<h3>Au sommaire :</h3>
La campagne RFF (Réseau Ferré de France) en PQR 66, le score d'impact de l'annonce EDF, la rubrique "Ça bouge..." en PQR et la PQR de Stéphane BERN.
1. Si nous savons tous que Réseau Ferré
de France est une grande entreprise,
combien d’entre nous sauraient
précisément en expliquer ses activités
et sa problématique communication
grand public ?
Cette première prise de parole
en PQR 66 nous apporte la réponse.
Mais Christophe Piednoël nous en dit bien
plus sur cette entreprise dont les
activités, fondamentalement inscrites
dans la proximité, relient autant les
citoyens que les territoires.
Réseau Ferré de France fait partie de ces grandes
entreprises que l’on croit connaître et puis, quand il
s’agit d’expliquer…
Christophe Piednoël : Nous sommes en France habitués
à la situation historique du “grand monopole” qui réunis-
sait avec SNCF les deux activités complémentaires
d’opérateur de transport et de gestionnaire de réseau
ferroviaire.
Réseau Ferré de France (RFF) est né en 1997 dans la fou-
lée du mouvement européen d’ouverture à la concur-
rence et dont le grand principe général exige (Directive
Européenne) de séparer les transporteurs des gestion-
naires d’infrastructures.
La loi a décidé du nouveau modèle français. Pour son
actif, RFF a “hérité” du réseau d’infrastructure ainsi que
d’une partie du patrimoine foncier précédemment déte-
nus par la SNCF. RFF possède ainsi le 2e
patrimoine fon-
cier de France après l’Armée. A son passif, RFF a pris
dans ses comptes la dette de la SNCF (plus de 20 mil-
liards d’euros en 1997), l’Etat ne pouvant porter cette
charge (nous sommes à la veille de Maastricht).
Aujourd’hui, avec l’Etat pour action-
naire commun, SNCF et RFF agissent
toutes deux en tant qu’EPIC* en l’ab-
sence de liens juridiques entre elles,
condition de l’impartialité vis-à-vis de
tout autre opérateur étranger pré-
sent, aujourd’hui ou demain, sur nos
lignes.
L’implication spontanée du grand
public ne se porte-t-elle pas plutôt
vers l’opérateur, en l’occurrence
SNCF ?
C. P. : En effet, les voyageurs ont du
mal à comprendre et à dissocier les
activités et apports respectifs des
deux acteurs “gestionnaire de
réseau” et “entreprise ferroviaire”.
C’est pourquoi cette campagne se
donne pour objectif premier de faire
la pédagogie de ce qu’est RFF.
Par des exemples types, nous expli-
quons à grands traits comment notre activité de gestion-
naire d’infrastructure ferroviaire apporte des réponses
importantes et concrètes pour tous nos publics, y compris
les “clients de nos clients”. Quelles sont nos missions ?
“Fournisseur d’accès
au transport de demain, RFF
se veut un instrument exemplaire
du développement durable”
D’abord, gérer, rénover et moderniser le réseau existant,
sachant que celui-ci en a grandement besoin.
Ensuite, développer ce réseau, notamment avec le déve-
loppement de lignes à grande vitesse (LGV).
Enfin, valoriser l’accès à ce réseau, par la commercialisa-
tion des droits d’accès (les sillons) aux différents opéra-
teurs, dont la SNCF en premier lieu. RFF intervient ici en
qualité de “fournisseur d’accès”, garant de l’équité entre
les différents opérateurs ferroviaires concurrents.
Ces missions s’inscrivent dans le contexte d’une politique
massive d’investissement décidée dans le cadre du
Grenelle de l’environnement. En encourageant et facili-
tant le transport ferroviaire, RFF se veut un instrument
exemplaire du développement durable, en répondant à
des attentes tant sociales et citoyennes qu’économiques
et écologiques. Nous devons pour cela répondre à la tri-
ple exigence commerciale (accès à tous au réseau), tech-
nique et industrielle (13 milliards d’ici 2015 pour la
rénovation de l’outil de travail réseau), mais aussi écolo-
gique, le train étant le mode de transport le moins
consommateur de CO2.
