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La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 10 au 16 avril 2017
Planches à partager, tapas & finger food : une
nouvelle manière de consommer
Le 10/04/2017
Planches & ardoises à partager, tapas, bouchées, mini-portions… Autant de nouvelles manières de
consommer qui ont fait leur apparition depuis plusieurs années sur les tables de nos restaurants. CHD
Expert a mené l'enquête sur ces tendances au cours du mois de mars 2017, en réalisant une étude
combinant un panorama de marché, une enquête consommateurs et des enquêtes menées auprès
des restaurateurs (qualitative et quantitative). Voici quelques résultats de l'enquête.
Les français friands de la finger food
Accélération du rythme de vie, modification des habitudes alimentaires (plus de convivialité, de
curiosité, moins de chichis…), et un restaurateur à la recherche du plus court chemin vers la boisson
: voici l'équation parfaite pour l'apparition de la finger food sur les tables françaises. Et les français
répondent positivement à ces nouvelles manières de consommer.
La revue de Presse KYLIA
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Par exemple, 1 français sur 2 a consommé au moins une fois une planche ou une ardoise (de
fromage et/ou de charcuterie) en restauration à aable sur le mois de février 2017. Ils plébiscitent
particulièrement le moment du dîner pour les déguster.
7 français sur 10 ont quant à eux dégusté au moins une fois des tapas ou des bouchées sur le
mois. Et quoi de mieux pour accompagner ces mets qu'un verre de vin, type de boisson la plus
appréciée lors de ces consommations. L'accompagnement de choix avec la finger food pour 40 % des
femmes !
Les restaurateurs à l'heure de la finger food
Les professionnels du hors domicile développent des offres et des solutions adaptées aux nouveaux
modes de vie. Autrefois abonnée aux rythmes traditionnels, avec un rush marqué sur le créneau du
déjeuner et du dîner, la restauration traditionnelle assise révise ses classiques. Grignotage, goûter et
service continu font désormais partie du vocabulaire des professionnels. 37 % des établissements
interrogés lors de notre enquête proposent des planches et/ou des tapas au sein de leur
établissement et une proportion importante des restaurateurs qui souhaiteraient en mettre en
place envisage de le faire dans les prochains mois. Dans l'univers de la Finger Food, on trouve tous
les types de concept de restauration. Du bar à tapas traditionnel avec une offre peu élaborée mais
très attractive, aux étoilés qui ont développé une offre de tapas gastronomiques revisitées à la
française.
Selon Nicolas Nouchi, Global Head of Market Research : "Nous sommes au début d'une tendance qui
a déjà pas mal émergé ces dernières années, et qui risque de s'accélérer fortement… La
miniaturisation avait déjà été initiée par la restauration haut de gamme, puis les planches sont venues
compléter et démocratiser la démarche avec en toile de fond les tapas qui restent toujours convoitées
au-delà du sol ibérique. C'est la convivialité qui prévaut du point de vue du consommateur, car ces
propositions favorisent le partage et la mise en bouche avant le repas, voire un repas à lui tout seul…
Pour le restaurant à table, c'est une opportunité d'aller chercher des consommateurs sur un instant de
consommation proche du soir, un premier niveau de solutions de sortie de crise…"
Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr
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Pizzerias en franchise : un secteur aux
multiples facettes
Le 10/04/2017
La France est le pays qui consomme le plus de pizzas au monde, derrière les Etats-Unis. Un succès
qui se traduit aussi dans la création de pizzerias, notamment en réseau. Bien qu’il s’agisse d'un
secteur « mono produit », la réalité du marché offre plusieurs possibilités aux aspirants franchisés.
Crédits photo : shutterstock.com
Les Français accros à la pizza
En 2015, les Français ont consommé 819 millions de pizzas. Comme l’année 2016 a été marquée
par l’Euro de football, tout porte à croire que les chiffres actualisés, qui seront prochainement publiés,
devraient encore grimper. Ainsi, l’Hexagone est le deuxième consommateur de pizzas dans le monde,
derrière les États-Unis et devant l’Italie. Et la répartition s’effectue ainsi : 51 % dans les restaurants-
pizzerias, 10 % en livraison, camion ou restauration automatique, 24 % et 15 % respectivement en
grande distribution et restauration collective. A 10,44 euros le prix moyen, le marché se révèle très
juteux, et aiguise les appétits des porteurs de projet. Mais si en apparence ce secteur paraît simple, il
convient de se pencher sur ses particularités avant de se lancer avec un réseau. Car sous
l’appellation « pizzeria » se cachent en réalité trois métiers distincts.
La revue de Presse KYLIA
4
A chacun sa part
Il convient de bien appréhender les particularités de chacun avant de se lancer avec une enseigne.
« Il y a tout d’abord la restauration assise. Une offre classique que l’on retrouve sur des surfaces
moyennes de 400 m², pour 160 places à table. C’est un secteur mature, avec des enseignes bien
installées », précise Laurent Delafontaine, associé-fondateur d’Axe Réseaux. Sur ce segment, on
retrouve des mastodontes comme Pizza Hut (120 implantations) ou Del Arte (160 restaurants). Mais
cela ne correspond peut-être pas à tous les profils avec un investissement qui avoisine généralement
le million d’euros. L’amplitude horaire est aussi conséquente (7 jours sur 7, services midi et soir). Et si
la réputation de ces marques génère une grosse activité, « ces restaurants sont souvent
concurrencés par la pizzeria locale de l’indépendant qui jouit d’une bonne réputation », poursuit
Laurent Delafontaine.
Autre sous-secteur, celui de la livraison. Domino’s Pizza est installé sur ce créneau avec plus de 330
unités en France. On retrouve également des enseignes comme La Boite à Pizza (115 implantations),
Speed Rabbit (90) ou Tutti Pizza (60 points de vente). « C’est un métier compliqué. Il faut gérer le flux
de commandes ainsi que la flotte de scooters et les livreurs », prévient Laurent Delafontaine. « Etre
franchisé sur ce domaine permet de profiter de la notoriété de l’enseigne, de ses outils de
communication et de bénéficier d’outils pour la logistique », nuance-t-il. Le tout pour un
investissement proche des 400 000 euros en moyenne. Cette branche du métier attire souvent les
investisseurs, car au final il y a peu de contact avec la clientèle. Longtemps souveraines, les
enseignes de livraison doivent désormais faire face à la concurrence des restaurants traditionnels qui
livrent désormais à domicile.
Enfin, la troisième part du secteur se présente comme « la restauration rapide à l’italienne ». Une
restauration « du midi », précise le fondateur d’Axe Réseaux. « C’est un univers en pleine évolution
sur lequel l’offre progresse. Elle correspond aux centres-villes et centres commerciaux ». Là, les
enseignes privilégient les profils de commerçants. « Il faut savoir également fédérer ses équipes, car
80 % du chiffre d’affaires se fait sur 1h30 de temps ». Un secteur encore jeune sur lequel les
enseignes sont peu nombreuses. L’investissement se trouve entre 200 000 et 400 000 euros.
L’exemple de la Pizza de Nico : un nom, trois concepts
Si le secteur est porteur, il se révèle très concurrentiel. Les enseignes doivent donc innover pour se
différencier et répondre aux attentes des consommateurs. Parmi elles, La Pizza de Nico, un réseau
qui puise ses racines dans l’Est de la France, sous l’impulsion de Nico Palea. « J’ai commencé avec
un point de vente en 2000, l’idée étant de proposer des pizzas de 40 cm au prix des pizzas
La revue de Presse KYLIA
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normales ». L’engouement est immédiat, mais ce n’est que sept ans plus tard qu’il se lance en
franchise pour compter aujourd’hui une trentaine de points de vente. Et pour faire face aux
particularités du secteur, ce ne sont pas un mais trois concepts satellites qui se sont développés
autour de l’enseigne. « Nous voulons nous adresser à tout le monde et ainsi nous adapter à la zone
de chalandise », argumente le fondateur. S’il ne fait pas de livraison car « cela demande trop de
logistique », Nico Palea couvre tous les autres aspects du métier. Une offre de restauration
traditionnelle avec la pizza en mono produit pour un investissement entre 300 000 et 400 000 euros,
un « pizza shop », avec la pizza à emporter sur 70 ou 80 m², pour un investissement de 120 000
euros, et enfin « le shop and lunch », le modèle le plus développé avec de la restauration sur place et
à emporter.
