Octroi de crédits aux entreprises mise à jour février 2014
1. Octroi de crédits aux entreprises |
Evolution récente
Mise à jour février 2014
www.financementdesentreprises.be
2. Les banques belges ont injecté 85,5 milliards EUR
dans l’économie belge
Depuis 2007
Les banques en Belgique procurent davantage de
financement à l’économie que la moyenne de la zone euro
Crédit aux ménages
+47,5 mia EUR
(+34,11%)
Crédit aux
entreprises
+20,7 mia EUR
(+21,32%)
Crédit aux autorités
+17,2 mia EUR
(+25,07%)
=
Croissance du crédit
total
+85,5 mia EUR
(+28,01%)
390,7
mia EUR
Volume total de l’encours
de crédits à l’économie
belge decembre 2013
3. Volume des crédits aux entreprises
Volume des crédits aux entreprises
Encours (en mio EUR)
135,000
130,000
125,000
Encours ( x 1.000.000 €)
120,000
115,000
110,000
105,000
100,000
128,037
127,018128,521
126,309
127,449
126,890
126,881
125,949
125,248
124,527
124,158
120,608 120,712
122,296
120,944
120,920
118,387
117,679 117,765
116,982
116,729
118,445
118,033
117,411
116,968 117,560
116,986
116,705
116,189
115,590
115,805
115,695
112,696114,655
111,573
112.60712,545
1
110,866
111,090
110,069
108,531
106,447
106,354
104,696 105,069 105,501
104,350
100,335
97,070
95,000
Febelfin
Observatoire BNB
Chiffres de Febelfin
= BNB + crédits
d’engagement +
indépendants /
professions libérales
Chiffres BNB
= encours des crédits
bancaires utilisés par
les sociétés non
financières belges
4. Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
Crédit bancaire aux sociétés non financières belges (1)
PIB belge (2)
12/1/2013
10/1/2013
8/1/2013
6/1/2013
4/1/2013
2/1/2013
12/1/2012
10/1/2012
8/1/2012
6/1/2012
4/1/2012
2/1/2012
12/1/2011
10/1/2011
8/1/2011
6/1/2011
4/1/2011
2/1/2011
12/1/2010
10/1/2010
8/1/2010
6/1/2010
4/1/2010
2/1/2010
12/1/2009
10/1/2009
8/1/2009
6/1/2009
4/1/2009
2/1/2009
12/1/2008
10/1/2008
8/1/2008
6/1/2008
4/1/2008
2/1/2008
12/1/2007
10/1/2007
8/1/2007
6/1/2007
4/1/2007
2/1/2007
12/1/2006
10/1/2006
8/1/2006
6/1/2006
4/1/2006
2/1/2006
12/1/2005
Crédit bancaire aux entreprises et
développement de l’économie
Index : décembre 2005 = 100
150
140
130
120
110
100
90
5. 8/1/2006
Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
12/1/2013
10/1/2013
8/1/2013
6/1/2013
4/1/2013
2/1/2013
12/1/2012
10/1/2012
8/1/2012
6/1/2012
4/1/2012
2/1/2012
12/1/2011
10/1/2011
8/1/2011
6/1/2011
4/1/2011
2/1/2011
12/1/2010
10/1/2010
8/1/2010
6/1/2010
28
4/1/2010
29
2/1/2010
12/1/2009
10/1/2009
8/1/2009
6/1/2009
4/1/2009
2/1/2009
12/1/2008
10/1/2008
8/1/2008
6/1/2008
4/1/2008
Situation
avant la
crise
financière
2/1/2008
34
12/1/2007
10/1/2007
8/1/2007
6/1/2007
4/1/2007
2/1/2007
12/1/2006
32
10/1/2006
33
6/1/2006
4/1/2006
2/1/2006
12/1/2005
Crédit bancaire aux entreprises belges et
développement de l’économie
Volume des crédits aux entreprises (€ milliards)
PNB (montants nominaux, € milliards)
(en %)
35
Crise financière:
croissance oxygène
pour l’’économie
31
30
Fin crise financière :
stabilisation relation à
un niveau élevé
27
26
25
6. Part dans le volume total des
crédits utilisés ( octobre 2013)
Evolution des crédits utilisés
selon la taille des entreprises
Grandes entreprises
24,1%
75,9% de l’encours
total des crédits
vont aux PME
Petites
entreprises
50,4%
Moyennes entreprises
25,5%
Type d’entreprises
avril
2012
octobre 2012
octobre 2013
oct 2013 par rapport à
oct 2012
Petites
55.524
55.911
55.931
+ 0.04%
Moyennes
26.913
26.743
28.270
+ 5.04%
Grandes
29.382
29.849
26.745
- 10.4%
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
La différence entre le montant total de l’encours de crédits réparti selon la taille des entreprises et le montant total de l’encours de crédits tient à la
différence de sources. Les données relatives au montant total de l’encours de crédits sont basées sur le reporting comptable mensuel détaillé des
banques, tandis que la ventilation selon la taille de l’entreprise est basée sur les données de la centrale des risques de crédit (Centrale du Crédit aux
Entreprises - CCE).