%
Annonceur : EDF
Dispositif PQR 66 : 3 x 1/2 page quadri
Période : Août 2010
Responsable Annonceur : Anne Laure Meynial-Coumaros
Agence conseil : Euro RSCG
Responsable agence conseil : Guillaume Tallon
Agence média : Havas Média
Responsable agence média : Florence Destang
LE SCORE
73
Stéphane Bern
parle avec l’accent P4
strategieS & pqr
Ça bouge…
Les news de la Presse
Quotidienne Régionale P3
L’origine de toute chose est locale
NOVEMBRE 2010#28
Suite en page 2
Depuis 1997,
fournisseur d’accès
au réseau ferré.Christophe Piednoël
Directeur des Relations extérieures et de la
Communication RFF.
Un très bon score pour cette
campagne EDF, très largement
supérieur aux scores
habituellement observés
pour une communication
du secteur énergie
Quelques chiffres
• 30 000 kms de voies. C’est le réseau ferré Français, 2e
d’Europe. Près d’un tour de la planète !
• 4 nouvelles lignes grande vitesse (LGV) auront été mises en
service d’ici 2020.
• Jamais la France n’a autant investi dans la rénovation depuis
l’après-guerre : 2,8 milliards en 2008, 4 milliards d’euros en 2010.
• RFF est passé de moins de 100 collaborateurs en 1997 à plus
de 1 200 en 2010.
2. François Lamotte
W&Cie.
Directeur associé
pôle publicité.
« Nous accompa-
gnons la marque
Réseau Ferré de
France depuis 3 ans et il s’agit d’une
collaboration particulièrement pas-
sionnante : créée il y a 10 ans, nous
avons à faire à une jeune entreprise
mais dotée d’un outil industriel
d’exception et d’un réseau dense et
maillé, auxquels chacun est atta-
ché. Pour servir l’exigence de
modernisation au service du déve-
loppement durable, ce réseau doit
évoluer, le tout sur fond d’ouverture
du marché à la
concurrence ! »
« Dans un mar-
ché du transport
qui évolue de plus en plus vers un
modèle multimodal, le ferroviaire
est en train de redevenir LE moyen
de transport moderne qu’il a été à
son origine. Le réseau ferré est
celui qui concilie le mieux les atten-
tes des décennies à venir : mobilité,
économie, écologie. Vous habitez
Tours ? Il faut que tout soit simple,
fluide et pratique pour rallier
Bordeaux, Paris ou même Londres.
Réseau Ferré de France est le “four-
nisseur d’accès” à ce réseau. »
« Le socle de notre travail repose
sur le double contexte de la Loi
Grenelle et du Contrat de perfor-
mance signé avec l’Etat en 2008. La
première phase a consisté à mettre
en place tous les fondements de la
marque. La refonte du logo puis, en
cascade, le territoire graphique, la
plateforme de marque, la présence
Internet, la charte éditoriale et de
messages… Nous démarrons
désormais une seconde phase, RFF
étant maintenant prête pour la
publicité dans un contexte à la fois
national et multi-local. »
« Le client est désormais au centre
de tout, RFF est une entreprise
publique au service du public, qu’ils
soient chargeurs et entreprises de
fret, transporteurs et voyageurs
finaux en bout de ligne. »
« RFF entend assumer aujourd’hui
son devoir de notoriété. Cette cam-
pagne rend visi-
ble les missions
de RFF au quoti-
dien. Pour cela,
elle donne à voir
le produit “réseau”, c’est à dire ses
missions concrètes, visibles locale-
ment. Pour cela la PQR était le
média naturel. »
« Nos publics sont à l’image du
réseau ferré : extrêmement maillés !
Avec la puissance qu’on lui connait,
le PQR 66 fait écho à la double logi-
que géographique et sociologique
qui nous intéresse. Sans avoir à
segmenter ni cloisonner le propos,
le discours général de la marque y
est reçu et partagé par les leaders
d’opinion, les décideurs locaux (qui
parfois cofinancent les projets), le
tissu économique et social, le
consommateur final. »
verbateam
strategieS & pqr
“RFF entend assumer
son devoir de notoriété”
Christian Dubost
Midi-Pyrénées,
Réseau Ferré de
France.
Directeur régional.
