1. La médecine de l’embryon
le 28/01/2006
I) Postulat
Faute de connaître dans le détail le pourquoi (quels sont les médiateurs hormonaux
successifs) et le comment (direction de migration des tissus, différenciation en
organes) du développement embryonnaire, la médecine de ce début de XXI° siècle
peut néanmoins tirer profit de constatations empiriques sur les liens entre tissus
chez l’homme, liens qui sont issus du stade du développement des tissus
embryonnaires.
II) Quelques exemples
II.1) Lien dents / anus
Constat :
• Le jeune enfant a les fesses irritées lors de la pousse des dents
• Les dents peuvent tomber en cas de trahison, assimilable à une sodomie non
désirée. Par exemple pour un individu né sous X et qui n’arrive pas à
retrouver ses parents malgré toute l’énergie dépensée dans ses recherches.
Hypothèse :
La muqueuse anale et les gencives sont reliées par une proximité lors du
développement embryonnaire.
II.2) Lien entre l’innervation de la peau et celle des poumons
Constat :
Le massage de la peau dorsale, ou le grattage des démangeaisons de la peau, est
suivi d’une relaxation musculaire puis d’une meilleure qualité de respiration
consécutive.
Hypothèse :
L’innervation de la peau est reliée à l’innervation des muscles pulmonaires ; cette
proximité est due au développement du tissu nerveux chez l’embryon.
II.3) Lien entre caractère et mois de naissance
Constat :
Dans l’antiquité, les anciens ont remarqué l’existence de traits de caractères
communs entre les hommes nés dans la même période de l’année. Ils ont associé à
ces groupes d’humains un animal présentant les mêmes traits de caractère. D’autre
part, ils ont repéré dans le ciel les constellations du zodiaque datant les mois de
l’année. Les anciens ont alors attribué à chaque constellation le nom de l’animal
représentatif des hommes nés pendant la période de l’année où la constellation est
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2. visible. Ils ont ensuite calqué un tracé fantasmagorique de l’animal-symbole sur la
géométrie de la constellation.
Hypothèses sur le développement du cerveau embryonnaire en fonction de la date
de naissance :
• Il existe des flux de particules émis par les objets célestes, qui baignent le
cerveau embryonnaire. Ces flux sont différents en fonction de chaque astre,
d’où des différences entre les mois de l’année (les constellations et leurs
astres associés défilent), ainsi qu’une répétitivité annuelle (au même mois
chaque année une constellation du zodiaque est visible). Des flux de particule
différents génèrent des caractères différents.
• Durant les 9 mois de maturation, la succession des saisons avec leurs
caractéristiques propres (froid, chaud, ensoleillé, pluvieux etc.) a également
une influence sur le développement du cerveau de l’embryon, en particulier
via les hormones et impressions nerveuses saisonnières de la mère enceinte.
• Si ces hypothèses sont vérifiées chez l’homme, elles seront probablement
transposables à ceux des animaux qui peuvent porter de la progéniture toute
l’année. C’est-à-dire qu’on devrait retrouver des traits de caractère communs
en fonction de la date de naissance, avec une explication similaire.
II.4) Lien entre menstruations et cycle lunaire
Constats :
• Les femmes ont des cycles menstruels de même durée que le cycle de
rotation de la Lune autour de la Terre.
• La pleine Lune joue un rôle particulier dans le déclanchement des règles.
• La légende des Vampires sanguinaires oeuvrant lors de la pleine Lune est
symbolique des menstrues féminines.
Hypothèse :
Il existe un lien entre la Lune et le cycle féminin. La Lune sert de repère dans le
temps au cerveau féminin. Soit c’est un repère visuel inconscient pour le cerveau
féminin (c’est l’hypothèse préférée), soit la Lune, via son réfléchissement du flux
solaire, émet des particules reconnaissables par le cerveau féminin. A ce stade de la
réflexion, le lien avec le développement embryonnaire n’est qu’hypothétique.
II.5) Lien entre allaitement et stabilité psychique
Constat :
Les bébés nourris au sein sont plus robustes, et plus stables psychiquement.
Hypothèse :
Non seulement le lait maternel est riche en anticorps, mais il est aussi riche en
hormones. Ces hormones maternelles ont baigné l’embryon lors de son
développement, et un sevrage trop brutal provoque des troubles psychiques,
durables pour la vie entière. Ce mécanisme cérébral est similaire, en moins fort, à la
consommation et au sevrage en drogues, alcool ou tabac.
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3. III) Conclusions
• La vie embryonnaire est la période la plus sensible de l’individu. La santé
publique doit veiller à sa bonne qualité.
• Les liens entre vie embryonnaire et pathologie de l’adulte, décrits ici, restent à
confirmer, et à surtout à compléter.
• La médecine pourra tirer partie avantageusement de ces constatations
empiriques, en attendant une explication scientifique rigoureuse et démontrée.
On observera néanmoins que l’absence de démonstration rigoureuse ne doit
pas paralyser la science empirique (Malheureusement, les élites cartésiennes
à la française ont tendance à museler les intuitions empiristes, pourtant
grosses de changement de paradigme).
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