Pour ces différents concepts, le réseau ne cherche pas de franchisés issus de la restauration. « Si
tout est fait sur place avec des produits frais, notre mode opératoire permet de se passer d’un
cuisinier. Nous cherchons surtout de bons managers, capables de diriger des équipes de sept à huit
personnes », conclut Nico Palea. Porté par sa réussite et la croissance du secteur, la Pizza de Nico
entend atteindre la barre des 100 unités d’ici cinq ans. La pizza plaît et cela devrait durer. Aux futurs
franchisés de choisir l’enseigne et le sous-secteur qui collent le mieux à ses aspirations.
Source : www.lesechosdelafranchise.com
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Paris : la fréquentation touristique a retrouvé
son niveau d'avant les attentats de 2015
Le 10/04/2017
L'office du tourisme de Paris a annoncé lundi une nette reprise de la fréquentation touristique
et des réservations aériennes vers la capitale, revenant à son niveau d'avant les attentats de
2015.
Des touristes au pied de la Tour Eiffel, le 9 juillet 2016, à Paris. (Photo d'illustration) (PHILIPPE
LOPEZ / AFP)
Le tourisme parisien se porte mieux après un an de baisse. Le mois de décembre 2016 et les
premiers mois de 2017 marquent une nette reprise de la fréquentation touristique de la capitale
française, d'après l'office du tourisme et des congrès de Paris.
En décembre 2016, les arrivées hôtelières dans le Grand Paris ont augmenté de 19,5% par rapport à
décembre 2015. Ces arrivées sont revenues au niveau de décembre 2014, soit celui avant la série
d'attentats qui a touché la France à partir de janvier 2015.
Américains et Chinois reviennent en France
Les touristes commencent à revenir en France notamment ceux provenant des États-Unis (+31%) de
Chine (+40%), du Moyen-Orient (+17%) et d'Asie hors Chine et Japon (+24%). Ces marchés
"affichent une forte progression", selon l'office de tourisme de Paris. En revanche, d'autres "sont
encore en net recul". C'est le cas du Japon, de l'Italie et de la Russie notamment.
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Le constat se confirme en janvier 2017 avec des arrivées hôtelières en hausse de 20,1% dans le
Grand Paris par rapport à janvier 2016. Il s'agit même un record pour un mois de janvier au cours des
10 dernières années.
Les réservations aériennes vers Paris en hausse
Cette reprise se retrouve dans les réservations aériennes pour Paris. "Fin février, les arrivées
aériennes internationales à Paris pour le trimestre en cours étaient en hausse de 11,1%", explique
l'office de tourisme de Paris. "Cette reprise reste toutefois à confirmer dans les prochaines semaines
avec l'entrée de la haute saison du printemps et de l'été 2017", conclut l'office de tourisme.
Source : www.francetvinfo.fr
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Vente immobilière et honoraires de l’agent
immobilier : taxables ?
Le 10/04/2017
© Copyright WebLex - 2017
A l’occasion d’une vente immobilière, l’acquéreur est redevable de droits de mutation qu’il devra
verser à l’administration, par l’intermédiaire du notaire en charge de la rédaction de l’acte de vente.
Faut-il tenir compte des honoraires de l’agent immobilier dans la base de calcul de ces droits de
mutation ? Il semble que oui, parfois…
Des honoraires soumis aux droits de mutation : tout dépend qui en est redevable…
Lors de la vente d'un bien immobilier, lorsque les honoraires de négociations (communément appelés
les « commissions » d'agence) versés à l'agent immobilier sont stipulés à la charge de l'acquéreur,
conformément au mandat de vente, et payés par ce dernier, lesdits honoraires ne sont pas soumis
aux droits fiscaux de mutation à titre onéreux.
Mais lorsque les honoraires stipulés dans le contrat de mandat (c'est-à-dire entre le vendeur et l'agent
immobilier) sont à la charge du vendeur, ces honoraires constituent une charge augmentative du prix
s’ils sont payés par l'acquéreur (et prélevés sur le prix de vente) : dans ce cas, parce que l’acquéreur
La revue de Presse KYLIA
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confère au vendeur un avantage indirect, ils sont pris en compte pour le calcul des droits de mutation
à titre onéreux.
Si le prix de la vente est fixé « honoraires d'agence immobilière à charge vendeur », l'acquéreur
paiera alors les droits de mutation à titre onéreux sur le prix intégral (sans déduction des honoraires
de négociation).
Source : www.bar-brasserie.fr
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Quel rôle du smartphone dans nos choix de
fast food ?
Le 12/04/2017
Facebook IQ a publié les résultats d’une étude menée auprès de 12 500 personnes de plus de 18 ans
sur 14 marchés, France comprise. L’objectif : comprendre l’influence du mobile et des messageries
sur les choix de restauration rapide.
Quel rôle prépondérant joue la consultation de notre smartphone ou de notre messagerie dans notre
choix d’établissement fast food ? C’est la question sur laquelle s’est arrêtée Facebook IQ dans cette
étude qui nous permet de mieux appréhender les nouveaux usages des consommateurs en la
matière. Première distinction mise en lumière, des réflexes différents selon la fréquence de
consommation dans ces lieux de restauration rapide. Ainsi, les consommateurs qualifiés de
« fréquent » ont davantage tendance à recherche un lieu pour ne pas avoir à cuisiner chez eux et on
2,58 fois plus tendance (que les consommateurs occasionnels) à se rendre dans un fast food car c’est
une habitude pour eux. Concernant l’usage du mobile, 53% de ces « habitués » utilisent leur
téléphone comme source principale pour établir leur choix d’établissement contre seulement 41% des
« occasionnels ». 60 % des habitués des fast food se déterminent selon les avis en ligne contre 44%
des occasionnels.
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11
Le pouvoir de l'image !
Le phénomène #foodporn, qui consiste à photographier ses consommations alimentaires pour
partager ses expériences sur les réseaux sociaux, n’est pas qu’une vue de l’esprit. Et a de vraies
incidences sur la fréquentation des établissements de restauration concernés. En effet, selon
Facebook IQ, 66 % des habitués déclarent que voir un contenu partagé par leurs amis sur Instragram
(62 % sur Facebook) à propos d’un fast food qu’ils souhaitent essayer les oriente dans leur décision
contre seulement 41 % des occasionnels. Enfin, il ne faut pas mettre de côté le rôle des messageries
qui restent le moyen principal pour échanger avec les proches au sujet du lieu de destination où l’on
va manger. Et 48 % des consommateurs « fréquents » de fast food, toujours selon l’étude, seraient
intéressés de pouvoir commander directement depuis Facebook Messenger. A bon entendeur…
Source : www.snacking.fr
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La restauration en France : les chiffres du
secteur
Le 12/04/2017
De nombreux Français souhaitent ouvrir leur propre restaurant. Un rêve qui peut tourner au
cauchemar si l’on se lance dans l’aventure à l’aveugle. Zoom sur les données clés du secteur.
Si le marché de la restauration amorce lentement sa reprise en France, le secteur a fortement pâti de
la morosité économique : en 2016, les restaurateurs ont ainsi enregistré un recul de 4,5 % de leur
activité par rapport à l'année précédente. Avant de se lancer dans l’ouverture d’un restaurant, une
compréhension du marché global et des chiffres clés se révèle nécessaire.
Le poids de la restauration rapide
Terre de gastronomie, l’Hexagone regroupe 175 000 restaurants, dont plus de 18 000 se situent à
Paris et alentours, selon les données de l’Insee. Les départements des Bouches-du-Rhône et des
Alpes-Maritimes concentrent, eux aussi, de nombreux établissements de bouche : entre 7 500 et
10 000.
La revue de Presse KYLIA
13
Constat relativement étonnant, mais attestant du succès de ce segment ces dernières années : la
restauration rapide représente désormais 37 % des restaurants implantés en France.
L’âge moyen du restaurateur
Les patrons de restaurants appartiennent plutôt à la catégorie des seniors : 50 % ont plus de 50 ans,
d’après l’enquête réalisée par Inkidata, et 13 % dépassent même les 60 ans. Les jeunes restent en
minorité : seuls 2 % des dirigeants de ce secteur ont moins de 30 ans.