« Les conseils
régionaux, les col-
lectivités territoria-
les et l’Etat sont les partenaires
naturels de Réseau Ferré de
France. La Loi Grenelle donne une
place encore plus importante au
mode ferroviaire et renforce l’exi-
gence de concertation, et plus lar-
gement de dialogue suivi avec le
public et les acteurs locaux. Cela
correspond parfaitement à notre
conception des choses : la coopéra-
tion est l’une de valeurs clés de
notre entreprise
publique. »
« Avec l’arrivée
de nouveaux
opérateurs, il sera de plus en plus
nécessaire, pour l’utilisateur final
du service de transport, de com-
prendre qui fait quoi et d’être plei-
nement inclus dans le dialogue. »
« Nous sommes ici en contact avec
une centaine d’entreprises ou zones
d’activités qui sont physiquement
“branchées” à notre réseau ferro-
viaire. Nous travaillons en direct
avec elles pour développer des solu-
tions nouvelles et adapter ce service
d’acheminement de leur fret à leurs
spécificités. »
« Ce volet PQR de notre campagne
institutionnelle dans la presse est
important pour notre notoriété et
gratifiante pour tous les collabora-
teurs. »
« Ce qui nous intéresse avec la
PQR, c’est ce qu’elle est !
Potentiellement nous travaillons
aux mêmes finalités : la pédagogie
sur les rôles respectifs des acteurs
institutionnels, la mise en lumière
et le suivi des phases projet, de
concertation puis de réalisation.
L’important plan de communication
que nous développons actuellement
dans Sud Ouest et La Dépêche du
Midi pour le GPSO* s’inscrivent
exactement dans cette finalité. »
« Cette actualité exceptionnelle
GPSO sera je l’espère un bel exem-
ple du rôle que le quotidien régional
peut jouer à nos
côtés sur ces
enjeux d’infor-
mation et de
pédagogie, avec
cet effet loupe qui lui permet de
traiter des différentes composantes
du projet : tracés, dessertes d’ag-
glomérations, etc. »
« Lorsqu’un terrain n’est définitive-
ment plus utile au ferroviaire, nous
le cédons dans un souci de valorisa-
tion, en privilégiant toujours l’intérêt
général, dans le cadre de projets
urbains. En 2010, les produits de tel-
les cessions de terrains se sont éle-
vés nationalement à 150 millions, ce
qui finance le renouvellement de 150
km de réseau ferré… »
*Le GPSO - Grand Projet Sud-ouest - réunit
deux gros projets LGV en cours : Bordeaux-
Toulouse et Bordeaux-Espagne.
verbatIm
Où en est-on aujourd’hui de la concurrence
des opérateurs ferroviaires sur le territoire
Français ?
C. P. : Elle est effective sur l’activité FRET, pour
laquelle 18 % de PDM revient actuellement à
des opérateurs autres que SNCF. Une des
annonces de la campagne traite de cette acti-
vité particulière, sur le thème de la multi-
modalité des transports qui, pour le Fret, est un
axe stratégique de travail.
Pour l’activité voyageurs, la concurrence est
ouverte depuis janvier 2010 pour les trafics
internationaux. Les choses vont se développer
progressivement dans les années à venir.
A terme, un panneau de gare ressemblera à un
panneau d’aéroport : sur telle ligne à telle
heure, je voyage “sur” SNCF ou “sur” Deutsch
Bahn par exemple !
“Demain, un panneau
de gare ressemblera
à un panneau d’aéroport”
Bien entendu, cette concurrence va prioritaire-
ment s’installer sur des axes les plus fréquen-
tés… Quant à la concurrence des trains
régionaux (TER), elle ne viendra que dans un
deuxième temps.
Un lecteur… multimodal aussi
Le lecteur PQR,
impliqué dans la vie
locale et la société, est
souvent soucieux de
l’environnement et des
réponses aux attentes
sociales. Il est aussi le
client des services de
transport de sa région,
pour des petits trajets
quotidiens comme pour
des destinations élargies
à l’Europe. Enfin, il est
l’administré attaché à son
cadre de vie et donc
impliqué par la bonne
valorisation de son
patrimoine foncier local.
En tant que gestionnaire d’infrastructure
ferroviaire, quelle est la posture communica-
tion de RFF vis-à-vis du grand public ?
