spécialisé qui est tellement personnalisé que l’architecte ou le propriétaire est souvent
connu, alors, le gros de l’expérience du bâti qui caractérise une aire culturelle est exercée sur le type de base et
non sur les autres.
Le processus typologique de l’appartement d’aujourd’hui est passé par des différentes phases d’évolution qui
sont :
La maison à cour : constitue le type de base originaire, c’est un édifice monocellulaire placé à l’intérieur d’une
enceinte ,qui tend à donner une iso orientation .
La maison en bande :possède en général deux façades ,une donnant sur la rue et l’autre sur son espace
extérieur « l’air de pertinence » chaque façade présente deux fenêtres pour chaque niveau habité.tandis que le
rez-de-chaussée contient une petite porte donnant sue l’escalier menant à un logement ,une autre plus grande qui
sert non pas d’accès mais de comptoir de vente.cette maison est destinée à être « unifamiliale »
La maison en ligne : résulte de la fusion de deux maisons en bande, cette maison n’a pas pu réalisé qu’avec
l’apparition de l’escalier à deux volées, engendrant la pluri familiarisation.
Maison en bande
Maison en
ligne(architecture
classique
57. Les places : espace urbain par excellence
Espaces publics découverts et entourées de maisons (dans une agglomération)
,les places ont un caractère statique en les comparant avec les voix de circulation .
Elles servent de pivot aux quartiers qui les entourent, favorisant le sentiment
d’appartenance aux habitants de ces quartiers.
Les places offrent un lieu de ralentissement où la conscience trouve la possibilité
de se dilater
Place tripoliPlace brossette
58. En parcourons Caroubier vers L’Hussein Dey nous assistons généralement à un
rythme régulier
Le rythme :
Au début le rythme est horizontal, la largeur des façades est nettement supérieur à la hauteur ( le
gabarit ne dépasse pas R+2) , ce qui invite l’œil à suivre le mouvement de la rue qui est semblable
au mouvement de la façade, vers le point de fuite de la perspective du parcours Tripoli.
Succession des industries Vue sur la caserne Vue sur la duche
59. En s’approchant du centre on
assiste à un rythme vertical : la
hauteur des façade est supérieur à
leur largeur renforcées par les
éléments rythmiques verticaux : les
ouvertures avec les colonnes et les
lacets de la maçonnerie. Ce qui
invite l’œil cette fois ci à s’opposer
au mouvement de la rue ayant un
regard parallèle au corps humain se
dressant vers le haut.
Bâti de caroubier
Bâti de centre