7. Part dans le volume total des
crédits utilisés (octobre 2013)
Evolution des crédits utilisés
par Région
Région de BruxellesCapitale 17%
Région
wallonne 20,2%
Région
Région flamande
62,8%
avril
2012
octobre 2012
octobre 2013
oct 2013 par rapport
à oct 2012
Région flamande
75.904
76.147
75.271 (62.8%)
-1.2%
Région wallonne
23.112
23.419
24.161 (20.2%)
+3.2%
Région de
Bruxelles-Capitale
20.100
21.137
20.339 (17%)
-3.8%
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
8. Part dans le volume total
des crédits utilisés (decembre 2013)
CT 28,5%
Crédits aux entreprises par
durée du crédit = 72% crédits
à M/LT
M/LT 71,5%
Date
Crédit à CT
Crédit à M/LT
En mio EUR
En % du total
En mio EUR
En % du total
12.2007
37.394
38,5
59.676
61,5
12.2008
40.355
37,9
66.092
62,1
12.2009
34.120
32,1
72.233
67,9
12.2010
-10,7%
12.2011
35.414
31,4
77.194
68,6
36.476
31,5
79.329
68,5
12.2012
34.497
29,5
82.484
70,5
12.2013
33.391
28,5
81.967
71,5
+40,5%
Source : Calculs Febelfin sur la base de données BNB
A titre complémentaire : court terme = durée initiale jusqu’à un an compris; moyen à long terme = durée initiale plus d’un an
9. Le degré d’utilisation sur le long
terme ne change guère : il y a
donc une marge de manœuvre
pour l’utilisation des crédits
Degré d’utilisation
%
90
84,5%
85
80
75
69,5%
70
65
66,8%
60
55
50
51,0%
45
40
Petites entreprises
Moyennes entreprises
Grandes entreprises
Total
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
10. La baisse de la demande
de crédit mène à …
Baisse de la demande de
crédit imputable au contexte
économique difficile
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
11. … une baisse de la
production
Baisse de la production de crédit
principalement imputable à la
diminution des demandes
de crédit
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
12. Le degré de refus est traditionnellement peu
élevé en Belgique
La persistance de la crise a un impact négatif sur la qualité des demandes
de crédit et donc aussi sur les décisions de crédit. Néanmoins le degré de
refus diminue.
120
117.7
119.5
115
111.6
110
111.4
108.9
110
105
101.4
100
95
90
2008
2009
2010
2011
2012
jan-sep 2012 jan-sep 2013
Source : Chiffres Febelfin – Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises (chiffres actuels)
(N.B. : indice 100 = moyenne des 8 premiers mois de 2008 = période de référence). Ce graphique rend l'évolution du
degré de refus par rapport à cette période de référence.
13. Les banques maintiennent le crédit accessible
•
Entre avril 2012 et septembre 2013, 85% des demandes de crédit ont abouti à
l’octroi d’un crédit.
Moins de refus que dans le reste de l’UE
•
100
90
80
71% des demandes de crédit de PME ont
été intégralement approuvées.
7% des demandeurs ont reçu l’essentiel
du montant de crédit souhaité.
7% des demandeurs ont reçu une partie
du crédit demandé.
5% des candidats n’ont pas introduit leur
demande.