Le restaurant-type
En moyenne, un établissement compte 63 places assises et 40 en terrasse. Son service se
concentre surtout sur le repas du midi, avec 91 % des restaurants ouverts sur ce créneau, contre
79 % le soir. Le dimanche reste une journée majoritairement travaillée dans le secteur : seul un point
de vente sur cinq ferme ce jour-là.
Les obstacles
Plus de 40 % des restaurateurs interrogés s’attendent à une baisse de leur chiffre d’affaires sur le
second semestre 2015. Parmi les principales difficultés évoquées, l’accroissement de la pression
fiscale arrive en tête pour 95 % des répondants. Le relèvement du taux de TVA dans le secteur en
janvier 2014, de 5,5 % à 10 %, avait déjà été mal reçu de la part des professionnels. Viennent ensuite
les freins réglementaires (83 % des répondants), et la baisse du nombre de clients (77 %).
Source : www.lesechosdelafranchise.com
La revue de Presse KYLIA
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Commerces : trois conseils pour trouver le bon
emplacement
Le 13/04/2017
Trouver un emplacement de qualité, parfaitement adapté au fonds de commerce qui y est rattaché
constitue une étape cruciale, souvent casse-tête, pour tout commerçant qui souhaite lancer son
affaire.
Pour réussir dans le commerce, le choix d’un local de qualité, en adéquation avec le type de
produits ou de services vendus, est primordial. Mais la tâche n’est pas aisée et beaucoup
d’entrepreneurs qui se lancent s’y cassent les dents.
« La règle d’or pour réussir dans le commerce : emplacement, l’emplacement, l’emplacement. » Cet
adage connu de tous les professionnels du secteur est toujours d’actualité, notamment dans les
réseaux où les achats d’impulsion et les accès publics priment, comme la restauration, la mode ou
encore les loisirs. Trouver un emplacement de qualité, parfaitement adapté au fonds de commerce qui
y est rattaché constitue une étape cruciale, souvent casse-tête, pour tout commerçant qui souhaite
lancer son affaire. Voici trois conseils à suivre pour s’y retrouver.
Se poser les bonnes questions
Avant toute chose, le commerçant indépendant doit se poser trois questions essentielles : quel est
mon commerce ? qu’est-ce que je vends ? à qui je le vends ? En effet, une bijouterie aura plus intérêt
La revue de Presse KYLIA
15
à s’installer en centre-ville, dans un emplacement numéro pour espérer attirer une clientèle de
proximité et susciter un achat d’impulsion. À l’inverse, un distributeur de meubles préférera ouvrir sur
une grande voire très grande surface dans un retail park, où les charges locatives sont moins élevées
et l’accès en voiture généralement facilité. Il est aussi important de se questionner sur la clientèle
ciblée. Connaître parfaitement sa zone de chalandise est indispensable et permet d’éviter de faire
fausse route dès le démarrage. Inutile en effet d’implanter un magasin de puériculture dans une zone
où les familles ne sont pas nombreuses ou un magasin de luxe dans des communes où les CSP+
sont quasi inexistantes.
Se rendre sur le terrain
Avant de jeter son dévolu sur un local, le futur commerçant doit vérifier que celui-ci correspond à ses
attentes et que le loyer demandé est justifié. Pour cela, les vieilles méthodes restent les plus efficaces
: afin de tester le passage, il suffit de se rendre sur place un jour de semaine et un samedi et de
compter les passants durant une heure. Répéter l’opération plusieurs fois à différents moments de la
journée pour obtenir une moyenne par jour. Lors de ce travail, il peut être intéressant d’observer
également les sacs des passants et, notamment, de vérifier s’ils proviennent de commerces du
quartier. C’est un bon moyen pour tester la commercialité de la rue avant d’ouvrir son magasin.
Ce travail de terrain doit être complété par un passage en mairie et à la chambre de commerce et
d’industrie référente. Consulter les plans d’urbanisme permet par exemple d’être informé de la
construction prochaine d’une ligne de métro, d’un parking ou encore du changement de sens d’une
rue. Autant d’informations qui impacteront, en positif ou en négatif, l’attractivité du futur local.
S’entourer
Une fois le choix arrêté sur un emplacement débute l’étape de la négociation du bail commercial.
Complexe et soumise à de nombreux changements juridiques, cette étape nécessite généralement
l’intervention d’un avocat spécialisé afin de s’assurer que le contrat avec le bailleur est cadré et
équilibré.
Le petit plus de la franchise : souvent, l’enseigne accompagne le futur franchisé dans sa recherche de
local. Certains réseaux disposent même de pôles « immobilier commercial » dédiés et proposent des
emplacements au franchisé, qui n’aura plus qu’à faire son choix. Dans la quasi-totalité des cas,
l’enseigne valide en dernier ressort l’emplacement qu’il a choisi avant d’acter le début de la relation
contractuelle entre les deux parties.
Source : www.leparisien.fr
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Indice Insee : les prix poursuivent leur hausse
en mars dans les CHR
Le 14/04/2017
En mars, selon l'indice de l'Insee, les prix à la consommation accélèrent (+ 0,6 %) sur un mois après
un faible rebond en février. Corrigé des variations saisonnières, cet indice des prix est stable après un
recul de 0,2 % en février. Sur un an, les prix à la consommation ralentissent de nouveau légèrement
(+ 1,1 % après + 1,2 %).
Dans la restauration et hôtellerie les prix poursuivent leur hausse avec + 0,7 % par rapport à février et
+ 2 % sur un an. Dans le détail, les prix dans la restauration n'enregistrent qu'une très faible
augmentation (+ 0,1 %) sur un mois, mais plus marquée sur un an (+ 1,6 %), tandis que ceux des
services d'hébergement sont en très nette hausse, que ce soit par rapport à février ou à mars 2016
(+ 3,2 % dans les deux cas).
Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr
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17
Bon, beau, sain et bon marché : le défi des
cantines modernes
Le 14/04/2017
De nouveaux établissements parisiens se sont lancé un défi : que chacun puisse manger bon et sain
pour le prix d’un fast-food (ou presque).
Ouvert en 2014, Le Bichat, dans le 10e arrondissement de Paris, a ouvert la voie de la « cantinomie »,
soit l’art d’« utiliser les armes de la gastronomie pour donner à manger à tout le monde ». FERIEL
NAOURA POUR M LE MAGAZINE DU MONDE
Il y a trois mois, Le Bichat, un modeste restaurant du 10
e
arrondissement, a fait des petits dans
tout Paris. D’un bout à l’autre de la capitale naissaient Le Grand Bréguet
(rue Bréguet), Le Myrha (rue Myrha) et Le Boétie (rue La Boétie). D’ici à quelques semaines,
c’est à Pantin que verra le jour… Le Pantin, dans l’ancien bâtiment des Magasins généraux.
Ouvertes sept jours sur sept en service continu, ces nouvelles cantines proposent de
généreux bols de légumes cuits et crus, de céréales et de légumineuses, avec ou sans
protéines animales, ainsi que des soupes, des citronnades et des gâteaux, le tout cuisiné sur
place, avec des produits bio et majoritairement locaux.
La revue de Presse KYLIA
18
Ce concept lumineux est dû à Augustin Legrand, cofondateur de l’association Les Enfants de
Don Quichotte et pourfendeur de la malbouffe
. « L’idée est de prendre le contre-pied des chaînes de fast-food, explique-t-il, en prouvant que l’on
peut manger bon, sain et bio, pour le même tarif. » Soit un ticket moyen de 9 euros. Au modèle
économique des franchises, il préfère la philosophie « open source » – libre à chacun de reproduire
son exemple. Le Myrha et La Boétie se sont d’ailleurs faits sans lui. « Pour que cela fonctionne,
poursuit-il, il faut qu’on ait du monde. Plus on nourrit de gens avec de bonnes choses, plus les bonnes
choses deviennent accessibles. »
C’est sur ce même principe que les compères de Big Mamma ont imaginé leur cinquième enseigne,
Popolare, une trattoria napolitaine gigantesque (250 couverts), aux pizzas superbes et aux prix
« comme là-bas » : 5 euros la Margherita, 12 euros la Regina. « Le secret, c’est de se fournir en
matières premières directement auprès des producteurs et de faire tout maison, y compris la pâte à
pizza, les pâtes fraîches et les glaces », révèle Victor Lugger, l’un des deux fondateurs formés à HEC.