C. P. : Notre activité est fondamentalement une
activité de proximité : nos métiers s’inscrivent
au plus près du terrain, ils répondent à de for-
tes attentes tant sociales que citoyennes, éco-
nomiques qu’écologiques. L’importance et le
nombre de sujets qui lient nos 12 Directions
régionales au grand public font du dialogue et
de la communication une mission à part
entière de RFF. Nous nous devons d’expliquer
ce que l’on fait, don-
ner à partager nos
projets et succès,
donner sens et pers-
pective, aussi, aux
désagréments tem-
poraires qu’occasion-
nent des périodes de
travaux par exemple…
sachant que le sujet
du train contient une
forte charge affective.
Avec cette campagne
PQR 66, c’est la
première fois que
RFF communique
réellement sur
le grand public.
Pourquoi ce choix
de la presse
régionale ?
C. P. : Lorsqu’il s’agit par exemple d’informer
localement de l’avancement d’un projet de
Ligne à grande vitesse, d’un chantier de sécuri-
sation ou de rénovation de voie qui va tempo-
rairement perturber le trafic… quel média peut,
mieux que le journal régional, concerner large-
ment le public, ouvrir le dialogue, générer le
débat et le faire vivre dans le temps ?
Parallèlement au volet presse nationale de la
campagne, la PQR nous permet d’intervenir là
où le débat politique est porté et débattu entre
l’administré et ses élus. Nous y sommes sur
notre terrain d’action : au plus près de nos par-
tenaires institutionnels naturels, de nos clients
opérateurs d’aujourd’hui et de demain, et enfin
de l’ensemble de nos bénéficiaires finaux indi-
rects, entreprises et tous les clients du train.
La presse régionale est aussi le bon média de
masse pour nous faire entendre sur les trois
volets qui, ensemble, résument notre vocation
industrielle et de service : une mobilité optimisée,
à moindre coût et en limitant l’émission de CO2.
RFF va monter en puissance publicitaire, car il
s’agit pour nous de répondre à une grande
attente sociale… et durable.
*Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial.
En jargon RFF
• NIMBY : Not In My Back Yard.
Se dit d’un projet RFF pour lequel le citoyen et le
consommateur sont aussi emballés que l’individu ne
l’est pas…
• NIMEY : Not In My Election Year.
Se dit d’un projet local RFF pour lequel les nuisan-
ces temporaires pour la population ne tombent pas
très bien au regard du calendrier de l’Elu…
“Ce qui nous intéresse avec
la PQR, c’est ce qu’elle est !”
Propos recueillis par Verbahuit.
edechevigny@free.fr
3. ça bouge…
■ Nouvelle formule
Le Courrier Picard prépare sa mue.
Les lecteurs découvriront dans les
mois à venir
leur quotidien
dans un
nouveau format
tabloïd, avec une nouvelle formule,
et tout en quadri.
Une campagne de lancement
confiée à Nikita soutient ce projet.
■ Cap sur 2040
A l’occasion de
son 40 000e
numéro, l’Est
Républicain s’est
projeté sur les
trente prochaines
années à travers
diverses analyses
prospectives,
pour tenter de
deviner le monde
de 2040.
La presse quotidienne
régionale se développe
sur Twitter : 70 % des
titres de presse quoti-
dienne régionale et
départementale sont présents sur
le site de micro-blogging. Plus ou
moins actifs, 7 quotidiens régionaux
passent la barre des 1 000 follo-
wers. Les plus actifs atteignent
2 557 pour la Voix du Nord et 2 317
pour Sud Ouest.
■ Lancement
Midi Libre lance Midi Gourmand,
un nouveau magazine consacré à
l’actualité gastronomique
des régions
Languedoc/
Roussillon et
Aveyron.
Imprimé à
20 000 ex, le
titre démarre
avec 2 numéros
par an
accompagnés
de hors séries thématiques.
■ Sur-couverture
historique
A l’occasion de son 20 000e
numéro,
la Nouvelle République a offert à
ses lecteurs
un numéro
collector.
L’édition du
jour est insérée
dans une
sur-couverture
et reprend
quelques Unes
ayant marqué
l’histoire de
notre pays, depuis le 1er
septembre
1944. Par ailleurs, la dernière page
reproduit le premier numéro de la
NR.
■ Résultats d’Etudes
Les résultats intermédiaires de l’étude EPIQ 2009/2010, réalisée
par Audipresse, enregistrent une stabilité de l’audience du PQR 66
à 17 139 000 lecteurs LNM. Ils montrent
également la très forte pénétration de la
Presse Quotidienne Régionale dans sa
globalité puisque chaque semaine,
31 148 000 personnes sont en contact
avec une marque de PQR au travers de
leurs éditions print et des sites web.