Dans 8% des cas, le crédit a été refusé
=> une évaluation correcte des risques
sous-jacents reste nécessaire
Non connu
70
60
Demandé et refusé
50
Demandé et refusé pour
cause de coût trop élevé
40
Demandé et en partie
accordé
30
Demandé et, pour
l’essentiel, accordé
20
10
Demandé et
intégralement accordé
BE
DE
IE
GR
ES
FR
IT
NL
AT
PT
FI
Zone Euro
0
Source : Febelfin sur la base de données de la BCE : ”Data of he SME access
to finance survey” (avril – septembre)
14. Taux de refus selon la taille des entreprises comparaison avec la zone euro
•
100
69% des demandes de crédit de
micro entreprises ont été
intégralement approuvées.
•
80% des demandes de crédit de
petits entreprises ont été
intégralement approuvées.
90
80
Non connu
70
60
Demandé et refusé
50
40
Demandé et refusé pour cause
de coût trop élevé
30
Demandé et en partie accordé
20
Demandé et, pour
l’essentiel, accordé
10
Demandé et intégralement
accordé
0
BE
zone
euro
Micro
BE
zone
euro
Petit
BE
zone
euro
Moyen
Source : Febelfin sur la base de données de la BCE : ”Data of he SME access to finance survey”
(avril – septembre)
Belgique fait mieux que la zone euro.
•
Pour les moyens entreprises 90% des
demandes de crédit ont abouti à
l’octroi d’un crédit.
La Belgique obtient le même score
que la zone euro
16. Stabilisation des conditions d’octroi de crédit
Entreprises
Résultats enquête BNB auprès des entreprises au cours du Q3 2013
Détérioration uniquement pour les conditions liées aux taux d’intérêt
17. Évolution des dossiers de crédit introduits par
les entreprises par catégorie de risques
Nombre de demandes de crédits de PME
Catégorie
de risques
(1)
PME
Part dans le
total des
Evolution (en
demandes de crédit %)
(en %)
2011
Risque
faible
Risque
moyen
Risque
élevé
Risque très
élevé
No Score
dont moyennes entreprises
2012
2012 / 2011
dont petites entreprises
Part dans le
total des
Evolution (en
demandes de crédit %)
(en %)
2011
2012
2012 / 2011
Part dans le
total des
demandes de
crédit
(en %)
2011
2012
Evolution (en
%)
2012 / 2011
55,5
50,6
-15,2
56,0
50,6
-14,5
55,3
50,6
-15,6
27,9
30,7
2,7
31,3
35,4
7,3
25,9
27,9
-0,7
7,9
10,1
18,6
6,7
8,0
13,2
8,6
11,4
21,0
1,4
1,5
0,5
1,1
1,2
-0,9
1,5
1,7
1,0
7,3
7,1
-9,7
4,9
4,8
-7,0
8,7
8,5
-10,6
Source: Enquête interne de Febelfin auprès des 4 grandes banques (1) Les catégories de risque sont établies sur la base de la Probability of Default (PD):
* Faible (de 0% à environ 0,8%)
* Moyenne (d’environ 0,8% à environ 4%)
* Elevée (d’environ 4% à environ 21%)
* Très élevée (d’environ 21% à 100%)
19. Taux d’intérêt concurrentiels
Moyenne mensuelle 2013
juin
2,83%
juillet
2,94%
août
3,01%
sep
3,04%
okt
3,07%
nov
3,02%
dec
2,96%
Moyenne annuelle
2007
2008
2009
2010
2011
2012
jan – nov
2013
5,03%
5,32%
3,73%
3,20%
4,41%
3,07%
2,97%
Source : Chiffres BNB – Observatoire mensuel du crédit aux sociétés non financières (chiffres actuels)
19
20. Octroi de crédit à l’économie belge
Offre concurrentielle, faibles taux en réponse aux
besoins
Evolution croissance
Taux d’intérêt moyen
Source: BNB, septembre 2012
21. Factoring : le volume a plus que doublé en cinq ans
Le secteur financier fait un effort pour le financement à CT
Factoring : évolution du turnover (en millions d'EUR)
25,000
20,000
15,000
10,000
5,000
0
1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem. 2e sem. 1e sem.