Succès fulgurant : dès son ouverture, Popolare se targuait de servir quelque 1 500 clients par jour.
Pour certains chefs, réconcilier le très bon et le pas cher est un défi quotidien – et une vocation. Aux
fourneaux de L’Orillon, Thomas Chevrier propose un menu déjeuner entrée-plat-dessert à 15 €, que
l’on dévore au coude-à-coude. Il ne se revendique pas de la « bistronomie », mais de la
« cantinomie », soit l’art d’« utiliser les armes de la gastronomie pour donner à manger à tout le
monde ». Il fait tout lui-même, marché et plonge compris. Pour joindre les deux bouts, L’Orillon se
métamorphose en bar le soir venu. « Je m’appuie sur la structure économique du bar, comme un 3-
étoiles peut s’appuyer sur une structure hôtelière », explique le chef.
Contraint de fermer son restaurant Youpi & Voilà il y a deux ans, Patrice Gelbart a trouvé la solution :
tous les midis, il squatte la cuisine d’un bar à vins qui n’ouvre qu’à 16 heures. Le propriétaire le
dispense de loyer, à condition qu’il vende les vins de la cave. Une économie substantielle, qui permet
au chef d’envoyer à prix imbattables des assiettes dignes d’un étoilé. Un modèle gagnant-gagnant
qu’il aimerait voir essaimer : « Beaucoup de cuisiniers sont découragés par les prix au mètre carré.
Pourquoi ne pas exploiter des locaux, fermés en journée ou le soir, pour y installer leurs cantines en
alternance ? »
A La Pointe du Grouin, où Thierry Breton propose des sandwichs extra (4 euros), de grandes soupes
(4 euros le demi-litre) et des gâteaux maison (2 euros), « les clients commandent au comptoir, et le
coût du service est décompté du prix qu’ils paient ». Si les astuces économiques varient, le son de
cloche est le même partout : il faut « se mettre au boulot », bien sourcer ses produits, mais surtout
La revue de Presse KYLIA
19
cuisiner, encore et encore. « On ne fait pas de la cuisine d’assemblage, insiste Alessandra Montagne,
du restaurant Tempero. On travaille les cuissons longues, on achète les légumes bio en saison,
surtout ceux qui ont une sale tête et sont vendus moitié prix, on recycle les parures de viande en
terrine, les épluchures en soupes, on ne jette rien. » Une économie circulaire des fourneaux, aussi
ingénieuse que savoureuse, pour le plaisir du plus grand nombre.
Adresses
Le Bichat, 11, rue Bichat, Paris 10
e
.
Le Grand Bréguet, 17, rue Bréguet, Paris 11
e
.
Le Myrha, 70, rue Myrha, Paris 18
e
.
Le Boétie, 61, rue la Boétie, Paris 8
e
.
Popolare, 111, rue Réaumur, Paris 2
e
.
L’Orillon, 35, rue de l’Orillon, Paris 11
e
.
Youpi & Voilà aux Caves de Prague, 8, rue de Prague, Paris 12
e
.
La Pointe du Grouin, 8, rue de Belzunce, Paris 10
e
.
Tempero, 5, rue Clisson, Paris 13
e
.
Source : www.lemonde.fr
La revue de Presse KYLIA
20
Pourquoi je dois déposer les comptes annuels
de ma société ?
Le 14/04/2017
Les dirigeants de sociétés commerciales disposent d’un certain nombre de droits mais aussi de
devoirs. En effet, ils doivent répondre à de nombreuses exigences dont fait notamment partie le dépôt
des comptes annuels. En tant qu’obligation légale, ce dépôt a été instauré dans un souci de
transparence et de protection vis-à-vis des tiers et concerne ainsi la plupart des sociétés enregistrées
au registre du commerce et des sociétés.
Cependant, il est fréquent de constater que cette obligation n’est pas toujours respectée, un grand
nombre d’entreprises préférant ne pas dévoiler leurs comptes malgré les sanctions encourues. Ainsi,
afin de mieux comprendre la portée de cette obligation de dépôt, il est important d’apporter une
définition aux comptes annuels et d’en expliquer les principes.
Qu’est ce que les comptes annuels ?
Les comptes annuels représentent un ensemble de documents formant un tout indissociable parmi
lesquels on retrouve principalement le bilan de la société, le compte de résultat et les annexes
comptables. Ils permettent ainsi d’avoir une vision sur les comptes de la société et donc, sur l’actif et
le passif de celle-ci.
Ces documents doivent être déposés au greffe du tribunal de commerce et cette obligation s’applique
à la plupart des sociétés enregistrées au RCS (les entreprises individuelles et les sociétés civiles ne
sont pas concernées).
Il est important de préciser que cette obligation est aujourd’hui très facile à réaliser. En effet, il est
possible pour les dirigeants de déposer les comptes annuels de leur société en ligne, sur le site
Infogreffe.fr. Cette procédure rapide et efficace consiste simplement à renseigner les informations
relatives en joignant les pièces justificatives numérisées avant de procéder au paiement en ligne.
Quels sont les délais à respecter ?
Pour que ce dépôt puisse être effectué auprès du greffe du tribunal de commerce, les comptes
annuels doivent avoir fait l’objet d’une approbation par l’assemblée générale ordinaire annuelle
La revue de Presse KYLIA
21
constituée des actionnaires ou associés de la société concernée, dans un délai de six mois suivant la
clôture de l’exercice comptable. Une prorogation de délai peut être demandée par requête motivée
adressée au président du tribunal de commerce.
Comment demander la confidentialité des comptes annuels ?
Dès que le greffier du tribunal de commerce est en possession des comptes annuels, il va procéder à
la publication d’une annonce au BODACC (bulletin officiel des annonces civiles et commerciales) qui
donnera un caractère public aux comptes et les rendra consultables par tous.
Toutefois, la société peut demander à ce que les comptes restent confidentiels.
En effet, depuis le 1er avril 2014, les sociétés commerciales appelées « micro-entreprises » définies
par les articles L123-16-1 et D123-200 du Code de commerce peuvent faire l’objet de cette
confidentialité dans la mesure où au moins deux des trois conditions suivantes sont respectées :
 le total du bilan doit être inférieur à 350 000 euros,
 le chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 700 000 euros,
 l’entreprise concernée doit disposer de moins de 10 salariés.
Ne sont toutefois pas concernées par cette disposition :
 les sociétés appartenant à un groupe,
 les établissements de crédit et sociétés de financement,
 les entreprises d’assurance et de réassurance,
 les holdings.
De plus, il est aussi permis pour les petites entreprises de rendre confidentiel leur compte de résultat
à condition de respecter elles aussi, deux des trois seuils suivants :
 la société doit disposer de moins de 50 salariés,
 le chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 8 millions d’euros,
 le bilan ne doit pas dépasser 4 millions d’euros.
Dans les deux cas, pour bénéficier de cette confidentialité, il suffit au dirigeant de la société de joindre
aux comptes annuels une déclaration de confidentialité lors du dépôt.
La revue de Presse KYLIA
22
Cette confidentialité n’est pas opposable aux administrations, aux autorités judiciaires ainsi qu’à la
Banque de France, qui peuvent y accéder à des fins de contrôle.
Quelles sont les sanctions applicables ?
Si le dépôt des comptes annuels n’est pas effectué, des sanctions civiles et pénales sont applicables.
A la demande de tout intéressé, le président du tribunal de commerce peut adresser au dirigeant
d’une société une injonction de faire à bref délai sous astreinte. De plus, le non-dépôt des comptes
annuels constitue une infraction pénale sanctionnée par une amende de 1.500 euros, voire de 3.000
euros en cas de récidive.
Source : www.village-justice.com
La revue de Presse KYLIA
23
A propos de Kylia
Fondé en 2010 sur Paris, KYLIA est un réseau de cabinet d’affaires nouvelles génération.
Kylia est une enseigne immobilière exclusivement dédiée à l’immobilier commercial : Une entreprise
construite par et pour des commerçants.