Les résultats complets de l’étude sont
disponibles sur pqr.org
■ Les Locaux-Moteurs
Les régies Com Quotidiens et Quotidiens Associés ont lancé une
étude inédite : Les locaux-Moteurs, influence et leadership en
régions, dont les résultats ont été présentés lors d’une conférence
de presse le 14 octobre.
Cette nouvelle étude quanti/quali, orchestrée par l’institut Ipsos, a
été menée auprès d’une cible novatrice et originale, les Locaux
Moteurs, construite à partir de critères allant bien au-delà des
seuls critères socio-économiques.
L’ambition de cette étude est d’évaluer le rôle, le statut et la légiti-
mité de la PQR en tant que relais d’influence auprès de ces leaders
d’opinion en régions et de comparer ses atouts avec ceux des
autres grands médias d’information.
Contacts :
Marylène Guérard, Com Quotidiens, 01 55 38 21 35.
Laure Klotchkoff, Quotidiens Associés, 01 53 96 35 67.
■ Mon Journal offert
L’opération “Mon Journal offert” destinée à faire découvrir aux
jeunes de 18 à 24 ans la Presse Quotidienne Régionale est recon-
duite pour cette
nouvelle année
scolaire
2010/2011.
L’ensemble des
titres de Presse
Quotidienne
Régionale et
Départementale
proposent 200 000 abonnements qui permettent à tout jeune de
18 à 24 ans de recevoir chez lui un jour par semaine, pendant
1 an, le quotidien régional de son choix.
■ Chaque mois, l’Alsace, en association avec le
club vosgien, propose à ses lecteurs une balade dans les Vosges.
Depuis l’été, le quotidien régional complète l’article papier par un
volet internet multimédia.
Les lecteurs sont invités à se rendre
sur la page d’accueil du site
lalsace.fr via un code barre
pour accéder à toute
une série d’informations
complémentaires comme des
indications historiques,
photographiques et
topographiques
sur la randonnée proposée.
■ Régie Télévisions Locales
La régie publicitaire des télévisions en régions (RTR) est désor-
mais opérationnelle. 17 télévisions locales ou régionales rejoi-
gnent le groupement permettant ainsi à toutes les grandes villes
de France d’être représentées. L’objectif à 3 ans est de générer un
volume de 10 millions d’euros de recettes publicitaires.
■ La Charente Libre
a mis en ligne une nouvelle édition de son site www.charentelibre.fr
avec géolocalisation des contenus et pages pour les communes du
département.
■ Innovations pour Ouest France
Le groupe veut lancer neuf nouvelles éditions papier en 2011,
notamment dans la métropole rennaise, ce qui portera l’ensemble
des éditions de 44 à 53. L’objectif est de proposer aux lecteurs un
journal toujours plus proche.
Par ailleurs, la publication sur Internet des annonces immobiliè-
res ou automobiles est désormais gratuite pour les particuliers
sur les sites ouestfrance-auto.com
et ouestfrance-immo.com. En
outre, il sera possible lors du dépôt
de l’annonce gratuite sur le web de
profiter de l’option de publication
dans le journal Ouest France (à partir de 8 euros selon le nombre
d’éditions et la durée de parution). Enfin, le quotidien lance la série
Collections d’Arts en partenariat avec Arts magazine pour attirer
ses lecteurs vers l’Art avec un fascicule à la fois détaillé mais
accessible. La collection entend répondre à des questions simples
sur un artiste et son œuvre.
Le Syndicat de la Presse
Quotidienne Régionale lance un
kiosque iPad pour les Quotidiens
Régionaux. Ainsi, les possesseurs
d’iPad ont la possibilité d’acquérir
l’édition du jour du quotidien
régional de leur choix.
Ils peuvent consulter gratuite-
ment les Unes de la PQR, recher-
cher un titre via une carte de
France, acheter des éditions
locales, et accéder aux chemins
de fer des quotidiens pour se
rendre directement à la rubrique
souhaitée.
Pour bénéficier de cette offre, il
suffit de télécharger l’application -
gratuite - Presse Régionale sur
l’AppStore et de choisir ensuite
son quotidien régional.