2007
2007
2008
2008
2009
2009
2010
2010
2011
2011
2012
2012
2013
Montant des factures en millions d'euros, confiées aux sociétés de factoring les plus
importantes
Source : Chiffres Febelfin (chiffres actuels)
22. Le leasing une importante source de financement
pour les starters et les petites entreprises
Evolution de la production de leasing
(en millions d’euros)
5000
4500
4000
3500
3000
2500
2000
1500
1000
500
0
2008
2009
2010
Leasing immobilier
Source : Chiffres Febelfin (chiffres actuels)
2011
2012
Leasing mobilier
1er 3 Q 2012
1er 3 Q 2013
23. Le leasing est une importante source de
financement supplémentaire pour les entreprises
belges (e.a. pour les entreprises débutantes)
Entreprises qui
recourent au
leasing
• Une entreprise sur quatre en Belgique
Raisons pour
lesquelles elles
optent pour le
leasing
•
•
•
•
Financement 100% des actifs
Flexibilité du contrat
Transparence des remboursements
Accès aisé
Source : Etude de la Vlerick Business School réalisée à la demande de l’ABL (février 2012)
Editor's Notes
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)Info over looptijd van de kredietenEen van de elementen die men bijkomend zouden kunnen meegeven aan de NV-A (naast onze vaststelling van daarnet, dat de toename van het bancaire kredietvolume sedert 2007 voor 70 % naar de Belgische privésector is gegaan), is dat de banken de jongste jaren in steeds sterkere mate hun taak van tijdsduurtransformatie op zich hebben genomen, m.a.w. het omzetten van kortlopende deposito’s in langlopende kredieten. Langs de kant van de deposito’s zijn de gemiddelde looptijden (duration) ingekort, en langs de kant van de kredieten zijn de gemiddelde looptijden toegenomen. Naast het pure volume-verschijnsel (dus toename van het uitstaande kredietvolume), is er dus ook een belangrijk compositie-verschijnsel geweest, en m.i. is dat tot nog toe onderbelicht gebleven. Wat de kredieten aangaat is de looptijdverlenging inzake de hypotheekleningen evident, te meer daar de lage rentestanden de voorkeur voor de vaste tarieven hebben verstrekt (+ de herfinancieringen met overstap op vaste tarieven). Maar ook in het vlak van de bankkredieten aan Belgische niet-financiële ondernemingen is de verschuiving van krediet op korte termijn naar krediet op lange termijn heel opmerkelijk. Onderstaande cijfers verduidelijken dat : Van einde 2006 tot eind juni 2012 is het uitstaand bedrag van de kredieten op korte termijn aan Belgische ondernemingen gegroeid van 32,5 miljard EUR tot 36,7 miljard EUR, dat was : + 4,2 miljard EUR, of + 13,0 %. Over dezelfde periode is de omloop van de kredieten op lange termijn aan Belgische ondernemingen toegenomen van 52,8 miljard EUR tot 81,7 miljard EUR, dat was : + 28,9 miljard EUR, of + 54,7 %. Eind juni 2012 vertegenwoordigden de kredieten op lange termijn in de totale omloop van de bankkredieten aan Belgische ondernemingen 69,0 %, en de kredieten op korte termijn 31,0 %. Einde 2006 was het aandeel van de kredieten op lange termijn 61,9 %, en dat van de kredieten op korte termijn 38,1 %. Deze verschuiving in de termijnsamenstelling van de kredietportefeuille van de banken (en overigens ook langs de kant van de deposito’s, maar dan richting korte termijn), is heel zeker moeilijker in te schatten en te begrijpen door de buitenwereld. Maar het is niettemin een objectieve vaststelling inzake de inspanning die de banken de voorbije jaren hebben gedaan om de economie te ondersteunen. Uiteraard heeft in deze ontwikkeling ook het verloop van de intresttarieven meegespeeld (waardoor de spaarders liquiditeiten verkiezen, terwijl de kredietnemers hun schuldenposities willen ‘consolideren’), maar het is wel een uitdaging voor de banken om deze ‘uiteengroei’ van de duration van respectievelijk deposito’s en kredieten met elkaar te verzoenen (belangrijk onderdeel van risicobeheer). In het licht van de nieuwe liquiditeitsregels is die uitdaging nog evidenter, en treedt tegelijk ook het belang op de voorgrond van het statuut/regime van het gereglementeerde spaardeposito (die reglementair beschouwd worden als stabiele funding; maar het is ook belangrijk dat die spaardeposito’s eveneens in de praktijk maximaal stabiel zouden zijn; vandaar tevens het belang van het debat over de getrouwheidspremie, e.a.).