Le Groupe Kylia intervient sur un large panel de services depuis l’expertise, la commercialisation, le
conseil, la recherche de financement, l’assurance, mais également l’optimisation des stocks.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA France
Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18

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  • 1. La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 10 au 16 avril 2017 Planches à partager, tapas & finger food : une nouvelle manière de consommer Le 10/04/2017 Planches & ardoises à partager, tapas, bouchées, mini-portions… Autant de nouvelles manières de consommer qui ont fait leur apparition depuis plusieurs années sur les tables de nos restaurants. CHD Expert a mené l'enquête sur ces tendances au cours du mois de mars 2017, en réalisant une étude combinant un panorama de marché, une enquête consommateurs et des enquêtes menées auprès des restaurateurs (qualitative et quantitative). Voici quelques résultats de l'enquête. Les français friands de la finger food Accélération du rythme de vie, modification des habitudes alimentaires (plus de convivialité, de curiosité, moins de chichis…), et un restaurateur à la recherche du plus court chemin vers la boisson : voici l'équation parfaite pour l'apparition de la finger food sur les tables françaises. Et les français répondent positivement à ces nouvelles manières de consommer.
  • 2. La revue de Presse KYLIA 2 Par exemple, 1 français sur 2 a consommé au moins une fois une planche ou une ardoise (de fromage et/ou de charcuterie) en restauration à aable sur le mois de février 2017. Ils plébiscitent particulièrement le moment du dîner pour les déguster. 7 français sur 10 ont quant à eux dégusté au moins une fois des tapas ou des bouchées sur le mois. Et quoi de mieux pour accompagner ces mets qu'un verre de vin, type de boisson la plus appréciée lors de ces consommations. L'accompagnement de choix avec la finger food pour 40 % des femmes ! Les restaurateurs à l'heure de la finger food Les professionnels du hors domicile développent des offres et des solutions adaptées aux nouveaux modes de vie. Autrefois abonnée aux rythmes traditionnels, avec un rush marqué sur le créneau du déjeuner et du dîner, la restauration traditionnelle assise révise ses classiques. Grignotage, goûter et service continu font désormais partie du vocabulaire des professionnels. 37 % des établissements interrogés lors de notre enquête proposent des planches et/ou des tapas au sein de leur établissement et une proportion importante des restaurateurs qui souhaiteraient en mettre en place envisage de le faire dans les prochains mois. Dans l'univers de la Finger Food, on trouve tous les types de concept de restauration. Du bar à tapas traditionnel avec une offre peu élaborée mais très attractive, aux étoilés qui ont développé une offre de tapas gastronomiques revisitées à la française. Selon Nicolas Nouchi, Global Head of Market Research : "Nous sommes au début d'une tendance qui a déjà pas mal émergé ces dernières années, et qui risque de s'accélérer fortement… La miniaturisation avait déjà été initiée par la restauration haut de gamme, puis les planches sont venues compléter et démocratiser la démarche avec en toile de fond les tapas qui restent toujours convoitées au-delà du sol ibérique. C'est la convivialité qui prévaut du point de vue du consommateur, car ces propositions favorisent le partage et la mise en bouche avant le repas, voire un repas à lui tout seul… Pour le restaurant à table, c'est une opportunité d'aller chercher des consommateurs sur un instant de consommation proche du soir, un premier niveau de solutions de sortie de crise…" Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr
  • 3. La revue de Presse KYLIA 3 Pizzerias en franchise : un secteur aux multiples facettes Le 10/04/2017 La France est le pays qui consomme le plus de pizzas au monde, derrière les Etats-Unis. Un succès qui se traduit aussi dans la création de pizzerias, notamment en réseau. Bien qu’il s’agisse d'un secteur « mono produit », la réalité du marché offre plusieurs possibilités aux aspirants franchisés. Crédits photo : shutterstock.com Les Français accros à la pizza En 2015, les Français ont consommé 819 millions de pizzas. Comme l’année 2016 a été marquée par l’Euro de football, tout porte à croire que les chiffres actualisés, qui seront prochainement publiés, devraient encore grimper. Ainsi, l’Hexagone est le deuxième consommateur de pizzas dans le monde, derrière les États-Unis et devant l’Italie. Et la répartition s’effectue ainsi : 51 % dans les restaurants- pizzerias, 10 % en livraison, camion ou restauration automatique, 24 % et 15 % respectivement en grande distribution et restauration collective. A 10,44 euros le prix moyen, le marché se révèle très juteux, et aiguise les appétits des porteurs de projet. Mais si en apparence ce secteur paraît simple, il convient de se pencher sur ses particularités avant de se lancer avec un réseau. Car sous l’appellation « pizzeria » se cachent en réalité trois métiers distincts.
  • 4. La revue de Presse KYLIA 4 A chacun sa part Il convient de bien appréhender les particularités de chacun avant de se lancer avec une enseigne. « Il y a tout d’abord la restauration assise. Une offre classique que l’on retrouve sur des surfaces moyennes de 400 m², pour 160 places à table. C’est un secteur mature, avec des enseignes bien installées », précise Laurent Delafontaine, associé-fondateur d’Axe Réseaux. Sur ce segment, on retrouve des mastodontes comme Pizza Hut (120 implantations) ou Del Arte (160 restaurants). Mais cela ne correspond peut-être pas à tous les profils avec un investissement qui avoisine généralement le million d’euros. L’amplitude horaire est aussi conséquente (7 jours sur 7, services midi et soir). Et si la réputation de ces marques génère une grosse activité, « ces restaurants sont souvent concurrencés par la pizzeria locale de l’indépendant qui jouit d’une bonne réputation », poursuit Laurent Delafontaine. Autre sous-secteur, celui de la livraison. Domino’s Pizza est installé sur ce créneau avec plus de 330 unités en France. On retrouve également des enseignes comme La Boite à Pizza (115 implantations), Speed Rabbit (90) ou Tutti Pizza (60 points de vente). « C’est un métier compliqué. Il faut gérer le flux de commandes ainsi que la flotte de scooters et les livreurs », prévient Laurent Delafontaine. « Etre franchisé sur ce domaine permet de profiter de la notoriété de l’enseigne, de ses outils de communication et de bénéficier d’outils pour la logistique », nuance-t-il. Le tout pour un investissement proche des 400 000 euros en moyenne. Cette branche du métier attire souvent les investisseurs, car au final il y a peu de contact avec la clientèle. Longtemps souveraines, les enseignes de livraison doivent désormais faire face à la concurrence des restaurants traditionnels qui livrent désormais à domicile. Enfin, la troisième part du secteur se présente comme « la restauration rapide à l’italienne ». Une restauration « du midi », précise le fondateur d’Axe Réseaux. « C’est un univers en pleine évolution sur lequel l’offre progresse. Elle correspond aux centres-villes et centres commerciaux ». Là, les enseignes privilégient les profils de commerçants. « Il faut savoir également fédérer ses équipes, car 80 % du chiffre d’affaires se fait sur 1h30 de temps ». Un secteur encore jeune sur lequel les enseignes sont peu nombreuses. L’investissement se trouve entre 200 000 et 400 000 euros. L’exemple de la Pizza de Nico : un nom, trois concepts Si le secteur est porteur, il se révèle très concurrentiel. Les enseignes doivent donc innover pour se différencier et répondre aux attentes des consommateurs. Parmi elles, La Pizza de Nico, un réseau qui puise ses racines dans l’Est de la France, sous l’impulsion de Nico Palea. « J’ai commencé avec un point de vente en 2000, l’idée étant de proposer des pizzas de 40 cm au prix des pizzas
  • 5. La revue de Presse KYLIA 5 normales ». L’engouement est immédiat, mais ce n’est que sept ans plus tard qu’il se lance en franchise pour compter aujourd’hui une trentaine de points de vente. Et pour faire face aux particularités du secteur, ce ne sont pas un mais trois concepts satellites qui se sont développés autour de l’enseigne. « Nous voulons nous adresser à tout le monde et ainsi nous adapter à la zone de chalandise », argumente le fondateur. S’il ne fait pas de livraison car « cela demande trop de logistique », Nico Palea couvre tous les autres aspects du métier. Une offre de restauration traditionnelle avec la pizza en mono produit pour un investissement entre 300 000 et 400 000 euros, un « pizza shop », avec la pizza à emporter sur 70 ou 80 m², pour un investissement de 120 000 euros, et enfin « le shop and lunch », le modèle le plus développé avec de la restauration sur place et à emporter. Pour ces différents concepts, le réseau ne cherche pas de franchisés issus de la restauration. « Si tout est fait sur place avec des produits frais, notre mode opératoire permet de se passer d’un cuisinier. Nous cherchons surtout de bons managers, capables de diriger des équipes de sept à huit personnes », conclut Nico Palea. Porté par sa réussite et la croissance du secteur, la Pizza de Nico entend atteindre la barre des 100 unités d’ici cinq ans. La pizza plaît et cela devrait durer. Aux futurs franchisés de choisir l’enseigne et le sous-secteur qui collent le mieux à ses aspirations. Source : www.lesechosdelafranchise.com
  • 6. La revue de Presse KYLIA 6 Paris : la fréquentation touristique a retrouvé son niveau d'avant les attentats de 2015 Le 10/04/2017 L'office du tourisme de Paris a annoncé lundi une nette reprise de la fréquentation touristique et des réservations aériennes vers la capitale, revenant à son niveau d'avant les attentats de 2015. Des touristes au pied de la Tour Eiffel, le 9 juillet 2016, à Paris. (Photo d'illustration) (PHILIPPE LOPEZ / AFP) Le tourisme parisien se porte mieux après un an de baisse. Le mois de décembre 2016 et les premiers mois de 2017 marquent une nette reprise de la fréquentation touristique de la capitale française, d'après l'office du tourisme et des congrès de Paris. En décembre 2016, les arrivées hôtelières dans le Grand Paris ont augmenté de 19,5% par rapport à décembre 2015. Ces arrivées sont revenues au niveau de décembre 2014, soit celui avant la série d'attentats qui a touché la France à partir de janvier 2015. Américains et Chinois reviennent en France Les touristes commencent à revenir en France notamment ceux provenant des États-Unis (+31%) de Chine (+40%), du Moyen-Orient (+17%) et d'Asie hors Chine et Japon (+24%). Ces marchés "affichent une forte progression", selon l'office de tourisme de Paris. En revanche, d'autres "sont encore en net recul". C'est le cas du Japon, de l'Italie et de la Russie notamment.