Le lancement de ce nouveau kiosque
bénéficie en outre d’un partenariat
avec la Caisse des Dépôts et
Consignations qui offre, pendant un
mois,jusqu’àfinnovembre,unquoti-
dien de presse régionale au choix.
Chaque lecteur peut ainsi bénéficier
de son édition numérique gratuite-
ment pendant 30 jours.
Au-delà de cette période, tous les
quotidiens seront disponibles au tarif
unique de 0,79 centimes le numéro.
Par ailleurs, La Voix du Nord qui va
lancerd’iciàlafindel’annéeunenou-
velle application iPad enrichie avec
des fonctionnalités multimédias, va
égalementproposeràseslecteursde
participer à l’effort d’achat de la
tablette à travers une offre de rem-
boursement à hauteur de 150 €.
■ Toute la PQR sur l’Ipad
4. Votre PQR à vous, c'est où ?
Je suis né près du Parc de la
Tête d’Or à Lyon et n’ai pas
attendu de grandir pour com-
mencer mes journées en
dévorant du papier ! Après le
Progrès des temps bambins,
j’ai découvert l’Est Républicain
à Nancy, où nous nous étions
installés, et le Républicain
Lorrain pour nos passages
réguliers au Luxembourg d’où
est originaire ma mère. Plus
tard, j’ai redécouvert plus en
profondeur Le Progrès quand
j’ai intégré l’EM Lyon.
Une anecdote
avec Le Progrès ?
Tout jeune étudiant, j’avais
monté “les Amis de la Maison
de France”, une petite asso-
ciation royaliste qui soutenait
le comte de Paris. Un peu pro-
vocateur déjà, j’envoyais des
communiqués de presse au
Progrès en précisant bien être
étudiant à l’EM Lyon. Que,
dans le journal, l’image de
l’Ecole puisse être associée à
la cause royaliste énervait
prodigieusement le Directeur :
“C’est qui ce mec de 20 ans
qui non seulement fait des
réunions publiques plutôt que
d’être en cours et qui, en plus,
donne de l’école une image
pitoyable” ? Ce jeu du chat et
de la souris me mettait en
joie !
En tant que journaliste,
quel regard portez-vous
sur la PQR ?
Mon émission “Le Fou du Roi”
se pose une fois par mois
dans une ville de France.
C’est toujours un rendez-vous
d’exception, tant avec les
journalistes qu’avec leurs
lecteurs. Quand je vois par
exemple l’Opéra de Nancy
enthousiaste et noir de monde,
je me dis que la PQR fait
mieux que son travail. Elle a
non seulement su informer
mais aussi concerner, faire
venir, enthousiasmer et
ensuite rendre compte de l’in-
térieur avec des papiers de
qualité, vrais et souvent d’une
grande justesse. Il y a un
accueil et une efficacité exclu-
sifs à cette forme de presse
qui a décidé de porter un
regard bienveillant
sur les gens et les
événements cou-
rants, sans jamais
se pincer le nez
devant quelque
chose qui plait ou
qui marche… Et
puis, il y a une juste
place qui est don-
née au plaisir et à
la futilité. Tout cela
est très important à
mon sens. Partout
où nous passons
avec mon équipe,
c’est la séance
rituelle du décou-
page des articles
qui dicte la meil-
leure des conduites
pour l’animation de
l’émission !
Je suis amateur et
reconnaissant de
chacun des titres
que je rencontre,
même si Le
Progrès reste mon
titre chouchou, et
même peut-être
ma Madeleine de
Proust !
Une pointe de
nostalgie ?
Pour nous qui
vivons dans le
rythme et les
codes parisiens, ce
n’est pas neutre si
l’évocation de la
PQR nous ramène
à une certaine
vision affective.
C’est je pense l’ex-
pression d’un
manque, on a tous
besoin d’être
“PQRisés”. Il y a un an, j’ai eu
un plaisir tout particulier à
rencontrer les lecteurs au
siège du Progrès. Evoquer ce
journal, c’était immanqua-
blement pour moi respirer
les 1000 mots, senteurs, ima-
ges et ambiances qui m’ont
construit : La Croix Rousse,
Caluire (où Jean Moulins a
été arrêté), Chazay d’Azergue
– là où ma famille s’est réfu-
giée pendant la guerre… La
PQR fait bien plus que parler
de ses lecteurs, elle traite
chaque jour de ce qui les
constitue en profondeur, de
ce qui jalonne et donne sens
à leur vie réelle. Voilà com-
ment chacun est amené un
jour où l’autre à découper et
garder un article qui l’a tou-
ché, comme une trace pré-
cieuse de son histoire.