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)
Bedragtotaaluitstaandkredietvolumeonderverdeeldnaarduurtijdkredieten( bron NBB op basis van boekhoudstatenbanken) : Maart 2012 : 36.389 (KT) + 80.594 (LT) = 116.983Bedragtotaaluitstaandkredietvolume (cijfers NBB, maart 2012) : 116.982 mio EUR ( bron NBB op basis van boekhoudstatenbanken)Opgelet : middellang tot langetermijnkredietenzijnkredieten van meerdanéénjaarDit is de indeling die de NBB volgt.
Ter info: maart 2012 zijn de laatst beschikbare gegevens zoals gepubliceerd door het CKO (centrale kredieten ondernemingen)
La demande de créditdépend de plusieursfacteurs : TauxConjoncture /revenudisponibleConfiance des entrepreneursSource : Etude surl’importance des dépôtsd’épargne pour l’octroi de crédit en Belgique - Prof. Nancy Huyghebaert
Met uitzondering van de maand december lag de weigeringsgraad in het vierde trimester lager dan in het overeenstemmende trimester van 2010.De banken blijven dus bereid om krediet te verstrekken, wat ook tot uiting komt in de stijging van het kredietbedrag dat in de loop van het vierde trimester werd verstrekt. In het afgelopen jaar is het bedrag aan nieuwe kredieten (productie) ieder trimester sterker toegenomen dan de evolutie van het bedrag van de kredietaanvragen.
Noot 1 : Level I nbb 8 oktober 2012 TraditioneelkredietbeleidInzake traditioneel kredietbeleid is de NBB niet ongelukkig met het feit dat inzake commercial Real Estate en hypothecair krediet een zekere verstrakking aan de orde is. Met betrekking tot kredietverlening aan ondernemingen wordt echter gevraagd om niet te streng te zijn. Wat de vraag naar zekerheden aan ondernemingen betreft, mag inderdaad niet uit het oog worden verloren dat historisch gezien het gevaar voor verkeerd aflopende bedrijfskredieten in België vrij beperkt blijft.
GRAFIEK 1 : EvolutiegroeiSources: NBB, ECB. (1) Resident banks to residents. Data including securitised loans: for Belgium over the entire period, for the euro area from January 2010 onwards GRAFIEK 2 : GemiddeldeinterestvoetSources: NBB, Thomson Reuters Datastream. (1) MFI interest rates on new loans to non− financial corporations, up to an amount of 1 million, over 5 years initial rate fixation. (2) MFI interest rates on new loans to households, for house purchases, over 10 years initial rate fixation. (3) Data over the full sample available for: Austria, Belgium, Germany, Spain, Finland, France, Italy and Netherlands.
Gemiddeldproductie volume op jaarbasis : rond 4 mia € (extra financiering op jaarbasisvoor starters en kleineondernemingen)Quid uitstaand volume ?
Maatregelenvermijden die leasingproductkunnenondermijnenVoorbeelden:Thin cap regelingdd. 21/09/2012 BNP Paribas Leasing Solutions heeft de vraag m.b.t. de definitie van financiële sector in de Memorie van Toelichting bij de nieuwe thin cap-regelgeving gesteld aan de ruling commissie in het kader van een specifiek dossier. Het antwoord van de ruling commissie wordt verwacht over een maand. Er zal worden gewacht op het antwoord van de ruling commissie vooraleer een parlementaire vraag hierover te stellen. AanpassingBelgischeregelgevingaan arrest EU hofdatfinanciële leasing herkwalificeertalseen ‘levering van goederen’ ipv levering van diensten.In een recent arrest heeft het Europees Hof Van Justitie zich gebogen over de vraag of een financiële lease voor BTW doeleinden niet als een levering van goederen moet beschouwd worden i.p.v. een levering van diensten. Die vraag werd bevestigend beantwoord.Hoe groot is de kans dat in België financiële lease zal worden geherkwalificeerd als een levering van goederen ? Aan Febelfin zal worden gevraagd om dit door de fiscalisten te laten onderzoeken : arrest becommentariëren + inschatting van het risico van herkwalificatie. Bij dat onderzoek dienen zeker te worden betrokken : Tini Alifinerakis (BNP P Fortis), Vincent Windels (KBC), Wilfried Goris (ING) en Gino Hofman (Belfius Lease). De bedoeling is dat argumenten worden voorbereid om snel te kunnen reageren. NootUitvoorafgaandoverleg met kabinett Peeters blijktdatookzijgeenprobleemzien met leasing en datditeenwaardevol instrument is.