  • 7. La revue de Presse KYLIA 7 Le constat se confirme en janvier 2017 avec des arrivées hôtelières en hausse de 20,1% dans le Grand Paris par rapport à janvier 2016. Il s'agit même un record pour un mois de janvier au cours des 10 dernières années. Les réservations aériennes vers Paris en hausse Cette reprise se retrouve dans les réservations aériennes pour Paris. "Fin février, les arrivées aériennes internationales à Paris pour le trimestre en cours étaient en hausse de 11,1%", explique l'office de tourisme de Paris. "Cette reprise reste toutefois à confirmer dans les prochaines semaines avec l'entrée de la haute saison du printemps et de l'été 2017", conclut l'office de tourisme. Source : www.francetvinfo.fr
  • 8. La revue de Presse KYLIA 8 Vente immobilière et honoraires de l’agent immobilier : taxables ? Le 10/04/2017 © Copyright WebLex - 2017 A l’occasion d’une vente immobilière, l’acquéreur est redevable de droits de mutation qu’il devra verser à l’administration, par l’intermédiaire du notaire en charge de la rédaction de l’acte de vente. Faut-il tenir compte des honoraires de l’agent immobilier dans la base de calcul de ces droits de mutation ? Il semble que oui, parfois… Des honoraires soumis aux droits de mutation : tout dépend qui en est redevable… Lors de la vente d'un bien immobilier, lorsque les honoraires de négociations (communément appelés les « commissions » d'agence) versés à l'agent immobilier sont stipulés à la charge de l'acquéreur, conformément au mandat de vente, et payés par ce dernier, lesdits honoraires ne sont pas soumis aux droits fiscaux de mutation à titre onéreux. Mais lorsque les honoraires stipulés dans le contrat de mandat (c'est-à-dire entre le vendeur et l'agent immobilier) sont à la charge du vendeur, ces honoraires constituent une charge augmentative du prix s’ils sont payés par l'acquéreur (et prélevés sur le prix de vente) : dans ce cas, parce que l’acquéreur
  • 9. La revue de Presse KYLIA 9 confère au vendeur un avantage indirect, ils sont pris en compte pour le calcul des droits de mutation à titre onéreux. Si le prix de la vente est fixé « honoraires d'agence immobilière à charge vendeur », l'acquéreur paiera alors les droits de mutation à titre onéreux sur le prix intégral (sans déduction des honoraires de négociation). Source : www.bar-brasserie.fr
  • 10. La revue de Presse KYLIA 10 Quel rôle du smartphone dans nos choix de fast food ? Le 12/04/2017 Facebook IQ a publié les résultats d’une étude menée auprès de 12 500 personnes de plus de 18 ans sur 14 marchés, France comprise. L’objectif : comprendre l’influence du mobile et des messageries sur les choix de restauration rapide. Quel rôle prépondérant joue la consultation de notre smartphone ou de notre messagerie dans notre choix d’établissement fast food ? C’est la question sur laquelle s’est arrêtée Facebook IQ dans cette étude qui nous permet de mieux appréhender les nouveaux usages des consommateurs en la matière. Première distinction mise en lumière, des réflexes différents selon la fréquence de consommation dans ces lieux de restauration rapide. Ainsi, les consommateurs qualifiés de « fréquent » ont davantage tendance à recherche un lieu pour ne pas avoir à cuisiner chez eux et on 2,58 fois plus tendance (que les consommateurs occasionnels) à se rendre dans un fast food car c’est une habitude pour eux. Concernant l’usage du mobile, 53% de ces « habitués » utilisent leur téléphone comme source principale pour établir leur choix d’établissement contre seulement 41% des « occasionnels ». 60 % des habitués des fast food se déterminent selon les avis en ligne contre 44% des occasionnels.
  • 11. La revue de Presse KYLIA 11 Le pouvoir de l'image ! Le phénomène #foodporn, qui consiste à photographier ses consommations alimentaires pour partager ses expériences sur les réseaux sociaux, n’est pas qu’une vue de l’esprit. Et a de vraies incidences sur la fréquentation des établissements de restauration concernés. En effet, selon Facebook IQ, 66 % des habitués déclarent que voir un contenu partagé par leurs amis sur Instragram (62 % sur Facebook) à propos d’un fast food qu’ils souhaitent essayer les oriente dans leur décision contre seulement 41 % des occasionnels. Enfin, il ne faut pas mettre de côté le rôle des messageries qui restent le moyen principal pour échanger avec les proches au sujet du lieu de destination où l’on va manger. Et 48 % des consommateurs « fréquents » de fast food, toujours selon l’étude, seraient intéressés de pouvoir commander directement depuis Facebook Messenger. A bon entendeur… Source : www.snacking.fr
  • 12. La revue de Presse KYLIA 12 La restauration en France : les chiffres du secteur Le 12/04/2017 De nombreux Français souhaitent ouvrir leur propre restaurant. Un rêve qui peut tourner au cauchemar si l’on se lance dans l’aventure à l’aveugle. Zoom sur les données clés du secteur. Si le marché de la restauration amorce lentement sa reprise en France, le secteur a fortement pâti de la morosité économique : en 2016, les restaurateurs ont ainsi enregistré un recul de 4,5 % de leur activité par rapport à l'année précédente. Avant de se lancer dans l’ouverture d’un restaurant, une compréhension du marché global et des chiffres clés se révèle nécessaire. Le poids de la restauration rapide Terre de gastronomie, l’Hexagone regroupe 175 000 restaurants, dont plus de 18 000 se situent à Paris et alentours, selon les données de l’Insee. Les départements des Bouches-du-Rhône et des Alpes-Maritimes concentrent, eux aussi, de nombreux établissements de bouche : entre 7 500 et 10 000.