Un petit slogan pour finir ?
Allez, juste un…
“C’est arrivé près de chez
vous”.
Il n’y pas le fracas et le
tumulte du monde d’un côté
et une vie paisible fantasmée
de l’autre. Qu’est-ce que cela
veut dire ? La PQR ne met pas
la poussière sous le tapis ;
elle nous rappelle que tout
arrive près de chez nous, tout
nous concerne. C’est pour
cela que la lecture d’un quoti-
dien reste LA colonne verté-
brale du citoyen…
Propos recueillis par Verbahuit.
Emmanuel de Chevigny.
edechevigny@free.fr
• Semaine de la Solidarité
Internationale
13 au 21 novembre 2010
• Semaine de l’Emploi
des Handicapés
15 au 21 novembre 2010
• Journée Internationale
des Droits de l’Enfant
20 novembre 2010
• Semaine de la
Réduction des Déchets
20 au 28 novembre 2010
• Noël
25 décembre 2010
• Jour de l’An
1er
janvier 2011
…Toutes les dates
sur demande
à votre régie.
Décembre 2009
Fêtes de fin
d’année :
Les Arts de la Table
saisissent l’occasion
des Fêtes de fin
d’année pour
communiquer sur
leurs produits et
rappeler que la
vaisselle, c’est
comme la mode,
c’est bien quand
ça change !
stabilo dates
ma pqr a moi
Stéphane Bern
Journaliste, homme de radio et de télévision.
Lui, c’est Lyon
novembre 2009
13e
Semaine de
l’Emploi des
Handicapés :
A cette occasion,
le Crédit Agricole
communique sur
l’engagement de ses
caisses régionales de
mener une politique
volontariste de
recrutement,
d’intégration et de
formation des collabo-
rateurs handicapés.
Décembre 2009
Noël :
Sephora s’habille
d’or et de paillettes
pour les fêtes de
Noël et propose
toute une gamme
de cadeaux
entièrement
“gold” !
CSAencollaborationavecVERBAHUIT.
Avec sa nouvelle offre
ACCESS EVENEMENT,
PQR 66 propose à tous
les annonceurs un tarif
exceptionnel de 195 K€ net,
s’ils communiquent en pleine
page quadri sur une des
dates référencées.
Photo:MarcChaumeil
en direct sur
www.pqr.org
Mesures d’audience et média marchés
• Audipresse PREMIUM 2010. Les tout
premiers chiffres de la nouvelle étude
d’audience de référence menée par
Audipresse auprès des populations
ACTIV (Décideurs Économiques)
et EASY (Foyers à haut pouvoir d’achat).
PQR 66 touche 2/3 de ces populations
chaque semaine.
• EPIQ 2009-2010. Les derniers chiffres
d’audience du PQR 66, de la PQN, de la
PQG et de la PHR (accès gratuit, réservé
aux agences & annonceurs). Tendance à
la stabilité pour PQR 66.
• EPIQ 2007-2009 (cumul – 75 000 itw).
Tous les chiffres d’audience et les
cartographies associées de 40 titres et
19 groupes de PQR.
Mesures d’audience sur cibles Décideurs
• Les Décideurs de la Grande Distribution
(Ipsos).
• Les Décideurs des Collectivités
Territoriales (Ipsos).
Mesures de l’efficacité
• Suivi Impact 66 : plus de 3000 post-tests
d’impact (IFOP). Base enrichie chaque
année (IREP : “la Persistance
Mémorielle” ; IREP 2009 : “Efficacité
court terme et long terme”).
• PQR-PRO : post-tests d’impact (TNS
Sofrès) sur la cible des décideurs en
entreprise (IREP : “CAWI & décideurs”).
• PQR-SCAN : post-tests sur les ventes,
marchés tests (Consoscan, Marketing
Scan…).
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Les Unes du jour chaque matin, les
études, les standards d’impact, les tarifs,
les diffusions, les événements, les
contacts commerciaux, les créations...
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Le Fou du Progrès