  • 13. La revue de Presse KYLIA 13 Constat relativement étonnant, mais attestant du succès de ce segment ces dernières années : la restauration rapide représente désormais 37 % des restaurants implantés en France. L’âge moyen du restaurateur Les patrons de restaurants appartiennent plutôt à la catégorie des seniors : 50 % ont plus de 50 ans, d’après l’enquête réalisée par Inkidata, et 13 % dépassent même les 60 ans. Les jeunes restent en minorité : seuls 2 % des dirigeants de ce secteur ont moins de 30 ans. Le restaurant-type En moyenne, un établissement compte 63 places assises et 40 en terrasse. Son service se concentre surtout sur le repas du midi, avec 91 % des restaurants ouverts sur ce créneau, contre 79 % le soir. Le dimanche reste une journée majoritairement travaillée dans le secteur : seul un point de vente sur cinq ferme ce jour-là. Les obstacles Plus de 40 % des restaurateurs interrogés s’attendent à une baisse de leur chiffre d’affaires sur le second semestre 2015. Parmi les principales difficultés évoquées, l’accroissement de la pression fiscale arrive en tête pour 95 % des répondants. Le relèvement du taux de TVA dans le secteur en janvier 2014, de 5,5 % à 10 %, avait déjà été mal reçu de la part des professionnels. Viennent ensuite les freins réglementaires (83 % des répondants), et la baisse du nombre de clients (77 %). Source : www.lesechosdelafranchise.com
  • 14. La revue de Presse KYLIA 14 Commerces : trois conseils pour trouver le bon emplacement Le 13/04/2017 Trouver un emplacement de qualité, parfaitement adapté au fonds de commerce qui y est rattaché constitue une étape cruciale, souvent casse-tête, pour tout commerçant qui souhaite lancer son affaire. Pour réussir dans le commerce, le choix d’un local de qualité, en adéquation avec le type de produits ou de services vendus, est primordial. Mais la tâche n’est pas aisée et beaucoup d’entrepreneurs qui se lancent s’y cassent les dents. « La règle d’or pour réussir dans le commerce : emplacement, l’emplacement, l’emplacement. » Cet adage connu de tous les professionnels du secteur est toujours d’actualité, notamment dans les réseaux où les achats d’impulsion et les accès publics priment, comme la restauration, la mode ou encore les loisirs. Trouver un emplacement de qualité, parfaitement adapté au fonds de commerce qui y est rattaché constitue une étape cruciale, souvent casse-tête, pour tout commerçant qui souhaite lancer son affaire. Voici trois conseils à suivre pour s’y retrouver. Se poser les bonnes questions Avant toute chose, le commerçant indépendant doit se poser trois questions essentielles : quel est mon commerce ? qu’est-ce que je vends ? à qui je le vends ? En effet, une bijouterie aura plus intérêt
  • 15. La revue de Presse KYLIA 15 à s’installer en centre-ville, dans un emplacement numéro pour espérer attirer une clientèle de proximité et susciter un achat d’impulsion. À l’inverse, un distributeur de meubles préférera ouvrir sur une grande voire très grande surface dans un retail park, où les charges locatives sont moins élevées et l’accès en voiture généralement facilité. Il est aussi important de se questionner sur la clientèle ciblée. Connaître parfaitement sa zone de chalandise est indispensable et permet d’éviter de faire fausse route dès le démarrage. Inutile en effet d’implanter un magasin de puériculture dans une zone où les familles ne sont pas nombreuses ou un magasin de luxe dans des communes où les CSP+ sont quasi inexistantes. Se rendre sur le terrain Avant de jeter son dévolu sur un local, le futur commerçant doit vérifier que celui-ci correspond à ses attentes et que le loyer demandé est justifié. Pour cela, les vieilles méthodes restent les plus efficaces : afin de tester le passage, il suffit de se rendre sur place un jour de semaine et un samedi et de compter les passants durant une heure. Répéter l’opération plusieurs fois à différents moments de la journée pour obtenir une moyenne par jour. Lors de ce travail, il peut être intéressant d’observer également les sacs des passants et, notamment, de vérifier s’ils proviennent de commerces du quartier. C’est un bon moyen pour tester la commercialité de la rue avant d’ouvrir son magasin. Ce travail de terrain doit être complété par un passage en mairie et à la chambre de commerce et d’industrie référente. Consulter les plans d’urbanisme permet par exemple d’être informé de la construction prochaine d’une ligne de métro, d’un parking ou encore du changement de sens d’une rue. Autant d’informations qui impacteront, en positif ou en négatif, l’attractivité du futur local. S’entourer Une fois le choix arrêté sur un emplacement débute l’étape de la négociation du bail commercial. Complexe et soumise à de nombreux changements juridiques, cette étape nécessite généralement l’intervention d’un avocat spécialisé afin de s’assurer que le contrat avec le bailleur est cadré et équilibré. Le petit plus de la franchise : souvent, l’enseigne accompagne le futur franchisé dans sa recherche de local. Certains réseaux disposent même de pôles « immobilier commercial » dédiés et proposent des emplacements au franchisé, qui n’aura plus qu’à faire son choix. Dans la quasi-totalité des cas, l’enseigne valide en dernier ressort l’emplacement qu’il a choisi avant d’acter le début de la relation contractuelle entre les deux parties. Source : www.leparisien.fr
  • 16. La revue de Presse KYLIA 16 Indice Insee : les prix poursuivent leur hausse en mars dans les CHR Le 14/04/2017 En mars, selon l'indice de l'Insee, les prix à la consommation accélèrent (+ 0,6 %) sur un mois après un faible rebond en février. Corrigé des variations saisonnières, cet indice des prix est stable après un recul de 0,2 % en février. Sur un an, les prix à la consommation ralentissent de nouveau légèrement (+ 1,1 % après + 1,2 %). Dans la restauration et hôtellerie les prix poursuivent leur hausse avec + 0,7 % par rapport à février et + 2 % sur un an. Dans le détail, les prix dans la restauration n'enregistrent qu'une très faible augmentation (+ 0,1 %) sur un mois, mais plus marquée sur un an (+ 1,6 %), tandis que ceux des services d'hébergement sont en très nette hausse, que ce soit par rapport à février ou à mars 2016 (+ 3,2 % dans les deux cas). Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr
  • 17. La revue de Presse KYLIA 17 Bon, beau, sain et bon marché : le défi des cantines modernes Le 14/04/2017 De nouveaux établissements parisiens se sont lancé un défi : que chacun puisse manger bon et sain pour le prix d’un fast-food (ou presque). Ouvert en 2014, Le Bichat, dans le 10e arrondissement de Paris, a ouvert la voie de la « cantinomie », soit l’art d’« utiliser les armes de la gastronomie pour donner à manger à tout le monde ». FERIEL NAOURA POUR M LE MAGAZINE DU MONDE Il y a trois mois, Le Bichat, un modeste restaurant du 10 e arrondissement, a fait des petits dans tout Paris. D’un bout à l’autre de la capitale naissaient Le Grand Bréguet (rue Bréguet), Le Myrha (rue Myrha) et Le Boétie (rue La Boétie). D’ici à quelques semaines, c’est à Pantin que verra le jour… Le Pantin, dans l’ancien bâtiment des Magasins généraux. Ouvertes sept jours sur sept en service continu, ces nouvelles cantines proposent de généreux bols de légumes cuits et crus, de céréales et de légumineuses, avec ou sans protéines animales, ainsi que des soupes, des citronnades et des gâteaux, le tout cuisiné sur place, avec des produits bio et majoritairement locaux.
  • 18. La revue de Presse KYLIA 18 Ce concept lumineux est dû à Augustin Legrand, cofondateur de l’association Les Enfants de Don Quichotte et pourfendeur de la malbouffe . « L’idée est de prendre le contre-pied des chaînes de fast-food, explique-t-il, en prouvant que l’on peut manger bon, sain et bio, pour le même tarif. » Soit un ticket moyen de 9 euros. Au modèle économique des franchises, il préfère la philosophie « open source » – libre à chacun de reproduire son exemple. Le Myrha et La Boétie se sont d’ailleurs faits sans lui. « Pour que cela fonctionne, poursuit-il, il faut qu’on ait du monde. Plus on nourrit de gens avec de bonnes choses, plus les bonnes choses deviennent accessibles. » C’est sur ce même principe que les compères de Big Mamma ont imaginé leur cinquième enseigne, Popolare, une trattoria napolitaine gigantesque (250 couverts), aux pizzas superbes et aux prix « comme là-bas » : 5 euros la Margherita, 12 euros la Regina. « Le secret, c’est de se fournir en matières premières directement auprès des producteurs et de faire tout maison, y compris la pâte à pizza, les pâtes fraîches et les glaces », révèle Victor Lugger, l’un des deux fondateurs formés à HEC. Succès fulgurant : dès son ouverture, Popolare se targuait de servir quelque 1 500 clients par jour. Pour certains chefs, réconcilier le très bon et le pas cher est un défi quotidien – et une vocation. Aux fourneaux de L’Orillon, Thomas Chevrier propose un menu déjeuner entrée-plat-dessert à 15 €, que l’on dévore au coude-à-coude. Il ne se revendique pas de la « bistronomie », mais de la « cantinomie », soit l’art d’« utiliser les armes de la gastronomie pour donner à manger à tout le monde ». Il fait tout lui-même, marché et plonge compris. Pour joindre les deux bouts, L’Orillon se métamorphose en bar le soir venu. « Je m’appuie sur la structure économique du bar, comme un 3- étoiles peut s’appuyer sur une structure hôtelière », explique le chef. Contraint de fermer son restaurant Youpi & Voilà il y a deux ans, Patrice Gelbart a trouvé la solution : tous les midis, il squatte la cuisine d’un bar à vins qui n’ouvre qu’à 16 heures. Le propriétaire le dispense de loyer, à condition qu’il vende les vins de la cave. Une économie substantielle, qui permet au chef d’envoyer à prix imbattables des assiettes dignes d’un étoilé. Un modèle gagnant-gagnant qu’il aimerait voir essaimer : « Beaucoup de cuisiniers sont découragés par les prix au mètre carré. Pourquoi ne pas exploiter des locaux, fermés en journée ou le soir, pour y installer leurs cantines en alternance ? » A La Pointe du Grouin, où Thierry Breton propose des sandwichs extra (4 euros), de grandes soupes (4 euros le demi-litre) et des gâteaux maison (2 euros), « les clients commandent au comptoir, et le coût du service est décompté du prix qu’ils paient ». Si les astuces économiques varient, le son de cloche est le même partout : il faut « se mettre au boulot », bien sourcer ses produits, mais surtout
  • 19. La revue de Presse KYLIA 19 cuisiner, encore et encore. « On ne fait pas de la cuisine d’assemblage, insiste Alessandra Montagne, du restaurant Tempero. On travaille les cuissons longues, on achète les légumes bio en saison, surtout ceux qui ont une sale tête et sont vendus moitié prix, on recycle les parures de viande en terrine, les épluchures en soupes, on ne jette rien. » Une économie circulaire des fourneaux, aussi ingénieuse que savoureuse, pour le plaisir du plus grand nombre. Adresses Le Bichat, 11, rue Bichat, Paris 10 e . Le Grand Bréguet, 17, rue Bréguet, Paris 11 e . Le Myrha, 70, rue Myrha, Paris 18 e . Le Boétie, 61, rue la Boétie, Paris 8 e . Popolare, 111, rue Réaumur, Paris 2 e . L’Orillon, 35, rue de l’Orillon, Paris 11 e . Youpi & Voilà aux Caves de Prague, 8, rue de Prague, Paris 12 e . La Pointe du Grouin, 8, rue de Belzunce, Paris 10 e . Tempero, 5, rue Clisson, Paris 13 e . Source : www.lemonde.fr
  • 20. La revue de Presse KYLIA 20 Pourquoi je dois déposer les comptes annuels de ma société ? Le 14/04/2017 Les dirigeants de sociétés commerciales disposent d’un certain nombre de droits mais aussi de devoirs. En effet, ils doivent répondre à de nombreuses exigences dont fait notamment partie le dépôt des comptes annuels. En tant qu’obligation légale, ce dépôt a été instauré dans un souci de transparence et de protection vis-à-vis des tiers et concerne ainsi la plupart des sociétés enregistrées au registre du commerce et des sociétés. Cependant, il est fréquent de constater que cette obligation n’est pas toujours respectée, un grand nombre d’entreprises préférant ne pas dévoiler leurs comptes malgré les sanctions encourues. Ainsi, afin de mieux comprendre la portée de cette obligation de dépôt, il est important d’apporter une définition aux comptes annuels et d’en expliquer les principes. Qu’est ce que les comptes annuels ? Les comptes annuels représentent un ensemble de documents formant un tout indissociable parmi lesquels on retrouve principalement le bilan de la société, le compte de résultat et les annexes comptables. Ils permettent ainsi d’avoir une vision sur les comptes de la société et donc, sur l’actif et le passif de celle-ci. Ces documents doivent être déposés au greffe du tribunal de commerce et cette obligation s’applique à la plupart des sociétés enregistrées au RCS (les entreprises individuelles et les sociétés civiles ne sont pas concernées). Il est important de préciser que cette obligation est aujourd’hui très facile à réaliser. En effet, il est possible pour les dirigeants de déposer les comptes annuels de leur société en ligne, sur le site Infogreffe.fr. Cette procédure rapide et efficace consiste simplement à renseigner les informations relatives en joignant les pièces justificatives numérisées avant de procéder au paiement en ligne. Quels sont les délais à respecter ? Pour que ce dépôt puisse être effectué auprès du greffe du tribunal de commerce, les comptes annuels doivent avoir fait l’objet d’une approbation par l’assemblée générale ordinaire annuelle
  • 21. La revue de Presse KYLIA 21 constituée des actionnaires ou associés de la société concernée, dans un délai de six mois suivant la clôture de l’exercice comptable. Une prorogation de délai peut être demandée par requête motivée adressée au président du tribunal de commerce. Comment demander la confidentialité des comptes annuels ? Dès que le greffier du tribunal de commerce est en possession des comptes annuels, il va procéder à la publication d’une annonce au BODACC (bulletin officiel des annonces civiles et commerciales) qui donnera un caractère public aux comptes et les rendra consultables par tous. Toutefois, la société peut demander à ce que les comptes restent confidentiels. En effet, depuis le 1er avril 2014, les sociétés commerciales appelées « micro-entreprises » définies par les articles L123-16-1 et D123-200 du Code de commerce peuvent faire l’objet de cette confidentialité dans la mesure où au moins deux des trois conditions suivantes sont respectées :  le total du bilan doit être inférieur à 350 000 euros,  le chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 700 000 euros,  l’entreprise concernée doit disposer de moins de 10 salariés. Ne sont toutefois pas concernées par cette disposition :  les sociétés appartenant à un groupe,  les établissements de crédit et sociétés de financement,  les entreprises d’assurance et de réassurance,  les holdings. De plus, il est aussi permis pour les petites entreprises de rendre confidentiel leur compte de résultat à condition de respecter elles aussi, deux des trois seuils suivants :  la société doit disposer de moins de 50 salariés,  le chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 8 millions d’euros,  le bilan ne doit pas dépasser 4 millions d’euros. Dans les deux cas, pour bénéficier de cette confidentialité, il suffit au dirigeant de la société de joindre aux comptes annuels une déclaration de confidentialité lors du dépôt.
  • 22. La revue de Presse KYLIA 22 Cette confidentialité n’est pas opposable aux administrations, aux autorités judiciaires ainsi qu’à la Banque de France, qui peuvent y accéder à des fins de contrôle. Quelles sont les sanctions applicables ? Si le dépôt des comptes annuels n’est pas effectué, des sanctions civiles et pénales sont applicables. A la demande de tout intéressé, le président du tribunal de commerce peut adresser au dirigeant d’une société une injonction de faire à bref délai sous astreinte. De plus, le non-dépôt des comptes annuels constitue une infraction pénale sanctionnée par une amende de 1.500 euros, voire de 3.000 euros en cas de récidive. Source : www.village-justice.com
  • 23. La revue de Presse KYLIA 23 A propos de Kylia Fondé en 2010 sur Paris, KYLIA est un réseau de cabinet d’affaires nouvelles génération. Kylia est une enseigne immobilière exclusivement dédiée à l’immobilier commercial : Une entreprise construite par et pour des commerçants. Le Groupe Kylia intervient sur un large panel de services depuis l’expertise, la commercialisation, le conseil, la recherche de financement, l’assurance, mais également l’optimisation des stocks. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA France Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18